Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Marine Le Pen sur le Brexit

  • Primaires américaines : les revanches de l’Histoire

    donald-trump.jpg

     
    Comme on peut se trumper !

    Journaliste et écrivain
    Il a présidé la Bibliothèque de France et a publié plus d'une vingtaine de romans et d'essais. Co-fondateur de Boulevard Voltaire, il en est le Directeur de la Publication
    LatifaLes loups sont entrés dans PalmyreZéro de croissance : c’est la rentrée des cancres
     

    Il était donné favori, il se voyait gagnant et le criait un peu trop fort par-dessus les toits de Des Moines. Comme on peut se trumper ! Pris en sandwich entre Ted Cruz et Marco Rubio, le tonitruant Trump, en dépit d’une plus qu’honorable deuxième place, sort moralement perdant de la très médiatisée et très convoitée primaire de l’Iowa tandis que les deux hispaniques qui l’encadrent, l’un en avance d’une courte tête, l’autre sur ses talons, font désormais figure de favoris, en tout cas dans le camp républicain.

    Cruz ou Rubio ? Rubio ou Cruz ? L’histoire a d’étranges revanches, ricochets, retours de bâton ou jets de boomerang. Si la traite des nègres n’avait pas déporté de l’autre côté de l’Atlantique quelques millions d’Africains, Barack Obama qui, sans être lui-même descendant d’esclaves, a recueilli la quasi-totalité des suffrages de l’importante minorité noire en 2008 et en 2012, ne serait jamais devenu le quarante-troisième président des États-Unis.

    C’est aux dépens de la France, de l’Espagne puis du Mexique que s’est agrandie territorialement entre la fin du XVIIIe siècle et le milieu du XIXe la grande démocratie devenue la grande puissance nord-américaine, par l’achat de la Louisiane, l’acquisition de la Floride, la conquête et l’annexion du Texas, du Nouveau-Mexique, de l’Arizona et de la Californie. À partir du noyau des treize colonies britanniques et sur la base de leur démographie, de leur histoire, de leur culture et de leur langue, les États-Unis et surtout leur personnel dirigeant ont pu longtemps se définir comme « WASP » : blancs, anglo-saxons et protestants. Il revenait à John Fitzgerald Kennedy d’exorciser la malédiction non écrite qui pesait sur la communauté irlandaise et de devenir le premier président catholique du pays. Plus récemment, Barack Obama accomplissait une transgression plus étonnante encore grâce notamment au plébiscite de ce qu’on pourrait appeler le melting potes local.

    Le jour n’est plus éloigné – sera-ce dès novembre prochain, sera-ce pour la fois suivante ? – où le président des États-Unis sera un latino, qu’il ait nom Rubio (fils d’un barman et d’une femme de chambre, aujourd’hui sénateur de Floride) ou Cruz (lui aussi de modeste origine, aujourd’hui sénateur du Texas). La conjonction d’une immigration massive et d’une fécondité supérieure à la moyenne nationale ont permis à la minorité hispanique d’opérer une reconquête pacifique et silencieuse des territoires dont ses ancêtres avaient été spoliés en attendant de franchir une étape de plus en devenant la communauté numériquement la plus importante des USA, avec toutes les conséquences linguistiques, culturelles et politiques que cela suppose.

    Des circonstances particulières ont également joué leur rôle. Ted Cruz et Marco Rubio sont tous les deux nés d’immigrés qui avaient préféré l’enfer capitaliste au paradis socialiste issu de la révolution cubaine. C’est aux bons offices involontaires des frères Castro que les États-Unis devront peut-être leur prochain président.

    L’Histoire, décidément, a d’étranges détours.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
     
    NdB: Il n'y a pas de quoi se réjouir...
  • Une boucherie musulmane et un kebab mitraillés en Corse

     

     

    04/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Une boucherie musulmane et un kebab ont été mitraillés à l’arme automatique dans la nuit de mardi à mercredi à Propriano, en Corse-du-Sud. L’action n’a pour l’instant pas été revendiquée et aucune inscription n’a été laissée sur les lieux de l’attaque. L’enquête a été confiée à la brigade de Sartène et à la section de recherches de la gendarmerie.

  • Pour le maire de Bad Schlema, en Allemagne, les fautives, ce sont les petites filles de 10 ans

    calais-migrants-e1454606375797.jpg

    Migrants à Calais

     
    Quand bien même leurs dirigeants décideraient de réduire l'invasion migratoire, cela ne changerait strictement rien au sort réservé aux peuples européens.

    Quand bien même leurs dirigeants décideraient de réduire l’invasion migratoire, cela ne changerait strictement rien au sort réservé aux peuples européens. La preuve : ils sont maintenant sommés de se plier aux comportements les plus abjects de certains étrangers. La scène se passe à Bad Schlema, en Allemagne, petite bourgade de 5.500 habitants dans laquelle ont élu domicile 85 migrants.

    Lors d’une réunion municipale, un homme, grand-père, laisse éclater sa colère. Sa petite-fille n’en peut plus : sur le chemin de l’école comme en cours d’éducation physique, elle se fait harceler par des enfants de demandeurs d’asile. Et, à juste titre, il s’inquiète de ce qu’il adviendra, les beaux jours venus, quand les petites filles seront plus légèrement vêtues : « C’est facile, elles n’ont qu’à pas aller les provoquer dans ces endroits-là ! » lui rétorque le maire, tout de go.

    « Dans notre propre pays ! On n’a plus le droit de se promener dans notre ville ! Les migrants arrivent et nous, on n’a plus le droit d’aller où on veut ! » : le public gronde mais le maire s’en fout, que des petites filles aillent à l’école la boule au ventre. Après tout, « il n’est pas techniquement nécessaire de passer par là, elles n’ont qu’à prendre un autre chemin ». Et puis, de quoi se plaignent-ils, ces empêcheurs de migrer en rond, « les Allemands aussi, harcèlent ! ». « Sauf qu’eux vont en prison, pas les migrants », lui fait remarquer le grand-père. Pour l’élu, c’en est trop : « Maintenant, si vous n’obéissez pas aux lois, je vais appeler la police et faire évacuer la salle. » Voilà toute la considération que porte un élu envers ses administrés : les fautives, ce sont les petites filles de 10 ans. Et surtout les honnêtes gens qu’il menace…

    Alors, Angela Merkel a beau affirmer vouloir « réduire le flux de réfugiés » – tout en étant contre le fait d’y mettre une limite, un bel exemple d’information contradictoire destinée à noyer le poisson -, les Allemands, comme tous les autres peuples européens (à l’exception des pays de l’Est dirigés par des patriotes), sont sacrifiés par ceux-là mêmes en qui ils avaient placé leur confiance. Et ces « incidents » ne sont que des préludes.

    En effet, sous couvert de pallier une démographie européenne en berne – et largement découragée par nos politiques -, la division de la population des Nations unies a publié un rapport sur « les migrations de peuplement ». Selon ses projections pour les cinquante prochaines années, elle préconise, pour l’Europe dans son ensemble, « deux fois le niveau d’immigration observé dans les années 1990 ».

    Par exemple, en tenant compte de sa taille et de son niveau de population, « l’Allemagne aurait besoin de 6.000 immigrants par million d’habitants par an ». 480.000 migrants par an pour ce pays d’environ 80 millions d’habitants. En dix ans, 4,8 millions d’immigrés auxquels il faudra ajouter les regroupements familiaux et les naissances. Pour l’Italie et ses 60 millions d’habitants, l’ONU avance le chiffre de 6.500 migrants sur le même principe. Et pour la France ? Le démographe Le Bras, en juin 2015, dans son rapport pour le Parlement européen, annonce le chiffre « énorme » de 1,2 million par an. Au fait, le rapport de l’ONU date… de l’an 2000 ! Le Grand Remplacement, théorie du complot, vraiment ?

    Avec de telles directives, on se dit que les petites filles européennes n’ont pas fini de pleurer…

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Pour Jean-Luc Mélenchon, il faut en finir avec cette idée « inacceptable » de « Français de souche »

    melenchon.jpg

    Partager sur Facebook Tweeter

     

    Source : Boulevard Voltaire
    Jean-Luc Mélenchon ne voit-il pas que cet acharnement contre les mots « Français de souche » est à la fois profondément insultant et irrationnel ?

    Benoît Hamon et 35 députés veulent profiter de la révision constitutionnelle pour remettre sur le tapis, à travers un amendement, le droit de vote des étrangers aux scrutins locaux.
    Aussitôt, Jean-Luc Mélenchon a ouvert les volets et montré sa tête à la fenêtre comme un coucou alsacien, pour twitter : « Bravo @Benoît Hamon ! Il est temps d’en finir avec cette idée “inacceptable” de “Français de souche” ».

    Dans la bouche de Jean-Luc Mélenchon, les mots de « Français de souche » reviennent avec une régularité de métronome. Inutile de faire des statistiques, c’est l’homme politique qui les prononce le plus. Tous les prétextes sont bons, même les plus éloignés de la question. Ce n’est plus de l’amour, c’est de la rage.
    De la rage, en effet, avec en général deux variantes : le « Français de souche » n’existe pas ou – c’est ce qu’il tweete, aujourd’hui – l’idée de « Français de souche » est inacceptable.

    Vous noterez les guillemets. Essentiels, les guillemets. C’est ce qu’avait expliqué doctement le socialiste Bruno Le Roux, sur BFMTV, pour justifier l’usage (qui avait beaucoup choqué) des mots « Français de souche » par François Hollande lors d’un dîner du CRIF : quand on met des guillemets, c’est que l’on veut dénoncer (en l’occurrence, lors de ce dîner, il s’agissait de souligner qu’une profanation dans un cimetière juif avait été perpétrée par des « Français de souche »), et indiquer que « cela » n’existe pas. Comment, sans exister, peut-on tenir la pioche et casser la pierre tombale ? Personne, visiblement, n’a souhaité approfondir la question.

    Jean-Luc Mélenchon ne voit-il pas que cet acharnement contre les mots « Français de souche » est à la fois profondément insultant et irrationnel ?
    Insultant parce que, s’il les récuse, c’est donc qu’il considère qu’être français depuis des temps immémoriaux est un avantage, une qualité, une supériorité dont il serait injuste que seuls certains puissent se prévaloir. Quand ce n’est qu’un fait. Une donnée généalogique. Et alors ? Être de vieille souche algérienne, camerounaise ou kurde serait donc moins flatteur ? Il y aurait moins de fierté à en tirer ? Qu’il aille donc l’expliquer aux intéressés, ils seront sûrement ravis. Faire disparaître le concept de Français de souche, c’est, si l’on retourne la chaussette, vouloir in fine effacer celui de Français fraîchement naturalisé. Serait-ce, pour « Jean-Luc Mélenchon », un sceau d’infamie ? Une sorte de casier judiciaire qu’il faudrait à tout prix effacer ?

    Irrationnel parce que si Jean-Luc Mélenchon considère qu’ils ne recouvrent aucune réalité, si le « Français de souche » est un être fantasmagorique n’ayant pas plus d’existence que le monstre du Loch Ness, le yéti ou le fantôme de Michael Jackson, si le nom de famille que certains croient lire sur le monument aux morts est un tour que leur jouent leurs lunettes, si le registre paroissial de leur village est un fake et si leur grand-mère leur a raconté des craques, pourquoi s’user la santé ? La mystification tombera d’elle-même.

    Les volets sont refermés, le coucou est rentré. « Jean-Luc Mélenchon » attend la prochaine occasion. Oui, je sais, je lui ai mis des guillemets. Selon Bruno Le Roux, il devrait donc, de facto, ne plus exister. On peut toujours essayer…

    Gabrielle Cluzel
    Écrivain, journaliste

  • Eva Braun en Italie

    Image d'archives de 1941 - Née le 6 février 1912, Eva Braun a alors 29 ans.

    DélitD'images

  • A Marseille, une cité où les habitants veillent à rester entre Blancs et sans immigrés

    1602040043380096.jpg La Rouvière.jpg

    20h29

    C’est une ville dans la ville. 2 204 logements, sept immeubles dont quatre immenses barres de vingt étages chacune et une tour de trente niveaux construits sur 28 hectares, la Rouvière surplombe la baie de Marseille, dans le 9e arrondissement de la ville. Cette immense copropriété de 8 800 habitants, construite en 1962 pour héberger les rapatriés d’Algérie, est devenue au fil des années un village très protégé. Où, à deux pas des calanques et de la fac de Luminy, l’entre-soi est devenu la règle. Et le rejet de l’étranger arabe ou noir une consigne non écrite.

    Au nom de la « sécurité », les 8 800 habitants de la copropriété de la Rouvière veillent à rester entre Blancs.

    Un résident assure que le conseil syndical a demandé de signaler « tout signe de radicalisation à l’intérieur de la résidence ». Au regard de l’homogénéité très blanche des habitants de la Rouvière, on imagine mal de quel signe il pourrait s’agir.

     

    « On se sent bien à la Rouvière. Les gens sont polis et il n’y a pas de délinquance », remarque d’emblée Jacqueline Tournier. [...] Mais c’est surtout pour le « mode de vie » qu’ils voulaient venir, disent-ils : « C’est pas les quartiers nord, ici. » [...]

    Mais les mots résument l’atmosphère. Pour expliquer cette vigilance, le syndic parle d’« esprit de famille » : « On veut rester une résidence homogène, un contre-exemple de la mixité culturelle», avance Gilles Sindt. Avant de lâcher : «On est encore en France ici, avec des familles qui partagent les mêmes valeurs et la même culture. On ne veut pas de prosélytisme musulman ». Le fantasme de l’invasion se traduit depuis longtemps dans les trois bureaux de vote de la Rouvière. En décembre 2015, aux élections régionales, le Front national y a récolté entre 41 % et 46,5 % des voix.

    Le Monde

    Merci à Lilib

  • La condamnation pénale de la visite de sites Web adoptée au Sénat

     

    13h33

    Les sénateurs ont imposé mardi le délit de consultation habituelle de sites faisant l’apologie du terrorisme, contre l’avis du gouvernement qui estimait que la lecture seule ne pouvait pas être un délit pénal.

     

    Les sénateurs ont adopté mardi un article 10 à la proposition de loi antiterrorisme présentée par plusieurs sénateurs, qui vise à sanctionner pénalement le fait de consulter régulièrement des sites réputés d’apologie du terrorisme, peu importe l’adhésion ou non aux thèses exprimées. Il s’agissait d’une proposition devenue une obsession de Nicolas Sarkozy, malgré sa conformité tout à fait douteuse aux engagements internationaux de la France en matière de droits de l’homme, et en particulier de liberté d’expression et de communication — qui comprend le droit d’accéder à des informations.

    « Sur le fond, il est évident que depuis des années, le législateur réfléchit à la manière d’être efficace par rapport à ce que l’on constate sur Internet. Mais il me semble que depuis 2012, le législateur a fait tout ce qu’il pouvait faire dans ce domaine », a estimé en séance le nouveau ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas. « Ce qui est ici proposé, de créer un délit habituel de visite… ça ne peut pas être le seul fondement à une incrimination », a-t-il ajouté, en vain.

    (…) Numerama

  • Jérome Guedj , « frondeur » PS, loue son luxueux hôtel particulier sur Airbnb

    http://www.contre-info.com/jerome-guedj-frondeur-ps-loue-son-hotel-particulier-sur-airbnb

    WOS1408301352.jpg

    Jérôme Guedj (à droite) avec Taubira

     

  • Florian Philippot sur Public Sénat

  • Le gouvernement interdit désormais les manifestations des opposants politiques

     

    manif

    Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé mercredi l’interdiction de toutes les manifestations pouvant provoquer “des troubles à l’ordre public” à Calais (Pas-de-Calais), alors que la branche française du mouvement anti-islamisation Pediga comptait défiler ce week-end dans le centre-ville.

    J’ai demandé à la préfète [sic] du Pas-de-Calais de procéder à l’interdiction de toutes les manifestations, quels que soient leurs organisateurs, qui sont susceptibles d’occasionner des troubles à l’ordre public”, a indiqué Bernard Cazeneuve. Le ministre de l’Intérieur a également précisé que l’interdiction concernait “tous ces groupes qui appellent à la tension, à la division et à la violence” et qu’elle durera “aussi longtemps que le climat actuel demeurera”.

    (source Europe 1)

    Le gouvernement français s’arroge donc le droit de déterminer quelle manifestation légalement déposée est politiquement légitime. Un recul spectaculaire des libertés fondamentales en France.

  • MIEGE

    321328_195747550568932_1876273940_n.jpg

  • Finkielkraut arrive, l’accent circonflexe s’en va

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Finkielkraut-arrive-l-accent-circonflexe-s-en-va-37583.html

    Vie et mort d’un symbole de la langue française

    NdB:  Comment va-t-on écrire "Bête" par exemple?

  • Italie : un SDF local mort de froid au pied d’un hôtel 4* réservé aux clandestins

    clochard-04.png

    Partager sur Facebook Tweeter

     

    03/02/2016 – EUROPE (NOVOpress)
    Sources : Trentino / Video 33 / Hotelsclick

    Le 1er février, un SDF a été retrouvé mort dans le centre de Bolzano. Son corps a été retrouvé par des passants sur un lit de fortune fait de boîtes en carton le long du mur de l’Hôtel Alpi, qui accueille actuellement les clandestins de la région. Selon les informations préliminaires de la police, le corps de l’homme ne présente pas de traces de violence. Il y a quelques jours, un autre SDF était mort à Bolzano : mais là, il s’agissait d’un meurtre pour lequel était recherché un immigrant illégal. Et ce matin, la police a arrêté un suspect tunisien de 28 ans lors d’une bagarre à l’intérieur d’un centre d’urgence mis en place à Bolzano pour loger les sans-abri en hiver.

    NDLR : La tragique ironie de cette histoire est que l’Hôtel Alpi a été « privatisé » début 2015 pour recevoir des immigrants arabes. Ceux-ci se sont d’ailleurs plaint plusieurs fois de leurs conditions d’hébergement, de la nourriture et du peu d’argent qu’ils reçoivent. Un reportage de Video 33, la chaîne locale de Bolzano sur ces manifestations avait d’ailleurs été interdit de diffusion pour ne pas alimenter les réactions « racistes » de la population locale.
    clochard 01
    Description de l’Hotel Alpi :
    L’hôtel dispose de chambres bien aménagées et de nombreux services vous assurant le maximum du confort, y compris un accès Internet Wi-Fi gratuit dans tout l’immeuble, un bar, un restaurant et des salles de réunion. De plus, l’espace bien-être, situé à proximité, vous attend avec un choix varié de soins thermaux, sauna, bain turc et bain hydrothérapeutique. L’hôtel Best Western Alpi est situé idéalement dans le centre de Bolzano, à 100 mètres de la gare, de la cathédrale Duomo, du théâtre et des boutiques élégantes, offrant aux hôtes la solution de logement parfaite que vous séjourniez pour les affaires ou des vacances.
    clochard 02
    clochard 03

    NdB: Quelle honte et quel scandale!

  • VIDEO. Marseille: Les marins-pompiers réaniment un petit chien coincé dans un appartement en feu


    BMPM: FEU D'APPARTEMENT CENTRE VILLE par Marine-Nationale

     

     L'animal était resté coincé dans un appartement en feu…

     

    A.R.

    Deux jeunes femmes, intoxiquées par les fumées, ont été prises en charge. Et un petit chien a été secouru. Samedi, à 14 h 45, le Bataillon de marins-pompiers de Marseille est appelé pour un incendie dans un appartement de 80 m2 de la rue Venture (1er).

    Déployant une échelle et trois fourgons incendie, le sinistre est totalement maîtrisé à 15 h 30. « Nous avons sorti le petit chien des propriétaires de l’appartement qui était resté à l’intérieur, soulignent les secours. Nous l’avons réanimé et il a retrouvé ses esprits ». Dans la vidéo, tournée sur place, les marins-pompiers font un massage cardiaque au chien.

    20minutes

  • La dictature castriste légitimée par Hollande!

    sans-titre.png dictature castriste.png




     

     

    En 2012, faisant la leçon à Sarkozy, François Hollande proclamait qu’être président, ce n’était pas recevoir les dictateurs en grand apparat… Avec lui, jamais la France n’a plus justement revendiqué d’être la patrie universelle des droits de l’Homme. Son Président, avec un courage qui tient de ce que l’une de ses ex-compagnes aurait appelé la « bravitude », a évoqué la question du droit des personnes avec le dictateur cubain pour qui l’on avait déroulé avec ostentation le tapis rouge. Sa couleur soulignait pour une fois l’honneur qu’on lui réservait et non la couleur politique de sa dictature, ni le sang versé par les opposants. La gauche française qui a toujours tendance à croire que la Révolution a commencé en 1793 ne réprime qu’avec difficulté l’élan de sympathie qui la pousse l’oeil brillant et les bras ouverts vers ce que le Livre Noir du Communisme appelait à juste titre l’interminable totalitarisme tropical. On gage que l’allusion à la liberté d’expression durant la conversation entre présidents fut courtoise et succincte.

    Pour la gauche française au pouvoir, il y a trois sortes de dictatures. Celles de droite sont ignobles et infréquentables même lorsqu’elles restaurent l’économie d’un pays. Celles de gauche inspirent la sympathie pour leur sens du progrès même quand elles précipitent un peuple dans la misère et l’y maintiennent. Leur difficulté avec la liberté n’est qu’un tragique accident de l’histoire provoqué par la hargne et la perfidie des réactionnaires locaux. Pinochet, no ! Castro, Si ! Le fait que l’un ait rétabli la démocratie après un référendum dans un pays à l’économie relancée alors que l’autre ou son frère sévissent toujours dans leur île de pauvreté ne gêne nullement les admirateurs et sympathisants de Cuba et néanmoins socialistes français. On les comprend : en France, au bout de quelques années de mauvaise gouvernance, le peuple les congédie.

    La troisième catégorie est celle des régimes autoritaires riches. Il y a pour eux des accommodements raisonnables. Le Roi d’Arabie Saoudite qui bombarde les Yémenites, comme son adversaire chiite, le Président Iranien, dont le pays retrouve sa fortune, sont éminemment fréquentables. Leur concours dans la mise en oeuvre des peines capitales ne nous regarde pas. La différence entre la deuxième catégorie et la troisième est simple. A la troisième, on fait les yeux doux pour vendre. A la seconde, avec une générosité portée par la sympathie idéologique, on remet la dette et on promet une aide à l’investissement local. Lors de la visite de François Hollande à La Havane, on avait pu voir le regard enthousiaste de Mme Taubira accompagné d’un rayonnant sourire à destination du dictateur cubain. Entre militants des droits de l’homme et de la liberté, le courant passe !

    Ce clivage subit depuis quelque temps une évolution. Selon François Hollande, la guerre froide est finie. C’est vrai depuis longtemps et beaucoup des dictatures de droite qui résistaient au communisme, notamment en Amérique latine, ont disparu, tandis que les satellites de l’URSS s’effondraient. Mais la dictature cubaine s’est maintenue. Le Castro qui visite Paris est celui qui tenait le ministère de la défense, réactiva les tribunaux militaires et fit du poteau d’exécution un outil judiciaire permanent. Plus de 100 000 Cubains ont connu les camps, 17 000 ont été fusillés, 20% des Cubains ont voté avec leurs rames et choisi l’exil. C’est peut-être l’un d’eux qui sera le prochain président républicain des Etats-Unis. Mais le pouvoir responsable de cette tragédie est celui qui a eu droit à l’accueil chaleureux de politiciens et de « cultureux » qui ont ainsi révélé la place respective de la liberté et de l’idéologie dans leurs postures et leurs signatures. Jacobo Machover, l’auteur de « Cuba, une Utopie cauchemardesque » avait dénoncé la complaisance complice de nombre d’intellectuels français à l’égard du régime castriste. Il vient de fustiger la légitimation de Raul Castro qui est la légitimation de la répression.

    En réalité, les Etats-Unis d’Obama ont rallumé la guerre froide contre la Russie. François Hollande adopte dans cette nouvelle configuration l’attitude du suiveur docile au point de vouloir aller plus loin que son maître. Il voulait bombarder Assad, il veut maintenant faire avancer la fin de l’embargo que réclame le Président Américain. Il y a donc toujours les bons et les mauvais régimes autoritaires suivant le regard que Washington porte sur eux. La gauche politique et médiatique peut donner libre cours à son tropisme castriste puisque les progressistes américains draguent désormais Cuba. On remet sa dette à Cuba tandis qu’on fait subir aux paysans français les conséquences des sanctions injustifiées imposées par les Etats-Unis à la Russie de Poutine. Plus que jamais, c’est le cas de le dire, le microcosme politico-médiatique français est hors-sol. Le Prix Nobel de littérature péruvien  Mario Vargas Losa avait eu la clairvoyance et le courage de condamner le régime cubain. C’est lui aussi qui dénonçait « la Civilisation du spectacle » et la frivolité des politiques. La mise en scène brillante mais incohérente de notre politique par ceux qui nous dirigent ne lui donne que trop raison.

    NDF