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carla bruni

  • Ringarde...

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    Le 4 octobre 2008

    L'épouse du président français, Carla Bruni-Sarközy, a interprété une de ses nouvelles chansons samedi soir en direct à la télévision allemande, avant d'expliquer sur le plateau de l'émission que faire de la politique était "plus difficile que de faire de la musique".

    La politique, "c'est plus dur que de faire de la musique, c'est un travail difficile", a affirmé l'épouse de Nicolas Sarkozy, qui était invitée dans l'émission de divertissement "Wetten, dass..." ("On parie que ?"), une institution de la chaîne publique ZDF et une des émissions les plus suivies dans les pays germanophones.

    L'ex-mannequin, qui s'exprimait en anglais, et dont les propos étaient simultanément traduits en allemand, a confié lors de cette émission réalisée en direct de Nuremberg (sud) avoir de "l'admiration" pour les hommes politiques, des "êtres humains comme nous" qui "agissent pour les autres".

    Accompagnée à la guitare, sur fond de décor quelque peu rétro (avec vasques de fleurs et silhouettes de Tour Eiffel), Carla Bruni avait auparavant interprété sa chanson "L'Amoureuse". Des millions de téléspectateurs, pour peu qu'ils comprennent le français, ont pu ainsi l'entendre proclamer "Je suis l'amoureuse, je suis ton amoureuse. Et je chante pour toi la seule de toutes les choses qui vaille d'être là".

    Lors de l'entretien avec le présentateur Thomas Gottschalk, en présence du couturier Karl Lagerfeld, Carla Bruni a précisé: "Il n'y a rien qui me manque dans ma vie d'avant. Je n'ai plus le droit d'être très insolente, mais je ne le souhaite pas non plus".

    Interrogée sur ce qu'elle avait apporté avec elle lors de son emménagement à l'Elysée, la chanteuse a précisé "ma guitare, mes livres et moi-même".

    La "première dame de France", qui fait actuellement la promotion de son nouvel album "Comme si de rien n'était", avait déjà participé en direct à la mi-septembre à une émission de variétés à la BBC britannique, où elle avait chanté "Tu es ma came", avant d'expliquer lors d'une interview qu'il lui arrivait de déranger son mari "au milieu de la nuit" avec sa musique. AFP. 05.10.08

    Elle avait déclaré qu'elle ne chanterait plus en public...

  • Carla et les ours des Pyrénées

    L'article du Nouvel OBS:

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/people/20080818.OBS7730/carla_bruni_soutient_les_defenseurs_de_lours.html?idfx=RSS_notr

  • Sarközy va voir Carla chez elle au Lavandou...

    Le chef de l'Etat se rend ce soir au Lavandou (Var) dans la demeure de son épouse Carla Bruni-Sarközy.

    Nicolas Sarközy a pris un avion de ligne Paris-Toulon vendredi en fin d'après-midi. (seul ou avec elle?) Une fois arrivé dans le Var, le couple présidentiel va s'installler deux jours au Lavandou, dans la luxueuse villa appartenant à la première Dame de France Carla Bruni.


    Le président se rendra dimanche matin à Marseille. Il y prendra l'avion pour Fort-de-France (Martinique) où il assistera aux obsèques nationales d'Aimé Césaire.

    Toute seule dans cette belle villa?Et si ce mariage n'était qu'une mascarade? Chacun vivant de son côté après les flashes des photographes?

    Pourquoi ne l'accompagne-t-elle pas aux obsèques d'Aimé Césaire?

    Le texte de cet article manque singulièrement de clarté...

  • Quelle leçon!

    Un pédiatre suisse, qui dirige plusieurs hôpitaux pour enfants au Cambodge, a refusé les 91.000 dollars issus de la vente aux enchères d'une photo de Carla Bruni nue, par "respect" envers ses patients, a rapporté l'hebdomadaire suisse "Le Matin Dimanche".

     Le pédiatre Beat Richner, qui dirige l'association Kantha Bopha Children's Hospital, s'était vu offrir la somme après la vente aux enchères jeudi à New York de la photo prise en 1993 de l'actuelle Mme Sarközy par le photographe suisse Michel Comte. Ce dernier avait convaincu le vendeur de l'oeuvre, le collectionneur allemand Gert Elfering, de reverser la recette à une oeuvre humanitaire, selon le journal.

     Mais Beat Richner a expliqué dans une interview au Matin qu'il refusait que son institution "soit mêlée à l'utilisation médiatique de la nudité de Mme Bruni". "L'idée de ce don est un moyen d'assurer la publicité de cette vente aux enchères et le renom du photographe. C'est un moyen de se servir de nous", a-t-il dénoncé. Le pédiatre a souligné qu'au Cambodge "l'utilisation de la nudité n'est pas comprise comme elle l'est en Occident". "Ma décision a été prise par respect envers nos patients et leurs mères. L'acceptation d'argent venant de l'exploitation du corps féminin serait perçue comme une insulte", a-t-il fait valoir. La recette de la vente de la photo devrait cependant rester entre des mains helvétiques, car les fonds sont finalement destinés à un projet gouvernemental de l'Institut suisse de recherche de l'eau, qui vise à fournir aux pays pauvres une méthode simple pour transformer l'eau sale en eau potable, toujours selon Le Matin. Interrogé par l'hebdomadaire, le ministère suisse de l'Intérieur a indiqué qu'il acceptait les fonds.

  • La lettre de Carla Bruni-Sarközy...

    "Désormais l'affaire du faux SMS est close; mon mari vient de retirer sa plainte contre Le Nouvel Observateur après réception de la lettre d'excuses qu'Airy Routier m'a adressée. Qu'on me permette néanmoins quelques observations.

    Le texte de la charte signée en avril 2004 entre Claude Perdriel, PDG du Nouvel Observateur, et les représentants de la Société des rédacteurs prévoit que "l'objectif des articles est de présenter les faits aux lecteurs avec la plus grande rigueur et la plus grande honnêteté. Toute information doit être recoupée et vérifiée. La rumeur doit être bannie, la citation anonyme évitée et la source indiquée aussi précisément que possible", et il ajoute : "L'usage du conditionnel de précaution est proscrit sauf exception visée par la direction de la rédaction. Ne sont publiées que des informations dont l'origine est connue. La vie privée des personnes est respectée."

     


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    Or tous ces principes ont été bafoués par Airy Routier, pourtant signataire de cette charte, dans l'article qu'il a commis sur le site du Nouvel Obs à propos du SMS présumé que le président aurait adressé à son ex-épouse juste avant notre propre mariage. Voici ce qu'écrivait Airy Routier : "Huit jours avant son mariage, le président de la République a adressé un SMS à son ex-épouse, en forme d'ultimatum : Si tu reviens, lui a-t-il écrit, j'annule tout. Il n'a pas eu de réponse." Qu'on ne s'y trompe pas : l'enjeu, dans cette affaire, n'est pas le respect de la vie privée. Je peux concevoir, puisque l'époque le réclame, que, comme dit Airy Routier, "la vie privée d'un président, élu par les Français, qui a tous les pouvoirs, notamment celui du feu nucléaire, ne relève pas du même ordre que celle d'un quidam". Pourquoi pas ? Le débat est ouvert et le problème n'est pas là.

     

    Le problème n'est pas non plus l'existence elle-même du SMS en question, car si le SMS avait existé, si la rumeur avait été avérée, c'eût été par hasard, au terme d'une vague indiscrétion, d'un "quelqu'un m'a dit", et non d'une investigation rigoureuse… Voilà bien le problème : quand on est indiscret, il faut être sûr de ce qu'on raconte. Ce qui est malhonnête et inquiétant dans cet épisode, c'est qu'à aucun moment l'"information" n'a été vérifiée, recoupée, validée. De son propre aveu, Airy Routier n'avait pas vu (et pour cause !) le SMS, qu'il a pourtant présenté comme un fait.

    LES RAGOTS ET LES FAITS

    Je n'ai aucune leçon de déontologie à donner à qui que ce soit, mais il me semble que quand un "journaliste", aux dépens de l'honnêteté qu'il doit à ses lecteurs, sanctifie la rumeur et prend ses désirs pour des réalités, il ne doit pas invoquer des "sources en béton". En vérité, Airy Routier n'imaginait pas que mon mari porterait plainte contre le site du magazine et, devançant l'impunité, il s'est senti libre d'écrire ce qui lui passait par la tête ou par l'oreille.

    "De toute façon, dit Routier, la violence et l'énormité de la réaction du pouvoir montrent bien que Nicolas Sarkozy a cherché un prétexte pour, à travers Le Nouvel Observateur, intimider tous les journalistes." Mensonge, sottise et mauvaise foi : en attaquant le site du Nouvel Observateur pour "faux et usage de faux", mon mari ne s'en prend pas à la liberté de la presse (qu'il a toujours ardemment défendue : qu'on se souvienne, pour cela, de l'affaire des caricatures du Prophète dans Charlie Hebdo), mais au droit de dire et d'écrire n'importe quoi. De ce point de vue, loin de se conduire en despote, c'est la liberté de chacun qu'il protège.

    Car si, désormais, la rumeur sert d'information, si les fantasmes servent de scoops, où allons-nous ? Si les grands journaux cessent de faire le tri entre les ragots et les faits, qui le fera ? Si, tel le pire des magazines trash, Le Nouvel Observateur, trahissant sa charte, sa vocation et même son nom, n'observe plus mais invente ce qu'il raconte, quel rempart nous reste-t-il contre l'hystérie de l'époque ? Est-ce l'avenir des contre-pouvoirs que de cracher en l'air avant d'être rappelés à l'exigence élémentaire de probité ? La liberté exige d'avoir le sens des responsabilités, tout comme la transparence exige l'honnêteté, sans quoi, comme le dit Gad Elmaleh (dans La vérité si je mens) : "C'est la porte ouverte à toutes les fenêtres" ! Relisez Beaumarchais : "La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés… elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ?"  Réponse : les journalistes. Les vrais.

  • VIDEO Simone ignore Carla, Sarközy se gratte le nez!

    http://www.dailymotion.com/video/x4onnt_froid-entre-simone-veil-et-carla-sa_news