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  • Neymar, y en a marre !

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    Voilà trois jours qu’on nous saoule avec l’arrivée du dieu Neymar. Et ce n’est pas fini.

    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
     
     
     
     

    Les télés et radios en boucle, la vulgarité racoleuse de tout ce tintamarre, l’indécence des chiffres avancés, le scandale des financiers (Macron compris) qui se gobergent de la nouvelle… Voilà trois jours qu’on nous saoule avec l’arrivée du dieu Neymar. Et ce n’est pas fini puisque, c’est sûr, le week-end sera consacré à ce grand moment : « la présentation » (sic) du messie à la nation depuis le Parc des Princes.

    Songez-y bien, car le mot n’est pas anodin qui évoque dans notre inconscient « la présentation de Jésus au temple ».

    Les médias donnent le menu, digne des grandes parades sur Madison Avenue : « Le voilà. Neymar qui va décoller de Barcelone est attendu au Bourget dans la matinée. La nouvelle star du PSG s’apprête à vivre 48 heures de folie dans la capitale où sa présentation sera effectuée en deux temps. L’ex-attaquant du FC Barcelone a rendez-vous à midi au Parc pour une séance photo. Il sera ensuite présenté aux médias. »

    Et après, quoi ? Les pauvres en rang par deux pour se faire toucher les écrouelles ?

     

    Sommes-nous donc devenus si décervelés, si abrutis pour ne pas vomir devant ce tapage obscène ? Rappelons seulement les chiffres, donnés ici par Gabriel Robin : « L’arrivée de Neymar pourrait coûter 712 millions d’euros au total, en comptant les cotisations sociales ; soit 222 millions d’euros pour la clause libératoire, 80 millions d’euros de primes, 100 millions d’euros de charges et cinq ans de salaire à 30 millions d’euros par an a minima. »

     

    C’est obscène, je le redis. Obscène parce que le foot révèle dans toute sa vulgarité l’image de nos sociétés : le fric d’en haut, celui des clubs et des émirs, celui des joueurs, et le fric d’en bas, celui de ceux qui n’en ont pas et s’endettent pour les ponts d’or des rois du ballon rond.

    Ce sont les supporters qui ont passé la nuit devant le Royal Monceau – l’hôtel de luxe de l’avenue Hoche, propriété du Qatar comme la moitié de la capitale – pour voir arriver le dieu Neymar. Des hordes qui, l’œil embrumé, vont se ruer aux premières heures du jour à la boutique du PSG pour y acheter des maillots floqués made in China ou Bangladesh qu’ils enfileront sur leur bedaine. Une babiole à 150 euros l’unité, prélevée parfois sur l’allocation de rentrée des gamins ou le prochain RSA.

    À Barcelone, des tracts ont été distribués avec la mention « On cherche le traître », et des supporters se sont réunis pour brûler le maillot de Neymar.

    La civilisation progresse : plus besoin de terroristes au petit pied, on a le foot pour s’entre-déchirer.

    BV

  • À LA BAULE : DES MUSULMANS MENACENT DES JEUNES FEMMES ADEPTES DU MONOKINI SUR LA PLAGE... ILS SE FONT REMBARRER

    vendredi, 04 août 2017

     

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    Source Breizh info cliquez ici

    Bronzer les seins à l’air sur la plage de La Baule, en 2017, peut s’avérer risqué.  C’est la mésaventure qui est arrivée le mois dernier à deux femmes, agressées par des puritain(e)s venus d’ailleurs.

    La première quinzaine de juillet a été chaude à La Baule, notamment sur la plage. Ainsi, un peu avant le quatorze juillet, deux femmes, des « Gauloises » qui bronzaient seins nus sur la plage – une pratique courante dans nos pays encore libres – se sont faites agresser par d’autres femmes, d’origine maghrébine.

    Ces dernières, qui ne portaient pourtant par ailleurs aucun signe distinctif pouvant laisser penser à une appartenance à un islam rigoriste, vinrent ainsi les voir pour leur intimer de couvrir leur poitrine, prétextant que «cela ne se faisait pas ». Manque de chance, elles tombèrent pour le coup sur des femmes de caractère, qui les ont purement et simplement envoyées paître.

    Insupportable pour ces ayatollahs du puritanisme, qui revinrent quelques instants plus tard avec leur compagnon respectif. Cette fois-ci, les menaces deviennent plus pressantes… mais c’était sans compter sur la solidarité communautaire qui s’est alors déclenchée autour des deux femmes agressées.

    Plusieurs personnes assistant à la scène intimèrent alors aux agresseurs de partir, tandis que d’autres appelèrent les forces de l’ordre. Arrivées sur les lieux, celles-ci embarquèrent illico ces représentant(e)s de la police de la poitrine. « On est chez nous ! » rappellera à ces femmes et à leur compagnon un badaud sur la plage.

    A Sisco (cliquez là) comme à La Baule, les revendications communautaires extra-européennes ne semblent pas être les bienvenues…

    Synthèse nationale

     

    01:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |  |  Facebook

  • Aude - Il agresse sexuellement une fillette qui jouait à la trottinette : un appel à témoins lancé

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    La scène s'est produite le 31 juillet dernier à Port-Leucate, dans l'Aude. 

    Aux environs de 13H30, une fillette, âgée de 9 ans, jouait à la trottinette dans une contre-allée près de la «Résidence des sables». 

    Un individu a surgi derrière elle et lui a caressé le sexe à travers son maillot de bain. La victime s'est mise à crier, alertant sa maman qui a accouru, mettant ainsi en fuite l'agresseur sexuel. 

    Un appel à témoins a été lancé et un portrait-robot effectué pour le retrouver. Selon la mère de famille et deux autres témoins, le suspect est un homme de type asiatique, d'une cinquantaine d'années, de forte corpulence, et qui mesure environ 1,65 m. 

     

    Il a le visage rond, le teint mat, des cheveux courts foncés et de grands yeux tirés en amande. Il était vêtu d'un T-shirt ample bleu, d'un pantalon noir, et de baskets noirs à lacets. 

    L'agresseur semblait négligé et portait également des lunettes de soleil rectangulaires noirs avec des branches noires épaisses. 

    Si vous avez des renseignements permettant de faire avancer l'enquête, vous pouvez appeler la gendarmerie de Leucate au 04 68 40 04 11. 



     
     
     

     


    En savoir plus sur http://www.faitsdivers.org/25746-Il-agresse-sexuellement-une-fillette-qui-jouait-a-la-trottinette-un-appel-a-temoins-lance.html#4ldddmOYAlpvYgmC.99

  • La popularité de Macron en chute libre à 36% - sondage Yougov)

    http://www.fdesouche.com/874743-sondage-yougov-effondrement-de-la-popularite-de-macron-36-dopinions-favorables

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  • Une famille aurait été contrainte de payer la désinfection d'une piscine pour port de burkini

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    © Jason Reed Source: Reuters
    Une femme en burkini entourée d'enfants dans une piscine (image d'illustration)
     

    Une famille a saisi le Collectif contre l'islamophobie en France après, selon elle, s'être vu confisquer une caution pour la location d'une résidence privée avec piscine... dans laquelle le propriétaire accuse la mère de s'être baignée en burkini.

    La caution de 490 euros, déposée par un couple et ses trois enfants pour la location d'une résidence privée de vacances à La Ciotat (Bouches-du-Rhône), aurait été encaissée afin, selon le propriétaire, de... désinfecter la piscine privée de la copropriété, après que la mère s'y soit baignée en burkini. C'est en tout cas ce qu'a rapporté, dans une publication sur son site datée du 2 août, le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), une association de lutte contre les discriminations à l'encontre des musulmans, qu'a saisie la famille en question. 

    Le propriétaire veut lui faire payer les frais de désinfection de la piscine car elle s'est baignée avec son burkini http://www.islamophobie.net/articles/2017/08/02/le-proprietaire-veut-lui-faire-payer-les-frais-de-desinfection-de-la-piscine-car-elle-se-baigne-en-burkini/ 

     

    Selon le CCIF, la mère de famille a pu se baigner le premier le jour de ses vacances en burkini, avec ses enfants, sans problème. Le second jour, en revanche, la famille aurait été contrainte par un gardien de sortir de l'eau. «Le propriétaire aurait reçu un appel du syndicat de copropriété lui disant qu’une femme voilée était entrée dans la piscine avec ses vêtements et qu’on était venu me voir pour sortir et que j’avais refusée. Je suis restée bouche bée, car personne ne m’avait interpellée ou dit quoique ce soit», confie la mère de famille.

    La famille aurait ensuite été contactée par le propriétaire, qui aurait demandé à ce que la mère de famille ne se rende plus dans la piscine. Il aurait également informé le couple qu'il devrait s’acquitter de frais de vidange et de nettoyage de la piscine, ainsi que de dédommagement, arguant que le bassin avait été mis hors service pendant deux jours à cause du comportement de la mère. Le propriétaire aurait, par conséquent, encaissé la caution de 490 euros de la famille en attendant d'être dédommagé. 

    De son côté, la mère de famille s'est défendue de s'être baignée habillée, rapportant au CCIF avoir porté un burkini, un habit de bain islamique recouvrant entièrement le corps et le cheveux, fabriqué dans une matière synthétique comparable à celle utilisée pour la confection des maillots de bain. 

    «J’ai été déçue, choquée, meurtrie, par le fait qu’on puisse être aussi hypocrite et méchant à cause d’un voile burkini, en sachant que ma tenue était une tenue de bain», s'est désolée la femme, citée par le CCIF. La couple affirme par ailleurs que le bassin n'a pas été fermé au public et que la piscine est restée opérationnelle. Il n'aurait en outre pas reçu de facture pour la «désinfection» de la piscine. 

    Cette affaire n'est bien sûr pas sans rappeler la polémique ayant fait les choux gras de la presse l'été dernier, au sujet des arrêtés municipaux interdisant le port du burkini sur les plages françaises – saga médiatique s'étant achevée par la décision du Conseil constitutionnel de casser ces arrêtés. La controverse a connu un semblant de renouveau, en ce début d'été, avec le vote par le conseil municipal de Lorette (Loire) d'un arrêté restreignant le port du voile et du burkini sur le site d'un bassin communal.

    Lire aussi : Algérie : contre les pressions en ligne, des militantes féministes appellent à se baigner en maillot

    RT