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  • Grèce : Le “non” (Όχι) au référendum l’emporte largement (61%)

    17h26

    Oxi ! » (Non !). Laminés par cinq ans de crise économique, les Grecs ont rejeté, lors du référendum de ce dimanche 5 juillet, les offres d’aides financières des créanciers européens qui exigeaient, en retour, de nouvelles mesures d’austérité, de nouveaux impôts et de douloureuses réformes. Ce vote va-t-il aider à mettre fin à la tragi-comédie grecque ou la faire tourner au drame ?

    Nouvel Obs

     

    NdB: Ces "créanciers" de Bruxelles devraient plutôt s'appeler "usuriers"!

  • Hamida Djandoubi: le dernier guillotiné

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    05/07/15 à 17:11 - Mise à jour à 26/06/15 à 13:43

    Source : Le Vif/l'express

    Ce proxénète d'origine tunisienne fut guillotiné à Marseille en septembre 1977 pour un crime qui suscita beaucoup d'émotion et relança le débat sur la peine capitale. Il fut l'un des dernier condamné à mort dont la sentence fut exécutée en France. Quatre ans plus tard, François Mitterrand décidait de l'abolir.

     

    Hamida Djandoubi © Capture d'écran YouTube

    C'est à cloche-pied qu'il s'est avancé vers la mort. Aux premières lueurs du jour, ce 10 septembre 1977, Hamida Djandoubi, 31 ans, proxénète et assassin, s'est laissé porter jusqu'à l'échafaud. Pour l'agenouiller sous la guillotine, les gardiens ont retiré la prothèse sur laquelle il a pris l'habitude de claudiquer depuis qu'un accident, à l'usine, lui a arraché une jambe. Dans la cour de la prison marseillaise des Baumettes, il a demandé une cigarette. Avant la fin, il en a voulu une seconde - une Gitane, son tabac préféré. Il a fumé lentement, en silence. Plus tard, ses avocats diront qu'il aurait aimé tirer encore quelques bouffées, mais qu'elles lui ont été refusées : "Ah non ! Cela suffit, nous avons été assez conciliants jusqu'à présent !" aurait lancé le fonctionnaire de police chargé de l'exécution. Alors, le détenu a posé sa tête sur le billot. La lame est tombée à 4 h 40.

    Qui, aujourd'hui, se souvient de Hamida Djandoubi ? Il tient pourtant une place à part dans les annales de la justice française, dernier condamné à mort dont la sentence fut exécutée. Condamné pour le viol, la torture et l'assassinat avec préméditation d'Elisabeth Bousquet, sa maîtresse de 21 ans, Djandoubi fut le troisième homme dont la tête tomba pendant le septennat de Valéry Giscard d'Estaing, après Christian Ranucci (28 juillet 1976) et Jérôme Carrein (23 juin 1977). Djandoubi fut le dernier que le président ne gracia pas, indiquant vouloir "laisser la justice suivre son cours". Un cours expéditif : condamné le 25 février 1977 à la peine capitale par les assises des Bouches-du-Rhône au terme d'un procès de deux jours, le prisonnier fut guillotiné cinq mois plus tard.

    Hamida Djandoubi a débarqué à Marseille neuf ans plus tôt, en 1968. A l'époque, il a 22 ans. C'est la première fois qu'il quitte sa Tunisie nataleà Très vite, il trouve un emploi de manutentionnaire, s'intègre avec facilité dans une société française sur laquelle Mai 68 a fait souffler un vent de modernité. En 1971, l'accident qui le prive d'une jambe le brise moralement : ses amis décrivent un autre homme, cruel et agressif, atteint dans sa virilité. Avec les femmes, cet ancien séducteur ne tarde pas à devenir une brute. Se découvrant un talent de proxénète, il réussit à prostituer quelques filles terrorisées. Le refus d'Elisabeth Bousquet de céder aux menaces d'un amant qui veut la mettre sur le trottoir le rend fou de colère : il l'insulte, la bat. Condamné à plusieurs mois de détention après la plainte déposée par cette jeune femme à peine sortie de l'adolescence, il hurle, promet de la punir.

    Sitôt libéré de prison, dans la nuit du 3 au 4 juillet 1974, Hamida Djandoubi l'enlève sous la menace d'une arme. Arrivé chez lui, il la jette à terre, l'assomme à coups de bâton, la frappe au ceinturon. Puis il la viole avant de lui brûler les seins et le sexe avec le bout incandescent de sa cigarette - Djandoubi a vu faire les caïds du "milieu" marseillais. L'agonie de la malheureuse n'en finit pas. Son bourreau décide de l'immoler. Il l'asperge d'essence, craque une allumette. En vain. Déterminé à l'éliminer, il traîne le corps jusqu'à son cabanon de Lançon-de-Pro-vence ; là, il l'étrangle, sous les yeux épouvantés de deux mineures qui partagent sa vie et auxquelles il impose le tapin. L'une d'elles le dénoncera à la justice, quelques jours après la découverte du corps.

    "Une âme démoniaque !" dira le procureur général

    La cavale de Djandoubi ne dure pas : il est arrêté au bout de quelques mois, écroué à Marseille. Dans l'espoir d'obtenir la clémence des juges, il ne fait aucune difficulté à reconnaître les faits ; il se prête même à la reconstitution de son crime. De leur côté, les deux mineures sont poursuivies pour complicité et incarcérées aux Petites Baumettes, le quartier des femmes de la maison d'arrêt. Pour elles, cette incarcération est un soulagement. "Lorsque je suis allé les voir, racontera plus tard l'un de leurs avocats, je m'attendais à les voir détruites, au regard du dossier que j'avais étudié et des tortures épouvantables. En réalité, je les ai trouvées libérées, car après l'enfer qu'elles avaient vécu, la prison c'était le paradis !" Il obtiendra leur libération en novembre 1974, leur acquittement en février 1977.

    La France se passionne pour le procès de Djandoubi, ce meurtrier que certains journaux n'hésitent pas à comparer à Adolf Hitler. Alors qu'il risque la mort, les associations se mobilisent, de nombreuses voix s'élèvent pour réclamer "l'abolition d'une peine barbare et inutile qui déshonore" le pays. Ses deux avocats, dont le ténor du barreau marseillais Emile Pollak, mettent toute leur énergie à lui éviter la sanction suprême. Ils fouillent son passé, cherchent des circonstances atténuantes, racontent l'histoire d'un garçon "doux, docile, travailleur et honnête" dont la vie a basculé après son accident. "Une âme démoniaque !" rétorque le procureur général Chauvy, pas plus convaincu par ces arguments que les psychiatres : pour eux, Hamida Djandoubi "constitue un colossal danger social", en dépit d'une "intelligence supérieure à la moyenne". Cette expertise sera décisive. La condamnation, prononcée à l'unanimité du jury, est accueillie par des applaudissements.

    "La justice française ne sera plus une justice qui tue"

    Le 16 mars 1981, au cours de l'émission télévisée Cartes sur table, François Mitterrand, candidat socialiste à l'élection présidentielle, se prononce "contre la peine de mort" : "Je demande une majorité de suffrages aux Français sans cacher ce que je pense", affirme-t-il, malgré des sondages largement favorables à l'exécution capitale. C'est le tournant de la campagne, la force d'un destin à la conquête du pouvoir. Mitterrand est élu le 10 mai 1981. Le 8 juillet, le Premier ministre Pierre Mauroy annonce l'abolition de la peine de mort. L'Assemblée, réunie en session extraordinaire, la vote le 18 septembre, tandis que le ministre de la Justice Robert Badinter, dans un discours devenu célèbre, promet : "Demain, grâce à vous, la justice française ne sera plus une justice qui tue. Demain, grâce à vous, il n'y aura plus, pour notre honte commune, d'exécutions furtives, à l'aube, sous le dais noir, dans les prisons françaises. Demain, les pages sanglantes de notre justice seront tournées."

    Tournée aussi, la page tachée du sang d'Elisabeth Bousquet, victime de la folie meurtrière de Djandoubi - "un unijambiste qui, rappellera Badinter devant les députés, quelle que soit l'horreur (et le terme n'est pas trop fortà ) de ses crimes, présentait, tous les signes d'un déséquilibre, et qu'on a emporté sur l'échafaud après lui avoir enlevé sa prothèse". Le 19 février 2007, sous la présidence de Jacques Chirac, l'abolition de la peine de mort est inscrite dans la Constitution. A Versailles, où le Parlement se réunit en congrès, 26 voix sur 854 s'y sont opposées.

  • Réérendum grec: le "non" serait largement en tête

    http://www.leparisien.fr/economie/en-direct-referendum-en-grece-les-bureaux-de-vote-sont-ouverts-05-07-2015-919811.php4920655_drapeau_625x390.jpg Grèce.jpg

     

     

  • Marion Maréchal-Le Pen lance sa campagne en PACA sur des thèmes identitaires

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    La députée du Vaucluse Marion Maréchal-Le Pen au Pontet

    LE SCAN POLITIQUE - La députée a tenu son premier meeting de campagne pour les élections régionales sur ses terres d'élection. Elle a usé de formules choc pour dénoncer l'immigration, défendant des thématiques traditionnelles du FN.

    Elle a choisi son fief d'élection, le Vaucluse, et plus particulièrement Le Pontet, municipalité Front national, pour lancer sa campagne. Tête de liste en Provence-Alptes-Côtes d'Azur, Marion Maréchal-Le Pen a usé d'images et de formules choc pour aborder des thématiques chères à l'électorat FN du Sud-Est: l'immigration, l'identité, et la sécurité. Pendant vingt minutes, devant 2 000 personnes, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen a tenu un discours aux accents identitaires, dénonçant le «remplacement continu d'une population par une autre qui apporte avec elle ses valeurs et sa religion», autrement dit le grand remplacement, concept théorisé par Renaud Camus, écrivain promu par les milieux identitaires.

     

    La députée de 25 ans a déjà trouvé ses slogans de campagne, dans l'une des régions qui compte le plus d'immigrés. «Nous ne voulons pas de la Paca black-blanc-beur, mais de la Paca bleu-blanc-rouge», a lancé la tête de liste dans le Vaucluse. «Il est hors de question que notre région passe de la Riviera à la favela», a-t-elle encore brocardé.

    La candidate a également invoqué le terrorisme pour étayer son propos. «Des femmes de nationalité française se voilent, se cachent pour mieux nous cracher au visage», a dit Marion Maréchal-Le Pen. «C'est dans ce pays des femmes, du génie, qu'une idéologie totalitaire, haineuse, l'islamisme, prospère», a-t-elle ajouté. Avant de citer les auteurs avérés ou présumés des derniers attentats en France: «(Mohamed) Merah, (Saïd et Chérif) Kouachi, (Amédy) Coulibaly et (Yassin) Salhi sont les enfants du regroupement familial, du droit du sol, de la repentance anti-française, de l'abandon de l'exigence d'assimilation au profit de la société multiculturelle».

    Un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match publié mercredi place Marion Maréchal-Le Pen en tête au premier tour avec 32% des voix contre 29% à Christian Estrosi. Au second tour, le candidat Les Républicains l'emporterait avec 35% contre 33% pour la petite-fille de Jean-Marie Le Pen.

    Le Figaro

    BRAVO MARION! LA PROVENCE EST AVEC TOI !

  • EXCLUSIF // Burkina Faso : Un des deux militaires français accusés d’agression sexuelle sur deux fillettes est un afro-musulman ami de la famille

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    (photo d'illustration)

     

     

    EXCLUSIF // Burkina Faso : Un des deux militaires français accusés d’agression sexuelle sur deux fillettes est un afro-musulman ami de la famille (censure du gouvernement)

     

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    BREIZATAO – ETREBROADEL (04/07/2015) Une affaire d’agression sexuelle commise par deux soldats “français” au Burkina Faso sur deux fillettes franco-burkinabées de 3 et 5 ans fait grand bruit dans la presse hexagonale (lire ICI). Seul hic : le socialiste Jean-Yves Le Drian a donné ordre de censurer toute information relative à l’origine religieuse et raciale des suspects.

    Au moins un agresseur de souche africaine

    Seule ombre au tableau : la hiérarchie militaire, sur ordre du ministre de la Défense socialiste, Jean-Yves Le Drian, a volontairement censuré les informations relatives à l’origine raciale des deux soldats impliqués.

    De source militaire, au moins l’un d’entre eux est en réalité un ami de la famille de la mère d’une des deux fillettes agressées dans une piscine de Ouagadougou, au Burkina. De souche africaine, l’intéressé serait un double-national “franco-burkinabé”.

    Cette proximité ethnique explique pourquoi la mère de famille a invité les deux soldats, âgés de 36 et 38 ans, à se rendre à son domicile où elle découvrira ultérieurement les faits mentionnés, grâce à une caméra oubliée chez elle.

    Le gouvernement socialiste veut étouffer l’affaire, quitte à salir l’armée

    Les raisons de la censure décidée par le gouvernement socialiste vise à masquer les conséquences gravissimes du recrutement d’élément afro-musulmans dans les armées françaises. Jusque là épargnées par un recrutement très sélectif, il semble que les forces spéciales – auquel appartiennent les deux individus précités – subissent désormais les mêmes effets.

    Soucieux de maintenir l’imposture d’une coexistence harmonieuse entre afro-musulmans et européens chrétiens au sein de l’armée française, l’état-major a donc platement suivi les consignes de Jean-Yves Le Drian, maçon du Grand Orient.

    C’est finalement l’armée française en son entier – officier, sous-officiers et hommes de troupes – qui se trouve attaquée dans les médiats d’état, de coloration majoritairement socialo-marxiste. Ceci sur fond de cynisme électoral de la part du gouvernement de gauche français, clientélisme ethno-confessionnel oblige.

     

  • Génération Identitaire – Mosquée de Poitiers occupée : deux mises en examen annulées (Màj)

     

    21h47

    04/07/2015

    Deux mises en examen viennent d’être annulées par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Poitiers dans le cadre de l’enquête sur l’occupation de la mosquée de Poitiers par Génération identitaire en octobre 2012. Elles visaient le président de l’association, Arnaud Delrieux et la personne morale de Génération identitaire soupçonnée d’un délit de presse.

    La justice a estimé que le président ne pouvait être incriminé, alors qu’il se trouvait au Costa-Rica le jour des faits. Quant à l’association, les personnes morales ne peuvent être poursuivies pour des délit de presse qui étaient liés aux slogans figurants sur les banderoles déployées, indique une source judiciaire.

    Cinq militants identitaires restent mis en examen dans le cadre de ce dossier.

    Source