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Zuma (Afrique du Sud) appelle à « l’expropriation des fermiers blancs sans compensation »
17h33Le président Jacob Zuma a appelé le Parlement à modifier la constitution sud-africaine pour permettre l’expropriation des terres détenus par les blancs sans compensation.
M. Zuma, âgé de 74 ans, qui a fait ces remarques dans un discours d’hier, a déclaré qu’il voulait établir un «audit foncier pré-colonial des modes d’occupation des terres et d’occupation» avant de changer la loi.
« Nous devons accepter la réalité que ceux qui sont au Parlement où les lois sont faites, en particulier les partis noirs, devraient s’unir parce que nous avons besoin d’une majorité des deux tiers pour apporter des changements à la constitution », at-il dit.
M. Zuma, qui est passé d’un scandale à un autre depuis son élection en 2009, a adopté un ton plus populiste depuis que son parti au pouvoir, le Congrès national africain (ANC) a subi le pire résultat électoral en août dernier depuis la fin de l’apartheid en 1994.
Le parti a perdu le centre économique de Johannesburg, la capitale Pretoria et la ville côtière de Port Elizabeth au parti de l’Alliance démocratique modérée, qui gérait déjà la ville du Cap.
Les propos de M. Zuma ont causé l’indignation parmi les groupes représentant les agriculteurs afrikaners vendredi.
Le Boer Afrikaner Volksraad, qui prétend représenter 40.000 membres, a déclaré que ses membres prendraient une expropriation de terre sans compensation comme «une déclaration de guerre».
« Nous sommes prêts à nous battre », a déclaré Andries Breytenbach, le président du groupe. «Nous avons besoin d’une médiation urgente entre nous et le gouvernement. « Si cela commence, cela se tranformera en une guerre raciale que nous voulons empêcher. »
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Plainte auprès du CSA après le double appel au meurtre du Président Trump à la télévision d'état française
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« Made for sharing » : Qui « partage » encore le respect de la langue française ? Par Pierre-Emile Blaison
C’est emblématique : Le français devint la langue officielle des nouveaux Jeux Olympiques et l’anglais la langue de secours lorsque Pierre de Coubertin décida de rénover les Jeux de la Grèce antique en 1894. Et voilà que le Comité de candidature Paris 2024 choisit un slogan en anglais pour défendre les couleurs de la capitale française : made for sharing, « fait pour être partagé », un slogan (au demeurant idiot) qui n’est pas vraiment made in France.
Un collectif d’associations de défense de la langue française a intenté une action en justice contre le Comité, estimant que ce slogan constitue une « insulte caractérisée à la langue française », démarche soutenue par le consensuel et inamovible Pivot.
Depuis l’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539, la langue française, issue du latin et mâtinée de vieux gaulois, s’est affermie et embellie jusqu’à devenir, à partir du XVIIIe siècle, la langue des toutes les cours d’Europe.
Quand a commencé le déclin de la langue française ? Peut-être dès la Révolution française, avec l’apparition du monde et du mode bourgeois, qui se souciaient surtout de … compter. Plus sûrement avec la catastrophique pseudo-révolte de mai 68 dont sont issus nos gouvernants actuels et qui n’avait de cesse de faire table rase de l’identité française.
Nous écoutons encore avec émotion ces reportages des années 60 où l’on entend s’exprimer des Français de condition modeste avec une élégance de langage avec laquelle peu d’universitaires de nos jours sauraient rivaliser.
Que s’est-il passé ? Pour quelles raisons notre langue a-t-elle perdu si rapidement son aura dans le monde mais aussi… en France ? Les responsables du désastre sont nombreux, à commencer par l’Education nationale, quand elle a remplacé l’Instruction publique, les évolutions techniques des moyens de communication, la dégradation des mœurs politiques, la mondialisation qui a imposé l’universel globish, sorte d’anglais rudimentaire, les jargons de spécialistes dans le monde de l’entreprise ou de la communication, le « multiculturalisme », la vanité des intellectuels, cuistres qui ont oublié le précepte de Montaigne : « La recherche des phrases nouvelles et des mots peu connus vient d’une ambition puérile et pédantesque. Puissé-je ne me servir que de ceux qui servent aux Halles de Paris. » Montaigne, qui avait rassemblé dans une même phrase les deux extrémités du spectre linguistique, serait effaré de constater que le langage des Halles actuelles occupées par des bandes ethniques se limite à quelques borborygmes et onomatopées.
La langue française était devenue, au fil des siècles, un splendide instrument de précision, minutieusement codifié, où chaque mot a une histoire, comme un être humain, dont la physionomie actuelle reflète tout un passé marqué d’épreuves et d’aventures.
La langue est l’ossature et la fierté d’un peuple. Tout peuple qui renie sa langue disparaît.
Pierre-Emile Blairon
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Suède, une tyrannie raciste…
par Anatoly Livry, le 4 mars 2017
La Suède est l’exemple parfait de ce qu’aurait pu devenir l’Occident indo-européen peuplé d’ethnies nordiques si certaines sectes cosmopolites ne s’étaient pas acharnées à les jeter les unes contre les autres dans de perpétuelles guerres fratricides.
« L’Aryen est trop bon de nature », disait un génie français des lettres. C’est cette extrême soif de justice dont abusent depuis des siècles des manipulateurs pour que les peuples blancs s’entre-massacrent.
La Suède fut épargnée pendant plusieurs décennies de ces guerres meurtrières. Le génie nordique a dès lors réussi à créer dans cette Scandinavie au climat rude – car hormis Skåne et Småland, les étés y sont extrêmement courts – une civilisation unique en son genre, extrêmement nuancée et différente d’un comté à l’autre.
Ce sens aigu de l’équité et de l’éclectisme propre aux Germains avait jusqu’à présent permis la défense de la communauté nationale tout entière, protégeant la caste des créateurs de richesse et permettant un ascenseur social fulgurant.
Les réussites techniques ou artistiques de cette petite nation du Nord sont sans aucune mesure avec ce qu’une caste religieuse qui prétend détenir la sagesse universelle a pu plagier à travers le monde.
C’est donc ce charmant univers des Germains du Nord qu’il fallait démolir le plus rapidement possible, afin d’effacer l’image même de ce que savent créer les nations spirituellement les plus sophistiquées si on les laisse tranquille durant quelques décennies.
« Je te pénètre par là où tu es le plus fort et j’utilise ta propre puissance contre toi », dit une vieille pratique perverse centenaire ayant détourné et plagié dans ses intentions de bassesse l’antique précepte du mithriacisme.
C’est ce réflexe de protection envers les membres de sa communauté que l’on a utilisé pour subvertir la Suède, y installant progressivement une oligarchie raciste, détestant par un instinct bestial sa propre race.
Puis, une fois que ces oligarques ont fait accepter cette religion de l’autodétestation à la nation suédoise, la tyrannie a été imposée. Ainsi, depuis 2014, la Suède ne peut plus changer de gouvernement, et ce, jusqu’en 2022 (Cliquez ici).
Ce putsch tyrannique a été perpétré à la vue et au su du monde entier, mais comme il s’agissait d’empêcher les Suédois de bloquer les budgets que les tyrans reversent à des occupants allogènes importés en toute urgence de l’Afrique subsaharienne et des montagnes de l’Afghanistan… Les tyrans instaurent ainsi une progressive extermination des Suédois de Suède, génocide que des collabos à la tyrannie appellent « multiculturalisme ». Celui-ci suit toujours trois stades :
- Terreur occasionnelle de la population autochtone par le grand banditisme et le viol de masse : la Suède est un pays où 2 % d’hommes afro-asiatiques commettent environ 90 % des viols racistes car dirigés exclusivement contre des femmes aryennes. En outre, la Suède est le pays du monde où le grand banditisme utilise le plus d’armes de guerre, grenades explosives comprises (Cliquez ici).
- Instauration de territoires séparatistes où les personnes de race blanche ne peuvent accéder sans mettre leur vie en danger : la Suède compte actuellement 55 zones ethniques où les pouvoirs de l’État ne s’exercent plus (Cliquez ici).
- Une guerre totale menée par les allochtones à la fois contre le Pouvoir central et les autres « communautés ».
Actuellement, la Suède se situe, comme la plupart des autres pays occidentaux d’ailleurs – France, Belgique, Grèce, Italie, Allemagne,… – entre le 2e et le 3e stade de ce « multiculturalisme » tant vanté par ces collaborationnistes haïssant leur peuple. Et dès qu’une nation essaie de refuser son assassinat programmé, ces tyrans, par réflexe, se trahissent, vomissant leur haine de leurs propres origines. Ainsi, les nations anglo-saxonnes ayant exprimé leur veto au cosmopolitisme par l’élection d’un Trump ou par le choix d’un Brexit sont publiquement injuriées à Stockholm lors d’événements d’importance nationale (Cliquez ici).
Pire encore : les télévisions subventionnées par l’État pratiquent un racisme ouvert par une subversion permanente, enseignant une nouvelle histoire raciale de Suède où des Congoïdes auraient vécu dans des villages vikings ou à la Cour de Gustav III (Cliquez ici).
Les bustes des professeurs et des académiciens, de race blanche naturellement, qui ont fondé cette science suédoise supérieure reconnue à travers le monde entier (Linné, Celsius, Alfvén,…) sont chassés des murs académiques par des tyrans racistes, leur seule faute étant d’appartenir à la race indo-européenne (Cliquez ici).
Quant aux féministes psychopathiques siégeant au gouvernement et détruisant la famille traditionnelle scandinave, elles émasculent le trop bon mâle. Cependant, quand elles vont en Iran, ces doctrinaires frénétiques s’habillent en femmes soumises mahométanes : tel est leur grand combat contre le « racisme », le leur n’en étant évidemment pas un, tant qu’il est exclusivement dirigé de facto contre le mâle blanc hétérosexuel garant de toute civilisation créatrice qui ne veut succomber (Cliquez ici).
Où trouver la puissance pour que la Suède, tout comme les autres pays occidentaux, se dépouille de cette tyrannie raciste qui l’assassine ?
Philippe Randa, Directeur d’EuroLibertés.
Merci à Dirk
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"On leur a tout donné et ils nous ont tout pris, même la fierté."
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Florian Philippot face à l'agressivité d'Audrey Pulvar
"Le mur des connes"...