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  • JT TVL 15 FEVRIER 2018

  • « Maëlys va te hanter jours et nuits dans ta prison» : le bouleversant message de sa maman

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    >Faits divers|Le Parisien|15 février 2018, 0h36|0

    Maëlys De Araujo, 9 ans, a disparu, le 27 août lors d'une fête de mariage à Pont-de-Beauvoisin, dans l'Isère. (Capture d’écran). FACEBOOK/ JENNIFER CLEYET MARREL
     
     

    La mère de l'enfant, qui avait lancé un appel à Lelandais pour qu'il s'exprime, a toutefois regretté qu'il ait fallu «attendre cinq mois et demi pour que ce monstre parle enfin».

    La maman de Maëlys de Araujo s’est exprimée très tard mercredi soir sur Facebook, au terme d’une journée décisive dans l’enquête concernant la disparition de sa fille. Des restes du corps de l’enfant de 9 ans ont été retrouvés après le passage aux aveux de Nordahl Lelandais.

    «Mon petit ange je n'ai pas pu te protéger de ce prédateur et cette culpabilité me poursuivra encore très longtemps», a écrit Jennifer Cleyet Marrel. Très discrète, elle ne s’était prononcé qu’une seule fois - lors d’une conférence de presse - depuis la disparition de son enfant fin août, se limitant à la publication de lettres et de portraits de Maëlys sur le réseau social.

    LIRE AUSSI >Pourquoi Nordahl Lelandais a fini par parler aux enquêteurs

    «Maelys avait la vie devant elle tu nous l'as arrachée»

    Après six mois de silence, Nordahl Lelandais a avoué ce mercredi avoir tué l’enfant et a fourni aux enquêteurs les indications qui ont permis de retrouver des restes de la fillette à l'issue de difficiles recherches dans la montagne enneigée.

     

    «Il aura fallu attendre 5 mois et demi pour que ce monstre parle enfin. Toi l'assassin de ma fille : Maëlys va te hanter nuits et jours dans ta prison jusqu'à ce que tu crèves et que tu ailles en enfer», a-t-elle lancé au mis en cause. «Maelys avait la vie devant elle tu nous l'as arrachée, on ne l'a verra plus jamais à cause de toi, je ne pourrai plus la serrer dans mes bras et lui dire à quel point je l'aime», a-t-elle poursuivi.

      

     

    Les fouilles reprennent jeudi matin

    L’avocat des parents, Me Rajon, n'a pas souhaité s'exprimer. «Avec mes clients, parents de la jeune Maëlys, nous gardons le silence par respect et dignité après cette terrible nouvelle», a-t-il écrit.

    Pour rappel, l'ex-militaire de 34 ans a affirmé aux enquêteurs que le décès de l'enfant était «involontaire» mais a refusé dans l'immédiat de s'exprimer sur les circonstances de sa mort.

    LIRE AUSSI >Nordahl Lelandais, l’homme qui avait réponse à tout

    «Naturellement, l'instruction va se poursuivre, a relevé le procureur de la République de Grenoble Jean-Yves Coquillat. Nordahl Lelandais «sera réentendu prochainement sur les faits et sur la manière dont la mort a été donnée puisque nous n'avons pas la réponse pour l'instant».

    Suspendues peu avant 20h, les recherches pour retrouver le reste de la dépouille reprendront jeudi matin et un dispositif a été mis en place pour protéger la zone, selon une source proche de l'enquête.

    NdB: Que la gentille Maëlys repose en paradis auprès des anges

     

  • VIDEO - Eric Zemmour : « Le contrôle continu au bac est un scandale, un 16 à Grigny vaut 2 à Henri IV »

    http://www.fdesouche.com/955273-eric-zemmour-controle-continu-bac-scandale-16-a-grigny-vaut-2-a-henri-iv

  • Växjö (Suède) : les musulmans veulent être autorisés à émettre des appels à la prière lancés par haut-parleur

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    18h24

    Des musulmans en Suède ont demandé la permission de faire un appel à la prière, affirmant que cela renforcerait l’estime de soi de la communauté musulmane et aiderait son intégration.

     

    La Växjö Muslim Foundation a soumis une demande à la police pour demander l’autorisation d’envoyer un appel islamique de prière de trois minutes chaque vendredi à partir d’un haut-parleur fixé sur le devant d’une mosquée dans le district d’Araby.

       

    « Nous voulons juste que la Suède permette aux musulmans de Växjö de se sentir encore plus chez eux. La communauté islamique devrait être fière de sa culture et ne pas se sentir obligée de se cacher », a déclaré l’imam Ismail Abu Helal.

    L’imam a confié à Smålandsposten que l’appel à la prière pourrait avoir un effet positif sur la ville et aider les musulmans à mieux s’intégrer dans la région d’Araby, où déjà en 2008, 58% des habitants avait des origines étrangères.

    « Je pense que [permettre l’appel à la prière] est bon pour l’intégration, et il fournira la confirmation de la liberté religieuse », a déclaré Abu Helal. « Les musulmans ne sont pas des visiteurs à Växjö, nous vivons ici. »

    Expressen

  • Relaxe de Jawad Bendaoud qui avait logé des jihadistes du 13 Novembre (MàJ : le parquet fait appel)

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    19h23
     

    Une relaxe, deux condamnations: les réactions ont fusé, tant au Palais de justice que sur les réseaux sociaux. «Je ne m’y attendais pas», a ainsi déclaré au Figaro le père d’une des victimes du Bataclan, sous le choc de la relaxe de Jawad Bendaoud. «Je n’ai jamais vu ça, c’est un scandale. Jawad a embobiné tout le monde. Je suis révolté, j’ai envie de faire justice moi-même.»

    «La justice a été bien trop clémente», regrette également Patricia Correia, mère d’une victime du Bataclan. «Je ne suis pas étonnée mais écœurée. La justice d’aujourd’hui n’est pas conforme à la réalité du monde dans lequel on vit, avec ces attaques terroristes» ajoute-t-elle. Avant de déclarer sur la remise en liberté de Jawad Bendaoud: «Savoir que ce type va être dehors, ça me fait peur.»


    Le parquet a annoncé mercredi qu’il faisait appel de la relaxe de Jawad Bendaoud et des condamnations contre les deux autres prévenus prononcées par le tribunal correctionnel de Paris.

    « Ne partageant pas l’analyse du tribunal, le parquet a interjeté appel de la décision prononcée ce jour par la 16ème chambre » du tribunal, a-t-il annoncé. L’appel n’étant pas suspensif, il ne remet pas en cause la sortie de prison de Jawad Bendaoud, qui aura lieu « ce soir », selon une source judiciaire.

    Le Figaro


    (…) Comme pressenti par certains avocats présents dans la salle, la présidente clarifie très vite la décision de la cour :

    « Il n’est pas prouvé que Jawad Bendaoud a fourni un hébergement à des terroristes (…) afin de les soustraire aux recherches. (…) L’ensemble des charges ne permet pas de prouver votre culpabilité. »
    La cour rappelle aussi que le prévenu est resté « constant dans ses déclarations contrairement à Mohamed Soumah ». Isabelle Prévost-Desprez souligne que « rien » dans les écoutes mises en place ne permet d’affirmer que Jawad Bendaoud avait été mis au courant de l’identité de ses deux « locataires » – Abdelhamid Abaaoud et Chakib Akrouh – par Hasna Aït Boulahcen ou son ancien « partenaire en affaires », qui lui avait présenté la jeune femme.

    Relaxe. Jawad Bendaoud s’assoit quelques instants, avant de tapoter sur l’épaule d’un des gendarmes qui l’entourent, comme s’il n’y croyait pas. Le prévenu passe la tête par-dessus la vitre du box pour embrasser les mains et les têtes de ses avocats. A l’autre bout de la salle, une voix l’interpelle. C’est celle de Bley Bilal Mokono, l’une des victimes des kamikazes du Stade de France. Les deux hommes s’étaient parlé directement la semaine dernière, lors du témoignage de cet ancien garde du corps, devenu paraplégique depuis les explosions.

     
     
     
     

    « – Jawad, tu te tiens à carreau ! – T’inquiète Bilal, c’est fini maintenant ! »
    Jawad Bendaoud quitte la salle à la manière d’un acteur, comme tout au long de son procès. Le poing levé, celui que toute la France, éberluée, avait découvert – le matin du 18 novembre 2015 sur BFMTV – fait de grands gestes et envoie des baisers en direction de ses avocats : « Je vous aime ! »
    L’Obs


    Jawad Bendaoud a été relaxé par le tribunal correctionnel de Paris, mercredi 14 février. Il était jugé pour « recel de malfaiteurs », après avoir mis à disposition un appartement à deux auteurs des attentats du 13-Novembre. Jawad Bendaoud avait clamé son innocence tout au long du procès.

     

    La demande au Parquet général d'interjeter appel de la relaxe de . Pour elle, "Ce verdict de relaxe renvoie dehors un délinquant multirécidiviste dont les pitreries ne doivent pas masquer la réelle dangerosité" (Communiqué)

     

     

    Jawad Bendaoud, parfois surnommé « le logeur de Daech », est un délinquant multirécidiviste de 31 ans. Il avait mis à disposition d’Abdelhamid Abaaoud, l’un des cerveaux présumés des attentats, et de son complice, Chakib Akrouh, un squat où ils s’étaient repliés à Saint-Denis. Jawad Bendaoud s’était retrouvé sous le feu des projecteurs, le 15 novembre 2015, lorsqu’il avait expliqué face aux caméras avoir « rendu service » sans savoir que « c’étaient des terroristes », alors qu’un assaut anti-terroriste était en cours dans l’immeuble de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).

    Le tribunal correctionnel de Paris a en revanche condamné Youssef Aït Boulahcen, le cousin d’Abdelhamid Abaaoud et le frère d’Hasna Aït Boulahcen, à quatre ans d’emprisonnement, dont un avec sursis. Il était poursuivi pour non dénonciation de crime terroriste. Mohamed Soumah, jugé comme Jawad Bendaoud pour « recel de malfaiteurs terroristes », a écopé de cinq ans de prison avec maintien en détention.

    France TV Info