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  • Lebensborn, l'incroyable histoire des enfants SS

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    Revue de presse
    Publié le 7 Décembre 2012

     

     
    Ce fut un projet terrifiant, invraisemblable, inédit dans l'histoire de l'humanité. Nom de code: Lebensborn. Entre 1935 et 1945, les Nazis ont tenté de créer une "race supérieure de Germains nordiques". Pour cela, la SS avait ouvert des maternités très particulières. Après avoir subi une "sélection raciale", des femmes, enceintes d'un SS ou d'un soldat allemand, y donnaient le jour à des enfants "parfaits", blonds, aux yeux bleus. Les bébés pouvaient être abandonnés au Lebensborn, pour être ensuite adoptés par des familles dites "modèles". Environ 20 000 enfants sont nés dans ces maternités SS. Certains d'entre eux ont réussi à percer le mystère de leurs origines, sans avoir été reconnus officiellement comme des victimes - vivantes - du régime nazi.
     

     

    En juin 1936, la première maternité du Lebensborn ouvre à Steinhöring, un village de Bavière. Jusqu'en 1945, une vingtaine de nurseries fonctionnèrent en Allemagne puis dans certains pays occupés, notamment en Norvège, berceau supposé de la "race germanique nordique". Près de 20 000 SS-Kinder (enfants SS) sont ainsi nés dans ces établissements. Leur naissance était inscrite dans un registre secret et leur véritable identité était effacée. Les Nazis considéraient les Français comme un peuple "abâtardi" et "racialement non valable". Mais, ils vont changer d'opinion, du fait nombre croissant d'enfants nés d'un père allemand et d'une mère française. Le 29 mai 1942, Leonardo Conti écrit à Himmler (document): "A mon avis, les enfants (français) ne sont pas mauvais, pas plus mauvais que ceux (...) nés en Norvège. (...) Je propose que le Lebensborn s'en occupe énergiquement." Le 6 février 1944, une maternité SS ouvrira à Lamorlaye, dans l'Oise. Le 6 février 1944, "Westwald" (forêt de l'ouest), l'unique maternité SS en France, est inaugurée à Lamorlaye, à 40 kilomètres au nord de Paris. Vingt-trois enfants "de race nordique" verront le jour dans ce manoir réquisitionné depuis 1940 par l'occupant. En Belgique, dès mars 1943, le château de Wégimont, près de Liège, accueille une maternité du Lebensborn: le foyer "Ardennes". Entre 40 et 50 enfants, nés d'un père SS belge ou allemand, y ont vu le jour. Comme tous les établissements de ce genre, le lieu est sévèrement gardé. Le 1er septembre 1944, à l'approche de la 3e division blindée américaine, les SS évacuent les lieux et emmènent tous les enfants. Ces derniers sont tout d'abord dirigés vers Wiesbaden, en Allemagne. Gisèle Niango, née le 11 octobre 1943, fut confiée par sa mère au foyer de Wégimont. Emmenée comme les autres petits pensionnaires vers l'Allemagne, elle sera finalement retrouvée par les Américains, en mai 1945, dans la " maison mère " du Lebensborn, à Steinhöring, en Bavière. Elle n'a retrouvé l'identité de sa mère qu'en 2010. Celle de son père reste inconnue.

     

    Été 1945. Les enfants abandonnés ou kidnappés par le Lebensborn sont recueillis par une équipe spécialisée des Nations-Unies. Ils sont soignés dans un couvent à Indersdorf, en Bavière. Certains, identifiés après de longues recherches, seront rendus à leur mère. Les autres seront rapatriés vers leur pays d'origine, confiés à l'assistance publique. Certains seront adoptés par une nouvelle famille.

     

    Novembre 2012. Dans les archives d'une association catholique d'aide à la jeunesse de Munich, L'Express retrouve des livrets d'épargne ouverts à l'époque par les SS pour les enfants allemands du Lebensborn. Cet argent était destiné à assurer leur avenir. Mais, après guerre, la quasi-totalité des bénéficiaires n'a jamais été informée de l'existence de ces livrets. Ils sont périmés de puis 1978. Les anciens enfants du Lebensborn sont les dernières victimes - vivantes - du nazisme à n'avoir jamais été reconnues officiellement.

     

    Cliquez ici pour visionner le diaporama.

    Crédit photo : Boris Thiolay/L'Express

    Crif

  • Souleymane et Fatou ne s’appelaient pas Vladimir et Marine, mais leurs victimes se nomment bien Kilian et Jessica

     

    Le 23 novembre dernier, un drame abominable a eu lieu, gare de Yerres, sur la ligne du RER D. Une jeune fille en a poussé une autre, volontairement, quand la rame entrait en gare. La victime a eu les deux jambes sectionnées.

    http://www.fdesouche.com/334756-yerres-91-une-adolescente-poussee-sous-un-rer

    Au-delà de ce révoltant fait divers, le traitement médiatique qui a suivi cette affaire mérite qu’on s’y arrête, tant il nous rappelle celui opéré lors d’un autre fait divers, en Bretagne, en juin dernier

    http://ripostelaique.com/pour-le-monde-un-assassin-denfant-ne-doit-pas-sappeler-souleymane-mais-vladimir.html

    A Yerres, on nous a d’abord présenté la chute de la victime comme la conséquence d’une bagarre. Tout comme on nous raconte que les chrétiens égorgés par les islamistes, au Nigeria, sont la conséquence de conflits inter-religieux, ou comme on nous a d’abord présenté la mort du jeune Kilian comme la conséquence d’une bagarre qui aurait mal tournée.

    Ensuite, on a nié la différence d’âge entre la victime et le bourreau. A Yerres, on nous a longtemps expliqué que la première avait 17 ans, et la seconde 15 ans. Il s’avère que c’est le contraire. A Rennes, on nous a longtemps caché que la victime n’avait que 13 ans, et le coupable 17 ans, et que loin d’être une bagarre qui aurait mal tournée, ce fut une strangulation mortelle d’un jeune adulte contre un jeune garçon.

    Le coup des prénoms modifié offre, lui aussi, des similitudes intéressantes, mais surtout crapuleuses, quant aux méthodes des journaleux. A Rennes, Le Monde a appelé le coupable, par ailleurs d’origine tchetchène, Vladimir. Ce n’est pas neutre, Vladimir, c’est le prénom de Poutine, la bête noire de nombre de plumitifs de la presse française, qui se pâment devant la provocation des Pussy Riot, en plein culte orthodoxe, contre le chef de la Russie, mais lynchent Génération Identitaire pour une simple visite de chantier sur le toit d’une mosquée en construction, à Poitiers. Pour le drame de Yerres, les plumitifs du Parisien ont fait mieux dans le prénom : Marine. Naturellement, donner ce prénom à une personne qui pousse une jeune femme sous une rame de RER, qui se trouve être celui de la présidente du FN, autre bête noire de prétendus journalistes vendus au système, serait le fruit d’un pur hasard. Or, si Vladimir s’appelait Souleymane, Marine s’appelle Fatou.

    Reste à s’interroger sur plusieurs choses, au-delà des minables manœuvres de larbins qui ne trompent plus grand monde, pour cacher à nos compatriotes que les assassins sont souvent issus de l’immigration post-coloniale, et que les victimes sont souvent des Européens d’origine. Imagine-t-on ce qu’aurait été le cirque de Libération, du Monde, du Nouvel Observateur, de Médiapart ou de Rue 89 si Jessica avait poussé Fatou, si Kilian avait étranglé Souleymane ?

    http://ripostelaique.com/les-assassinats-dalicia-audrey-et-killian-par-abdallah-et-souleymane-nont-rien-dun-hasard.html

    Est-ce vraiment un malheureux hasard, ou le fruit de la haine véhiculée, dès le berceau, à des centaines milliers de jeunes personnes, nées en France, français de papier, à qui on raconte que les non-musulmans sont des êtres inférieurs aux musulmans, que la France deviendra un jour Terre d’Islam, et que tout est bon pour parvenir à cet objectif. Hasard malheureux que ces centaines de milliers d’autres jeunes personnes, nées en France, françaises de papier, à qui on raconte que les « face de craies » sont les descendants des colonialistes qui sont les uniques responsables de la détresse du pays de leurs ancêtres, et qu’on consolide dans une haine raciste des Français d’origine ? Hasard si l’assassin de Toulouse et Montauban s’appelait Mohamed Merah ? Hasard si, en toute impunité, des nés musulmans peuvent se permettre de traiter leurs camarades de classe de « Sales kouffars », ou de « sales juifs » en toute impunité, ou que d’autres « jeunes issus de la diversité » peuvent les traiter de « Sales blancs » sans le moindre risque, voire les agresser quotidiennement ? Hasard si la majorité de nos prisons sont remplis majoritairement de détenus issus de l’immigration post-coloniale ?

    Cela commence par les insultes, les coups et le racket, cela finit par l’étranglement de Kilian par Souleymane, ou par la poussée criminelle sous une rame de RER de Jessica par Fatou.

    Kilian est mort, pas de chance, il a croisé la route de Souleymane, et a refusé de baisser les yeux. Toujours pas de chance, il était en sport études, n’avait que 13 ans, et espérait devenir professionnel de football. Jessica n’avait que 15 ans, pas de chance, elle a croisé la route de Fatou. Elle avait été placée dans une famille d’accueil, et était en train de réussir sa vie, malgré un début difficile. Si elle survit, elle sera privée de ses jambes toute son existence. Imagine-t-on la vie d’une gamine privée de mobilité, à la fleur de l’âge, à cause d’une agression gratuite ? Souleymane et Fatou, eux, ont toute leur vie devant eux, une fois qu’ils se seront fait tirer les oreilles par Taubira et des militants politiques déguisés en juges.

    Un jour, et le plus tôt sera le mieux, il faudra demander des comptes à ceux qui, en niant le racisme anti-blancs et anti-Français, portent la responsabilité de la mort de nombre de Kilian, et des agressions souvent gratuites de trop de Jessica. Il faudra surtout juger ceux qui, en militant ouvertement pour une immigration de masse, sans intégration, en période de chômage, se sont rendus coupables de non-assistance à peuple français en danger.

    Paul Le Poulpe

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Nos adversaires ne font pas de cadeaux : aide-toi peuple Français, le ciel t’aidera ! Par Bruno Gollnish

     

    Dans beaucoup de régions de la vieille Europe, le cycle de Noël commence aujourd’hui, ce 6 décembre, jour de la saint Nicolas, pour se terminer le 6 janvier, jour de Rois. Un saint Nicolas très populaire en Flandre, en Wallonie, en Champagne, en Lorraine, en Picardie, en Rhénanie…Naguère, les enfants attendaient sa visite le 5 décembre en plaçant un soulier dans la cheminée, pour y découvrir le lendemain le cadeau apporté lors de sa tournée des chaumières par le bon vieillard. Un saint « laïcisé » à travers la figure du Père Noël, lequel fut popularisé à l’échelle mondiale et à des fins commerciales au début du XXème siècle par une firme comme Coca Cola notamment, qui imposa ses attributs vestimentaires…

    Il n’en reste pas moins que Saint-Nicolas, qui représente sans doute la christianisation d’une très ancienne coutume, et/ou son transfuge en « Père Noël » incarne(nt) pleinement pour les peuples de notre continent la magie de Noël. Une magie à laquelle sont sensibles les croyants comme les non croyants et qui plonge ses racines au plus profond de l’âme des européens.

    Fête de la nativité, de la naissance du Sauveur pour les chrétiens du monde entier, Noël a une résonance toute particulière, supplémentaire peut être pour les Européens de notre continent. Le très peu chrétien Jean Mabire le notait « Vieille fête du solstice d’hiver christianisé, fête de l’enfance et du devenir, fête du combat contre les ténèbres et fête des graines invisibles, Noël appartient à ceux qui luttent dans le silence, l’ombre et la solitude, Noël est la fête de l’invisible espérance. »

    Aussi, s’attaquer directement ou indirectement au(x) symbole(s) de Noël n’est jamais anodin -nous relationsà ce sujet l’attitude de la municipalité d’Amiens le 30 novembre sur ce blog. Autant dire que la vive réaction des parents d’une école maternelle de Montargis ( Loiret) dont les médias se sont fait l’écho hier est totalement compréhensible.

    Selon Le Parisien, la directrice de cette école a décidé d’annuler la venue du Père Noël avançant comme explication des motifs financiers. Une justification rejetée catégoriquement par les parents d’élèves qui, sans langue de bois, ont dénoncé une « islamisation » de l’école. Dans ce quotidien, une mère de famille indique : « Je suis allée voir la directrice pour comprendre cette annulation. Elle m’a expliqué qu’elle ne voulait pas se faire taper sur les doigts par certaines familles de musulmans ».

    Une version confirmée, selon RTL, par l’adjoint au maire de Montargis, pour qui ce problème ne date pas d’hier. Avec le courage et la franchise qui la caractérise toujours, l’inspection académique a tenté d’éteindre l’incendie en affirmant qu’il s’agissait d’une méprise que la raison de cette annulation était bien financière…tout le monde y croit…

    La directrice de l’école qui se serait bien passée de cette médiatisation a été assaillie de coups de fils d’indignation. Elle a confié à La République du Centre son intention de porter plainte: « On vit un enfer » dit-elle. Enfer qui comme chacun le sait, est souvent pavé de pieuses intentions « antiracistes » au nom du « vivre ensemble »…

    Hier toujours, le site contre-info expliquait que jeudi dernier 8500 portions de mousses au chocolat a destination des écoles du Havre (Seine-Maritime) ont été jetées à la poubelle sur décision de la municipalité. Le motif ? «La présence de gélatine de porc dans leur composition »

    « Le jour même, on nous a expliqué qu’il était question de sécurité alimentaire, d’un produit qui n’était pas conforme , témoigne le directeur d’une école havraise, sous couvert d’anonymat. Mais certains personnels de cuisine bien informés ont fini par apprendre la raison officieuse. Depuis, ça circule pas mal, et ça énerve ! Les gens sont choqués observe-t-il.»

    « Choqués », les Français ont des raisons de l’être au vu des conséquences terriblement dramatiques des politiques migratoires menées par l’UMPS depuis 35 ans. Maire de Montfermeil, membre depuis 2009 du parti chrétien démocrate (associé à l’UMP) mais néanmoins très lucide et courageux sur cette question, Xavier Lemoine, déclarait le 2 novembre à l’antenne de Radio Courtoisie : « En Ile-de France, les populations, par déménagements successifs, migrent pour constituer des unités homogènes qui ont leurs propres règles. Nous assistons à une partition de la société française. »

    « Nous sommes sur des bascules démographiques sur un certain nombre de territoires poursuivait-il. Certaines populations seront majoritaires et dans une homogénéité culturelle qui fera qu’elles tenteront par tous les moyens d’obtenir le pouvoir. Les islamistes m’ont averti : En 2014, vous passerez encore mais en 2020, nous serons majoritaires ». « Majoritaires » et tolérants ?

    « Choqués », les Français le sont aussi par la chanson Nique la France, du rappeur Saïdou et du sociologue Saïd Bouamama. Nos deux « po(è)tes urbains et de la diversité » ont été mis en examen suite à une action en justice de l‘Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne (Agrif) de Bernard Antony.

    Bien sûr, le magazine conformiste pour bobos Les Inrocks a lancé une pétition pour soutenir les deux lascars, au nom du « devoir d’insolence » (sic), de la lutte « contre le racisme »,en faveur de nos deux pauvres victimes de la vindicte de méchants Gaulois qui ont la tête trop près du bonnet.

    Est-ce bien surprenant également, parmi les signataires de celle-ci, nous retrouvons Houria Bouteldja, porte-parole du parti des Indigènes de la République, connue pour son amour des « souschiens », Marwan Muhamad porte-parole du Collectif Contre l’Islamophobie en France, ou encore Rokhaya Diallo, présidente des Indivisibles. Mme Diallo, fut la récente bénéficiaire d’un séjour tout frais payé offert par l’ambassade américaine, au nom de sa politique d’ingérence dans nos banlieues, visant à repérer (recruter) les talents pluriels de demain…

    C’était cette même Mme Diallo qui affirmait sur France Ô ,le 11 octobre 2011, que « lorsqu’un pays s’interroge autant sur ce qu’il a été, c’est qu’il sent qu’il est en train de changer et que le rapport de force est en train de s’infléchir ». Nous sommes bien sûr invités, nous les peigne-culs de Gaulois et assimilés, à nous en féliciter chaudement…

    Alors, constate Bruno Gollnisch, en ce début de siècle et de millénaire, en cette période de Noël, moment particulier pour tous les Français, pour tous les Européens qui ne veulent pas abdiquer les racines helléno-chrétiennes de notre civilisation, l’heure est aussi à la reconquête de notre identité. Nos adversaires ne font pas de cadeaux mais la victoire des ténèbres mondialistes n’est pas inéluctable, et c’est ce message là que le Front National continuera de porter. Aide-toi peuple Français, le ciel t’aidera !

     

  • 3h de colle pour un signe de croix ? [Add]

     

    Lu sur Novopress :

    "Un parent d’élève vient de contacter Novopress. Son fils est scolarisé en cinquième au collège Cité, place Thérèse Léon Blum à Narbonne (Aude). Sa classe devait visiter ce matin la cathédrale Saint-Just (ci-dessus) de l’ancienne cité romaine, située non loin de l’établissement scolaire. Selon notre lecteur, le professeur d’histoire qui accompagnait les jeunes «leur a précisé hier que si l’un d’entre eux faisait le signe de croix en rentrant dans la cathédrale, il récolterait trois heures de colle ». [...]

    Addendum : Réaction de Bernard Antony :

    "Bernard Antony, président de l‘AGRIF, a immédiatement appelé le Principal du collège Cité, Monsieur Bagdadi, pour lui manifester son étonnement et s’enquérir de ce qu’il en était exactement.

     
    Monsieur Bagdadi a répondu qu’on ne lui avait pas rapporté ce fait, et que aucune punition n’avait été demandée pour quelque élève ayant participé à cette visite. En revanche, il a indiqué à Bernard Antony les consignes de tenue décente et de respect des lieux qu’il donne pour pareille visite, ce qui est bien.
     
    Mais il a lu aussi la suite de sa directive, dans laquelle il stipule que toute expression religieuse devait être en l’occurrence bannie conformément au principe de laïcité. Ce qui n’est pas bien.
     
    Bernard Antony lui a alors exprimé combien il était abusif, peu respectueux et même pré-persécutoire d’interdire à des enfants catholiques, dans une cathédrale catholique, de faire le signe de croix qui est évidemment pour eux la reconnaissance du caractère sacré d’une cathédrale construite pour l’expression catholique du sacré et le culte de leur religion.
     
    Il s’est efforcé de faire comprendre à Monsieur Bagdadi que sa consigne outrepassait l’application du principe d’une laïcité de tolérance, dans une dérive de laïcisme agressif. Il lui a fait remarquer que dans la visite d’une synagogue, on ne saurait demander à des enfants juifs de quitter leur kippa, pas plus que dans la visite de la grande mosquée de Paris on ne se risque pas à exiger des enfants musulmans (et même aux autres !) de ne pas se déchausser. Il a rappelé à Monsieur Bagdadi que trop souvent dans notre pays on avait commencé par de pareilles vexations précédant des périodes de persécutions.
     
    Monsieur Bagdadi ayant cru comprendre que c’était là une allusion à la seule période 1940 – 1945, Bernard Antony lui a précisé qu’il y a eu aussi d’autres moments de persécution dans notre histoire : les abominations antichrétiennes sous la Révolution Française, et celle des persécutions sous la III° république… Il a encore exprimé à Monsieur Bagdadi que, comme les juifs, les catholiques pouvaient avoir aussi très légitimement une sensibilité en éveil et la vigilance appropriée devant la multiplication des manifestations de haine anti-chrétienne en France et dans le monde. Il lui a redit avec fermeté que l’interdiction du signe de croix à des enfants catholiques dans un lieu de culte catholique relevait objectivement d’un abus laïciste inacceptable.
     
    Monsieur Bagdadi lui ayant réitéré que nulle sanction n’avait été et ne pourrait être prise, Bernard Antony l’a remercié de sa courtoisie et l’a assuré et de son respect et de sa vigilante attention pour que soit respectée aussi l’élémentaire liberté pour les enfants chrétiens d’un signe de croix dans la cathédrale, qui n’agresse personne et n’est que l’expression d’une adhésion à Celui qui a dit : « Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté ! »"

    Michel Janva

    Le Salon Beige

     

  • Hospitalisation de Kate Middeleton: une infirmière retrouvée morte après un canular

    On ne connaît pas encore précisément les causes du décès, mais des sources policières évoquent déjà un , selon le Daily Mail. Une employée de l'hôpital londonien dans lequel séjournait Kate Middleton pour sa grossesse, et qui avait été piégée par une radio australienne, a été retrouvée morte ce vendredi matin, dans un de l'hôpital King Edward à Londres où elle travaillait.

     


    Selon le Daily mail, la victime serait celle qui a transféré l'appel de deux animateurs radio australiens à l'infirmière qui s'occupait de l'épouse du . Mère de deux enfants et infirmière depuis plus de quatre ans dans cet hôpital, Jacintha était déjà décédée lorsque les secours et la police sont arrivés sur place. «C'est avec une profonde tristesse que nous pouvons confirmer la mort tragique de Jacintha Saldanha, membre de notre personnel infirmier», a simplement indiqué l'établissement dans un communiqué, ajoutant : «Nous pouvons confirmer que l'infirmière a été récemment victime d'un canular téléphonique à l'hôpital. L'hôpital l'a soutenue pendant ce moment difficile».

    La peine du couple princier

    Les époux princiers ont rapidement réagi par voie de communiqué, se déclarant «profondément attristés», envoyant «leurs pensées et prières à la famille, aux amis et aux collègues» de la victime.

    Le canular diffusé mercredi avait provoqué une vive polémique au sein de l'établissement hospitalier, qui avait «profondément déploré» cet incident. Dans un très mauvais accent anglais, l'animatrice avait tenté de se faire passer pour la reine d'Angleterre... et cela avait fonctionné ! «Elle dort en ce moment et elle a passé une bonne nuit. Son état est stable pour l'instant», lui avait naïvement répondu une infirmière, ajoutant que la princesse n'avait plus de «haut-le-cœur», suggérant de «lui rendre visite n'importe quand après 9 heures»...



    Kate Middleton est sortie jeudi en fin de matinée de l'hôpital londonien où elle avait été admise lundi pour des nausées sévères dues à sa grossesse. L'annonce de l'hospitalisation de la duchesse avait conduit le palais à dévoiler la grossesse de l'épouse du prince William, deuxième dans l'ordre de succession au trône. Une nouvelle attendue depuis des mois dans le royaume, après le mariage fastueux et ultramédiatisé du jeune couple en avril 2011.

     

    Le Parisien - 07/12/12

  • [Exclusivité Novopress] Narbonne : un élève menacé de sanction s’il fait le signe de la croix dans la cathédrale !

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    6 décembre 2012

     

    06/12/2012 – 18h00
    NARBONNE (NOVOpress) – Un parent d’élève vient de contacter Novopress. Son fils est scolarisé en cinquième au collège Cité, place Thérèse Léon Blum à Narbonne (Aude). Sa classe devait visiter ce matin la cathédrale Saint-Just (ci-dessus) de l’ancienne cité romaine, située non loin de l’établissement scolaire. Selon notre lecteur, le professeur d’histoire qui accompagnait les jeunes « leur a précisé hier que si l’un d’entre eux faisait le signe de croix en rentrant dans la cathédrale, il récolterait trois heures de colle ».

     

    Quand la laïcité de l’Education nationale dérape et devient antireligieuse ou plus précisément, antichrétienne ? « C’est lamentable ! Je précise que mon fils est baptisé comme la majorité des Français, nous sommes peu pratiquants, mais croyants et respectueux », témoigne notre lecteur qui ajoute : « Je trouve l’attitude de cet enseignant symptomatique de la mentalité navrante de ce corps administratif sensé instruire nos enfants. Qu’en sera-t-il quand ils visiteront une mosquée ? Leur interdira-t-on d’enlever leurs chaussures ? ».

    Si vous être choqués par la menace que ce professeur aurait agitée devant ses élèves, vous pouvez joindre le collège au 04 68 90 21 56 ou au 04 68 32 11 67. Ces derniers mois, d’autres initiatives étranges ont eu lieu à Narbonne. Mais cette fois, au cœur d’un établissement catholique qui proposait à ses élèves des cours de sorcellerie et dont l’un des enseignants faisait la promotion de la théorie du Genre.

    Crédit photo : elPadawan via Flickr (cc).

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