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  • Prora, le colosse nazi, reprend vie sur l'île de Rügen

    http://www.levif.be/actualite/international/prora-le-colosse-nazi-reprend-vie/article-normal-358101.html

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  • Le musée de la colonisation de la France, par Renaud Camus

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    Le 16 décembre 2014
    Le musée de la France coloniale est devenu musée de la France colonisée.
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    Il arrive que les gens soient tellement à gauche qu’ils se retrouvent à l’extrême droite. Il arrive aussi qu’à force de mentir, et de mentir sur leurs mensonges, d’autres, ou les mêmes, en arrivent à dire la vérité, par inadvertance. C’est la fameuse histoire juive :
    « Pourquoi me dis-tu que tu vas à Lvov pour que je croie que tu vas à Varsovie, alors qu’en fait tu vas à Lvov ? »

    En matière de vérité, j’ai toujours cru à l’architecture — disons plus modestement : aux bâtiments. Je pense, par exemple, que parcourir la campagne française, et considérer les édifices subsistants, en dit plus sur la réalité de la vie rurale au XVIIIe siècle, mettons, que trois cents volumes d’historiens spécialistes de la période.

    Bien entendu, il faut garder en tête que les édifices les plus pauvres, les moins bien construits, ont disparu en plus grandes proportions que les autres. N’empêche, qu’apprend-on ? Que la France rurale était assez peu « rustique », dans l’ensemble, et plus opulente que misérable. Que la France paysanne représentait une population si nombreuse, et si diversifiée socialement, qu’elle ne constituait pas une classe – la paysannerie – mais une société presque complète à elle seule, où presque toute les classes étaient représentées, la bourgeoisie de campagne (à son aise et relativement instruite, relativement au fait des évolutions stylistiques) n’étant pas la moins nombreuse. Certes, il faut tenir compte des périodes, des régions. Il reste que l’architecture parle, et je lui fais plus confiance qu’à l’idéologie. Or, nous n’avons plus guère d’histoire qu’idéologique.

    Prenons maintenant le musée d’Histoire de l’immigration, « inauguré » hier après sept ans d’ouverture — il est écrit que tous les mots mentent, en cette affaire. Il est installé dans un bâtiment superbe, sorti de terre en 1931 comme musée des Colonies et dûment décoré comme tel, car on y voit partout une France triomphante apportant sa civilisation aux peuples de son empire. Durant les trois quarts de siècle de son histoire, on a forcé cet édifice, selon les nécessités politiques du moment, à dire tout et n’importe quoi, y compris les choses les plus contraires à son message originel. C’est au point qu’il avait fallu interdire certaines salles, parce que vraiment ce n’était pas possible, elles eussent fait scandale. Dans son état pénultième, le musée exposait la grandeur des civilisations bousculées et soumises un moment par la France, puis profondément aimées et admirées par elle, par ses artistes et ses poètes : arts africains & océaniens.

    L’actuelle « Cité » (encore un de ces mots menteurs, qui n’ont d’autre but que d’intimider) fait tourner de quelques degrés de plus la manette de renversement de la vérité originelle du bâtiment. Elle est d’ailleurs le lieu de tous les mensonges et amalgames coutumiers sur le sujet de l’immigration : les immigrés ont fait la France (sa mode, sa peinture, sa littérature, son industrie, son patrimoine bâti, sa cuisine, bientôt ses paysages, sans doute…) ; nous sommes tous des immigrés ou des descendants d’immigrés ; et bien sûr, la France a toujours été un pays d’immigration, sans la moindre solution de continuité, de sorte que la situation actuelle n’a rien d’exceptionnel, il n’y a pas de quoi s’affoler, ce n’est que la suite de ce qui s’est toujours produit — en somme ce qui arrive n’arrive pas.

    Malheureusement pour eux, les menteurs vont trop loin : à force de renverser la vérité, ils renversent leur renversement et ils la remettent sur ses pieds. Le bâtiment se venge, et par un joli coup d’État épistémologique il redevient ce qu’il a toujours été, et même un peu plus. Le musée de la France coloniale est devenu musée de la France colonisée. Il s’agit toujours de colonisation, mais cette fois plus justement, plus profondément qu’avant : car la vraie colonisation, ce n’est pas la conquête militaire et politique, impériale ; c’est la submersion démographique, le changement de peuple et de civilisation.

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

  • ... Et 5 milliards d'euros pour les banlieues défavorisées !

    http://www.fdesouche.com/545585-hollande-detaille-plan-relancer-les-quartiers-defavorises-5-milliards-deuros

    On nous aurait caché que la France était riche quand il s'agissait du Grand Remplacement?

  • L’UKIP a créé son parti européen

    mardi 16 décembre 2014

     

     

    L’Ukip annonce avoir créé un parti européen, l’Alliance pour la démocratie directe en Europe (ADDE).

    Pour créer un parti européen il faut rassembler des élus d’au moins un quart des pays de l’UE. Donc 7. C’est pourquoi le parti européen de Nigel ne compte que 21 membres de l’Ukip sur 27…

    L’intérêt du parti européen est qu’il bénéficie d’un financement substantiel de l’UE. L’ADDE devrait recevoir 1,25 million d’euros l’an prochain, et sa fondation, Initiative pour une démocratie directe en Europe, 730.000 euros.

    La création de ce parti fait des remous au sein de l’Ukip. Car en 2011 il y avait eu un référendum interne qui avait donné une large majorité de non à l’affiliation de l’Ukip à un parti européen.

    Mais, comme le dit Roger Helmer :

    « Si nous ne prenons pas l’argent, il ne retournera pas aux contribuables. Il ira simplement aux autres fondations, celles qui s’engagent à poursuivre l’intégration européenne… Nous pensons que s’il y a des ressources disponibles, nous voulons les obtenir. Nous le faisons afin de libérer un peu de cet argent qui, sinon, irait à des organisations intégrationnistes. »

    Certains prétendent qu’un parti politique européen doit prôner l’intégration et que tous les partis européens sont dans ce cas.

    Ce n’est pas vrai. Le parti européen doit respecter les libertés fondamentales, la démocratie, les droits de l’homme, l’Etat de droit, à savoir "les principes sur lesquels est fondée l'UE", mais pas l'UE elle-même. Il y a déjà, depuis 2012, un parti européen qui est constitué de partis farouchement opposés à l’intégration européenne, c’est l’Alliance européenne des mouvements nationaux (AEMN), dont faisait partie le Front national jusqu’à l’année dernière, quand Marine Le Pen, imposant son diktat à Bruno Gollnisch et à son propre père, a décidé que ces gens-là n’étaient pas respectables et qu’il fallait créer un autre parti, qui n’a toujours pas vu le jour.

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Russie : Mini-krach sur le rouble (Màj : nouvelle chute de 20%, la Russie bascule dans la panique)

    21h57

    L’effondrement du rouble tournait au carnage mardi avec un plongeon de plus de 20%, l’euro dépassant le seuil inédit de 100 roubles, inimaginable quelques heures auparavant. Le dollar est monté à 80 roubles.

    La spectaculaire hausse des taux annoncée plus tôt par la Banque centrale pour défendre la monnaie russe, portant à 17% le taux directeur, n’a pas réussi à endiguer l’hémorragie.

    Suite, vidéos et commentaires sur Fortune

    FDS

  • Suisse : Des oreilles de porc pendues à la porte d’une école de langue arabe

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    Latifa Housni-Pouly

     

    0h06

    Les faits remontent à une semaine, un jour avant l’inauguration officielle de la structure. En arrivant devant son établissement, situé à la Grand-Rue, Latifa Housni-Pouly a découvert des oreilles de porc fraîches accrochées à la porte d’entrée.

    «Elles étaient reliées avec de la ficelle, c’était très choquant, explique cette mère de deux enfants, habitant depuis 2003 à Orbe. Je les ai tout de suite enlevées et cachées pour que les enfants ne les voient pas.» Elle ne parle de sa macabre découverte que quelques heures plus tard à l’un de ses bénévoles. Ce dernier l’encourage à aller dénoncer cet acte à la police, ce qu’elle fait, sans toutefois déposer une plainte.

    «Un acte de xénophobie scandaleux», aux yeux du municipal Pierre Mercier, responsable des Affaires sociales et de la Police. L’élu n’y est pas allé de main morte dans le journal L’Omnibus de vendredi, dénonçant cet acte. «Ça m’a choqué. Quand j’ai entendu dans la rue que la création de l’école faisait jaser, j’ai voulu écrire une mise au point pour éviter les amalgames, d’autant que beaucoup d’habitants ont été touchés en apprenant par les médias qu’un jeune d’Orbe est parti faire le djihad.» (…)

    Cet acte s’ajoute à une liste de gestes semblables sur des édifices religieux, dont les tags sur le chantier de la mosquée de Payerne et l’incendie d’une autre à Saint-Gall dernièrement. «Les gens mélangent tout. A Orbe, il s’agit d’un acte contre une école, qui, en tant que telle, n’a rien à voir avec la religion, souligne Pascal Gemperli, de l’Union vaudoise des associations musulmanes, abattu par cette énième attaque envers sa communauté. Il faut dénoncer ces cas et garder son calme. On peut débattre de tout, mais certains n’osent pas critiquer ouvertement.»

    24 heures

    FDS

  • Zemmour / « déportation des musulmans » : « le mot déportation n’a pas été prononcé durant l’entretien » (MàJ + vidéos)

    http://www.fdesouche.com/545581-melenchon-accuse-zemmour-vouloir-deporter-les-musulmans

     
  • Les islamistes massacrent des enfants dans une école au Pakistan

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    16/12/2014 – PESHAWAR
    141 personnes, en majorité des écoliers, sont mortes dans l’attaque d’une école militaire par des islamistes à Peshawar.

    L’assaut a été revendiqué par les taliban du TTP, un mouvement islamiste dont les bastions se situent dans les zones tribales du nord-ouest du Pakistan. Le porte-parole du mouvement, Muhammad Khurasani, a expliqué que “cette attaque est une réponse à l’offensive Zarb-e-Azab, à la vague d’assassinats perpétrée contre les taliban et au harcèlement de leurs proches”. Il a ajouté avoir mené cette attaque “après une enquête qui a indiqué que les enfants de plusieurs hauts responsables de l’armée étudient dans cette école”.

    La majorité des enfants ont été tués d’une balle dans la tête, a précisé le ministre provincial de l’Information Mushtaq Ghani.

  • Révélation de Closer : le compagnon de Florian Philippot se dit «menacé de mort»

     

    Home ACTUALITE Société

      • Par lefigaro.fr
      • Mis à jour le 16/12/2014 à 18:20
      • Publié le 16/12/2014 à 17:32

     

    Dans une lettre ouverte publiée sur Rue89, l'ami journaliste du vice-président du Front national estime que son image est marquée «de façon indélébile» au sein de sa profession.

     
     

    «Je ne suis pas de ceux qui aspirent à être connus. Certains cherchent la lumière, d'autres pas, et il est important de respecter ce choix.» Dans une lettre ouverte publiée ce mardi par Rue89, le compagnon de Florian Philippot s'adresse à la directrice de la rédaction de Closer, Laurence Pieau, lui faisant savoir qu'il est désormais la cible de menaces de mort. En cause, les révélations du magazine people: dans le numéro de vendredi dernier apparaissent en effet sur quatre pages des photos de Florian Philippot en week-end à Vienne en compagnie de son partenaire, un «journaliste de télévision».

    «Ce qui est un problème, madame Pieau, c'est qu'en m'utilisant pour illustrer l'homosexualité de Monsieur Philippot, (...) vous saviez que je serais victime collatérale. Victime non pas d'outing, mais d'amalgames que vous initiez», déclare celui qui signe sous le pseudonyme Tyto Alba. «Quant à l'anonymat que vous m'avez offert, pour des raisons, je l'imagine, bien plus juridiques qu'altruistes, il est tout relatif», estime le journaliste. Ce dernier apparaît en effet flouté sur les photos de Closer, mais il remet en cause la qualité de ces flous qui laissent entrevoir ses traits.

    «Il vous faudra sans doute un suicide pour que vous compreniez»

    «Dès lors, il apparaissait inévitable que je sois la cible de menaces de mort, d'une chasse à l'homme venant s'ajouter à la violence de cette exposition. Et que mon image soit marquée de façon indélébile au sein de ma profession», poursuit le journaliste, qui rappelle que ses sensibilités politiques ne doivent en aucun cas être associées avec celles du parti frontiste.

    Dénonçant avec ironie l'hypocrisie avec laquelle la directrice de la rédaction de Closer a justifié la publication de ces clichés, le journaliste conclut: «Avant de retourner dans l'anonymat auquel j'aspire, j'ai une dernière chose à vous dire. La vie personnelle stable et rangée dont je bénéficie m'est indispensable pour surmonter une épreuve aussi lourde. Il vous faudra sans doute un suicide pour que vous compreniez. Par chance pour vous, ça ne sera pas le mien.»

    Sollicitée par l'Agence France-Presse, Laurence Pieau s'est refusée à tout commentaire. De son côté, Florian Philippot a déjà fait savoir qu'il allait porter plainte contre le magazine people.