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  • Italie: des migrants menacent de tuer l’équipage qui venait de les secourir

     

    15h16

    Des migrants africains ont menacé de tuer l’équipage d’un cargo italien qui les avait secourus en Méditerranée, afin d’éviter d’être renvoyés dans des centres de détention en Libye.

    Les garde-côtes italiens ont récupéré les migrants après avoir reçu un appel à l’aide du navire. Ils ont été emmenés hier en Italie où les meneurs seront interrogés par la police au sujet de l’incident.

    La mutinerie sur le Vos Thalassa a marqué une escalade des problèmes en Méditerranée après le refus du nouveau gouvernement populiste italien de laisser entrer les migrants ramassés par des bateaux d’ONG et le transfert des responsabilités des sauvetages aux garde-côtes libyens.

    L’incident a soulevé de nouvelles préoccupations pour les marins marchands qui font face à un dilemme difficile parce qu’il est illégal en vertu du droit maritime international de refuser de l’aide à toute personne en difficulté en mer.

    Les 67 migrants subsahariens, dont trois femmes et six enfants, ont été repérés dans un canot pneumatique dimanche par l’équipage à environ 60 milles au large de la Libye.

    Après les avoir transportés à bord, le capitaine a demandé aux garde-côtes libyens de les récupérer, ce qui a provoqué une réaction de colère chez certains des migrants, qui espéraient être envoyés en Italie.

    « Des menaces de mort ont été proférées et certains des 12 membres de l’équipage ont été poussés », a déclaré un porte-parole du ministère italien des transports. « On est passé du sauvetage à la piraterie. »

    A l’approche d’un bateau des garde-côtes libyens, les migrants sont devenus plus agressifs et l’équipage s’est tourné vers les garde-côtes italiens, qui ont envoyé un navire compte tenu du « grave danger » dans lequel se trouvait l’équipage.

    Les fonctionnaires  » identifiaient les responsables du désordre afin de les remettre aux enquêteurs italiens « , a ajouté une déclaration des garde-côtes.

    Les navires d’ONGs qui patrouillaient dans la zone sont désormais absents après que l’Italie leur a refusé l’entrée dans ses ports et que Malte en a confisqué certains.

    Les tensions s’exacerbent alors que l’Allemagne lutte pour contrôler ses propres niveaux d’immigration et apaiser les électeurs de droite et l’un des principaux partenaires de la coalition d’Angela Merkel.

    Horst Seehofer, le ministre allemand de l’Intérieur, a dévoilé un « plan directeur de migration » en 63 points qui inclut l’expulsion rapide des personnes vivant en Allemagne dont la demande d’asile a été rejetée et qui se sont déjà enregistrées pour l’asile dans un autre pays européen ou qui ont un casier judiciaire.

    Il a également proposé de placer tous les demandeurs d’asile dans de grands « centres d’ancrage » pendant que leurs demandes sont traitées, mettant fin à la distribution vers des sites d’asile plus petits.

    The London Times

  • Charleville-Mézières (08) : après une agression ultra-violente à l’hôpital Bélair qui a fait 5 blessés, 22 membres du personnel à l’arrêt

     

    18h23

    Marqués physiquement. Choqués psychologiquement. Tendus à l’idée de travailler dans un climat d’insécurité. Depuis jeudi, 22 personnels de l’hôpital Bélair se trouvent en arrêt de travail jusqu’au 22 juillet. En cause : l’agression dont certains ont été victimes et d’autres témoins, la veille, par un détenu « agité » de la maison d’arrêt de Charleville-Mézières.

    Hier, un coup de téléphone reçu à la rédaction confirme l’ambiance qui règne depuis mercredi au sein de l’établissement hospitalier. L’interlocuteur insiste pour garder l’anonymat. « J’ai un devoir de réserve, mais aujourd’hui, j’avoue, j’ai peur pour ma sécurité sur mon lieu de travail », confie l’agent hospitalier.

    (…) D’autant que certains membres de la famille agressent verbalement les soignants. « Le patient a alors explosé et s’en est pris physiquement au médecin et aux soignants. » Bilan : cinq personnes blessées, dont le médecin, qui doivent être admis aux urgences de Manchester. Une cellule psychologique est mise en place.

    (…) L’Union

  • Schistosome : ce ver parasite mortel migre vers l’Europe

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    22h04

     

    Responsable de la fièvre de l’escargot, qui touche 200 millions de personnes dans le monde, le schisostome inquiète les chercheurs. Très présent dans l’hémisphère sud, responsable de dizaines de milliers de morts par an, ce ver pourrait s’acclimater à l’Europe.

    Peut-être n’avez-vous jamais entendu parler de bilharziose ou de schistosomiase. Derrière ces deux termes barbares, se cache une seule et même maladie, mortelle, qui touche plus de 200 millions de personnes dans le monde, également appelée fièvre de l’escargot. Traditionnellement présente dans l’hémisphère sud, elle pourrait très vite s’accommoder du climat européen. Depuis 2011, elle est régulièrement détectée en Corse, et cela pourrait n’être qu’un début.(…)

    Les pays touchés par la bilharziose dans le monde. En rouge, les zones d’endémie.

    Des milliers d’œufs par jour

    Cette maladie parasitaire est due à un ver, le schistosome. Plat, il mesure de 8 à 25 mm, selon son genre. Les vers élisent domicile dans des mollusques d’eau douce, où ils se multiplient. La forme larvaire du schistosome infecte l’eau, puis pénètre la peau des humains qui s’y baignent, ou y lave leur linge.(…)

    Comment expliquer son arrivée en Corse ? Toujours selon l’ARS, l’hypothèse la plus probable serait qu’une personne contaminée, originaire d’une zone touchée par la maladie (le Sénégal), aurait uriné dans l’eau, contaminant les bulins (mollusques) du site, qui ont à leur tour contaminé les baigneurs. Le site est désormais suivi de très près par la préfecture et les autorités sanitaires, qui ont multiplié les actions de prévention pour endiguer la contamination.

    Mais celle-ci pourrait s’étendre dans d’autres régions d’Europe, pour plusieurs raisons : d’abord, les parasites recueillis dans la rivière du Cavu ont évolué vers des formes hybrides, compatibles avec une contamination des bovins. Ils pourraient donc, à terme, se modifier pour contaminer de plus en plus d’espèces européennes.

    Les chercheurs alertent

    Ensuite, les différentes migrations humaines pourraient contribuer à diffuser la maladie, avec l’arrivée de personnes originaires d’Afrique tropicale ou subsaharienne, dans divers pays du continent européen.

    Dans un article publié en juin 2015 sur le site du CNRS, une équipe européenne de chercheurs spécialistes des infections pathogènes alerte les autorités. « Les gouvernements, les organismes de recherche ainsi que les agences de financement doivent considérer la nécessité d’investir dans la recherche sur les maladies liées aux mollusques vecteurs. Il ne s’agit plus d’un risque d’introduction en Europe en raison de changements climatiques et globaux. L’introduction s’est produite. » (…)

    ouest-france.fr

  • JOURNAL TVLibertés - 12 juillet 2018

  • Quel salaud!

    http://www.fdesouche.com/1040601-violences-contre-des-enfants-migrants-des-images-qui-choquent-les-algeriens-video

    Où sont les parents de ce petit africain? Ce sont les parents qui sont des migrants, pas lui. 

  • VINCENT VAN GOGH

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    Les premiers pas 

  • Vannes (Morbihan) : de nuit, le gouvernement fait secrètement débarquer à la gare des centaines de migrants clandestins

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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (07/07/2018) Des sources internes à la préfecture du Morbihan ont révélé à BREIZ ATAO la méthodologie suivie par Paris et l’Etat Français pour implanter, à l’insu de la population bretonne, des centaines de migrants clandestins afro-musulmans en Bretagne.

    Il y a un peu plus d’un mois, au milieu de la nuit et sous bonne garde policière, environ 300 migrants clandestins étaient débarqués dans le plus grand secret à la gare de Vannes.

    Embarqués ensuite à bord de bus, ils ont été expédiés vers diverses destinations bretonnes où les attendaient des agents gouvernementaux et des organisations stipendiées afin de faciliter la colonisation de peuplement islamique.

    Les habitants résidant à proximité des gares principales de Bretagne sont appelés à prendre en photos le moindre mouvement suspect de colons afro-musulmans secrètement organisé par le gouvernement. Les noms des ennemis du peuple affiliés à cette politique criminelle sont également à collecter et à transmettre à BREIZ ATAO.

    Toute information sur les entreprises de transport qui collaborent à cette entreprise est activement recherchée afin d’adopter les contre-mesures nécessaires. 

  • Ecosse: une fillette de 6 ans retrouvée morte dans les bois sur la petite île de Bute (MàJ: viol, un jeune de 16 ans mis en examen)

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    J-1
     

    10/07/2018

    Un adolescent a comparu devant le tribunal après avoir été accusé du viol et du meurtre d’Alesha MacPhail, six ans.
    (…)
    Le mâle de 16 ans, qui ne peut être identifié pour des raisons juridiques, a été arrêté deux jours après que la fillette de six ans fut découverte dans un bois près du domicile de ses grands-parents.

    Il a comparu devant le shérif McIntyre dans Greenock, accusé de meurtre et d’une infraction en vertu de l’article 18 du Sexual Offences (Scotland) Act 2009, qui couvre le viol d’un jeune enfant.


    04/07/2018

    La police lance un appel à témoin alors qu’elle enquête sur la mort d’une fillette de six ans dont le corps a été retrouvé dans les bois moins de trois heures après sa disparition.

    Alesha McPhail a disparu alors qu’elle séjournait avec son père et ses grands-parents à Rothesay sur l’île de Bute, en Écosse, pour les vacances d’été.
    (…)

    Le corps d’Alesha a été retrouvé dans les bois sur le terrain d’un hôtel abandonné sur Ardberg Road, Rothesay, à 9 heures du matin.

    La police écossaise a déclaré qu’elle considérait la mort comme inexpliquée jusqu’à ce qu’elle reçoive les résultats de l’autopsie effectuée à 12 heures le mardi.
    (…)

    Le surintendant détective Stuart Houston de la Police Scotland’s Major Investigation Teams a déclaré : « Cette mort d’une enfant de 6 ans a choqué la communauté très soudée de Rothesay et il est impératif que nous découvrions ce qui s’est passé. »

    « Cette enquête n’en est qu’à ses débuts, mais j’en appelle à tout témoignage pour reconstituer les derniers mouvements connus d’Alesha. »
    (…)

    L’île de Bute, qui compte environ 6 000 habitants, est située au large de la côte ouest de l’Écosse et n’est accessible que par bateau.

    L’île s’était faite connaître en 2015 pour avoir accepté les premiers réfugiés syriens arrivés en Grande-Bretagne, accueillant 15 familles.

    The Independent

  • JOURNAL TVL DU 11 JUILLET 2018

  • La manœuvre liberticide pour noyer le Rassemblement national

     

    La semaine liberticide (épisode 1/3)

     

    L’euphorie footballistique de ces derniers jours a couvert trois affaires liberticides pour les libertés publiques : le « délit de solidarité », le vote de la loi « fake news » et la saisie de la dotation du Rassemblement national. Cette dernière a été rendue possible par une manœuvre déroutante et particulièrement inquiétante…


    Pendant que l’équipe nationale de football poursuivait son brillant parcours en Coupe du Monde trois événements se sont produits dans l’actualité française, chacun manifestant une volonté de mettre en cause et de réduire les libertés publiques. Rude semaine conclue par le discours du président de la République à Versailles devant le Congrès, qui fut loin d’être rassurant sur ce point.

    Et un, et deux et trois zéros…

    Le classement par ordre d’importance, fait apparaître en premier lieu la scandaleuse décision des juges d’instruction du Pôle financier qui à la requête du Parquet national du même nom ont fait saisir les deux millions d’euros de dotation publique que devait percevoir le Rassemblement national (RN), anciennement Front national. Comme d’habitude, les élites françaises toujours soucieuses de prendre la pose antifasciste, et toujours verrouillées dans leur culture de mépris du droit et des principes, n’ont pipé mot quand elles ne se sont pas réjouies de voir foulées aux pieds leurs propres libertés publiques.

     

    Médaille d’argent pour la nouvelle acrobatie du Conseil constitutionnel présidé par Laurent Fabius. L’annulation du fameux « délit de solidarité », nouveau coup porté à la souveraineté populaire, n’est en fait que la poursuite par cette institution d’un projet de restriction drastique des pouvoirs du Parlement.

    Troisième place de ce triste podium : le vote en catimini par l’Assemblée nationale de la fameuse loi dite « fake news », dont la simple lecture fait se dresser les cheveux sur la tête de tout démocrate conséquent. Rude semaine disions-nous en effet, conclue par le discours du président devant le Congrès. Dont il a lui-même fait extraire un tweet dans lequel il nous assène son inquiétante conception de la liberté individuelle.

    Emmanuel Macron
     
    @EmmanuelMacron
     
     

    Il faut que tout le monde sache qu’en France la liberté individuelle, la liberté de penser, la liberté de critiquer, l’égalité des femmes et des hommes, le respect des choix individuels, tant qu’ils n’attentent pas aux droits des concitoyens, sont des principes intangibles.

     

    On savait déjà par Jean-Claude Juncker « qu’il ne pouvait y avoir de choix démocratique contre les traités européens (sic) ». Manifestement, il semble qu’Emmanuel Macron soit du même avis concernant l’exercice de son pouvoir en France. Pour combattre la lèpre populiste, comme il appelle l’opposition à l’Europe austéritaire, il n’est pas partisan des médecines douces.

    La saisie de la dotation du RN ou l’apparente volonté de tuer un parti légal

    La candidate du Front national, Marine Le Pen, a été bien utile lorsque la stratégie dite « du castor » l’a transformée en repoussoir et permis l’élection d’Emmanuel Macron. La perspective des européennes est moins séduisante, le désormais RN pouvant y jouer un rôle important. Comment l’en empêcher ? La solution a été trouvée avec le nouvel exploit ahurissant du couple infernal : Parquet national financier (PNF) d’une part et Pôle d’instruction du même nom. Les magistrats qui composent ces deux instances ont la tête sous le même bonnet. Après avoir chassé le Sarkozy pendant cinq ans et détruit la candidature de François Fillon, ils ont semble-t-il décidé de détruire le parti dont la candidate a recueilli près de 40 % des voix à la dernière présidentielle. En toute impartialité naturellement.

    Petite description de la manipulation. Depuis la loi de 1990, il existe en France un financement public de la vie politique. Pour éviter le renouvellement des folies des années fric et juguler la corruption qui les accompagnait le législateur a adopté un système reposant sur trois principes : financement public des partis en proportion de leurs poids électoral, limitation des dépenses pour les campagnes, et contrôle par une autorité administrative indépendante. En ce qui concerne le montant des sommes attribuées à chaque parti politique, celui-ci est calculé sur la base des résultats électoraux lors des élections législatives. Qui est le seul critère juridique du calcul et le seul support juridique du versement. À partir du moment où vous êtes organisé en parti politique dans les formes prévues par la loi et que vous avez obtenu tel ou tel résultat électoral, l’État vous DOIT votre dotation. Ah oui, mais non, le PNF ne l’entend pas de cette oreille, suivi par deux juges d’instruction dont on se demande ce qui leur a pris.

    Une loi contre le grand banditisme

    Le Front national (devenu Rassemblement national) et certains de ses dirigeants font l’objet actuellement de poursuites, soupçonnés qu’ils sont d’avoir utilisé des attachés parlementaires européens à des fonctions directement politiques pour le parti lui-même. Pour l’instant, aucune décision de culpabilité n’a été prise. L’affaire est à l’instruction depuis plusieurs années et on est loin d’une décision de culpabilité au fond. Certains se sont alors visiblement demandé comment affaiblir, voire tuer le Rassemblement national, à l’approche de ce scrutin européen qui ne devrait pas lui être défavorable. Eurêka ! Utilisons un texte qui n’a rien à voir avec la matière traitée à l’instruction, un texte destiné à lutter contre le grand banditisme. C’est-à-dire la loi du 27 mars 2012 relative à la confiscation des avoirs criminels. D’après celle-ci, il est possible de confisquer, avant une éventuelle condamnation, les avoirs de personnes poursuivies, dès lors que le caractère frauduleux de leurs acquisitions entretient un lien direct avec l’activité criminelle. Le meilleur exemple étant celui de l’argent du trafic de drogue ayant permis l’acquisition d’une voiture de luxe, qui pourra donc être saisie. C’est une mesure qui met en cause le principe de la présomption d’innocence et qui est donc très encadrée. Tout d’abord, cette possibilité n’est envisageable que pour certaines infractions (voir la page trois de la circulaire), et ensuite l’ordonnance de saisie doit être motivée en particulier sur le lien étroit existant entre l’activité criminelle et l’acquisition du bien.

    À l’évidence, l’utilisation de ce texte destiné aux gangsters et aux caïds n’a rien à faire dans la procédure actuellement suivie au Pôle financier. L’éventuel « détournement de fonds publics européens » ne figure pas dans la liste des infractions justiciables de la confiscation. Il n’y a ensuite, bien sûr, aucun lien direct entre celui-ci et la dotation que l’État doit au RN, le seul support juridique de celle-ci étant ses résultats électoraux.

    Souriez, vous êtes berné

    Il s’est quand même trouvé deux magistrats pour considérer qu’il y avait un lien direct entre le caractère éventuellement fictif des emplois d’attachés parlementaires européens et le versement de la dotation ! Avec le raisonnement suivant : les attachés parlementaires n’ont travaillé que pour le parti (ce qui reste pourtant à établir), et cela a permis au Rassemblement national (alors Front national) d’obtenir les résultats électoraux sur la base desquels est calculée la dotation ! Raisonnement abracadabrant, mais dont il semble bien que l’objectif soit de porter un coup qu’on espère probablement mortel à un parti légal qui bénéficie de la confiance d’une partie importante des citoyens français. Il est malheureusement probable que ce coup gravissime porté à la liberté politique dans notre pays ne suscitera aucun froncement de sourcils ni à la chambre d’instruction, ni à la Cour de cassation.

    A qui le tour ?

    Coup gravissime. Comment qualifier autrement un acte qui crée un précédent aussi dangereux. Alors comme ça, il suffira que le PNF ou n’importe quelle association saisisse un juge d’instruction pour des faits réels, anodins ou simplement imaginaires, pour que l’on puisse couper les vivres aux partis politiques qui gênent ? Les imbéciles, antifascistes de pacotille, qui se réjouissent bruyamment de ce qui arrive au RN feraient bien de réfléchir un peu et de comprendre qu’ils sont les prochains sur la liste. Comme je l’ai toujours fait, je continuerai à combattre le Rassemblement national, mais sur des bases politiques. Jamais avec des expédients liberticides mis en œuvre par ceux dont la mission fondamentale est pourtant de faire respecter la loi et les libertés publiques.

    Comment une telle dérive dont les affaires Sarkozy et Fillon ont été les aspects emblématiques a-t-elle pu se produire ? Car de deux choses l’une : soit cette décision est le fruit d’une demande du pouvoir exécutif, soit le Pôle financier, flanqué d’un PNF apparemment connivent, est devenu un outil directement politique. La sélectivité du PNF dans le choix des procédures, qui ménage scrupuleusement les amis du pouvoir, la longueur des instructions Pôle d’Instruction financier (jusqu’à 25 ans pour Karachi) toujours dirigées contre les mêmes, et qui ne s’activent, en liaison avec les médias que pour des occurrences politiques, font peser sur les magistrats une lourde suspicion.

    Et que dire de ce silence approbateur à l’Élysée et à Matignon ?

    CAUSEUR

    NdB: Quand le RN (ex FN) n'existera plus , qui parlera pour nous, qui se battra au quotidien  pour notre pays?