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  • Les Italiens s’opposent en masse à la présence des immigrés

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    21h36

    Né dans la périphérie de Rome, le mouvement s’oppose à la présence des immigrés.

    «Droit au logement, droit au travail, nous ne les avons pas, ils ne les auront pas.»

    C’est le nouveau slogan scandé en Italie du Nord au Sud, de la péripherie de Naples à Bergame, en passant par Bologne et bien d’autres villes encore. Mais c’est dans une paisible banlieue romaine que tout a commencé, à Tor Sapienza, avec, début octobre, une première manifestation regroupant 200 personnes protestant contre l’ouverture d’un centre d’accueil pour immigrés. Le 15 novembre, ce sont près de 5.000 personnes qui protestaient dans le centre de Rome pour demander un plus grand contrôle de l’immigration et plus de sécurité.

     

    Antonio Castronovi habite Tor Sapienza. Lorsque, en novembre, il observe ses voisins manifester avec violence contre la présence d’un centre pour réfugiés, il est frappé. Non pas par les insultes racistes –«sales nègres on va vous brûler»–, ni par les menaces de mort adressées aux réfugiés politiques barricadés dans le centre d’accueil. Ce qui a choqué l’auteur de Le periferie nella città metropolitana («Les banlieues dans la ville métropolitaine»), c’est l’expression désespérée d’un besoin de revanche sociale:

    «On reproche à ces immigrés leur position de privilégiés.»

    Ce sentiment d’infériorité par rapport au dernier arrivé est partagé par les riverains des banlieues les plus dégradées de la ville. Comprendre comment cette ancienne bourgade communiste s’est transformée en théâtre de violentes protestations virant au racisme, et en terrain d’infiltration du mouvement d’extrême droite Casapound, c’est mettre un doigt sur la fragmentation géographique et sociale des banlieues. Si, dix ans après la France, l’Italie s’apprête à vivre sa crise des banlieues, les manifestations et les causes du malaise sont loin d’être similaires….

    Source

    Merci à capou

    FDS

  • Incendie du ferry Norman Atlantic : la soprano Dimitra Theodossiou témoigne de violences sur des femmes et des enfants. Des clandestins à bord ?

     

    14h11

    Addendum : Les autorités italiennes et grecques sont toujours à la recherche de disparus après le bilan donné hier soir. L’inquiétude grandit puisqu’il manquerait plus de 40 personnes. La liste des passagers est comparée avec celle des rescapés, mais la présence de clandestins est déjà évoquée.

     

    TF1

     


     

    Le parquet de Bari (Sud-Est de l’Italie), l’une des deux villes à avoir accueilli les naufragés du Norman Atlantic, a ouvert une enquête pour naufrage et homicides involontaires, après l’incendie qui s’est déclaré à bord du ferry dimanche 28 décembre. On dénombre officiellement dix victimes ce lundi soir, mais les médias évoquent aussi des dizaines de disparus. 427 passagers ont été sauvés.

    En outre, d’après plusieurs témoins, l’alarme aurait été lancée en retard, lorsque les cabines étaient déjà envahies de fumée. Et l’organisation des premiers secours à bord aurait été très chaotique. Des hommes auraient même frappé des femmes pour être secourus avant elles, soutient la soprano grecque Dimitra Theodossiou qui se trouvait parmi les passagers. Selon les premiers témoignages rapportés par les médias italiens, l’équipage n’était pas entraîné pour une évacuation et il était impossible de mettre les chaloupes à la mer. « Une seule a pu être mise à l’eau », a raconté un témoin non identifié interrogé par une chaîne de télévision italienne. RFI

    Son interview dans la presse italienne est plus explicite :

    « Il y avait des hommes, irakiens, turcs, pakistanais qui étaient sur le navire et qui avaient été mis en bas pour permettre aux secours de donner la priorité aux enfants, aux personnes âgées et aux femmes, mais eux ont grimpé et ils tapaient. » firenze.repubblica.it

    Sur RFI : Des hommes auraient même frappé des femmes pour être secourus avant elles, soutient la soprano grecque Dimitra Theodossiou qui se trouvait parmi les passagers.

  • Paris islamisé : rue Morand, à l’heure de la prière

     

    19h32

    Je sors du métro, station Belleville. Belleville, ou ce qu’il en reste. Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le « génocide par substitution ».

    Si je suis là, en ce vendredi, c’est pour voir et pour témoigner. Les « prières de rue » – dossier classé au ministère de l’Intérieur – subsisteraient dans le XIe arrondissement. Puisqu’il ne faut rien attendre des médias officiels – seuls Riposte laïque, le Bloc identitaire et quelques blogueurs se sont penchés sur la question –, je me ferai une opinion de visu.

    Rues Louis-Bonnet, de l’Orillon, puis Morand. Rue grise et poisseuse. Je marche vers la mosquée Omar – « haut lieu du salafisme » selon les services spécialisés – au numéro 2. Rien. Je suis peut-être en avance. Afin d’observer l’endroit en toute discrétion, je me poste dans une entrée d’immeuble, à vingt mètres.

    Les fidèles convergent lentement et régulièrement vers la mosquée. Jeunes, vieux, hommes (certains en djellaba), femmes (niqab de rigueur) s’engouffrent dans le petit bâtiment blanc et vert. Ils ont leur tapis de prière dans un sac en plastique ou dans la main. Une demi-heure s’écoule, et toujours pas d’attroupement ostensible.

    Progressivement, un petit groupe se forme au bas du temple ; puis des hommes commencent à piétiner aux alentours. Soudain, un vieillard emmitouflé s’installe dans l’espace où je me crois dissimulé, et déplie un petit tabouret. Bientôt, un autre homme aborde mon observatoire ; il étend un carton au sol. J’engage avec lui la discussion. Bourru mais affable, il se met à m’expliquer que la mosquée est trop petite pour accueillir tout le monde, malgré ses trois étages. Je lui demande combien de personnes viennent prier (quelques centaines ?). « Oh, beaucoup plus », me répond-il ; et d’un geste de la main, il englobe toute la portion de rue que nous voyons pour me signifier que « ça viendra jusque-là ».

    En effet. À partir de 13 h 30, la foule occupe un bon tiers de la rue. Il y a là pas moins de trois cents hommes.

    Je vois passer un costaud avec une grosse pile de cartons sur l’épaule, qu’il déploie sur la chaussée un peu plus loin. Nous sommes maintenant cinq dans la petite entrée où je fais toujours mine d’attendre ; personne ne semble faire attention à moi. L’homme bourru s’inquiète de laisser un espace pour la porte de l’immeuble. Mais des deux côtés du porche, le bitume est jonché de mains et de genoux ; pour sortir, il faudrait enjamber la barrière donnant sur la route. Moi-même, je suis assigné là, piégé dans une rue de Paris. La prière commence. « Allahou Akbar » résonne dans la ville, entre silences et murmures… L’intensité de la dévotion est palpable.

    À 14 h 15, la foule se redresse et se disperse rapidement. Mon interlocuteur provisoire me glisse : « La prière a pris cinq minutes de retard aujourd’hui ». Comme pour se justifier. Puis il me tourne le dos et s’éloigne. Quant à moi, j’ai vu.

    Bd Voltaire

    Merci à Gaspaar

    via FDS

  • Italie : scandaleuse Crèche dans une boutique de Plaisance

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    le 29 12 2014                                                    

     
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    Voici ce qu’on pouvait lire sur le blogue italien No Cristianofobia le 26 décembre…

    Elle a été retirée mais seulement après avoir provoqué effet très prévisible et souhaité (…) : une “Crèche” blasphématoire avec deux Joseph, au lieu de l’original avec Marie, mise en vente dans une boutique d’un centre commercial à la périphérie de Plaisance (Piacenza).

    Quelle honte ! On croirait entendre le diable ricaner à toutes ces turpitudes. Si seulement ceux qui s’y livrent pouvaient imaginer l’éternité qu’ils se préparent… Prions à leurs intentions.

     

    Source : No Cristianofobia (26 décembre)

    OBSERVATOIRE DE LA  CHRISTIANOPHOBIE

     

     

     

     

     

  • Autriche : le Crucifix, le musulman et les Identitaires

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    Vous vous souvenez certainement de mon article du 24 décembre dernier sur le musulman heurté dans sa “sensibilité” qui avait scié un Crucifix à Groß-Enzersdorf (Basse-Autriche). Cet article avait été très lu sur notre blogue et atteint quelque 29 000 personnes sur notre page Facebook. Eh bien, cette histoire a une suite que me signale un lecteur en Autriche (Danke Peter !). Voici ce qu’il m’écrit…

    Suite à votre article (et des articles similaires dans notre presse locale), les militants du Mouvement identitaire du Waldviertel en Basse-Autriche [Identitäre Bewegung Niederösterreich] ont réérigé un crucifix [en fait une Croix, me semble-t-il, un Crucifix portant nécessairement une effigie de Notre Seigneur – dans la nuit du 25 au 26 décembre] au même endroit où se trouvait l’ancien crucifix (en face de la maison de l’Égyptien “irrité”, nommé dans l’article ci-dessous [par antiphrase] un « enrichissement culturel » [Kulturbereichernder]), et ont publié sur leur site Facebook une déclaration accusant le maire de la municipalité de Grossenzersdorf de sa lâcheté. Le crucifix (aussi publiée sur le site facebook), est toujours là ! Pouvez-vous nous soutenir et donner une couverture en France à cette “action choc” que nous Autrichiens avons appris de nos camarades français ? Nous allons bien sûr citer votre publication de manière appropriée. Merci !

    Voici qui est fait… Et félicitations pour cette belle réaction de nos amis Autrichiens.

    OBSERVATOIRE DE LA CHRISTIANOPHOBIE

  • C.D. FRIEDRICH (1774-1840)

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    Dolmen sous la neige ou Le tombeau du Hun (1807)

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    Promenade au crépuscule (Homme contemplant un mégalithe)

     

  • Camille Berthollet, une jeune violoniste de 15 ans, remporte le concours Prodiges avec l'Eté de Vivaldi


    Camille emporte l'émission "Prodiges" par puremedias

  • Disparition d'AirAsia: recherches suspendues pour la nuit, avion toujours introuvable

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    http://www.lefigaro.fr/international/2014/12/28/01003-20141228ARTFIG00009-un-avion-de-la-compagnie-air-asia-disparu-entre-l-indonesie-et-singapour.php

  • Florian Philippot sur Europe 1 Matin

    Toujours un plaisir que de l'écouter!

  • « Elle » accusé de faire la promotion d’une combattante ukrainienne néonazie

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    22h33

     

    Le magazine « Elle » dupé. Le 14 novembre dernier, l’hebdo féminin publiait dans ses colonnes un reportage à la gloire des combattantes ukrainiennes anti-séparatistes.

    (…) Parmi les photos, celle d’une combattante appelée Sveta, « 19 ans, secrétaire et engagée volontaire dans un groupe d’autodéfense », avait été placée en ouverture du reportage.  (…) Problème, des photos de cette même Sveta montrant sa proximité avec le néonazisme ont resurgi depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. Plusieurs internautes ont ainsi accusé « Elle » de faire la promotion des néonazis ukrainiens.

    Face à la polémique grandissante, le magazine a réagi par communiqué, confirmant que la jeune Sveta était en fait une « activiste d’extrême-droite ».

     

    « Suite à la publication le 14 novembre dernier dans notre magazine d’un reportage (…) traitant du rôle de femmes au parcours très divers dans le conflit à l’est de l’Ukraine, nous avons appris, fin décembre, qu’une des jeunes femmes, interviewée et photographiée, était une activiste d’extrême-droite, diffusant sur les réseaux sociaux des photographies faisant l’apologie du néo-nazisme » explique la rédaction de « Elle ». L’hebdo féminin se justifie : (…) aucun élément, aucun signe extérieur distinctif, aucune parole dans l’interview, ne laissait comprendre ce jour-là que cette jeune femme était néo-nazie ». Puis ajoute :

    « Le reportage s’est partiellement déroulé auprès d’une unité du Bataillon Aidar, une formation paramilitaire nationaliste d’environ 600 membres, rattachée au ministère de la Défense ukrainien, qui comprend dans ses rangs des combattants d’origine et d’obédience politique très diverses ».

    « La rédaction de ELLE a été choquée »

    Le communiqué conclut en condamnant « toute idéologie prônant la xénophobie, l’antisémitisme ou l’apologie du nazisme ». « La rédaction de ELLE ainsi que les deux journalistes ayant réalisé le reportage, ont été choqués d’apprendre, a posteriori, le véritable profil idéologique de cette jeune femme, et condamnent bien entendu toute idéologie prônant la xénophobie, l’antisémitisme ou l’apologie du nazisme », rappelle ainsi la rédaction de l’hebdomadaire.

    Source

    FDS

  • L'UMP pourrait s'appeler bientôt "Le Rassemblement"

    Faire table rase de l’UMP et reconstruire le parti sur de bonnes bases : c’est l’objectif de Nicolas Sarkozy, élu à sa tête le 29 novembre dernier. C’est dans cet esprit de rénovation que l’ancien chef de l’Etat cherche à rebaptiser l’UMP, rapporte LeMonde.fr. [...]

    « Le nouveau président n’aime pas les acronymes. Ce nom devra être un symbole du message que nous voulons faire passer aux Français et la preuve que le parti a évolué », résume Isabelle Le Callennec, porte-parole du parti.

    Nicolas Sarkozy, qui désire un nom court, pencherait pour « Le Rassemblement ». Dans l’idéal, le nouveau nom devrait être choisi avant les élections départementales de mars 2015 [...].

    Le Nouvel Obs’

    FDS

    Pour créer sans doute une confusion avec le "Rassemblement Bleu Marine " ?

    C'est pourquoi il faut garder le nom "FRONT NATIONAL "

  • Alain Finkielkraut : « L’Europe ne se définit plus par sa culture, mais par le respect des autres cultures, surtout celles qui ne la respectent pas »

    9h38

    Pour le philosophe et écrivain Alain Finkielkraut, auteur de « L’Identité malheureuse », la principale idée à retenir de 2014 se situe en fin d’année. Le fait pour l’éducation nationale d’exprimer sa volonté de supprimer le système de notation actuel illustre le maquillage – voire le déni-, d’une société qui courant à l’ignorance, juge plus commode de préférer la compétence technique au savoir.

    L’école se meurt, la France se meurt, et l’Europe ne se définit plus par sa culture, mais par le respect des autres cultures, au premier rang desquelles celles qui ne la respectent pas. Ce qui complète la catastrophe, la rend totale, c’est l’oubli organisé de la catastrophe. Il est interdit de regarder derrière soi, et nous préférons faire confiance aux associations bien pensantes.

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    L’idée forte de 2014 est à mes yeux, et ce de manière incontestable, la volonté exprimée quant à la suppression de notre système de notation à l’école. Comme le dit Michel Houellebecq dans Soumission, son roman à paraître, on ne peut plus dire aujourd’hui « Après moi le déluge », car le déluge c’est maintenant. [...]

    L’école, aujourd’hui, a de plus en plus de mal à transmettre le savoir. Dans la société actuelle, il n’est question que de communication -tout va très vite-, et l’école, au lieu de défendre sa spécificité dans un environnement qui lui est de plus en plus hostile, a encore une fois signé sa reddition, initiée par les réformes frénétiques qu’elle a accomplies depuis bientôt 40 ans. Elle s’aligne sur les normes, les valeurs des médias. Le résultat, c’est que le niveau s’effondre, et nous choisissons alors de maquiller cette faillite générale par la suppression des notes. Nous avons affaire à une ignorance massive, que nous préférons décomposer en une myriade de petites compétences. Ainsi, la suppression des notes est le village Potemkine de notre désastre scolaire. [...]

    Atlantico via Crif

     FDS

    UMPS + Immigration de masse = mort de la France

  • Allemagne. Élisabeth Humbert-Dorfmüller (PS) : « Une immigration massive devient de plus en plus indispensable »

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    10h33

    Pour Élisabeth Humbert-Dorfmüller consultante, spécialiste de l’Allemagne, l’immigration est indispensable à l’Allemagne. Elle a les nationalités française, allemande et grecque. Elle milite au PS depuis 2004. Elle est également engagée dans le parti social-démocrate allemand (le SPD), dont je suis la secrétaire de section pour les adhérents allemands résidant en France.

    Lire sa biographie

    Alors, pour éviter les situations de rejet, telles qu’elles se multiplient sur le territoire (manifestations anti-islamiques, regain de partis populistes, type AFD, querelles entre les régions, quant à la répartition des immigrés), pourquoi ne pas construire un grand nombre de foyers d’accueil de bonne qualité, proposer des cours d’intégration et de langue allemande à tous, et veiller à l’intégration scolaire des enfants d’immigrés dès leur entrée en territoire ?

     

    Face à une atonie européenne, la plus grande économie du continent conserve des marges de manœuvre importantes, et notamment une industrie vigoureuse, des recettes fiscales en croissance, et par conséquent une situation budgétaire totalement assainie.

    L’Allemagne pourrait donc investir davantage dans trois domaines : la transition énergétique, avec le développement nécessaire des énergies renouvelables ; les infrastructures, qui sont vieillissantes ; et l’éducation et la formation, où des lacunes existent également.

    En revanche, personne n’a encore songé à demander à l’Allemagne d’investir massivement dans l’accueil et la formation des immigrés, venant du monde entier. Certes, le pays accueille déjà un nombre important, puisque plus de 20 000 demandeurs d’asile ont obtenu une décision positive en 2013, ce qui fait de l’Allemagne le deuxième pays d’accueil en Union européenne, après la Suède (24 000), et la positionne largement devant la France (10 000).
    Mais le défi démographique devant lequel se trouve l’Allemagne est tel qu’une immigration massive devient de plus en plus indispensable. [...]

    L’immigration reste la seule possibilité pour le pays de garder un taux d’activité correct, et de faire face aux besoins croissants en personnel de soin pour personnes âgées. [...]

    Libération

    FDS