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  • Légion d’honneur pour les Bleus : «Les soldats la méritent plus que nous», estime Olivier Giroud

     

    17h31

     

    Les joueurs de l’équipe de France championne du monde vont recevoir la Légion d’honneur. Lundi, les services de l’Elysée ont indiqué qu’elle ne leur sera remise que dans quelques mois. Les coéquipiers d’Hugo Lloris seront donc récompensés d’une des plus hautes distinctions de la République, à l’instar des champions du monde 1998, emmenés alors par Didier Deschamps.

    Interrogé sur BFMTV à l’hôtel de Crillon mardi matin, Olivier Giroud a donné son sentiment à propos de cette décoration. « Cela représente beaucoup, ça veut dire que l’on a fait beaucoup pour le pays. C’est une chance, un privilège. Je pense surtout aux combattants de la guerre qui la méritent bien plus que nous. Je la prendrai avec plaisir et je vais la bichonner », a conclu l’attaquant des Bleus.

    Dans le même entretien, Olivier Giroud est revenu sur les festivités de lundi et notamment la descente des Champs Elysées dans un bus à impériale.

  • L’affligeant bilan de quatre « soirées festives » à Paris, par Pierre Malpouge

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    Les nuits de fête se suivent et se ressemblent. Qu’il s’agisse des deux nuits de la fête nationale des 13 et 14 juillet, ou de celles des 15 et 16 juillet célébrant la victoire des Bleus, les fêtards et les racailles ayant envahi l’avenue des Champs-Elysées à Paris et les rues adjacentes, ont laissé éclater leur joie, de façon parfois très violente.

    Telles les fourmis ravageuses et détruisant tout sur leur passage du film Quand la Marabunta gronde, les « poètes » du ballon rond s’en sont donné à cœur joie en matière de casse et d’exactions diverses et variées. Voitures brûlées, magasins pillés, mobilier urbain saccagé, vitrines brisées, agressions, heurts avec les forces de l’ordre, le volet « gentil » de la fête aura été de courte durée.

    Noyés dans une foule immense, les casseurs ont en effet investi les Champs-Elysées où s’étaient massées des centaines de milliers de personnes.

    Dimanche soir, quelque 845 voitures étaient déjà parties en fumée. La veille au soir, 508 personnes avaient été placées en garde à vue suite à ce que l’on nomme « incidents », du côté de la Place Beauvau.

    « Compte tenu de la foule présente et malgré des débordements inacceptables, on doit enregistrer un bilan mesuré », a souligné pour sa part le préfet de Paris, Michel Delpuech, heureux récipiendaire de la Légion d’honneur (promotion du 14 juillet).

    45 policiers et gendarmes ont été blessés. Gaz lacrymogènes et engins lanceurs d’eau ont répondu aux jets de bouteilles ou de chaises.

    Mêmes débordements festifs dans la nuit de lundi à mardi aux abords de l’Hôtel Crillon (place de la Concorde) où des « supporters » énervés d’attendre l’apparition des « héros » se sont frottés aux forces de l’ordre. Ce mardi à 6 h du matin, la carcasse calcinée d’une voiture continuait à fumer à quelques pas de l’Olympia.

    Ailleurs en Ile-de-France, 24 voitures ont brûlé en Seine-Saint-Denis, des voitures ont également été incendiées en Seine-et-Marne et dans le Val-de-Marne. Dans le Val-d’Oise, une cinquantaine de personnes ont été interpellées tandis qu’en Essonne, incendies en série et affrontements entre bandes et policiers se sont déroulés.

    Ce type de « joyeusetés » se décentralise désormais un peu partout en France.

    L’alcool et la stupidité ont aussi été à l’origine d’accidents graves, voire mortels : à Saint-Félix (Oise), un automobiliste qui hurlait sa joie en conduisant est décédé après avoir percuté un platane. En Meurthe-et-Moselle, trois enfants ont été percutés par une moto. A Aubenas (Ardèche), trois piétons ont été heurtés par un automobiliste. A Annecy, un homme s’est noyé après avoir sauté dans un canal presque à sec…pour manifester sa joie. A Marseille, plusieurs « incidents » entre supporters et forces de l’ordre ont éclaté autour du Vieux-Port. Même chose à Nantes, à Ajaccio, à Strasbourg ou encore à Rouen. Mais comme le disent les autorités, toutes ces joyeuses soirées se sont globalement déroulées de manière très festive partout en France.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 17 juillet 2018

  • Anniversaire de Jean-Marie Le Pen (90 ans) et les Brigandes !

    Prédédé une introduction de Jean-Maris LE  PEN

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         

  • Des Bleus dans les yeux: victoire et désespoir…

     

    Protocole et "débordements" ont un peu terni la fête qui se voulait populaire

     

    La folie douce qui a gagné les Français depuis la victoire des Bleus ne cachera pas longtemps de douloureuses fractures. La sphère médiatico-politique est tiraillée entre l’envie de tirer parti du formidable résultat sportif et la volonté de ne pas en faire trop… D’autant que la délinquance endémique a une nouvelle fois troublé la fête.


    Ainsi, depuis dimanche soir, tout va pour le mieux dans la meilleure des France ! « Les Bleus sont entrés dans l’histoire » par ici. « Rien ne sera plus comme avant » par là. La presse nationale se repaît de ces fadaises depuis 48 heures. Mais on ne nous fera pas le même coup qu’en 1998 : au diable les récupérations politiques ! N’est-ce pas ? Et c’est vrai, on est d’abord tenté d’adhérer à l’optimisme de Natacha Polony quand elle affirme que « les jours de gloire ne se dédaignent pas, quels qu’ils soient ».

    L’unité retrouvée, vraiment ?

    Depuis dimanche, les journalistes n’ont de cesse de rappeler la baraka d’Emmanuel Macron. Sa cote de popularité devrait en toute logique remonter après ce Mondial. A écouter nos éditorialistes, c’est formidable pour la France. Ah ! Les bains délicieux à venir pour savourer tout ça dans la piscine hors-sol de Brégançon ! En bon chef croquignolesque de notre startup nation, Emmanuel Macron avait déclaré aux joueurs que la compétition ne serait réussie que si la France allait jusqu’au bout. La coupe sinon rien. Euphorie des télés : le pari est gagné. La pression « de dingue » du président et l’exigence de Deschamps ont payé !

    A lire aussi: La France, championne du monde de la casse

    On s’extasie devant les embrassades entre les joueurs et Macron (sans oublier la présidente de la Croatie, sosie officiel de Jeane Manson). Toutefois, il demeure pour certains mauvais coucheurs une difficulté à se réjouir complètement. La lecture des journaux entretient leur malaise. D’une manière plus ou moins sibylline, les gros titres nous apprennent que l’équipe de France signerait l’unité retrouvée d’un merveilleux peuple multiculturel. Les gros sabots (à crampons) de 1998 n’ont pas été chaussés par les politiques, mais les médias de la Macronie semblent tentés. L’impayable Lilian Thuram n’a-t-il pas successivement été invité, hier soir, à commenter le retour des Bleus en France sur M6 puis TF1 ? La France « black blanc beur », ce cadeau empoisonné que la Chiraquie a laissé à nos footeux en 1998 ? Notre sphère politico-médiatique y va à présent piano piano… Sans avoir complètement changé sa partition, l’évoquer semble du plus mauvais goût 20 ans plus tard. Le « suicide français » vient cette fois s’immiscer dans notre petite parenthèse de bonheur… Pendant des heures d’un « décryptage » sociologique plus ou moins appuyé à l’antenne, tout ce petit cirque minimise soigneusement les graves débordements qui ont émaillé certains rassemblements le soir de la victoire de Griezmann, Mbappé et leurs amis.

    Identité caricaturée

    La pression que l’équipe de France a eue sur les épaules est à la mesure de l’écrasant poids de la question identitaire française. Craignant de se faire complètement voler la vedette par son ami Mbappé, Griezmann avait gentiment « trollé » TF1 avec un tonitruant : « Vive la France ! Vive la République! », un soir de France-Argentine.

    Téléfoot
     
    @telefoot_TF1
     
     

    Revoyez l'ENOOORME vidéobomb de @AntoGriezmann alors que @KMbappe revient sur son match au micro de @FredCalenge 
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  • La mer, bergère d'azur...

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    (Photos EB - Marseille juillet 2018)

  • Éric Zemmour évincé de la matinale de RTL

     

     

    La chronique « On n'est pas forcément d'accord », dans laquelle Éric Zemmour intervenait, n'a pas été reconduite, selon « Challenges ».

    Par LePoint.fr
    Publié le  | Le Point.fr
    La chronique &#171;&#160;On n&#8217;est pas forc&#233;ment d&#8217;accord&#160;&#187; de la matinale anim&#233;e par Yves Calvi ne sera pas renouvel&#233;e &#224; la saison prochaine. Mais &#201;ric Zemmour ne quitte pas la station pour autant.

    La chronique « On n’est pas forcément d’accord » de la matinale animée par Yves Calvi ne sera pas renouvelée à la saison prochaine. Mais Éric Zemmour ne quitte pas la station pour autant.