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  • EN DIRECT - Saint-Barthélemy et Saint-Martin dans l'oeil de l'ouragan Irma qui se dirige vers la Floride

    http://premium.lefigaro.fr/sciences/2017/09/06/01008-20170906LIVWWW00025-en-direct-ouragan-irma-Antilles-alerte-saint-Martin-saint-Barthelemy-evacuation-vent-inondations.php#845597

    Les deux îles françaises placées en vigilance violette.

    Photos, tweets

    Déroulez l'article jusqu'au bout

  • Les premières images hallucinantes de l'ouragan Irma sur les Antilles (vidéo)

    http://www.ladepeche.fr/article/2017/09/06/2640032-ouragan-irma-vents-360-km-h-attendus-midi-antilles-francaises.html#xtor=EPR-1

  • Trump met fin au programme d’Obama protégeant 800.000 migrants clandestins

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    POSTED BY LA RÉDACTION ON 5TH SEPTEMBRE 2017 
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    BREIZATAO – ETREBROADEL (06/09/2017) Le gouvernement américain a annoncé qu’il mettait fin au programme mis en place par l’ex-président Barack Obama visant à protéger plus de 800,000 migrants clandestins.

    « Nous ne pouvons accepter tous ceux qui voudraient venir ici, c’est aussi simple que cela », a déclaré le ministre de la Justice Jeff Sessions en annonçant cette mesure, dénonçant la décision prise de manière « unilatérale » par le précédent président des États-Unis.

    A compter de ce jour, aucune nouvelle demande ne sera examinée. Un délai de six mois a été accordé par l’administration pour que le Congrès légifère sur le sujet.

    En juin 2012, pendant sa campagne pour un second mandat présidentiel, Barack Obama avait annoncé un programme intitulé Daca (« Deferred Action for Childhood Arrivals ») permettant de régulariser de facto, bien que temporairement, des migrants clandestins.

  • Jean-Vincent Placé agressé à Paris pour sa montre à 7 000 euros

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    >Faits divers|Le Parisien|05 septembre 2017, 20h20 | MAJ : 05 septembre 2017, 21h55|37

    L'agression s'est produite dans le 9e arrondissement de Paris. (Archives)

     
     
    Le Parisien
     
    Faits diversJEAN-VINCENT PLACÉagressionmontre
     

    L’ancien secrétaire d’Etat a reçu des coups au visage pour sa montre de luxe. 

    L’ancien secrétaire d’Etat chargé de la Réforme de l'Etat et de la Simplification entre février 2016 et mai dernier et sénateur de l’Essonne, Jean-Vincent Placé, a été victime d’un vol dans la nuit de samedi à dimanche, a révélé RTL.

     

    Selon nos informations, l'agression s'est produite rue Bleue, dans le 9e arrondissement de Paris, aux alentours de 2h du matin à la terrasse d'un café. Trois individus lui ont volé sa montre, d'une valeur de 7 000 euros, son téléphone portable et sa carte bleue.

     

    «J'aime beaucoup la politique mais cette agression me fait réfléchir»

     

     

    Jean-Vincent Placé a reçu un coup au visage qui lui a fendu la lèvre et cassé une dent. Il s'est vu prescrire à l'hôpital une incapacité totale de travail de six jours et a déposé plainte. La police judiciaire a été saisie de l'enquête.

     

    «J'aime beaucoup la politique mais cette agression me fait réfléchir à arrêter», a-t-il déclaré à l'AFP. Est-ce à dire qu'il va renoncer à se représenter aux élections sénatoriales, le 24 septembre ? «En tout cas, ma réflexion est très avancée», a déclaré l'ancien secrétaire d'Etat .

     

      leparisien.fr
  • L'ouragan Irma de catégorie 5 va frapper la Martinique, la Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélémy dans la nuit de mardi à mercredi.

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    >Ma Terre|Romain Baheux|05 septembre 2017, 21h27 | MAJ : 05 septembre 2017, 23h12|1

    Des habitants de Saint-Martin sécurisent une habitation en vue de l'arrivée d'Irma le 5 septembre 2017.

     
     
    Romain Baheux
     
    Ma TerreOuragan IrmatempêteAntillesGuadeloupe
     
    V
     

    Classé en catégorie 5, la plus puissante, le cyclone va frapper la Martinique, la Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélémy dans la nuit de mardi à mercredi.

    «Irma va emporter une grande partie de mes installations.» Propriétaire d'un club nautique à Saint-Martin, Dimitri Asselin se fait peu d'illusion sur le sort que l'ouragan de catégorie 5, la plus puissante, réserve aux cabanes où il laisse son matériel, installées sur la plage de la Baie-Orientale. Mais, pour l'instant, il calfeutre sa maison où il ne passera pas la nuit de mardi à mercredi, au quand l'île sera frappée par les vents. «Avec ma femme et ma fille, on va se réfugier chez un ami, glisse-t-il. Mon toit est en charpente, j'ai peur qu'il nous tombe dessus.»

     

    Une crainte vécue par de nombreux habitants des Antilles. Comme Saint Barthélémy, la Guadeloupe ou la Martinique, Saint-Martin a été placé en vigilance rouge par Météo-France. Irma devrait s'y déchaîner avec des rafales de 280 km/h, entre 200 et 300 mm de précipitation, et des creux de 10 mètres dans la mer. «Tout ce qui est sur la côte risque de beaucoup souffrir, poursuit Dimitri Asselin. Là, les gendarmes ont déjà évacué certaines personnes des zones inondables. Maintenant, on attend la nuit...»

     

         

    La population s'est également approvisionnée en eau, nourriture et piles. «Ca commence à être la pénurie. On a fait des réserves de bouteilles d'eau, mais on n'a pas pu acheter de réchaud, pour le moment où il n'y aura plus d'électricité, glisse Olivier. On va être en plein dedans...»

     

    Plus au sud, la Guadeloupe, comme la Martinique, est moins menacée par le cyclone. Mais au Spot, un restaurant de la ville du Moule, la patronne Françoise s'active à mettre les verres en sécurité et à clouer des planches aux fenêtres. «On est en train de fermer, on a dit aux clients qu'on ne rouvrait que jeudi. Nos habitations sont plus solides qu'au Texas (frappé par la tempête Harvey il y a dix jours), mais on a quand même un peu peur...»

     

    «On va veiller et se tenir au courant»

    «Ici, on a l'habitude des tempêtes, les gens ont installé des volets roulants à leur maison et beaucoup de lignes électriques sont enterrées. Avant, tu pouvais avoir des coupures de courant pendant quatre jours, mais c'est fini ça, poursuit Roméo, qui vit à Trois-Rivières. On ne sait jamais, mais on attend ça sans être trop inquiets.»

     

    Une fois son établissement calfeutré pour affronter Irma, Françoise va filer se terrer chez elle où elle regardera les trombes d'eau s'abattre sur l'île. «On va veiller et se tenir au courant de ce qu'il se passe, explique-t-elle. Et si jamais une coupure d'électricité nous empêche de regarder les informations à la télévision, j'ai une radio à piles. Histoire de ne pas être coupée du monde...»

      leparisien.fr