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  • Nouvel appel au meurtre du président Trump à la télévision d'état française !

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (28/02/2017) Un nouvel appel au meurtre du président américain a été tenu à la télévision d’état française. L’humoriste Florence Foresti a déclaré « avoir décidé » que Donald Trump se « ferait descendre ».

    Aucune réaction du CSA – l’organisme de censure des médias hexagonaux – n’a suivi ces déclarations stupéfiantes. Un fait qui démontre de la part du gouvernement français une volonté d’entretenir un climat de haine et d’hystérie contre le nouveau président américain.


    En savoir plus sur http://breizatao.com/2017/02/27/nouvel-appel-au-meurtre-du-president-trump-a-la-television-detat-francaise-video/#CzED8UilRsY1hWVO.99
  • JOURNAL TVL DU 28.02.17

    Ne pas manquer le beau discours de Marine au Mont Saint-Michel!

    Que le Grand Archange sauve la France!

  • Communiqué de Wallerand de Saint Just, trésorier du Front National

     

     

    Communiqués / 25 février 2017 / /
     

    Le journal « Le Monde » publie ce 24 février un article dans lequel il est écrit notamment ceci : « La police judiciaire a saisi un document qui pourrait se révéler très compromettant pour le parti d’extrême droite. Il s’agit d’une note retrouvée dans l’ordinateur du trésorier du FN, Wallerand de Saint-Just, qui laisse penser qu’un véritable système de financement du parti via le Parlement européen et les assistants parlementaires a été pensé en amont, et en haut lieu, pour faire supporter intentionnellement à l’Union européenne ses dépenses ».

    En premier lieu, il faut constater que la police et les magistrats ont donné à un journaliste du Monde un document couvert par le secret de l’enquête.
    Wallerand de Saint Just dépose donc plainte pour violation du secret de l’enquête et de l’instruction en notant que, dans cette affaire comme dans tant d’autres, mais spécialement dans celle-ci, les policiers et les magistrats font, scandaleusement, de la violation du secret de l’enquête, leur arme favorite.

    En second lieu, le journal Le Monde ne publie curieusement pas le document en question. Certainement parce qu’en réalité, une telle note pouvant faire penser à un système organisé n’existe pas et que le journal ne dit pas la vérité.

    Dans ces conditions, Wallerand de Saint Just dépose plainte en diffamation contre le journal Le Monde. Il n’est pas admissible que ce journal m’impute, au moyen d’un document malhonnêtement obtenu mais non publié, le fait d’avoir voulu organiser un système frauduleux du financement du Front National.

  • . Cazeneuve, seriez-vous coupable de collusion avec les casseurs?

    Le témoignage d’un policier, paru ce lundi sur le site Breiz-info, accuse très précisément le gouvernement d’avoir laissé faire les casseurs.

    Journaliste

    Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

     
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    Le témoignage d’un policier, paru ce lundi sur le site Breiz-info, accuse très précisément le gouvernement d’avoir laissé faire les casseurs, en totale impunité, pendant deux jours dans les rues de Nantes où Marine Le Pen avait invité ses électeurs à venir l’écouter au Zénith. Le résultat n’a pourtant pas été à la hauteur de ce que pouvaient espérer M. Cazeneuve et ceux qui se sont ouvertement prononcés pour la victoire de M. Macron. Malgré l’attaque en règle de plusieurs bus amenant les militants au rassemblement mariniste, la salle était pleine.

    Pendant deux jours, la ville a donc été livrée à quelques centaines de jeunes antifas et autres extrémistes. Les forces de police et de gendarmerie avaient pourtant été dépêchées en nombre pour faire face aux hordes de casseurs. Mais on les a vues reculer dès que les ninjas cachés sous leurs cagoules s’avançaient vers eux. Malgré les dizaines de grenades lacrymogènes, au bout de 48 heures, on comptait seulement huit interpellations, qui se sont terminées par quatre misérables gardes à vue.

    De la vaste rigolade, car en face, il y eut onze blessés dont un gendarme brûlé au second degré par un cocktail Molotov. 

Le policier a témoigné sous anonymat, tout en précisant que ses collègues et lui ne vont pas tarder à dire ce qu’ils ont sur le cœur à visage découvert, tant ils sont écœurés.

    « 

J’ai honte de ma hiérarchie. Honte de ce gouvernement, honte de la préfecture et de toutes ces personnes planquées derrière des bureaux et leur idéologie malsaine. Cela fait des mois, des années, que les mêmes manifestations se déroulent à Nantes. Les noyaux durs des zadistes sont identifiés nominativement. Les noyaux durs des groupes d’extrême gauche sont identifiés… Mais le fait est que rien n’est fait, en plein état d’urgence, pour les empêcher de nuire. »

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Et d’accuser non seulement le gouvernement mais aussi la Justice, qui n’applique pas la loi :

    « On pourrait faire des arrestations préventives si la Justice le permettait, profitant des nouveaux pouvoirs légaux apportés par l’état d’urgence. On pourrait aussi, pour la plupart des manifestations qui ne sont pas déclarées, arrêter tout le monde dès le début, placer en garde à vue toute la troupe et faire en sorte que les personnes armées ou les meneurs écopent de peines de prison ferme. La loi le prévoit. Il suffit de l’appliquer.

     

    Selon lui, ces manifestants sont souvent des gamins qui profitent du mythe du Black Bloc pour faire peur : « Il ne faut pas que les gens se fient aux images : derrière les uniformes noirs et les masques à gaz, il y a parfois des gamins, très jeunes. » Ce jeune policier explique aussi que l’utilisation du gaz lacrymogène est inefficace et « qu’il ne sert pas à grand-chose si ce n’est à énerver tout le monde ». Et d’ajouter que lui et ses coéquipiers sont pourtant formés aux techniques d’encadrement et d’arrestations massives : « Il suffit d’entourer les 300 fauteurs de trouble. Et d’arrêter massivement. Nous aurions trouvé des armes, et tous les leaders qui s’étaient réunis dès le vendredi soir sur Nantes. »

    « On va nous rétorquer la crainte des dérapages et des violences policières. Mais à partir du moment où vous êtes avec une arme, cagoulé, dans un cortège bien spécifique, c’est que vous cherchez quelque chose, non ? »

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Sa conclusion exprime le ras-le-bol de ces policiers que Cazeneuve et son inexistant ministre de l’Intérieur envoient au casse-pipe à chaque manif sans qu’ils puissent ni se défendre ni faire respecter la loi.

    « Le laisser-faire des manifestations d’ultra-gauche, c’est la même chose que lorsqu’on vous apprend que mes collègues ne vont plus dans certains quartiers perdus. C’est politique. C’est de la frousse. C’est du renoncement. C’est de la lâcheté. Et cette responsabilité, c’est ma hiérarchie, ce sont les gouvernements successifs, et donc l’État, qui la portent. »

    BV

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