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  • Marion a raison

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    Marion Maréchal-Le Pen : « Qu’il y ait une minorité active dangereuse qui fasse du prosélytisme en France et qui puisse faire basculer un nombre important de musulmans modérés vers le radicalisme, oui, je le pense »

    NDF

  • VIDEO Comment le pilote jordanien a été brûlé vif dans une cage par l'EI

    http://therightscoop.com/breaking-isis-releases-horrible-video-burning-jordanian-pilot-alive-photos/

    C'est la vidéo la plus abominable que j'ai vue.

    Ne la regardez pas si vous ne vous en sentez pas capable nerveusement. 

     

  • 70e anniversaire de la libération d'Auschwitz: Poutine omet les chambres à gaz

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/70e-anniversaire-de-la-liberation-d-Auschwitz-Vladimir-Poutine-omet-les-chambres-a-gaz-30808.html

     

  • La Jordanie exécute deux jihadistes en réponse au pilote brûlé vif

     

    L’Etat islamique a diffusé mardi une vidéo montrant un homme, présenté comme le pilote jordanien enlevé par l’organisation terroriste en décembre dernier, brûlé vif dans une cage. Une mise en scène insoutenable qui illustre la surenchère de Daesh en matière de propagande.

    En représailles, deux jihadistes irakiens ont été pendus dans une prison jordanienne mercredi.

    Dans le village natal du pilote brûlé vif, son père se confie. « C’étaient des criminels, on ne peut pas comparer leurs morts, à celle de mon fils Muath. Le sang de Muath est celui de notre pays, la Jordanie devait prendre sa revanche », indique-t-il. L’exécution du pilote a été condamnée dans le monde entier.

    NDF

  • La sidérante histoire d’amour entre un proche d’Amédy Coulibaly et une femme gendarme chargée du… renseignement

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    04/02/2015 – ROSNY-SOUS-BOIS (NOVOpress)
    Ce n’est ni un scénario de cinéma ni un article de sites parodiques tel Le Gorafi, mais une nouvelle plus qu’inquiétante quant à la gestion du renseignement par les autorités françaises. En effet, un certain Amar R., un individu recherché pour trafic d’armes et qui avait été suivi par les enquêteurs de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) dès le lendemain de l’assassinat par Amédy Coulibaly de la policière municipale à Montrouge – quelques heures avant la prise d’otages de l’Hyper Cacher, Amar R. qui est vu en compagnie  du terroriste islamiste – entretient une liaison amoureuse avec un élément féminin de la gendarmerie.

    Elément féminin qui n’occupe pas n’importe quelle fonction. Selon le Canard enchaîné (via Le Point), ce militaire “est sous-officier du renseignement dans ce centre d’élite de la gendarmerie [à Rosny-sous-Bois, note de Novopress]“. Plus qu’un centre d’élite, cette caserne de Rosny abrite le service central des réseaux et technologies avancées, le service de recherches judiciaires et le système des opérations et du renseignement. Un lieu indispensable à la sécurité de nos compatriotes, et qui de ce fait devrait faire l’objet de mesures de sécurité très particulières.

    Or, non seulement cet Amar R. entretient donc cette liaison avec ce sous-officier- qui s’est convertie à l’islam et porte le voile en dehors des heures de service ! – mais surtout entrait à sa guise dans ce lieu alors qu’il faisait l’objet… d’un mandat d’arrêt européen. Certes, Amar R. a été interpellé le 23 janvier dernier mais sa compagne n’a pas été inquiétée.

    En effet, comme l’indique Le Point :

    Contacté par Le Point, le général Denis Favier, directeur général de la gendarmerie nationale (DGGN), a tenu à tempérer l’information : “Certes, il y a bien eu un contact entre les deux personnes, mais à ce stade de l’enquête, confiée à la police judiciaire de la préfecture de police, il n’y a rien à reprocher à la sous-officier de la gendarmerie. Nous n’avons pas constaté de faute professionnelle. Il existe une stricte séparation entre enquête de police et de gendarmerie. Nous ne pourrons tirer des conclusions qu’à la fin de l’enquête de la PJ.”

    Une légèreté qui fait froid dans le dos lorsque l’on apprend, là encore via Le Point, que :

    En 2014, deux jeunes gendarmes du fort de Rosny avaient été détectés comme des éléments radicaux. Ils avaient programmé un voyage en Syrie. Ils ont depuis quitté la gendarmerie. Ce sont les rares cas qu’avaient pu déceler les services de renseignement après que Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, a réclamé à ses services une enquête sur la radicalisation au sein des forces de l’ordre

  • La romance suspecte d'un complice de Coulibaly avec une gendarmette convertie à l'islam

        

    Renaud Février

    Voir tous ses articles

    Publié le 04-02-2015 à 09h15
     

    Amar R., complice de Coulibaly, aperçu avec le terroriste quelques heures avant la prise d'otage, entretenait une relation avec une gendarme chargée... du renseignement.

                    
     

    À lire aussi

    C'est une histoire d'amour étonnante et un rebondissement inattendu dans l'affaire Coulibaly. Un proche d'Amedy Coulibaly, le terroriste de Montrouge et de l'épicerie casher de la Porte de Vincennes, entretenait une relation avec... une gendarmette.

    Une romance suspecte, selon "Le Canard enchaîné", qui révèle l'information, car Amar R., complice de Coulibaly, est soupçonné de trafic d'armes et de stupéfiants. Il faisait l'objet d'un mandat d'arrêt européen. Il était même l'un des objectifs prioritaires des policiers car il avait été aperçu en compagnie de Coulibaly quelques heures avant la prise d'otage de la Porte de Vincennes. Son téléphone avait par ailleurs été détecté par un relais proche de l'épicerie casher. 

    C'est également lui qui, avec Coulibaly, avait tenté, en vain, d'échanger un véhicule avec des armes.

    Rapidement repéré par les policiers après les attentats, il est suivi. Les forces de l'ordre veulent s'assurer qu'il ne s'apprête pas, lui aussi, à commettre un attentat. Elles espèrent aussi, selon le "Canard", être conduites vers de nouvelles pistes. Et les policiers vont avoir la surprise de le voir batifoler avec une gendarme, à Rosny-sous-Bois.

    Gendarme, chargée du renseignement et convertie à l'islam

    Plus inquiétant encore, la jeune femme, Emmanuelle, est sous-officier, chargée du renseignement opérationnel au centre technique de la gendarmerie nationale de Rosny-sous-Bois. Amar R. pénètre même plusieurs fois dans cet ancien fort, "fierté des pandores" selon l'hebdomadaire. La police, pour éviter de prendre des risques, a finalement préféré arrêter le complice d'Amedy Coulibaly le 23 janvier.

    Sa compagne, convertie à l'islam il y a deux ans et qui porte le voile en dehors de la gendarmerie, n'a en revanche pas fait l'objet de sanctions pour le moment. 

    "Nous n'avons pas constaté chez elle de signe de radicalisation", assure un haut responsable de la gendarmerie au "Canard".

    Aucune connexion ou recherche suspecte n'a été constatée sur son ordinateur.

    "Nous sommes en phase judiciaire. L'enquête conduite par la PJ parisienne se poursuit. Nous sommes tenus informés."

    R.F.

    L'OBS - 04 02 15

  • Bombardements du Havre le 6 septembre 1944... ou pouquoi c'est une ville neuve

    Images découvertes récemment : un film du bombardement de la ville du Havre (5000 civils français tués). Vues prises de la rive sud de la Seine, occupées par les troupes britanniques qui encerclaient la ville-forteresse: celles ci avaient refusé la proposition du commandement allemand de laisser sortir les civils français. On assiste à une attaque d'extermination employée d'habitude sur les villes allemandes comme à Hambourg les 28/29/30-7-43 et, bien sûr, sur Dresde le 14/2/45: panachage de bombes explosives et incendiaires : à 1.46, 2.25 et 2.43, on distingue parfaitement la pluie de feu des plaquettes incendiaires au phosphore (qui brûlent au contact de l'oxygène). L'objectif était de faire craquer le colonel Wildermuth, qui n'étant pas un militaire d'active, voyait des innocents se faire massacrer parce qu'il ne capitulait pas.
    Un officier britannique du nom de W. Douglas-Home, constatant ce crime sur des civils censés être des alliés , refusa de monter en ligne et fut donc traduit en cour martiale.
    Les avions sont les appareils les plus répandus à cette époque dans le Bomber Command: des quadrimoteurs Avro Lancaster, bien reconnaissables.

     

    De nos jours, la municipalité républicaine ne manque pas de fêter chaque année, la Libération du Havre, avec les descendants des 5000 tués...
     
    Dirk De Mulder

     

  • VIVE LA LIBERTE D'EXPRESSION !

     

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    (Journal de Laurent OZON sur Facebook)

  • Par leurs provocations irresponsables, les « Charlie » réussiront-ils à paralyser la lutte anti-jihadiste au Sahel ?

    Editorial de Bernard Lugan :


    1) Parlons vrai : que cela plaise ou non, pour une grande partie de l'Afrique, l'odieux assassinat des journalistes de Charlie Hebdo est vu comme la « juste punition de blasphémateurs ». Quant aux imprudents responsables africains qui furent littéralement convoqués à la marche parisienne des « Charlie », notamment les présidents Ibrahim Boubacar Keita du Mali et Mahamadou Issoufou du Niger, les voilà désignés comme des ennemis de l'islam. Ils sont donc politiquement affaiblis et cela alors qu'ils sont en première ligne contre le jihadisme.

    Les conséquences géopolitiques qui vont découler de cette situation ne peuvent encore être mesurées. Notamment au Niger où Boko Haram qui, jusqu'à présent ne s'était pas manifesté, a pris le prétexte de la livraison du numéro spécial de Charlie Hebdo publié après les assassinats, pour lancer des foules fanatisées contre les intérêts français à Zinder et à Niamey. Au même moment, nos postes militaires avancés veillent aux frontières du pays pour empêcher le Niger de passer sous le contrôle des jihadistes...

    Un officier supérieur égyptien pourtant peu suspect de sympathies islamistes me disait récemment : « Quand Charlie Hebdo représentait le pape Benoît XVI sodomisant un enfant de coeur, ses journalistes passaient pour de facétieux potaches et les catholiques protestaient par la prière. Mais quand ils insultent le prophète Mahomet, ils le paient de leur vie. Il est désolant de devoir constater que ce sont les malades mentaux salafistes qui, par l'assassinat, rappellent vos journalistes à la décence ».

    Cruelle réflexion !
    Les irresponsables de Charlie Hebdo ont-ils conscience des dégâts que leur jusqu'au-boutisme a provoqué en Afrique ? Peuvent-ils comprendre qu'ils ont mis en danger la vie de Français expatriés ? Peuvent-ils imaginer qu'ils fournissent des armes aux jihadistes tout en paralysant nos soldats engagés dans de difficiles combats pour les réduire ?

    2) Mortelle culture de l'excuse : des terroristes islamistes de nationalité française et issus de l'immigration assassinent 17 compatriotes. Pour le Premier ministre français, l'origine de ces crimes odieux est à rechercher dans l' « apartheid » qu'auraient pu subir les meurtriers...
    Au lieu de s'attaquer aux vraies causes du mal, voilà donc ouvert un nouveau et inutile débat sémantique à travers l'utilisation d'un « mot-prison » permettant à des politiciens faillis de gagner du temps et des points de popularité[1]. Tout en tentant de faire oublier que les tragiques événements du mois de janvier 2015 sont une conséquence du « grand remplacement » dont ils sont responsables...

    [1] Pour ce qui est du véritable sens du mot « apartheid », on se reportera au chapitre XIII de mon livre Mythes et manipulations de l'histoire africaine intitulé « Apartheid mérite-t-il d'être devenu un "mot prison" ? »

     

     

    (merci à Dirk)

  • Mort de Mgr Shi Enxiang

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    Du moins on suppose que Mgr Cosmas Shi Enxiang, évêque « clandestin » de Yixian (Hebei, Chine) est mort en détention, à l’âge de 94 ans. Car les autorités ont délicatement signalé à sa famille qu’ils allaient recevoir son corps… Mgr Shi Enxiang avait été de nouveau arrêté le vendredi saint 13 avril 2001 et il était détenu depuis lors au secret sans qu’aucune charge n’ait été publiquement retenue contre lui. Il aura passé en tout 53 ans en prison ou en « camp de rééducation par le travail ». Il mérite assurément le titre de martyr que certains lui décernent déjà sur les réseaux sociaux.

    Il ne reste désormais plus qu’un seul évêque « clandestin » en détention, Mgr James Su Zhimin, 84 ans, évêque de Baoding, dont quasiment aucune nouvelle n’a filtré depuis son arrestation en… 1997.

    Mais il y a aussi le cas mystérieux de l’auxiliaire de Mgr Shi Enxiang, Mgr Zhang Qingtian, ordonné en 1992, et qui a disparu, sans que personne n’en connaisse la raison.