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Les feux bientôt maîttrisés dans le Sud-Est malgré des reprises
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Les 54 immigrants prévus ne viendront pas à Domrémy-la-Pucelle !
Domrémy n’est qu’un sursis. Saint-Denis est déjà une réalité. Voire un cauchemar.
- Publié le : jeudi 27 juillet 2017
- Mots-clés : Christianisme; France; Histoire; Immigration; Politique
- Commentaires : 22
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- Source : bvoltaire.fr
- E&R
Le maire a fini par reculer. Les 54 immigrants prévus ne viendront pas à Domrémy-la-Pucelle ! Depuis le dernier conseil municipal du 30 juin dernier, les quelque 120 âmes de cette paisible cité touristique de réputation mondiale n’ont pas désemparé dans la mobilisation contre la folle décision de leur édile, Daniel Coince. L’ancien pensionnat acquis par la commune en 2008 devait pourtant servir à tout autre chose, soit, en l’occurrence, à la création de logements locatifs.
Ce n’est pas ce que le conseil municipal a retenu, qui a opté pour l’installation d’une colonie de 54 immigrants dans les locaux de la bâtisse. Ni vu, ni connu, l’affaire est dans le sac, la préfecture ayant chaudement félicité le maire pour sa munificence à l’égard de ce magnifique « Autre », rédempteur de nos vils pêchés d’occidentaux leucocytaires – avec, tout de même, le soutien sonnant et trébuchant du cochon de contribuable.
Ameutés par un conseiller municipal démissionnaire, les habitants ont bruyamment manifesté leur hostilité au projet. Le premier magistrat de cette commune si emblématique d’où surgit, dei gracia, le Salut providentiel qui allait réitérer, d’une éclatante façon, l’union du Ciel au royaume de France jadis scellée devant le baptistère de Reims aux alentours de 496, monsieur le maire, donc, rassembla ses administrés ulcérés « pour éclaircir la situation » (Vosges Matin, 26 juillet).
Embarrassé, dépité et… coincé, celui-ci leur déclara :
« En mai, la commune a reçu des représentants de l’association Coallia, qui ont présenté un projet d’hébergement d’urgence au sein du pensionnat. À la base, le bâtiment devait accueillir des personnes en difficulté. Nous avons été informés, ce dernier vendredi, que si le projet arrivait à terme, le pensionnat hébergerait des migrants, ce qui n’était pas prévu à l’origine. Je rappelle qu’à ce jour, rien n’avait encore été signé et que le projet était toujours en négociation », rétropédala piteusement l’intéressé, avant de conclure : « La commission, qui s’est réunie ce lundi a finalement décidé d’annuler ce projet dans l’intérêt des habitants. Décision qui sera votée ce jeudi en conseil municipal. Je précise que la préfecture et l’association ont été prévenues de cette décision. »
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JOURNAL TVL DU 27 JUILLET 2017
Et l'ignoble "Festival d'Avignon" où le transgenre et le transsexualisme font le bonheur de son directeur, Olivier Py! Un vrai cauchemar!
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Elle devait avorter de son bébé handicapé, elle accouche finalement d'un enfant vivant
Le couple a décidé de porter plainte contre l'hôpital (illustration)./ Jean-Sebastien Evrard /Un couple de Boulogne-sur-Mer vit actuellement un terrible drame. Enceinte depuis huit mois, la future maman est contrainte d'avorter de son bébé après avoir appris qu'il était handicapé. Mais rien ne se passe comme prévu, et la jeune femme accouche d'un bébé vivant, rapporte La Voix du Nord.
Alors que la future maman approchait de son terme, elle découvre lors d'une IRM que son enfant est lourdement handicapé, il souffre d'une grave malformation au cerveau. L'hôpital Duchenne, à Boulogne-sur-Mer, qui a fait ce diagnostic, lui prescrit alors une interruption médicale de grossesse (IMG).
Une interruption de grossesse totalement ratée
Le lundi 24 juillet, une dizaine de jours après le diagnostic, le couple se rend à l'hôpital pour l'intervention. Les médecins lui expliquent alors qu'ils vont lui injecter une double dose d'un produit, qui normalement est mortel pour le bébé. Suite à cette piqûre, l'accouchement devait intervenir quelques heures plus tard. Ce moment arrive, sauf que la mère et le médecin qui l'accompagne découvrent avec stupeur que l'enfant qui vient de naître est bel et bien vivant. Le nourrisson boit et bouge mieux que ce que pensaient les médecins. Pour le moment, l'équipe médicale est incapable de prédire le degré d'handicap de l'enfant, ni de dire si les piqûres ont aggravé son état de santé.
Le couple est particulièrement en colère, et souhaite porter plainte contre l'hôpital. «Aucune erreur n'a été commise. C'est une situation rare et désolante, la première fois que l'on voit ça. Mais c'est déjà arrivé à Lille», a affirmé la direction à La Voix du Nord. C'est l'Agence régionale de santé qui doit désormais décider d'ouvrir ou non une enquête.
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Donald Trump inaugure le plus grand porte-avions de l'US Navy, le USS Gerald R. Ford
BREIZATAO – ETREBROADEL (23/07/2017) Le président américain a inauguré le lancement du porte-avions Gérald R. Ford, la classe qui remplacera progressivement celle du Nimitz lancée en 1975.
Ce porte-avions peut embarquer 90 appareils, notamment le nouvel F35 américain, et déplacera 100,000 tonnes. Le navire accueillera 4,300 marins contre 5,000 pour la classe précédente, résultat des améliorations technologiques par rapport au Nimitz. Les porte-avions de la classe « Ford » pourront assurer 160 sorties aériennes par jour pendant 30 jours consécutifs, avec une capacité d’intensification portée à 270 sorties par jour.
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Immigrés clandestins : l'agriculteur militant Cédric Herrou mis en examen
Illustration. Cédric Herrou est suspecté d'«aide à l'entrée et à la circulation d'étrangers en situation irrégulière».
Cette figure emblématique de la cause des migrants a été interpellée lundi soir en gare de Cannes (Alpes-Maritimes) en compagnie de plus de 150 migrants cherchant à gagner Marseille.
Cédric Herrou a été mis en examen mercredi. Cette figure emblématique de la défense des migrants dans la vallée de la Roya (Alpes-Maritimes) a été interpellé lundi soir alors qu'il accompagnait plus de 150 personnes qui cherchaient à gagner Marseille pour déposer leur demande d'asile. Après une garde à vue prolongée, une information judiciaire à son encontre avait été ouverte mercredi dans la journée pour «aide à l'entrée et à la circulation d'étrangers en situation irrégulière».
Déjà poursuivi par le parquet de Nice, Cédric Herrou, dont le député européen EELV José Bové avait demandé mardi la libération, a été condamné en première instance à 3 000 euros d'amende avec sursis. La cour d'appel d'Aix-en-Provence pourrait avoir la main plus lourde le 8 août.Un «protocole» organisé «de facto», selon Herrou
Cédric Herrou, qui demande depuis des mois aux pouvoirs publics un accueil d'urgence pour les milliers de personnes originaires de régions instables d'Afrique arrivant de Vintimille (Italie), en est à sa sixième garde à vue depuis 2016. Pendant que son domicile de Breil-sur-Roya, près duquel les gendarmes tiennent un barrage filtrant, était perquisitionné, il a dû expliquer pourquoi il avait amené ces migrants demandeurs d'asile d'abord à Nice, puis à Cannes.
«Il a répondu que la plateforme d'accueil des demandeurs d'asile de Nice avait elle-même conseillé, si les demandeurs ne voulaient pas rester dans les Alpes-Maritimes, de déposer leur demande à Marseille», a précisé son avocat Me Zia Oloumi. Un «protocole» avait été mis «de facto» en place avec la préfecture pour accompagner «en toute transparence» ces demandeurs d'asile, a-t-il rappelé. Plus de 230 migrants avaient ainsi gagné, en deux trains distincts, la vallée frontalière de la Roya avant de rejoindre Nice, accompagnés par des membres de l'association Roya Citoyenne. Tous ceux interpellés à Cannes, 156 au total, ont été renvoyés en Italie.
«Cédric Herrou et tous les gens de la vallée de la Roya ne vont pas chercher des réfugiés», a déclaré mardi sur France Inter José Bové. Les gens traversent et arrivent chez Cédric parce que c'est le seul point d'accueil possible où ils sont en sécurité. On n'est pas du tout dans une situation de passeurs de clandestins, tout ça se fait au grand jour», a--il poursuivi.Le Parisien
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Dans le Var, la ville de Bormes-les-Mimosas livrée aux flammes
REPORTAGE - Évacuées dans la nuit de mardi, plus de 10.000 personnes vivent l'attente dans des hébergements de fortune.
À Bormes-les-Mimosas (VAR)
Appuyé contre la cage de son animal au beau milieu du terrain de handball du gymnase Pierre-Quinon, reconverti en campement de fortune, Léanick garde le sourire. Comme des milliers d'autres touristes et habitants de Bormes-les-Mimosas, cette petite commune du littoral varois qui passe de 8000 habitants l'hiver à 40.000 l'été, ce vacancier d'Amboise a été pris au piège dans la nuit de mardi à mercredi par le gigantesque incendie qui s'est déclenché dans la soirée à La Londe-les-Maures, la localité voisine. «Vers minuit et demi, les responsables de notre centre de vacances nous ont réveillés pour une réunion d'information, raconte-t-il. Et une demi-heure après, ils nous ont demandé d'évacuer. On a pris nos enfants, nos papiers et le lapin, et on a filé.»
Comme lui, plus de 10.000 personnes ont reçu l'ordre, dans la nuit, de quitter qui sa caravane, qui sa maison ou son bungalow. Aidée par ses voisines, La Londe et Le Lavandou, Bormes a ouvert trois centres d'hébergement, offrant matelas, nourriture et boissons aux «réfugiés». «Au total, nous avons pris en charge 2000 personnes cette nuit», calcule François Arizzi, le maire de Bormes, qui doit remonter au début des années 1990 pour retrouver un incendie de cette ampleur dans sa commune. Quatre sapeurs-pompiers avaient d'ailleurs péri à l'époque. «Sans appui aérien, on ne s'en sortira pas», redoute l'élu, inquiet sur l'évolution de la situation. De fait, sur les collines qui dominent le cap Bénat, une gigantesque colonne de fumée monte de la pinède, avec des flammes de plusieurs mètres de haut sur la crête. Petit à petit, le panache de fumée obscurcit l'horizon dans un paysage de fin du monde. L'incendie a ravagé 1300 hectares et mobilisé plus de 550 sapeurs-pompiers.
Un paysage de fin du monde
«L'ensemble des moyens dont nous disposons sont concentrés sur le flanc gauche pour éviter que le feu ne redescende sur le village de Bormes et le cap Bénat»
«L'ensemble des moyens dont nous disposons sont concentrés sur le flanc gauche pour éviter que le feu ne redescende sur le village de Bormes et le cap Bénat», explique le commandant des opérations de secours, Serge Lavialle. Mercredi soir, le premier ministre, Édouard Philippe, s'est rendu dans le Var en compagnie du ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb.
Pendant que la maire se charge d'aller faire évacuer le grand-duc du Luxembourg, qui n'avait pas voulu jusqu'ici quitter la propriété familiale proche du fort de Brégançon, le commandant des pompiers, lui, part survoler l'incendie en hélicoptère. Depuis La Londe-les-Maures, le feu a filé dans la nuit jusqu'à la mer, brûlant tout sur son passage et franchissant même la retenue d'eau du barrage du Trapan. Sur place, au départ du feu, des gendarmes ont déjà sécurisé le périmètre,«comme une scène de crime», explique Christophe, gendarme en identification criminelle venu faire ses premiers relevés. Ce spécialiste a appris à lire la trajectoire d'un feu et ne doute pas un instant de remonter jusqu'à son point de départ. Visiblement, le feu a pris sur un terrain vague situé le long de la voie rapide, la départementale 98, entre un hôtel Formule 1 et une entreprise de gardiennage de caravaning, entièrement détruite par les flammes. «Il était 23 heures et on était dans notre lit, raconte la gérante, Marion. C'est là qu'on a vu de la lumière à travers les volets, on s'est dit que c'était pas normal. Quand on a ouvert les fenêtres, on a vu des flammes de quinze mètres de haut qui avalaient la haie de cyprès devant nous. On a pris notre fille de 9 ans, nos deux chiens et on est partis en voiture, à moitié à poil.» Au Formule 1 voisin, de nouveaux clients, chassés des campings, arrivent à leur tour, comme Alexandre, un ambulancier de Manosque en vacances au camping Lou Cabasson. Chez les badauds attroupés non loin pour regarder le spectacle du feu, les rumeurs vont bon train sur l'origine de l'incendie, allant du simple mégot jeté depuis la route à l'acte délibéré. Parce que, en septembre prochain, le Formule 1 en question doit être reconverti en centre d'accueil pour migrants et qu'on aurait ainsi voulu faire échec à ce projet…
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 27/07/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
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Immigration, droit du sol, multiculturalisme: l’Italie découvre les débats français
Entretien avec le politiste Marco Tarchi
Sauvetage de 548 migrants en Sicile, 2015. Sipa. Numéro de reportage : 00721491_000002. En Italie, pas un jour ne passe sans que la presse ne rapporte des faits divers impliquant des migrants. La semaine dernière, en Sicile, une contrôleuse de train s’est fait agresser par des immigrés clandestins montés sans billets ; une rixe a opposé Albanais et Nord-africains dans une prison, tandis que des migrants guinéens commettaient des déprédations près de la gare de Milan.
Il suffit de parcourir la botte pour constater la profusion de vendeurs à la sauvette africains, la plupart du temps paisiblement occupés à refiler leur camelote. Face à l’afflux incontrôlé de migrants (plus de 83 000 arrivées depuis le début de l’année), le gouvernement de grande coalition centriste appelle en vain l’Union européenne à la rescousse. Et propose d’instaurer le droit de sol, ce qui pourrait provoquer un nouvel appel d’air. Une révolution dans une contrée jusqu’ici préservée de l’immigration massive. Décryptage avec le spécialiste du populisme Marco Tarchi.
Daoud Boughezala. L’Italie est en première ligne du défi migratoire qu’affronte l’Europe. Vos compatriotes souhaitent-ils majoritairement fermer leurs frontières aux migrants?
Marco Tarchi1. Selon les plus récents sondages, les retombées de l’immigration sont devenues la première préoccupation des Italiens et une majorité d’entre eux souhaite l’arrêt des fluxs. Cependant, une forte minorité se limite à demander la répartition des migrants – réfugiés ou immigrés pour des raisons économiques – parmi les pays de l’Union européenne.
Bien que l’Italie reste heureusement préservée du terrorisme, sent-elle monter un sentiment d’insécurité culturelle ?
Le phénomène n’est pas encore évident, parce que les média mainstream, le gouvernement, la plupart des partis politiques, les associations de volontariat et l’Église catholique présentent l’immigration de masse comme la simple conséquence des conflits et de la pénurie qui ravagent l’Afrique et une partie de l’Asie et assimilent tout immigré à un «désespéré» qui n’a d’autre but que de survivre et qui ne peut en aucune mesure constituer une menace à la survie de la culture et du mode de vie des autochtones. Néanmoins, dans quelques endroits, on commence à voir surgir des conflits «civilisationnels»: des communautés d’étrangers de religion musulmane qui protestent contre le son des cloches des églises, des provocations envers des femmes jugées impudiques à cause de leurs vêtements, etc.
C’est dans ce contexte tendu que le gouvernement Gentiloni prépare un projet de loi instaurant le droit du sol (jus soli). Cette disposition est loin de faire l’unanimité puisqu’elle a provoqué la démission de deux ministres de centre-droit. Pourquoi la grande coalition italienne souhaite-t-elle adopter le droit du sol ?
L’argument des partisans de cette proposition est simple – et peut-être simpliste – et se résume dans cette question: «Pourquoi devrions-nous nier à des jeunes nés en Italie et qui y résident depuis au moins dix ans d’être des citoyens à part entière?». Évidemment, cette approche se fonde sur une mentalité individualiste qui, au nom des droits de l’homme, nie à un peuple la possibilité de décider quoi que ce soit au sujet de son homogénéité culturelle ou ethnique. Ceux qui s’opposent à cette façon de voir les choses sont immédiatement accusés de racisme.
Les partisans du droit du sol se réclament-ils de l’idéal républicain français ou du multiculturalisme anglo-saxon ?
En Italie, ce que vous appelez «l’idéal républicain» ne rencontre presque aucun écho au niveau populaire, et le débat sur le multiculturalisme et ses multiples déclinaisons est resté confiné jusqu’à aujourd’hui à une poignée d’intellectuels.
Quelles forces politiques s’opposent au jus soli ?
Beppe Grillo a exprimé son refus du jus soli à plusieurs reprises depuis plus de dix ans, donc même avant la création du M5S, et il a pris une position très nette contre ce projet de lui, ce qui a tout de suite attiré l’accusation aux « grillini » d’être des xénophobes ou des racistes masqués ou, dans le meilleur de cas, d’exploiter ce sujet à des fins de concurrence électorale avec la Lega Nord ou Fratelli d’Italia. Quant à la droite radicale, elle conserve une image de marque très négative auprès de la majorité de l’opinion et constamment réitérée par des attitudes ouvertement nostalgiques (défilés à bras tendu, uniformes etc.), ce qui disqualifie son opposition à ce genre de politiques.
Autre pomme de discorde transalpine : le fédéralisme. Aux dernières élections municipales, la Ligue du nord et d’autres forces autonomistes ont-elles réussi à prospérer sur la demande d’autonomie locale et le rejet de l’immigration ?
Les deux sujets ne sont pas liés dans le débat politique italien. Fratelli d’Italia, par exemple, qui revendique l’héritage du MSI néofasciste mais évolue dans le sens d’un plus grand souverainisme, rejette aussi bien l’immigration qu’une fédéralisation de l’État italien dans le sens souhaité par la Ligue du nord. Celle-ci, en même temps, en essayant de se propager au-delà de ses frontière nordistes, a axé sa propagande sur des sujets « nationaux », tels que la lutte contre l’immigration, la contestation des super-pouvoirs de l’Union européenne et l’abandon de l’euro, en laissant de plus en plus de côté le thème du fédéralisme, qui avait été son cheval de bataille pendant trente ans.