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  • Le Journal TVL du 7 novembre

  • « Il n’y aura pas de mosquées en Hongrie, c’est une question de sécurité nationale » déclare un député pro-Orbán

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    20h11
    Hongrie – Le député hongrois du Fidesz, Gergely Gulyás, a déclaré « qu’il n’y aura pas de mosquées en Hongrie » et a fait valoir que « du point de vue de notre propre sécurité, les mosquées auraient un impact négatif. »

     

    Bayer Zsolt, l’animateur sulfureux d’émissions politique et éditorialiste pro-Orbán bien connu, a reçu à la télévision  Echo TV le chef de la délégation parlementaire du Fidesz – parti de Viktor Orbán -, Gergely Gulyás.

    Tout en commentant la récente attaque survenue à New York, Zsolt Bayer a félicité le président américain Donald Trump pour avoir appelé publiquement à la peine de mort pour l’attaquant présumé.

    Gergely Gulyás a approuvé Zsolt Bayer, déclarant que « l’Europe occidentale n’a rien fait contre ce danger … Partout où l’islam radical lève la tête et est autorisé à prendre racine, ce genre d’actes peut se produire à tout moment. »

    « C’est vrai, » a acquiescé M. Gulyás. « Il n’y aura pas de mosquées en Hongrie … Nous avons entrepris une initiative en ce sens, […] nous ne pouvons pas changer notre position là-dessus car il ne s’agit pas simplement de liberté de culte mais bien de sécurité nationale. »

    VisegradPost / Hulala

     

     

  • Allemagne: la violence va crescendo dans les centre d'accueil pour réfugiés

    https://fr.gatestoneinstitute.org/11319/allemagne-accueil-refugies<top>

  • Le soutien scolaire gratuit dans les collèges, c'est maintenant

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    Des élèves de collèges dans une cour de récréation.

    Les collégiens pourront se voir proposer ce soutien scolaire "une heure par jour, c'est-à-dire quatre heures par semaine", explique Jean-Michel Blanquer.

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    Les collégiens qui le souhaitent pourront bénéficier, à partir de lundi, de quatre heures hebdomadaires de soutien scolaire gratuit, une aide aux devoirs qui sera étendue l'an prochain au primaire, indique le ministre de l'Education dans un entretien publié dimanche 5 novembre par "20 minutes".

    "Avec la mesure 'devoirs faits', nous offrons un soutien scolaire gratuit à tous les collégiens pour lutter contre les inégalités", déclare Jean-Michel Blanquer, détaillant le fonctionnement de ce dispositif annoncé il y a plusieurs mois.

    Les collégiens pourront se voir proposer ce soutien scolaire "une heure par jour, c'est-à-dire quatre heures par semaine":

    "En fin de journée dans 35% des collèges et lors de la pause méridienne ou des heures de permanence dans 65% des établissements (notamment en zone rurale en raison des contraintes de transport)".

    "Environ 25% des collégiens" pourront en bénéficier, "mais cela pourrait monter à 35% des élèves, lorsque le dispositif sera mieux connu des collégiens et de leurs familles", estime Jean-Michel Blanquer. L'idée est d'"inciter" les élèves qui en ont le plus besoin à s'y inscrire.

     

    Au total, "220 millions d'euros sont destinés à financer ce dispositif pour les collégiens en 2018", précise-t-il, soulignant que la mesure "sera étendue à l'école primaire à la rentrée 2018".

    Professeurs volontaires, assistants d'éducation et associations seront mobilisés.

    S'y ajoutent 7.000 jeunes en service civique.

    "Mais notre objectif est d'atteindre 10.000. Nous allons donc encore en recruter."

    NdB: Une mesure pour favoriser en douce l'immigration... 

  • Immobilier à Grenoble : « Les prix baissent mais personne ne veut acheter. L’insécurité a fait fuir les gens »

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    23h15

    Alors que le marché est reparti à la hausse, 20 Minutes s’est penché sur l’immobilier dans les plus grandes villes de France. A Grenoble, les prix baissent mais paradoxalement, les biens ne se vendent plus…

     

    (…) Autre raison : la délinquance et la criminalité. « Avoir une ville qui n’est plus très sécurisée a fait fuir les gens », avance Martine Manhes. « En 2010, avant les émeutes de la Villeneuve, on vendait en moyenne 24 logements par an dans ce quartier. En 2011, deux seulement ont été vendus et aucun en 2012 », confirme Fabien Caminotti. Et de citer un autre exemple : « Après l’incendie volontaire de la gendarmerie, on a constaté que des transactions de 220.000 euros qui étaient en attente, avaient tout simplement disparu. Elles ont été retirées…»

    20minutes.fr

    Merci à yabonlaseku

  • Les Allemands vont-ils devoir retourner aux urnes ? Le scénario qui effraie Angela Merkel

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    Plus de six semaines après les législatives, les partis qui dominent le Bundestag ne parviennent toujours pas à former une coalition. Face à une CDU d'Angela Merkel affaiblie, les libéraux évoquent l'hypothèse d'un nouveau vote.

    Alors que les négociations entre les trois principaux partis allemands patinent, le chef du Parti libéral allemand (FDP) Christian Lindner pourrait faire trébucher Angela Merkel et brandit la menace de convoquer de nouvelles élections législatives. «Nous n'avons pas peur de nouvelles élections», a-t-il martelé dans le quotidien allemand Berliner Morgenpost le 5 novembre 2017.

    Sortie affaiblie des dernières élection législatives allemandes le 24 septembre, Angela Merkel a toutes les peines du monde à former une coalition politique, une «coalition jamaïcaine», selon le jargon politique allemand, en raison des couleurs des trois partis concernés qui rappelle le drapeau de la Jamaïque. Et la chancelière a dû revoir ses ambitions. Angela Merkel s'estimerait désormais heureuse de pouvoir former un gouvernement... avant Noël. Mais pour le FDP, plusieurs points d'achoppement demeurent avant de rejoindre les rangs de la coalition, dont la question qui a parcouru toute la campagne des législatives, celle de l'immigration. «Nous voulons une loi sur l'immigration [...] qui ouvre la porte aux [migrants] qualifiés et bien plus stricte avec les demandeurs d'asile», a ainsi déclaré Christian Lindner dans la même interview.

     

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