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  • Rennes (35) : un car pris en embuscade pendant 3 heures par 50 personnes cagoulées qui tentent d’y mettre le feu

     

    4h08
    Dimanche matin à 07.45, une cinquantaine d’hommes au visage masqué par des cagoules et des capuches immobilise un car affrété par les Associations Familiales Catholiques en provenance de Vannes (56) et passant par Rennes pour embarquer une quinzaine de passagers supplémentaires qui se rendaient tous à la Marche pour la Vie tenue à Paris dimanche 21 janvier 2018.

     

    Les manifestants posent immédiatement des barrières à l’avant et à l’arrière du car pour le bloquer. L’un d’eux jette un fumigène à l’intérieur du car. La fusée incandescente rebondit sur une vitre et atterrit sur un siège occupé par un homme. Celui-ci parvient à se dégager mais son manteau est brûlé. Le pull-over d’une jeune femme est également brûlé tout comme le siège, très endommagé.

    Les passagers parviennent heureusement à rejeter le fumigène à l’extérieur au bout d’une quinzaine de secondes ! Une personne fait alors un malaise et est contrainte de sortir pour respirer un peu d’air frais avant de reprendre sa place à bord.

    Pour les passagers, âgés de 15 à 75 ans, l’attente (3 heures) est longue et angoissante. « Au début, il faisait nuit. Ils jouaient du tam-tam, lançaient des cris de haine, dansaient autour du car et nous prenaient en photo. Ils ont même réussi à prendre une des feuilles de présence, raconte un responsable de l’AFC. Des passagers sont descendus pour parlementer avec eux. En vain« .

    La police, appelée à la rescousse, arrive environ 30 minutes après l’épisode du fumigène. La patrouille tente de raisonner les opposants, sans grand succès. Finalement, les opposants acceptent de laisser partir le car vers 10 h 30. Une annonce qui ne sera pas suivie d’effets.

    Le Télégramme

    Merci à typot

  • Irak: Une Allemande condamnée à mort par pendaison pour son appartenance à Daesh

     

    JUSTICE Cette ressortissante allemande d’origine marocaine a été condamnée pour «soutien logistique et aide à l’organisation terroriste pour commettre des crimes»...

     

     

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    Illustration du drapeau de Daesh.

    Illustration du drapeau de Daesh. — AP/SIPA

    C’est une première. La Cour pénale centrale de Bagdad a condamné à mort ce dimanche une ressortissante allemande d’origine marocaine pour avoir rejoint le groupe djihadiste Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak.

    La cour, chargée des affaires de terrorisme, a condamné cette femme, dont l’identité n’a pas été précisée, à l’exécution par pendaison pour « soutien logistique et aide à l’organisation terroriste pour commettre des crimes », a précisé dans un communiqué le juge Abdel Settar Bayraqdar, porte-parole de la cour. « L’accusée a reconnu lors des interrogatoires avoir quitté l’Allemagne pour la Syrie puis l’Irak pour rejoindre l’EI, avec ses deux filles qui ont épousé des membres de l’organisation terroriste », a-t-il ajouté.

    Des centaines de djihadistes détenus en Irak

    C’est la première fois que la justice irakienne prononce la peine capitale à l’encontre d’une femme européenne. En septembre, la même cour avait pour la première fois prononcé la peine capitale contre un djihadiste russe, arrêté à Mossoul, dans le nord du pays.

    >> A lire aussi : Faut-il juger en France les djihadistes français capturés en Syrie ou en Irak?

    Les autorités irakiennes n’ont jamais indiqué officiellement le nombre de djihadistes faits prisonniers pendant la contre-offensive des forces progouvernementales qui ont réussi à chasser l’EI de tous les centres urbains d’Irak en 2017. Mais selon des commandants irakiens et des combattants kurdes irakiens, des centaines de djihadistes se seraient rendus. D’autres sont parvenus à se faufiler parmi les déplacés ou à rester sur place en retournant à la « vie civile ».

    20minutes

  • Richard Millet sur la réédition des pamphlets de Céline

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2018/01/19/richard-millet-sur-l-annonce-de-la-reedition-des-pamphlets-d-6018828.htmlhttp://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2018/01/19/richard-millet-sur-l-annonce-de-la-reedition-des-pamphlets-d-6018828.html

  • Cette méduse est extraordinairement belle!

    Cette méduse de l’espèce Halitrephes Maasi, un spécimen extrêmement rare vivant normalement à plus de 4 000 mètres de profondeur, a été observée au large des côtes de la Basse-Californie, au Mexique.

     

  • Deux surveillants de la prison de Longuenesse agressés par un détenu

     

    Un surveillant et une surveillante ont été agressés avec un pied de table en fer par un détenu dans cette prison du Pas-de-Calais.

    Par L'Obs

     

    Nouvelle agression dans une prison. Un surveillant et une surveillante ont été agressés dimanche 21 janvier avec un pied de table en fer par un détenu à la prison de Longuenesse (Pas-de-Calais), près de Saint-Omer, et ont été conduits à l'hôpital.

    "Un détenu a agressé deux surveillants avec un pied de table et les a touchés au bras. Les surveillants ont été conduits à l'hôpital", a indiqué à l'AFP la Direction de l'administration pénitentiaire (DAP).

    Yannick Lefebvre, du syndicat Ufap-Unsa à la prison de Longuenesse, a confirmé l'agression en précisant qu'elle s'était déroulée vers 18h30. Dans ce centre de détention, les cellules sont ouvertes jusqu'à cette heure-là.

    "Il a certainement arraché le pied de table pour agresser le personnel", a-t-il ajouté.

    Préméditation

    D'après le secrétaire interrégional FO pénitentiaire Julien Martin, "deux détenus avaient prémédité leur action et un seul est passé à l'acte".

    L'agresseur présumé "les a frappés avec un pied de table, une barre de fer de 80 cm de long, de 5 cm sur 5 cm. Les deux surveillants ont été blessés gravement car ils ont été conduits à l'hôpital, l'un des deux a peut-être un bras cassé", a dit Julien Martin.

    L'agresseur, un détenu de droit commun, a été placé en garde à vue, selon Julien Martin.

    "On est très choqué, ça ne va faire qu'amplifier la grogne et il y aura un durcissement demain à Longuenesse", a dit dimanche soir Julien Martin alors que les syndicats de surveillants de prison ont prévu de reprendre l'épreuve de force avec le gouvernement en appelant à un nouveau "blocage total" des établissements lundi.

    "Les syndicats appellent à ne pas prendre les clefs demain à Longuenesse : on peut s'attendre à ce que ce soit les policiers qui viennent gérer l'établissement", a-t-il confié.

    "Il s'agit encore une fois d'une agression envers le personnel, on n'en peut plus : c'est quotidien!" a estimé M. Lefebvre.

    "Guet-apens"

    Selon lui, les deux blessés, deux quadragénaires, ont été transportés à l'hôpital d'Helfaut, à quelques kilomètres du centre de détention de Longuenesse.

    "Ils effectuent des examens, ils ont de nombreuses contusions aux bras et sont touchés psychologiquement".

    Interrogé sur les circonstances de l'agression, il a dit préférer attendre les résultats de l'enquête. Julien Martin a, lui, qualifié les faits de "guet-apens" et de "tentative d'assassinat".

    Dimanche après-midi, toujours dans les Hauts-de-France, des dizaines de détenus dans les prisons de Maubeuge (Nord) et Sequedin (Nord) avaient refusé de regagner leur cellule après la promenade. La situation est redevenue normale en fin de journée.

  • Deux surveillants de la prison de Longuenesse agressés par un détenu

    Un surveillant et une surveillante ont été agressés avec un pied de table en fer par un détenu dans cette prison du Pas-de-Calais.

    Par L'Obs

     

    Nouvelle agression dans une prison. Un surveillant et une surveillante ont été agressés dimanche 21 janvier avec un pied de table en fer par un détenu à la prison de Longuenesse (Pas-de-Calais), près de Saint-Omer, et ont été conduits à l'hôpital.

    "Un détenu a agressé deux surveillants avec un pied de table et les a touchés au bras. Les surveillants ont été conduits à l'hôpital", a indiqué à l'AFP la Direction de l'administration pénitentiaire (DAP).

    Yannick Lefebvre, du syndicat Ufap-Unsa à la prison de Longuenesse, a confirmé l'agression en précisant qu'elle s'était déroulée vers 18h30. Dans ce centre de détention, les cellules sont ouvertes jusqu'à cette heure-là.

    "Il a certainement arraché le pied de table pour agresser le personnel", a-t-il ajouté.

    Préméditation

    D'après le secrétaire interrégional FO pénitentiaire Julien Martin, "deux détenus avaient prémédité leur action et un seul est passé à l'acte".

    L'agresseur présumé "les a frappés avec un pied de table, une barre de fer de 80 cm de long, de 5 cm sur 5 cm. Les deux surveillants ont été blessés gravement car ils ont été conduits à l'hôpital, l'un des deux a peut-être un bras cassé", a dit Julien Martin.

    L'agresseur, un détenu de droit commun, a été placé en garde à vue, selon Julien Martin.

    "On est très choqué, ça ne va faire qu'amplifier la grogne et il y aura un durcissement demain à Longuenesse", a dit dimanche soir Julien Martin alors que les syndicats de surveillants de prison ont prévu de reprendre l'épreuve de force avec le gouvernement en appelant à un nouveau "blocage total" des établissements lundi.

    "Les syndicats appellent à ne pas prendre les clefs demain à Longuenesse : on peut s'attendre à ce que ce soit les policiers qui viennent gérer l'établissement", a-t-il confié.

    "Il s'agit encore une fois d'une agression envers le personnel, on n'en peut plus : c'est quotidien!" a estimé M. Lefebvre.

    "Guet-apens"

    Selon lui, les deux blessés, deux quadragénaires, ont été transportés à l'hôpital d'Helfaut, à quelques kilomètres du centre de détention de Longuenesse.

    "Ils effectuent des examens, ils ont de nombreuses contusions aux bras et sont touchés psychologiquement".

    Interrogé sur les circonstances de l'agression, il a dit préférer attendre les résultats de l'enquête. Julien Martin a, lui, qualifié les faits de "guet-apens" et de "tentative d'assassinat".

    Dimanche après-midi, toujours dans les Hauts-de-France, des dizaines de détenus dans les prisons de Maubeuge (Nord) et Sequedin (Nord) avaient refusé de regagner leur cellule après la promenade. La situation est redevenue normale en fin de journée.