Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Législative dans le Doubs : Alain Juppé voterait socialiste

    Alain-Juppe-Credit-UMP-Photos-via-Flickr-cc.jpg

     

    03/02/2015 – BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux)
    Le maire de Bordeaux n’a finalement pas attendu la position officielle de l’UMP pour se prononcer sur le second tour de la législative partielle de dimanche dans le Doubs, qui opposera un candidat du Front national et un du Parti socialiste.

    Dans un article publié sur son blog, celui-ci apporte son soutien au Parti socialiste et appelle à faire « barrage au FN », qui est « notre principal adversaire politique ». « Si j’étais électeur de la 4ème circonscription du Doubs, je sais ce qu’en mon âme et conscience je ferais (…) je ne m’abstiendrais pas, je voterais pour le candidat PS ».

    Si la proximité d’Alain Juppé vis-à-vis du Parti socialiste est constante depuis plusieurs années, il n’en a pas toujours été ainsi. En 1990, le maire de Bordeaux, alors numéro 2 du RPR, avait décidé d’exclure Alain Carignon (maire de Grenoble) puisqu’il avait appelé à voter socialiste au second tour d’une élection partielle à Villeurbanne pour contrer le FN. « Nous n’avons pas du tout l’intention de faire la courte-échelle au Parti socialiste », s’était justifié l’ancien ministre, après avoir mis en congé le maire RPR (vidéo ci-dessous).

    Il faut dire qu’Alain Juppé n’était alors pas sur le même positionnement politique. A l’époque celui-ci souhaitait la « fermeture des frontières » , la « suspension de l’immigration » , « réserver certaines prestations sociales aux nationaux » et rappelait « l’incompatibilité entre l’islam et nos lois » .

    Lire la suite

  • Le pilote jordanien, brûlé vif dans une cage par l’État islamique

      

     

    03/02/2015 – SYRIE (NOVOpress)
    L’État islamique a revendiqué l’exécution sommaire et barbare du pilote jordanien qu’il avait pris en otage fin décembre 2014. Dans une vidéo diffusée mardi, les images montrent un homme portant une combinaison orange enfermé dans une cage, et des flammes qui consument ses vêtements jusqu’à ce qu’il devienne une boule de feu.

    L’armée jordanienne a promis de venger sa mort.

    Capture.PNG pilote jordanien.PNG

    Capture.PNG 2 pilote jordanien.PNG

  • 3 février 1917 : mort d’Edouard Drumont,

    journaliste, écrivain et homme politique.

    Presque aveugle, Edouard Drumont décède peu avant 20h dans sa résidence de Moret-sur-Loing, près de Fontainebleau, à l’âge de 72 ans.

    Outre de nombreux ouvrages consacrés à Paris (dont il était amoureux), ce brillant pamphlétaire est l’auteur d’une description de la société française au XIXe siècle : le « best-seller » La France juive (disponible ici), « livre magique » pour Georges Bernanos qui lui consacrera un ouvrage fameux : La Grande Peur des bien-pensants (disponible ici).
    La fin d’un monde (disponible ici) est aussi un maître-ouvrage d’Edouard Drumont, qui a, à notre avis, moins vieilli.
    Drumont fonda en 1892 et dirigea le journal La libre parole et fut un leader du camp nationaliste et antidreyfusard.


    Après avoir connu succès et notoriété, Drumont finira ses jours seul et démuni, alors que la France est toute tournée vers la ligne de front avec l’Allemagne.

    Drumont élu député

    Charles Maurras, dans son Dictionnaire politique et critique, dit que « la formule nationaliste est ainsi née presque tout entière de lui ; et Daudet, Barrès, nous tous, avons commencé notre ouvrage dans sa lumière. »
    Plus loin, Maurras ajoute : « Chroniqueur merveilleux, historien voyant et prophète, cet esprit original et libre s’échappait aussi à lui-même. Il ne vit point tout son succès. »
    Léon Daudet (dont le père Alphonse était un ami de Drumont) rendra un puissant hommage à l’écrivain dans son livret Edouard Drumont ou le sens de la race.

    Ecrits de Drumont et autour de lui ici.

  • Carlton: l'émouvant témoignage de Jade, une des prostituées

    L'une des quatre anciennes prostituées qui se sont constituées parties civiles dans le procès de l'affaire dite du Carlton a raconté comment elle avait été amenée à travailler avec René Kojfer, l'ancien chargé de relations publiques de l'hôtel, personnage central du dossier selon l'accusation.

     
     

    De notre envoyé spécial à Lille

    «J'ai ouvert mon frigo, il était vide, ou presque. Je me suis dit qu'il fallait que je me lance. J'ai répondu à une annonce, dans un journal. On m'a donné un rendez-vous avec un chauffeur. De trouille, je me suis trouvée indisposée, il a fallu s'arrêter sur une aire d'autouroute. Voilà comment j'ai mis le pied dedans».

    Jade (1) pleure à la barre du tribunal de Lille. L'huissière lui apporte un mouchoir en papier. La jeune femme est l'une des quatre anciennes prostituées qui se sont constituées parties civiles dans le procès de l'affaire dite du Carlton. En quelques mots, émue mais pas larmoyante, ferme mais jamais vipérine, précise mais nullement inconvenante, elle dit toute la détresse de ces femmes sans ressources - elle élève seule deux enfants -, éduquées mais sans travail stable - elle parle pourtant trois langues -, qui décident, contraintes et forcées, de vendre leur corps.

    Elle a commencé en 2007. Dès qu'elle a accumulé assez d'argent, elle se remet à la quête d'un emploi dans l'interim: «Je ne me suis jamais acheté des sacs ou des bottes de marque», précise-t-elle. Puis elle replonge dans cet univers glauque. C'est ainsi qu'elle échoue dans l'un des clubs belges de Dodo la Saumure, le Madame, dans lequel René Kojfer, personnage central du dossier selon l'accusation, a table ouverte, au sens le plus large du terme. «Je suis quelqu'un d'assez jovial, relate Jade, avec une grande franchise. Lui aussi. On était un peu les gais lurons de la bande».

    «À Lille, c'était classe, pas la grosse boucherie»

    Bien avant de rencontrer Dominique Strauss-Kahn - le tribunal y reviendra la semaine prochaine -, Jade participe à des réunions dans un bel appartement du centre de Lille, rue Faidherbe, attenant au Carlton dont les propriétaire et gérant disposent à leur gré. M. Kojfer, officiellement en charge des relations publiques de l'hôtel, passe commande en Belgique, Dodo donne un ordre, et les filles, trois ou quatre, arrivent en voiture. «Il y avait du champagne et un pain garni, explique Jade. Ils étaient plusieurs messieurs à l'arrivée. On avait un rapport, mais chacun avec son partenaire, dans des pièces différentes, ce n'était pas du libertinage. Les messieurs faisaient leur choix. Hervé Franchois (le propriétaire) faisait son choix d'abord, il a toujours choisi les plus jeunes. Il avait un statut plus haut que l'autre (Francis Henrion, le gérant), il fallait qu'il soit aux petits oignons».

    Le président: «On vous offrait le déjeuner?»

    Jade: «Oui. Nous étions peut-être le dessert…».

    Pour ces prestations, chacune des jeunes femmes touche 200 €, le plus souvent réglés une fois de retour au club. Sauf une fois: «René nous a remis 120 € en disant: «les temps sont durs»».

    Le président: «Quel est votre sentiment à l'égard de MM. Kojfer, Henrion et Franchois?»

    Jade: «Il est mitigé. À Lille, c'était classe, pas la grosse boucherie. Ils étaient courtois, ce n'était pas une ambiance où on se sentait diminuées, ils ne nous rabaissaient pas. Quand on venait à Lille, on était sûres d'être rémunérées, ce qui n'était pas le cas au club: si on n'était pas choisie, on ne gagnait rien».

    «Je me suis reconstruite»

    A contrario, elle évoque une soirée crasseuse dans un restaurant italien de la banlieue lilloise, durant laquelle une très jeune femme de «moins de 20 ans», ivre morte, est livrée aux assauts successifs de «je ne sais pas combien de messieurs». Ce soir-là, René Kojfer avait guidé Jade au téléphone jusqu'à l'établissement, où il l'attendait. Elle précise toutefois qu'il n'a pas participé à cette scène abjecte.

    «La dernière fois [NDLR: qu'elle s'est prostituée], c'était en 2010. Je me suis reconstruite, avec l'aide de l'association Le Nid. Si je suis encore debout, c'est grâce à elle».

    Il y a dans cette déposition une résignation bouleversante, une dignité de chaque instant. Écouter Jade, c'est aussi réviser à la baisse la notion de «libres relations entre adultes consentants», qui sert de paravent aux zélateurs de la prostitution: elle n'a pas choisi cette voie, mais s'est sentie contrainte, en son for intérieur, de s'y engager, pour nourrir ses enfants. Plus elle parle, plus Jade se redresse à la barre, tandis que les trois hommes dont il a été question, ces messieurs de la rue Faidherbe, se tassent sur leur banc. La roue a tourné et c'est pour eux, à présent, que les temps sont durs.

    (1) Pseudonyme de la jeune femme dans le cadre de la prostitution.

    LE FIGARO

  • Militaires agressés au couteau à Nice devant un centre israélite : l'antiterroriste se saisit de l'enquête

    4502899_nice-militaire_545x460_autocrop.jpg

     

     

     

    03 Févr. 2015, 15h13 | MAJ : 03 Févr. 2015, 17h11
    0
     
     
     
     
     
                                                         Trois militaires ont été agressés ce mardi à Nice (Alpes-Maritimes).  Google Street View

    Trois militaires ont été agressés à l'arme blanche mardi à Nice (Alpes-Maritimes) alors qu'ils étaient en faction devant un centre communautaire juif dans le cadre du plan Vigipirate, selon une source policière. Les trois hommes en renfort pour la surveillance de ce site en plein centre de Nice ont été blessés légèrement.

     

    La section antiterroriste du parquet de Paris s'est saisie de l'enquête.

    Les militaires, dont l'un a été blessé au bras et un autre au visage, ont été pris en charge par les services de secours sur le lieu de l'agression, avenue Jean Médecin, à côté de la place Masséna. Leur pronostic vital n'est pas engagé, selon la source policière, qui précise que l'auteur a été interpellé. D'après Nice-Matin, «il avait été contrôlé sans ticket de transport quelques minutes plus tôt dans le tramway de Nice. Il a payé son amende sans sourciller avant de sortir du tram. Il s'est alors précipité sur les soldats. Les motivations de cet homme étaient inconnues dans l'immédiat.

    Les militaires assuraient la sécurité dans le cadre du plan Vigipirate devant un immeuble abritant le Consistoire israélite de Nice, Radio Shalom et une association israélite.

    Le député et maire UMP de Nice, Christian Estrosi, a aussitôt réagi sur Twitter. Il a, par ailleurs, annoncé qu'une «deuxième personne qui pourrait être complice de l'agresseur» a également été arrêtée. Selon plusieurs sources proches de l'enquête, l'homme interpellé s'appellerait Moussa Coulibaly mais n'aurait «a priori» aucun lien avec Amédy Coulibaly, un des auteurs des attentats de Paris en début d'année.

     Selon un communiqué  de Christian Estrosi, l'agresseur a été interpellé grâce aussi à l'intervention d'un commerçant, d'un agent de la régie des transports locaux et des membres de la police nationale et municipale. Il serait connu des services de police pour des faits assez anciens.

    Le Parisien

  • Beaucaire: Julien Sanchez veut signaler les parents qui profitent sans payer des cantines scolaires

    http://actu.orange.fr/france/beaucaire-la-mairie-fn-veut-signaler-les-profiteurs-des-cantines-scolaires-afp_CNT0000007qeUs.html#end

  • Payés 25 euros pour manifester contre Pegida….

    Posté le 2 février 2015

      

     

    antifaallemandhttps://www.facebook.com/pages/Chemnitz-Sachsen-Deutschland-gegen-noch-mehr-Scheinasylanten/821798511216875?fref=photo

    Pour Dresden « on » offre 25 € l’heure aux étudiants pour contre manifester, le double pour Leipzig…

    http://caccarrefourfnac.over-blog.com/2015/01/les-anti-pegida-sont-payes-rl-rr-pegida-sur-france-4.html

    Qui paye ? Merkel ? Le LAND ? Des puissances étrangères ? Tout est possible. Ce qui est certain c’est que nos élites islamophiles sont prêtes à tout pour étouffer la voix des anti-islam.

    Jamais dans l’histoire un peuple ne s’est laissé acheter. Aucune raison pour que ça change, et ça n’est pas quelques dizaines de milliers d’antifas haineux et payés qui pourront imposer leur loi.

    Christine Tasin

    Résistance Républicaine