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  • Ouistreham (Normandie) : La présence massive de migrants musulmans soutenus par l’extrême-gauche fait s’effondrer l’activité commerciale

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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (16/05/2018) À Ouistreham (Normandie) alors que la saison touristique a démarré, la présence des migrants clandestins musulmans – essentiellement soudanais – dans cette station balnéaire de 9 500 habitants menace les commerces d’une grave dépression économique. Les autorités n’ont pris aucune espèce de mesure, se contentant d’appeler à « accueillir » les clandestins.

    Premier facteur, l’extrême-gauche qui se déchaîne pour fixer le plus grand nombre de migrants clandestins possible sur place à des fins d’agitation (lire ici).

    Ils sont entre 120 et 150 migrants, en grande majorité des Soudanais, selon le Collectif de l’Aide aux Migrants de Ouistreham, organisation d’extrême-gauche en charge de l’agitation sur le secteur (Camo).

    L’image de la Ville de Ouistreham est ternie et les conséquences pour la station balnéaire sont « dramatiques » , selon le maire.  « Notamment pour les commerçants sur le port de Ouistreham, là où les clandestins stationnent pour pouvoir monter dans les camions, certains ont enregistré un chiffre d’affaires de moins 70 %. L’un d’eux m’a expliqué qu’il a l’habitude de doubler ses effectifs pour la saison, passant de quatre à huit. Cette année, il pense qu’ils ne resteront qu’à trois salariés ! » souligne-t-il. 

    L’Union des Commerçants confirme : « Les mauvais retours ont démarré entre décembre et mars. Oui, certains commerçants sont menacés et Ouistreham ne tient que par l’équilibre de la diversité de ces commerces. Si certains ferment, d’autres seront impactés. »

    Pour le secrétaire des commerçants, « entre décembre et février, j’ai compté dans la presse 103 articles sur le sujet des migrants à Ouistreham. La ville a été stigmatisée. Nous avons des retours de clients déclinant une réservation en disant qu’ils viennent à Ouistreham sur un lieu de vacances, ce qui ne correspond plus à l’image que l’on donne de notre station aujourd’hui ! ». 

    Une réunion avec la préfecture et les commerçants a eu lieu lundi 14 mai compte tenu de la situation.

    L’extrême-gauche organisera une manifestation contre « les rafles des migrants » à Ouistreham, samedi 19 mai. Objectif : empêcher toute action de nettoyage de la présence des clandestins musulmans.

    (Source : Actu.fr)

  • « Liberté, égalité, camembert ! » : des chefs s’opposent à l’utilisation de lait pasteurisé dans la fabrication du camembert de Normandie AOP

     

    19h38

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    « C’est le camembert de Normandie AOP au lait cru qu’on assassine » : des chefs étoilés ont signé, mardi 15 mai, dans Libération, une tribune pour dénoncer un accord conclu entre les fabricants de ce fromage, qui pourra désormais être fabriqué avec du lait pasteurisé. Pour eux, le risque est que le camembert normand devienne « une vulgaire pâte molle sans goût ».

    Le texte rédigé par la présidente de l’association Fromages de terroirs, Véronique Richez-Lerouge, compte parmi ses premiers signataires une trentaine de chefs, dont Olivier Roellinger, Sébastien et Michel Bras, Anne-Sophie Pic, Michel et César Troisgros, Emmanuel Renaut, Christophe Bacquié et Guy Martin.

    Le plus populaire des fromages tricolores, le calendos, né dans les limbes de la Révolution française au cœur du bocage normand, va basculer dans la pasteurisation.

    Le texte fustige comme « une victoire pour l’industrie agroalimentaire, un risque fatal pour les fermiers et les consommateurs » l’accord trouvé le 21 février par les acteurs de la filière pour mettre un terme à dix ans de bataille autour de l’étiquette. D’ici à 2021, il n’y aura plus qu’un seul et unique camembert de Normandie AOP (appellation d’origine protégée), qui pourra désormais être élaboré au lait pasteurisé.

  • JOURNAL TVL DU 16 MAI

  • Le Hamas, véritable bourreau de Gaza

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    Les "élites" palestiniennes se servent du peuple à des fins politiques

     

    Le Hamas, qui pousse les Gazaouis à mourir en martyr, est le véritable ennemi du peuple palestinien.


    Les unes des journaux se suivent et se ressemblent dans un concert de condamnations. Des condamnations idéologiques et donc à sens unique. Des événements tragiques qui ont lieu en ce moment en Israël, les médias procèdent comme à leur habitude, friands des effets d’annonces : « bain de sang »« massacres »

    Avant de se laisser emporter par la vague de panurgisme que beaucoup de médias affectionnent tant, revoyons la scène au ralenti.

     

    Droit au retour de bâton 

    Depuis six semaines, le Hamas appelle les Gazaouis à aller manifester « pacifiquement » devant la barrière de sécurité pour le « droit au retour ». Les experts en décryptage auront rectifié d’eux-mêmes. Pour les autres, quelques précisions s’imposent.

    Le « droit au retour » vise le retour des « réfugiés » palestiniens qui ont fui les combats de la guerre d’indépendance en 1948, poussés par les leaders arabes de l’époque. Les exemples sont légion. Deux peuvent l’illustrer :

    – « Nous écraserons le pays avec nos fusils et nous détruirons tous lieux où les Juifs chercheront refuge. Les Arabes devront emmener leurs femmes et leurs enfants à l’abri pendant le danger, après quoi toute la Palestine sera à eux» (Déclaration du Premier ministre d’Irak, 15 mars 1948)

    – « Nous jetterons à la mer les bandes sionistes criminelles et il ne restera plus ainsi un seul Juif en Palestine. Pour que nos armées victorieuses puissent accomplir leur mission sacrée sans s’exposer à faire des victimes parmi nos frères arabes, il faut que ceux-ci quittent provisoirement le pays, afin que nos combattants exercent, dans une liberté totale, l’œuvre d’extermination» (Déclaration du recteur de la mosquée d’Al Azhar, 24 mars 1948).

    Le Hamas ou le terrorisme des palaces

    Les « réfugiés » pour lesquels le Hamas et l’Autorité palestinienne réclament un « droit au retour » sont aujourd’hui les descendants des deuxième, troisième ou quatrième générations de ces Palestiniens pour lesquels l’ONU a créé l’UNRWA et accordé, fait unique dans l’histoire de l’Organisation, un statut dérogatoire de réfugié trans-générationnel. On ne compte plus, pourtant, le nombre de réfugiés à travers le monde depuis 1948, qui ne bénéficient pas de la manne financière d’une telle agence onusienne. On précisera, à leur décharge, que les Palestiniens de la rue ne profitent pas beaucoup de ces fonds, les « élites » palestiniennes, toutes tendances confondues, ayant capté les richesses et accéléré la corruption. A Gaza, le Hamas a détourné le matériel livré pour construire des tunnels offensifs contre Israël et les fonds pour acheter des armes. Le peuple est resté dans la misère tandis que les chefs du groupe terroriste se réfugiaient, c’est le cas de le dire, dans les palaces et les villas de luxe en Turquie, en Jordanie ou au Qatar, loin de la plèbe gazaouie. Terroristes, oui, mais loin de l’indigence et du danger.

    Pas vraiment la « fête à Netanyahou »…

    Ce qui ne les empêchent pas d’appeler à manifester « pacifiquement ». Et le pacifisme, pour le Hamas, est une notion toute relative. 50 000 Gazaouis qui se pressent contre la barrière de sécurité, des dizaines de terroristes qui se cachent dans la foule et tentent de pénétrer en Israël. Des centaines de pneus enflammés pour que la fumée empêche l’armée israélienne de les identifier et l’usage de grenades, cocktails Molotov, d’armes automatiques, de couteaux de boucher pour, une fois la barrière passée, assassiner ou enlever des civils israéliens.

    A lire aussi: « Le mot ‘manifestation’ ne correspond pas du tout à ce qu’il se passe entre Israël et Gaza »

    Qui, aujourd’hui, est encore dupe ? Qui peut croire que l’armée israélienne laissera la barrière de sécurité être franchie par des Palestiniens armés et hystérisés par les discours de haine dont ils sont nourris depuis des décennies ?

    Ces « manifestants »-là, pour reprendre les éléments de langage des médias, ne viennent pas faire la « fête à Netanyahou » sur l’air des lampions. Ils ne sont pas des « black blocs » venus saccager un Mc Donald’s ou un abribus. On l’aura compris, ceux-là ne viennent pas manifester. Ils viennent détruire. Et si on les laisse faire, ils viendront tuer. Israël avait pourtant prévenu. Elle ne laisserait passer personne.

    Le Hamas est l’ennemi des Gazaouis

    Contrairement à ce qui se répand sur les réseaux sociaux, le déplacement de l’ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem n’a rien à faire dans ces affrontements. Cela fait des semaines que le Hamas compte les morts en se frottant les mains. Plus il y a de morts, plus la communauté internationale condamne Israël. Ce calcul morbide et cynique est toujours le même. Et les chancelleries occidentales, comme d’habitude, moutonnent.

    Ce n’est pas contre Israël que les Gazaouis devraient se tourner mais contre les terroristes du Hamas qui les asservissent depuis plus de 10 ans.

    Ce ne sont pas « les violences des forces armées israéliennes » qu’Emmanuel Macron devrait condamner mais celles des terroristes du Hamas et des parents indignes, saoulés par une haine recuite, qui envoient leurs enfants, parfois leurs bébés, devant la barrière parce qu’ « il n’y a pas de plus belle mort que celle d’un martyr », et qui empochent ensuite, en faisant le V de la victoire, la somme promise aux familles des « shahid ».

    C’est aussi cela qu’il faut oser dire et surtout oser entendre afin d’arrêter d’infantiliser les Palestiniens et de les entretenir dans cet assistanat perpétuel qu’ils relancent régulièrement à grands coups de morts dont ils sont responsables.

    Israël défendra son territoire comme n’importe quel autre État souverain. Les condamnations hypocrites de l’ONU et des chancelleries occidentales n’y changeront rien.

    CAUSEUR

  • Marion Maréchal-Le Pen revient pour «débrancher» Mai 68

     

    L’ex-députée du Vaucluse, redevenue « Marion Maréchal », reprend pour la première fois la parole en France, au cours d’un événement organisé par le magazine L’Incorrect

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    L’ancienne députée du Vaucluse, le 22 février 2018 devant les conservateurs américains
    © Sipa Press

    Si ça ne s’appelle pas faire de la politique, on en perd son latin : le 31 mai, Marion Maréchal (qui ne s’appelle plus Le Pen sur l’affiche de l’événement) participera à une soirée-débat sur le thème « Débranchons mai 1968 », alors que le FN a finalement renoncé à organiser un colloque sur le sujet.

    Décidément, Mai 68 les travaille. Marine Le Pen et le Front national devaient organiser, le 28 avril, un colloque intitulé « Pour en finir avec Mai 68 » qui a été annulé, officiellement à cause des grèves dans les transports. Finalement, ce n’est pas la tante mais la nièce, Marion Maréchal-Le Pen, qui s’exprimera dans le cadre d’une soirée intitulée « Débranchons Mai 68 », organisée le 31 mai par l’association Les Eveilleurs d’espérance et le magazine L’Incorrect, les uns et l’autre étant proches de l’ancienne députée FN du Vaucluse. Sur l’affiche annonçant l’événement, la jeune femme a retiré le nom de son-grand-père, ajouté lors de son élection en 2012, pour redevenir simplement Marion Maréchal.

    L’Incorrect a d’ailleurs mis le sujet à la Une de son neuvième numéro : « Quitter 68 ». Le directeur de la rédaction, Jacques de Guillebon, y écrit notamment que cet épisode quinquagénaire, qu’il qualifie de « régression », a été le prélude à des réformes considérées par lui comme autant de fléaux : « légalisation de l’avortement, galvaudage de la contraception chimique et mécanique, divorce à la va-comme-je-te-pousse, industrialisation de la pornographie, dépistage embryonnaire, mariage de personnes homosexuelles et toutes ces sortes de délicieuses choses qui vous condamnent à la sortie de l’histoire. » Une manière de mettre dans le même sac les réformes de Giscard et celles de François Hollande.

    Jacques de Guillebon veut « effacer, oublier, gommer, rayer ces deux chiffres diaboliques que de génération en génération l’on se transmet comme un objet magique, un petit fétiche pour heures d’ennui lycéen ». Ce sera l’objet de cette « conférence-cocktail-soirée », organisée autour de deux débats successifs. Le premier analysera ce qu’il reste de Mai 68, avec Elisabeth Lévy, Gérard Leclerc et Jean Sevillia ; le second évoquera les manières possibles de « débrancher » Mai 68, autour de Jacques de Guillebon, Charlotte d’Ornellas et, donc, Marion Maréchal-Le Pen. Entre 500 et 1 000 personnes sont attendues.

    Ecole. Marion Maréchal-Le Pen, qui avait fait une apparition très remarquée à la soirée de lancement de L’Incorrect, le 6 septembre 2017, prendra donc publiquement la parole pour la première fois en France depuis qu’elle a renoncé à son mandat de députée, en mai 2017. Le 22 février, elle s’était exprimée devant des conservateurs américains dans le cadre de la Conservative political action conference. Elle avait notamment déclaré, en anglais : « Je ne suis pas choquée quand Donald Trump dit “l’Amérique d’abord”. Je veux l’Amérique d’abord pour les Américains, la Grande-Bretagne d’abord pour les Britanniques, la France d’abord pour les Français ! » avant d’ajouter que la France, « fille aînée de l’Eglise catholique », était « en train de devenir la petite-nièce de l’islam ».

    Le 31 mai, Marion Maréchal-Le Pen viendra bien parler de Mai 68 et non présenter l’école qu’elle va créer et qui devrait ouvrir ses portes en septembre à Lyon. Mais elle l’évoquera, puisque cette école, destinée à former les futurs cadres de la droite nationale conservatrice, fait partie de l’arsenal destiné à « débrancher » les événements d’il y a cinquante ans. Une école en guise d’antithèse à Mai 68.

    L'OPINION

  • Séville, fille du Guadalquivir

    Un magnifique reportage, à regarder jusqu'au bout !