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  • JOURNAL TVL DU LUNDI 22 MAI

  • Malgré les mensonges de la presse, l’imposture Najat Belkacem éclate chez Ruquier

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Malgre-les-mensonges-de-la-presse-l-imposture-Najat-Belkacem-eclate-chez-Ruquier-45837.html

  • VIDEO - Marine Le Pen taxe Sylvie Goulard, ministre des armées, d' européiste fanatique


    Marine Le Pen s’en prend à Sylvie Goulard... par Lopinionfr

  • Quand les bandes ethniques terrorisent les Parisiennes – par Gabriel Robin

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    Remarquez les femmes voilées place de la Chapelle

     

     

    Il est sidérant de constater que de véritables « no go zones » interdites au sexe féminin puissent exister en plein Paris.

    Relayée par Le Parisien, la pétition lancée par les femmes du quartier Chapelle-Pajol, situé dans les dixième et dix-huitième arrondissements de la capitale, a suscité une vive émotion médiatique. Il est sidérant de constater que de véritables « no go zones » interdites au sexe féminin puissent exister en plein Paris.

    En cause : des bandes ethniques constituées d’hommes seuls qui terrorisent les passantes, leur interdisant l’accès aux cafés et aux restaurants. Dans le quartier, une faune sévit, s’arrogeant tout pouvoir sur les Parisiens honnêtes. Trafiquants de drogues, « migrants » échoués là, Africains écoulant des sacs Vuitton contrefaits et « jeunes » méprisent les riveraines, assimilées à du bétail, à un butin de guerre.

    « Désormais, la place de la Chapelle, la rue Pajol, la rue Philippe-de-Girard, la rue Marx-Dormoy, la station de métro et le boulevard de la Chapelle sont abandonnés aux seuls hommes : plus une femme, dans les cafés comme la Royale ou le Cyclone. Pas un enfant dans le square Louise-de-Marillac. Certaines d’entre nous se terrent chez elles »

    ont ainsi déclaré les pétitionnaires. Des mots que l’on croyait réservés à des pays plus arriérés que le nôtre, aux mœurs frustes et grossières. Malheureusement, l’immigration de masse et le laxisme auront très vite raison du mode de vie français si nous n’agissons pas.

    Toutefois, ces faits ne sont pas nouveaux. Quand ils avaient cours dans les banlieues et les périphéries urbaines, ils n’émouvaient pas beaucoup les belles âmes qui s’égosillent sur les plateaux de télévision. Contrairement aux habitants de notre plus grande métropole, les Français les plus modestes n’ont jamais eu de représentants pour dévoiler les sévices qu’ils subissaient…

    Quand un auteur du Club Mediapart écrit que la surpopulation masculine du quartier « peut créer un sentiment de malaise pour les femmes », ajoutant que le « non-aménagement public accentue le sentiment d’insécurité » dans une zone où on aurait « du mal à tenir sur un trottoir » ; il oublie qu’on a longtemps expliqué aux Français l’antithèse de son raisonnement, c’est-à-dire que les gamins des « quartiers populaires » étaient violents parce qu’ils habitaient des zones tenues à l’écart des activités de la ville…

    L’expression « sentiment d’insécurité » devrait, d’ailleurs, être bannie du champ lexical des hommes et des femmes politiques, tant elle est méprisante pour ceux qui sont les victimes du désordre public généralisé qui s’est emparé de la France depuis plus de 30 ans. Cette novlangue est le cache-sexe de la faillite de l’État à assurer sa mission première, telle que définie par ceux qui l’ont imaginé – les Bodin, Machiavel et Hobbes : protéger !

    Les gauchistes névrotiques sont en train de monter leur croix. Obnubilés par Big Other, victime ontologique de l’Occident, de la France ou du patriarcat, ils lui passent tout et finiront par y passer. À Paris, certains d’entre eux ont même eu l’outrecuidance d’insulter les femmes pétitionnaires, de les culpabiliser en les qualifiant de « racistes ». Ils sont pires que les agresseurs, tant parce qu’ils sont à l’origine de leur venue que parce qu’ils offrent un cadre idéologique au laisser-faire.

    Gabriel Robin

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

  • L'infâme Dr Lecoqierre incite au viol des jeunes femmes qui votent FN

    http://www.fdesouche.com/855033-maitrisons-sexuellement-les-petites-frontistes-decerebrees-maj-le-medecin-sanctionne-par-lordre-choisit-de-deplaquer

  • Najat Vallaud-Belkacem - On n'est pas couché - 20/05/2017


    Najat Vallaud-Belkacem - On n'est pas couché 20... par onpc

    Un plaidoyer qui ne convainc pas...

  • Inde. Il tente de la violer, elle lui tranche le pénis

    • Publié le
    • Mis à jour le

     

    • Les faits se sont déroulés dans l’Etat du Kerala, au sud de l’Inde
    • L’étudiante indienne a indiqué que l’homme l’agressait depuis des années

    Cet agresseur sexuel ne devrait pas recommencer. Un homme de 54 ans a eu le pénis coupé par une étudiante qu’il tentait de violer en Inde, dans l’Etat du Kérala, a annoncé la police samedi.

    La jeune femme de 23 ans se trouvait dans sa maison de Thiruvananthapuram, la capitale de l’Etat de Kerala, tard vendredi, a-t-elle raconté, lorsqu’elle a été attaquée par un homme de 54 ans, qui assurait à sa famille être un gourou religieux.

    Une plainte pour agression sexuelle sur mineure et viol

    « Elle a utilisé un couteau pour se défendre et lui a coupé le pénis », a précisé le responsable de la police de la circonscription G. Sparjan Kumar, joint par téléphone. « L’homme, Hari Swami, a été transporté en urgence dans l’hôpital le plus proche dans un état grave », a-t-il ajouté. Les médias locaux ont ensuite rapporté que ce dernier se trouvait désormais dans un état stable.

    L’étudiante indienne a indiqué que l’homme l’agressait depuis des années, d’après G. Sparjan Kumar, qui a enregistré une plainte contre Hari Swami pour agression sexuelle sur mineure et viol.

    >> A lire aussi: Une petite fille de 10 ans violée par son beau-père est autorisée à avorter

    Les parents de la jeune femme ignoraient les faits, selon la police. Elle a « expliqué que ses parents avaient une confiance aveugle en M. Swami, qui avait l’habitude d’être invité pour animer des cérémonies spéciales et de s’attarder dans cette maison, où il l’a agressée », a détaillé G. Sparjan Kumar.

    D’autres agressions de ce genre, impliquant des religieux, ont été déjà été rapportées dans cet Etat du sud de l’Inde. L’année dernière, un prêtre avait été condamné à 40 ans de prison par le tribunal de Kerala pour avoir violé une fille de 12 ans en 2014.

    20Minutes

  • Une citation de Dominique Venner

    Source:
    (fr) Histoire et tradition des Européens : 30 000 ans d'identité, Dominique Venner, éd. Éditions du Rocher, 2004 (ISBN 978-2-268-07308-8), chap. 3 « Une histoire avant l'histoire », sect. « La trifonctionnalité indo-européenne », p. 60 (voir la fiche de référence de l'œuvre)