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  • Lyon : un procès aux Assises après l’agression du jeune Marin par une racaille

     


    Par Mathilde Régis
     
    Publié le 15/07/2017  à 17:26
    2 réactions
     

    Le juge d’instruction chargé du dossier a demandé un renvoi aux assises. L’agression de Marin, qui avait pris la défense en novembre dernier d’un couple qui s’embrassait dans la rue, devrait être jugé sur le motif de “coups et blessures ayant entraîné une infirmité permanente”.

    Marin, le jeune homme agressé
    © DR
    Marin, le jeune homme agressé (avant son agression)

    Tandis que l'état de santé de Marin s'était dégradé il y a peu, après de nettes améliorations, l'enquête ouverte suite à son agression est terminée. Le juge d'instruction a désormais demandé un renvoi de l'affaire aux assises, sur le motif de "coups et blessures ayant entraîné une infirmité permanente". En novembre dernier, l'étudiant de 20 ans prenait la défense d'un couple, insulté et agressé pour s'être embrassé devant le centre commercial de la Part-Dieu. Après une brève altercation, Marin était alors monté dans un bus. L'un des agresseurs était monté derrière lui et l'avait frappé violemment à coup de béquilles, engageant son pronostic vital lors des premières heures d'une hospitalisation qui n'a pas cessé depuis.

    Selon France Bleu, l'accusé, encore mineur, est actuellement détenu. Les proches de Marin, à l'origine de la création de l'association La Tête Haute, récoltent toujours des dons pour soutenir Marin, défendre les victimes d'agression dans les transports en commun et financer des programmes de recherche médicale sur le cerveau. En effet, depuis l'agression survenue en novembre, la famille de Marin n'a reçu aucun dédommagement de la part des deux assureurs de l'accusé. La semaine dernière, l'avocat de Marin réclamait une audience en urgence sur le volet civil de l'affaire pour que les soins de Marin puissent se poursuivre. Une somme de 300 000 euros était demandée pour que Marin puisse avoir un traitement neurocognitif dans un établissement spécialisé à Bâle, en Suisse. La décision de cette audience en référé est prévue pour le 3 août, date à laquelle seront également remises les expertises médicales qui établiront les séquelles du jeune Marin.

    LyonCapitale -  15/07/17

  • Marin a rejoint un centre de rééducation neurologique en Suisse

     

     

    © Je soutiens Marin
    © Je soutiens Marin

    Marin a rejoint mercredi dernier un centre de rééducation spécialisé en Suisse. Un séjour de trois mois financé pour l'instant grâce aux dons privés collectés par l'association créee après la sauvage agression dont il a été victime en novembre 2016 à Lyon.         

    Par Philippe Bette 

    Marin a donc quitté la Drôme mercredi pour rejoindre la Suisse, où il bénéficie d'une prise en charge adaptée aux graves lésions neurologiques qu'il a subies. En novembre dernier, il s'était interposé pour prendre la défense d'un couple pris à partie dans le quartier de la Part Dieu à Lyon pour un échange de baiser dans la rue. Il avait été lui -même agressé ensuite et sauvagement frappé à la tête à coups de béquilles, en guise de représailles. Son agresseur a depuis été identifié et écroué .

    Laissé pour mort, Marin a survécu miraculeusement. Opéré à l'hopital neurologique "Pierre Wertheimer"de Lyon-Bron, il a pu recouvrer une partie seulement de son autonomie au prix de gros efforts. Il garde néanmoins des séquelles neurologiques sévères qui l'ont d'abord conduit dans une clinique de réeducation de l'agglomération lyonnaise. Mais devant la gravité de son état et des complications neurologiques survenues récemment, son entourage a cherché une clinique spécialisée, pour une prise en charge mieux adaptée à son cas. Et faute de place disponible, c'est à l'étranger que la solution a été trouvée.    



    Dans son blog sur Facebook, Marin raconte lui-même  les derniers bouleversements intervenus dans sa vie  La décision a été annoncée lundi matin (le 17 juillet) de le transférer en Suisse.Un départ précipité : "TOUT s’est accéléré. Mail reçu, confirmation, et la tornade s’est mise en route…Par superstition, rien n’avait été préparé, alors en 1 jour et demi, il a fallu tout organiser, réserver, préparer …"
          
    Le début d'une nouvelle convalescence loin des siens, qu'il attend et appréhende tout à la fois : "Vous l’aurez compris, à l’heure où vous lisez ce message, je viens d’intégrer mon nouveau centre de rééducation. Les troupes autour de moi seront désormais plus clairsemées, les journées vont gagner en intensité (j’en avais hâte mais le redoute également)."

    Dans un premier temps, le séjour dans cette clinique spécialisée doit durer trois mois. Il n'a été rendu possible que grâce aux dons collectés par l' association "La Tête haute", créee justement pour venir en aide à Marin. Celui-ci en profite pour exprimer sa reconnaissance à ses généreux donateurs.

    "Cette intégration aurait été impossible sans votre générosité sans limite et sans l’incroyable travail de ma maman pour que je puisse intégrer ce centre. Pour cela, je la remercie et je vous remercie également. Je sais que de nombreuses personnes ont participé discrètement à la réalisation de ce projet, ils se reconnaîtront (...) Bref, écrit -il, je n'ai qu'un mot sur les lèvres : MERCI"  

    La famille de Marin a sollicité récemment une prise en charge des soins par la Sécurité Sociale. Cette demande va être étudiée...  
     
    Franceinfo
     
    NdB: Je soutiens Marin, nous soutenons tous Marin de tout notre coeur 
     
     
  • JOURNAL TVL DU 26 JUILLET 2017

  • Domrémy-la-Pucelle : le maire veut installer des dizaines de migrants dans le village natal de Jeanne d’Arc

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    21h03

    Un collectif d’habitants s’est réuni lundi dernier devant la mairie de Domrémy-la-Pucelle pour dénoncer la possible arrivée de migrants. (Vosges Matin)

     

    Communiqué de Jordan Grosse-Cruciani, Secrétaire départemental du FN Vosges.

    Alors que la situation économique, sociale et sanitaire en France et en Europe est explosive et d’une grande précarité, les autorités nationales et européennes n’ont que d’autres propositions que d’accueillir toujours plus de « migrants » sur notre sol et notamment dans nos campagnes.

    Notre département rural des Vosges au taux de chômage de 11% accueille déjà son lot de demandeurs d’asile, réfugiés et de migrants ou en a accueilli (Epinal, Saint-Dié, Monthureux-sur-Saône, Thaon, Darney …) et l’information de l’installation de 54 migrants à Domremy-la-Pucelle est passée inaperçue. C’est un résident et une lettre d’un collectif d’habitants de Domremy, berceau de Jeanne d’Arc, qui nous a alertés sur les agissements du Maire et des autorités sans concertation et débat démocratique avec la population.

    En effet, suite à une réunion du conseil municipal du 30 juin dernier, il a été acté la volonté d’installer 54 migrants dans les locaux du pensionnat alors même qu’il serait question d’un projet de création de logements locatifs par un habitant de Greux pour l’ensemble de la propriété. Les travaux d’accueil devant débuter mercredi 26 juillet prochain.

    […]

    Source

  • Avec la crise grecque, l'Allemagne a gagné plus d'1,3 milliard d'euros grâce à ses prêts à Athènes

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    Illustration ©Marko Djurica/Reuters
     

    A la suite d'une demande des Verts allemands, opposés à la politique intransigeante d'Angela Merkel à l'égard de la Grèce, le ministère des Finances allemand a dû rendre public les gains effectués en prêtant de l'argent à Athènes.

    Les Grecs n'ont pas fini de se mordre les doigts d'être entrés dans la zone euro et de payer le maquillage de leurs comptes public que leurs dirigeants ont confié à la banque Goldman Sachs au début des années 2000. Grâce à une demande expresse des Verts allemands, très critiques quant à l'intransigeance de la chancelière allemande Angela Merkel à l'égard de la Grèce, le ministère des Finances allemand a été contraint de livrer les chiffres des intérêts perçus sur les prêts accordés à Athènes. Selon le quotidien Süddeutsche Zeitung, les gains s'élèvent à 1,34 milliard d'euros depuis 2009, année où la Grèce, frappée de plein fouet par la crise financière de 2007, demandait l'aide de l'Union européenne, invoquant la «solidarité» entre les Etats membres.

     

    Aide conditionnée à l'obéissance

    Une solidarité sur la base de laquelle, les Européens s'étaient engagés à reverser les intérêts des prêts accordés à la Grèce afin de tenir le pays la tête hors de l'eau. Mais, depuis le bras de fer entre la Troïka européenne et le Premier ministre grec Yanis Varoufakis, et le référendum de 2015, l'Allemagne refuse de les payer. La Kreditanstalt für Wiederbau (KfW), une institution financière publique, a ainsi touché depuis 2009 quelque 393 millions d'euros d'intérêts sur un prêt consenti à Athènes de 15,2 milliards d'euros.

     

    Heurts et gaz lacrymogène à  lors d’une grève contre le nouveau plan d'austérité
    EN SAVOIR + https://francais.rt.com/international/38521-heurts-gaz-lacrymogene-athenes-greve  

     

    La Bundesbank – la Banque centrale allemande – a pour sa part a touché 952 millions d'euros dans le cadre du programme de rachat européen de titres de dette souveraine de pays dont les finances étaient exsangues ment public de banques privées.

    Moyen de pression contre les Grecs

    Dans ce qui ressemble fort à un chantage, Berlin conditionne la rétrocession des intérêts à l'assiduité avec laquelle la Grèce se conforme aux recommandations des ministres des Finances européens de l'Eurogroupe, et du Fonds monétaire international (FMI), un autre de ses créanciers dur en affaires. Et pourtant, après le baroud d'honneur de Syriza en 2015, la Grèce se montre bonne élève. En mai 2017, le Parlement grec adopte de nouvelles mesures de rigueur, afin de satisfaire ses créanciers, l'Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI). Et aussi dans l'espoir d'attendrir Angela Merkel et d'obtenir un allègement de sa dette, plus de 320 milliards d’euros, soit près de 180 % de son produit intérieur brut en 2017.

    Sven Christian Kindler, représentant les Verts à la commission budgétaire du Parlement allemand résume ainsi la situation : «L'approche allemande de la crise grecque peut certes sembler légale. [Mais] elle est illégitime d'un point de vue moral et en terme de solidarité.»

    Lire aussi : Grèce : accord de la zone euro pour débloquer 8,5 milliards d'euros

    RT

     

    RT

  • Une responsable du parti de Renzi crée la polémique en évoquant l’extinction de la «race italienne»

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    Source: Reuters
    Père italien avec son bébé
     

    Patrizia Prestipino, intervenant pour soutenir la politique d'encouragement de la natalité en Italie, a évoqué la «race italienne» qui serait, selon elle, menacée de s'éteindre à cause d'une faible natalité, suscitant une vive controverse.

    «Si nous voulons perpétuer notre race, pour l'appeler ainsi, il est évident qu'il faut engager un plan de soutien concret aux mères et aux familles». C'est par ces propos que Patrizia Prestipino, l'une des dirigeantes nationales du Partito democratico (PD), a déclenché une vive polémique en Italie.

    Le 24 juillet, Patrizia Prestipino intervenait au micro d'une radio locale, Radio Cusano Campus, afin de soutenir la création controversée au sein du parti de Matteo Renzi, classé au centre-gauche, d'une section chargée des questions liées à la maternité. Expliquant son positionnement, la responsable politique a estimé que l'Italie faisait «de moins en moins d'enfants». «Vous vous rendez compte que nous sommes le plus ancien pays d'Europe ?», s'est-elle inquiétée en conséquence. Selon elle, l'Italie risque tout simplement l'«extinction dans quelques décennies».

    Les réactions indignées ne se sont pas fait attendre, notamment de la part de la gauche italienne, qui s'est offusquée de l'emploi du mot «race». «Je voudrais rappeler que, comme le disait Albert Einstein, il n'y a qu'une race : la race humaine», a déclaré Nicola Fratoianni, secrétaire national du parti Sinistra italiana (classé à gauche du PD). Elisa Simoni, députée du Movimento democratico e progressista, classé au centre-gauche, a pour sa part estimé que Patrizia Prestipino, responsable de la défense des animaux au sein du PD, avait dû «confondre avec les races de chiens».

    Face à la polémique, Patrizia Prestipino a présenté ses excuses le 25 juillet, comme le rapporte La Repubblica. «Le choix du terme de "race" n'avait rien à faire dans la discussion au cours de laquelle il a été employé», a-t-elle regretté. Avec 1,37 enfants par femme en moyenne, l'Italie connaît l'un des taux de natalité les plus faibles de l'Union européenne.

    Lire aussi : «On ne fera pas renaître notre civilisation avec les bébés des autres» : la polémique enfle aux USA