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  • Armes chimiques: Damas adresse des lettres de garantie à l'ONU

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    Damas, 8 décembre - RIA Novosti

    La Syrie a envoyé samedi des lettres au Conseil de sécurité de l'ONU et au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon garantissant qu'elle ne ferait pas recours aux armes chimiques, a annoncé l'agence syrienne SANA.

    "La Syrie ne ferait en aucun cas usage des armes chimiques, même si elle en disposait, pour défendre son peuple contre les terroristes qui bénéficient d'un soutien de plusieurs pays dirigés par les Etats-Unis", est-il indiqué dans les lettres citées par l'agence.

    Par ailleurs, la Syrie a mis en garde contre les déclarations sur la prétendue intention des autorités syriennes d'utiliser des armes chimiques. Ces affirmations pourraient pousser les rebelles à faire usage de telles armes, selon Damas.

    Le chef du Pentagone Leon Panetta a récemment déclaré que les Etats-Unis avaient reçu des informations selon lesquelles les autorités syriennes pourraient faire usage des armes chimiques. Le représentant permanent de la Russie auprès de l'OTAN Alexandre Grouchko a pour sa part indiqué que la Russie ne disposait pas de données attestant que les dirigeants syriens s'apprêtaient à utiliser les armes chimiques contre l'opposition.

  • Alain Soral : entretien d'octobre 2012


    Alain Soral / E&R : octobre 2012, partie 2 par ERTV

    Partie 2 :
    Les antifas, Rouillan, tout ça… – Le « mariage pour tous » – Vers une destruction de notre civilisation – Mariage pour tous, pour toutes et pour n’importe quoi – L’adoption homoparentale : qui la veut ? Pourquoi ? – Disparition de Stan Maillaud – La pédocriminalité d’élite.

  • « Le Pen, une histoire française » de Philippe Cohen et Pierre Péan : Réhabilitation ou réquisitoire ? Par Camille Galic

         

    Ni hagiographie, ni pamphlet, Le Pen, une histoire française a déclenché une belle polémique. Ses auteurs, Pierre Péan et Philippe Cohen, s’écartent de la doxa officielle. Pour eux, la diabolisation du Front national est moins due aux « dérapages » de son président qu’aux manœuvres machiavéliques de François Mitterrand créant SOS Racisme en même temps qu’il rétablissait la proportionnelle et se prêtait avec Pierre Joxe à la manipulation de Carpentras. Le Pen, une histoire française est un livre où les auteurs ne prennent pas vraiment parti mais accumulent des faits, des témoignages étayés, parfois des ragots, et exposent, sur chaque sujet, les différentes thèses en présence. Il leur arrive d’être sévères avec le président honoraire du Front national, notamment dans la description de ses rapports avec son parti et surtout avec l’argent, sans parler de leur hypothèse sensationnaliste sur une éventuelle expérience homosexuelle, bien dans l’air du temps il est vrai, qui a conduit Jean-Marie Le Pen à annoncer des poursuites en diffamation. Observatrice affutée de la scène nationale, Camille Galic présente pour nos lecteurs le livre de Péan et Cohen.
    Polémia
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    Après celle qui suivit l’accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle 2002, la France a connu une nouvelle « quinzaine de la haine », celle qui, dès la mi-novembre, s’est déchaînée dans la presse française contre les auteurs de Le Pen, une histoire française. Mais cette cabale ne repose-t-elle pas sur un malentendu ? En dépit – ou en raison – de son objectivité affichée, ce livre ambigu, en rupture avec les thèses établies depuis des décennies, est aussi, en effet, un SCUD contre le président honoraire du Front national.

    Matraquage contre Cohen-Péan

    C’est Nicolas Poincaré qui attaqua le premier sur Europe 1 : comment Philippe Cohen et Pierre Péan ont-ils pu aborder « sans haine » (sic) le président honoraire du Front national ? Sur la même antenne, propriété d’Arnaud Lagardère et désormais aussi de l’émir du Katar Alexandre Kara, nouveau chef du service politique d’Europe 1, et Benjamin Bonneau renchérissent : « Le Pen doit attendre ce livre avec le sourire, [car] les deux journalistes d’investigation se livrent en effet à une véritable entreprise de dédiabolisation, voire de banalisation, de l’homme qui a réinventé l’extrême droite française. »

    Pensez donc (c’est toujours Alexandre Kara et Benjamin Bonneau qui parlent) : « Concernant la guerre d’Algérie, un pan obscur de la carrière de Jean-Marie Le Pen, les auteurs en arrivent en effet à cette conclusion : “Si Le Pen a sans doute brutalisé des Algériens, il n’a pas pratiqué la torture institutionnelle telle qu’elle a été employée pendant le conflit”… » et les auteurs osent le définir « non comme un Mussolini français mais plutôt comme le fils de Céline et de Séguéla ».

    L’offensive continue sur France Inter où, malgré sa répugnance à parler de « mauvais livres » (mais il faut en parler « justement par respect pour les bons »), Patrick Cohen éructe dans sa tranche matutinale contre son homonyme Philippe et contre Pierre Péan, qui « banalisent » Le Pen et, traitant de l’affaire du « détail » (1987), omettent d’y voir la preuve irréfutable que Le Pen, « ce jour-là patraque », est un antisémite invétéré.

    Si l’on ajoute à ces charges celles, tout aussi virulentes, de Maurice Szafran, directeur de Marianne (dont, pourtant, Philippe Cohen est toujours rédacteur après en avoir été l’un des cofondateurs), et de Serge Ulisky qui, sur le site Mediapart dirigé par Edwy Plenel, s’indigne de voir « un Le Pen réhabilité, sorti du purgatoire par la grande porte… celle qui mène au paradis, à la droite du Père », il faut bien admettre que l’on a assisté à une fameuse démonstration de « Cohen-Péan bashing ».

    Boulevard à ragots

    La chose est d’autant plus surprenante que le livre, d’ailleurs souvent fondé sur des sources anonymes et entaché d’erreurs (François Brigneau y est confondu sur une photo avec Hubert Massol, Jean Mabire assimilé page 156 à Bernard Antony comme chef des catho-tradis, etc. sans parler des confusions de prénoms), est sans doute le réquisitoire le plus dommageable – du point de vue, essentiel, celui du militant de base – jamais écrit sur l’homme Le Pen. Péan et Cohen le présentent comme un opportuniste politique, taxé d’homosexualité avec le feu député-maire de Pau André Labarrère, accusé d’avoir été un mauvais père et un président de parti peu scrupuleux. A l’évidence, ces auteurs ne ressentent visiblement aucune empathie pour lui, au contraire de leurs confrères de Libération Gilles Bresson et Christian Lionet, auteurs de la première biographie (1) consacrée au président du Front national car ces gauchistes ne pouvaient en effet se défendre d’une certaine fascination pour le turbulent et inclassable Le Pen. L’intéressé ne s’y est d’ailleurs pas trompé qui, qualifiant le livre de Cohen et Péan de « boulevard à ragots », s’estimait « calomnié » et annonçait le 29 novembre son intention de porter plainte.

    Malentendu

    Comment expliquer ce malentendu ? Sans doute, parmi les plumitifs qui ont dénigré Le Pen, une histoire française dès sa parution, bien peu en avaient lu chacune des 540 pages. Mais la principale raison de leur vindicte est celle avancée par Patrick Cohen sur France Inter : « Ce qu'il y a de plus insupportable dans [c]e Le Pen, c'est la façon dont les auteurs font la leçon à tous ceux qui les ont précédés », y compris lui-même, qui avait commis au printemps 2003 un livre à charge (2).

    En effet, si Péan et Cohen ne ménagent pas le Le Pen intime, caractérisé selon eux par « un narcissisme exacerbé et un égocentrisme de tous les instants » ainsi que par « une propension à tout détruire » et « une relation trouble à l’argent », ils font litière des accusations justifiant la « légende noire » entretenue à plaisir depuis près de trente ans par des journalistes aussi suivistes que négligents dans la recherche des preuves. Ils jugent ainsi, on l’a vu, invraisemblable que le jeune député engagé au 1er REP ait torturé en Algérie (qui imagine d’ailleurs l’armée confiant une pareille tâche à un civil, de surcroît député, fût-il provisoirement enrôlé dans la Légion ?). Ils reconnaissent aussi que les témoins FLN convoqués aux différents procès intentés par Le Pen à Michel Rocard et au Monde notamment (diffamateurs relaxés en raison de leur « bonne foi ») étaient de faux témoins et que la très tardive exhibition d’un « poignard SS » avec lequel le jeune député aurait soumis ses supposées victimes à la question relève du montage. De même, s’ils soulignent sa fidélité aux « vaincus de l’histoire », ils n’y voient pas la preuve d’un antisémitisme viscéral et primaire (qui, ainsi que son racisme tant de fois incriminé, « relève de la provocation plus que de l’intime conviction »). Enfin, ils exonèrent aussi celui qui était alors le président du Front national de toute responsabilité dans la profanation de Carpentras ainsi que dans la rixe qui se produisit en 1995 en marge d’un défilé du FN et à l’issue de laquelle le Marocain Bouarram, jeté, ou tombé, dans la Seine, s’y noya. En revanche, ils sont très sévères pour la gauche en général et François Mitterrand en particulier qui, tout en instituant la proportionnelle qui devait mécaniquement amener le Front national à la Chambre, instrumentalisait simultanément SOS Racisme pour sataniser Le Pen et interdire ainsi toute entente entre les « fascistes » et la « droite républicaine » dont François Léotard, l’une des têtes d’affiche, était l’un des parrains de SOS Racisme. Cette stratégie, ou plutôt cette tactique réussit parfaitement puisque ses effets perdurent aujourd’hui encore.

    Le boomerang de la diabolisation

    En somme, Péan et Cohen prennent sur les plans historique et politique l’exact contrepied des confrères qui ont si longtemps, et qui pour la plupart persévèrent, à colporter des contre-vérités, avec pour seul résultat de « congeler » autour de Jean-Marie Le Pen ceux de ses compatriotes qui refusent la bien-pensance, et donc de « faire de lui une sorte d’épicentre de la vie politique récente ».

    Ce cruel constat de son aveuglement sectaire et de son propre échec, c’est bien ce que notre moutonnière mais arrogante gent journalistique reproche le plus aux auteurs de Le Pen, une histoire française, même si leur livre est un mauvais coup porté au Front national et plus largement au mouvement national.

    Camille Galic
    3/12/2012

    Philippe Cohen et Pierre Péan : Le Pen, une histoire française, éd. Robert Laffont 2012, 540 pages.

    Notes :

    (1) Patrick Cohen avec Jean-Marc Salmon, 21 avril 2002 : Contre-enquête sur le choc Le Pen, Denoël 2003, 356 p.
    (2) Gilles Bresson et Christian Lionet, Le Pen, biographie, Ed. du Seuil 1994.

     

    Correspondance Polémia – 7/12/2012

     

  • Journal de Syrie 8 décembre 2012


    Journal de Syrie 08.12.2012 par MyriamBloch

    * Yurt: Des éléments d'al-Qaïda fabriquent des gaz toxiques à Gaziantep et menacent de les utiliser contre le peuple syrien video (http://youtu.be/VBSMgHvW8Ac)
    * Dans une nouvelle démonstration sur son soutien aux terroristes en Syrie, le Qatar envoie des Pakistanais pour joindre les gangs terroristes
    * Le Figaro: Les terroristes d'Al Qaeda visent à établir un Emirat islamique en Syrie
    * Attentat terroriste près de la mosquée de Qoba' dans le quartier d'al-Incha'at à Homs, faisant nombre de victimes
    * Armes et munitions saisies et des terroristes d'al-Nosra liquidés dans plusieurs régions syriennes

    Enregistré de officielle syrienne Tv Channel, par https://www.syrianfreepress.net , https://www.facebook.com/Tg24Siria

    Source :

    http://www.youtube.com/watch?v=HpPkCY3YA0o&feature=g-subs-u

    Regardez la vidéo jusqu'à la fin

     

  • Une délégation du FPÖ à l’Assemblée nationale à Paris rencontre Marion Maréchal-Le Pen

     

    8 décembre 2012

    Une délégation du FPÖ à l’Assemblée nationale à Paris rencontre Marion Maréchal-Le Pen
     
     

    08/12/2012 – 10h00
    PARIS (NOVOpress/Site de Lionel Baland) –
    Le président du FPÖ (Freiheitliche Partei Österreichs, Parti autrichien de la liberté), Heinz-Christian Strache a visité ce vendredi 7 décembre 2012, avec une délégation de son parti, l’Assemblée nationale à Paris.

     

    Le FPÖ, qui a été dirigé dans le passé par le défunt Jörg Haider, est arrivé en deuxième position lors des dernières élections présidentielles autrichiennes en 2010 et a été aussi la deuxième force politique lors des dernières municipales à Vienne, également en 2010.

    Sur la photo ci-dessus : le Député européen FPÖ Franz Obermayer, le président du FPÖ Heinz-Christian Strache, le Député Front national Marion Maréchal-Le Pen, le chef de file des élus FPÖ au sein du Parlement du Land de Vienne Johann Gudenus.

    Crédit photo : DR.

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Droit de vote des étrangers: Noah, Béart, Lévy et Renaud lancent un appel à Hollande !

     

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    «Nous n'attendrons plus». Alors que le droit de vote aux étrangers a du plomb dans l'aile, 150 personnalités, chanteurs, acteurs, intellectuels, interpellent le , qui avait fait de ce droit une promesse de campagne.

     
     

    , Jeanne Moreau, Bernard-Henri Lévy, Emmanuelle Béart ou encore Renaud ont signé cette pétition lancée par SOS-Racisme et rendue publique samedi sur le site du Huffington Post. Ils y réclament que «tous les citoyens» puissent «voter aux élections locales de 2014» au nom du principe d'égalité.

    «Notre idéal républicain, fondé sur l'égalité de tous les citoyens de la République, quelle que soit leur nationalité, ne souffre d'aucun compromis», insistent les signataires. Selon eux, la reconnaissance «de ce droit constituera un signal fort d'intégration», et devrait permettre de faire reculer «le racisme et la xénophobie qui tirent leur force de cette infériorité de statut maintenant les résidents étrangers en marge de la démocratie».

    La France, soulignent-ils encore, «est à la traîne puisqu'elle fait partie des 10 pays qui n'accordent aucun droit politique aux nationaux des Etats - tiers, sur les 27 Etats-membres que compte l'Union Européenne».

    Les élus de gauche mobilisés

    Face au débat suscité dans l'opinion et tandis que l'opposition appelle le gouvernement à renoncer au projet, des élus de gauche se mobilisent. Une pétition nationale, lancée fin octobre par le député PS Jean-Christophe Cambadélis, presse le président de la République de concrétiser la proposition n°50 de son programme de campagne. Avant cette pétition, 75 députés socialistes avaient déjà lancé en septembre un appel solennel François Hollande dans une tribune du «Monde» intitulée «Le droit de vote des étrangers aux élections, c'est maintenant».

    Car depuis l'élection présidentielle, la promesse a viré au casse-tête pour l'exécutif. Beaucoup, dans l'entourage du chef de l'Etat, estiment en effet que la mission est impossible car la loi nécessite une retouche dans le marbre constitutionnel, et donc un vote des trois cinquième du Parlement. Ce qui signifie le soutien d'une trentaine de députés de droite, alors même que le centriste Jean-Louis Borloo, partisan de la mesure, vient de faire volte-face.

    Mi septembre, François Hollande avait expliqué qu'un projet de loi serait présenté en 2013, pour les élections municipales de 2014. Un calendrier sur lequel Najat Vallaud Belkacem a émis des doutes. «Aujourd'hui il est prématuré de parler d'un calendrier, y compris pour répondre sur la question de 2014», faisait savoir la porte-parole du gouvernement un mois plus tard.

    LeParisien.fr - 08/12/12

    Quelle HAINE de la France !

  • Un homosexuel fait cuire la tête de son ami après l'avoir tué...

    Un homme de 44 ans a été condamné vendredi à Berlin à trois ans et trois mois de prison pour avoir tué son compagnon puis fait bouillir sa tête.Les deux hommes s'adonnaient de manière consentante à des jeux sexuels sadomasochistes.

    Il a tué son partenaire lors de jeux sexuels sadomasochistes puis fait bouillir sa tête. Cet homme de 44 ans a ainsi été condamné vendredi à Berlin à trois ans et trois mois de prison, selon l'agence de presse allemande dpa.

    Le parquet avait réclamé la prison à vie contre ce chômeur, poursuivi pour la mort de son compagnon, un employé de banque de 37 ans. Les juges se sont montrés cléments dans la peine prononcée, estimant que les deux hommes s'adonnaient de manière consentante à des pratiques dangereuses.

    Les restes du cadavre découverts 4 semaines plus tard

    Selon le juge Peter Faust, cité par dpa, les deux hommes qui s'étaient connus sur internet, s'aimaient. Le 5 janvier 2012, le Berlinois avait attaché son partenaire consentant à un lit et lui avait notamment scotché la bouche et le nez.

    A la suite de la mort de l'employé de banque, dont la cause n'est pas spécifiquement détaillée, le Berlinois avait découpé le corps en morceaux et fait bouillir le crâne. Les restes du cadavre avaient été découverts quatre semaines plus tard par la police, après que le meurtrier eut tenté de se suicider.

    Les deux hommes avaient par le passé déjà pratiqué ces jeux sadomasochistes qui avaient alors seulement entraîné la perte de conscience de l'employé de banque. Les juges ont estimé que l'accusé avait apparemment mal évalué la situation le soir du décès, alors que son partenaire se trouvait dans un état inconscient. L'accusé, qui était coutumier de ces pratiques, avait des partenaires qui ne s'étaient jamais plaints qu'il eut dépassé la limite, ont relevé les juges.

    TF1 - 08/12/12

  • Un chandelier géant pour Hanouccah à Paris

    Lire: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-chandelier-geant-pour-Hanouccah-a-Paris-15296.html

    Lire également les commentaires

     

     

  • Manifs contre le "mariage pour tous"

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  • Les manifs anti-mariage gay se multiplient: des milliers de personnes dans la rue

    Contre le mariage homosexuel, le collectif des «manifs pour tous» a organisé ce samedi des défilés à Reims, Lille, Nancy, Bordeaux et Le Mans, avant une nationale prévue à  pour le 13 janvier. Cette association, qui se proclame «apolitique et aconfessionnelle», dénonce le projet de loi Taubira de «mariage et d'adoption pour tous, qui instaure une filiation sociale (.                              

      ..) et prépare l'ouverture de la procréation médicalement assistée pour tous et (...) la légalisation de la gestation pour autrui».

    Reims ouvre les hostilités (sic)

    Réunis devant l' de ville de Reims dans la matinée, entre 250 et 500 manifestants ont brandi des pancartes proclamant : «Papa + maman, y' a pas mieux pour un enfant» ou «tous nés d'un père et d'une mère». Dans l'après-midi, à Lille, ils étaient entre 3 500 et 8 000 personnes, arborant des T-shirts représentant le même dessin de deux personnes de sexes opposés tenant deux enfants par la main. Au point de départ du cortège, une cinquantaine de contre-manifestants ont crié leur indignation face à l'«homophobie» des opposants aux unions entre personnes de même sexe.

    Plus nombreux à Bordeaux, ce sont entre 7 et 20 000 opposants au mariage gay et entre 2 500 et 3 000 favorables à cette union qui ont défilé. Les deux cortèges ont parcouru les rues sans heurt sur deux parcours distincts du centre-ville de Bordeaux, les premiers partant de l'immense esplanade des Quinconces, les seconds du Parvis des Droits de l'Homme, situé devant le palais de justice et à proximité de la mairie, le tout sous une forte surveillance de gendarmes mobiles et CRS.

    Dimanche 9 décembre, une autre manifestation aura lieu à Saint-Denis de la Réunion.

     

    Des manifestations très encadrées

    Dans ce qui ressemble à un vade-mecum du manifestant, les porte-parole du collectif, dont l'humoriste Frigide Barjot, «demandent instamment aux participants de ne répondre ni aux provocations, ni aux journalistes, sauf par de grands sourires». Ils ajoutent qu' afin de «prévenir toute récupération, tout dérapage, toute intrusion et assurer la sécurité des familles et des manifestants, toutes les banderoles et les pancartes autres que celles autorisées (...) seront retirées du cortège, ainsi que leurs éventuels porteurs récalcitrants».

    Le texte donne sur un ton humoristique la ligne à suivre en cas de manifestations simultanées favorables au mariage pour tous, par exemple en cas de kiss-in, «d'irruption de (militantes féministes) Femen en petite tenue» ou «d'irruption de Caroline Fourest».

     

    Lors d'une première manifestation le 17 novembre, plus de 100.000 opposants selon la police - plusieurs centaines de milliers selon les organisateurs- avaient déjà battu le pavé à Paris et en Province.

    L'Agence française de l'adoption «inquiète»

    La directrice générale de l'Agence française de l'adoption (AFA), Béatrice Biondi, s'était inquiété jeudi du devenir des couples homosexuels qui vont être autorisés par la loi à adopter mais qui, dans les faits, ne trouveront pas de pays étrangers prêts à accepter leurs dossiers. L'AFA n'a identifié que trois pays auxquels elle pourrait transmettre les dossiers de couples homosexuels : l'Afrique du Sud et quelques états du Brésil et des Etats-Unis.

    L'AFA redoute qu'un certain nombre de pays décident de fermer progressivement l'adoption aux célibataires. «La Russie, par exemple, est très attentive au suivi des enfants adoptés», a souligné Mme Biondi. Si le pays découvre que des homosexuels adoptent en célibataire puis se marient, «cela pourrait entraîner des questionnements autour de la dissimulation d'informations», a-t-elle relevé.

     

    LeParisien.fr - 08/12/12 

  • Paris : un chandelier à sept branches à la place de la crèche de Noël !

     

    Une religion chasse l’autre…

    A l’heure où les marchés de Noël sont rebaptisés « Marchés d’Hiver », où les sapins sont supprimés, un chandelier à sept branches va être installé dimanche soir, sur le Champ de Mars, pour lancer les célébrations de Hanoucca, la « fête juive des lumières » qui se poursuit jusqu’au 16 décembre. Alors même que le maire de Paris refusait les années précédentes les crèches de Noël sur les marchés, sous le prétexte de la laïcité. On espère juste qu’avec cette précision nos con-citoyens ne confondront pas avec la fête des lumières lyonnaise qui est dédiée à la Vierge Marie…

    Ce chandelier sera allumé par le grand rabbin de France, Gilles Bernheim « en présence de personnalités communautaires et nationales« . Laïcité, quand tu nous tiens !

    Contre-info.com

  • Ignoble! Nantes : une jeune femme handicapée tabassée

    07H23

     

    Les faits se sont déroulés mardi soir à proximité de Nantes, en Loire-Atlantique.

    Aux environs de 23H30, une jeune femme en fauteuil roulant est sortie dehors pour prendre l'air, lorsqu'elle a subi une violente agression.

    Selon Presse Océan, deux individus ont surgi et l'on fait tomber, avant de lui demander une cigarette.

    Devant le refus de cette dernière, les deux agresseurs l'ont roué de coups.

    La victime, âgée de 34 ans, s'est vue prescrire 15 jours d'ITT.

     
    Faits Divers