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Robert Ménard : Condamnation des crèches de Noël - ce n’est pas fini !
Après avoir gagné en première instance, Robert Ménard, maire de Béziers, vient d’être condamné en appel pour avoir installé une crèche en décembre 2014 dans le hall de l’hôtel de ville. À l’initiative de la plainte, la Ligue des droits de l’homme, qui n’a décidément rien de mieux à faire… À moins de trois semaines du premier tour de l’élection présidentielle, Robert Ménard demande à tous les candidats de se prononcer sur la question. Et attend avec impatience la réponse de François Fillon, qui vient d’annoncer comme possible « Premier ministrable » François Baroin, celui-là même qui souhaitait faire voter une loi interdisant les crèches dans les bâtiments publics… La suite devant le Conseil d’État…
BV
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Tunisie: la thèse d'une étudiante "prouvant" que la Terre est plate provoque stupeur et consternation dans le monde universitaire
Le Coran dit que la Terre est plate et que le soleil tourne autour...
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Grand débat- Clash violent entre Marine Le Pen et Mélenchon à propos des crèches dans les mairies
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Rappel: Sur les 7 pays qui condamnent les homosexuels à la peine de mort tous sont musulmans. Silence des associations.
Sur les 7 pays qui condamnent toujours les homosexuels à la peine de mort (Mauritanie, Nigeria, Soudan, Somalie, Arabie saoudite, Iran, Yémen) tous sont musulmans. Et même lorsque les gays ne sont pas exécutés, la persécution est endémique. The Economist revient sur le débat sur l'homosexualité dans les sociétés islamiques.
Le journaliste raconte notamment qu'en Iran, les homosexuels de sexe masculin sont généralement poursuivis pour d'autres motifs que leur orientation sexuelle. En septembre 2010, trois hommes y ont pourtant été exécutés pour sodomie. Les pays aux lois les plus sévères ne sont pas forcément ceux qui condamnent le plus fermement l'homosexualité, comme l'Arabie saoudite, ou la Syrie, où la police arrête «rarement» des gays. Et lorsque les lois sont plus douces, les autorités trouvent d'autres moyens de répression.
The Economist explique par exemple qu'à Amman, en Jordanie, de nombreux lieux de sortie gays ont dû fermer leurs portes pour de faux motifs, comme la vente illégale d'alcool. Et même lorsque l'homosexualité n'est pas illégale (Turquie), la censure officielle peut être dure: en 2010, Selma Aliye Kavaf, alors ministre aux Affaires familiales, a parlé de «maladie» en évoquant l'homosexualité.
Des charges pour homosexualité peuvent également être utilisées dans la répression politique. Depuis 1998, le leader de l'opposition malaysienne Anwar Ibrahim a été jugé plusieurs fois pour sodomie.
(...)
Rappel: Pour l'Association des étudiant-e-s en études genre, c'est l'homme blanc hétérosexuel le problème.
Les observateurs.ch
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Marion: ses divergences internes avec Marine Le Pen
Par Emmanuel Galiero
Mis à jour le 04/04/2017 à 12h54VIDÉO - La députée du Vaucluse prône la suppression des régimes spéciaux de retraite, un point qui ne figure pas dans le programme du FN. «Elle n'est pas présidente du FN», rectifie sa tante.
Si Marion Maréchal-Le Pen a régulièrement affirmé son intention de soutenir Marine Le Pen dans la campagne présidentielle, ses dernières interventions laissent planer un doute sur le climat actuel entre les deux femmes. Lundi, la députée du Vaucluse a affirmé que le Front national souhaitait «évidemment remettre en cause les régimes spéciaux» de retraite, les jugeant «extrêmement chers» et non justifiés. Invitée à réagir sur ses propos, Marine Le Pen a corrigé le tir, dès mardi sur Sud Radio et Public Sénat, en estimant au contraire que ces régimes spéciaux se justifiaient «tout à fait». La présidente du Front national en a profité pour reconnaître «clairement des différences» avec certaines positions de sa nièce, comme sur l'IVG.
Mais, tout en en considérant que Marion Maréchal-Le Pen exprimait sa «conviction» et son «sentiment, refusant d'y voir un signe de discorde ou de «nuisance» entre elles, la candidate du FN a souhaité rappeler leur différence: «Elle n'est pas présidente du FN, donc elle se sent libre en réalité de porter ses idées à elle». «Moi je suis présidente du FN, a-t-elle ajouté, je porte donc les idées du FN, nous sommes dans une situation différente.» Concernant les régimes spéciaux, Marine Le Pen souhaite être «pragmatique» et les regarder «un par un, tranquillement, après l'élection». Elle estime, par exemple, que ceux des marins pêcheurs ou des militaires se «justifient totalement».
«Un peu raide»
Cette nouvelle fissure affichée entre les deux élues du FN révèle l'existence de deux courants existant au sein du parti. D'un côté, une ligne plus étatiste portée par Marine Le Pen et son vice-président Florian Philippot, de l'autre la ligne de Marion Maréchal-Le Pen, ancrée sur une approche plus libérale de la société. Mais l'émergence de ces divergences s'inscrivent dans le prolongement d'un entretien publié dans l'hebdomadaire Femme actuelle, le 27 mars. L'élue du Vaucluse avait moyennement apprécié certaines déclarations de sa tante la concernant, disant notamment qu'elle ne lui devait «rien», qu'elle n'avait pas «d'ascenseur» à renvoyer et que sa nièce était sans doute «un peu raide» sur certains sujets, comme d'autres jeunes de sa génération. Marine Le Pen avait aussi expliqué qu'elle n'envisageait pas de confier un ministère à sa nièce, ni à son compagnon Louis Aliot, compte tenu de la sensibilité actuelle de l'opinion face aux liens entre politique et sphère familiale.
La discrétion de Marion Maréchal-Le Pen dans la campagne est parfois interprétée comme une forme de lassitude. Lundi, sur le plateau du Talk Le Figaro, écartant tout problème entre la direction du parti et la jeune députée, Louis Aliot a affirmé que tout le monde était traité à la même enseigne et rassemblé derrière Marine Le Pen. La candidate a expliqué qu'elle ne souhaitait pas que ces divergences, exprimées au grand jour, parasitent sa campagne. «Je pense que Marion est tout-à-fait consciente que nous sommes dans une campagne présidentielle et que le temps de la campagne des législatives viendra», a-t-elle dit, comme si elle considérait que les débats internes n'étaient pas les bienvenus à ce moment du combat frontiste.
Le Figaro