Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 20

  • STATS MARS 2012

    Visiteurs uniques:   27 587

    Visites:       48 274

    Pages:      195 484

    Pages par jour  (Moy/Max):   6305 / 8052

    Visites par jour (Moy/Max):   1557 / 3082

  • Marine Le Pen: "Je suis la voix de l'exception française"

    En meeting vendredi soir à Nice, Marine Le Pen a fustigé « l'islamisation rampante » et estimé que Nicolas Sarkozy avait « blâmé l'œuvre de la France en Algérie ».

     
    Marine Le Pen s'est violemment attaquée à "l'immigration" à laquelle elle a lié "l'islamisation rampante"
     

    « Je suis la seule candidate de la Nation ». En meeting vendredi soir à Nice (Alpes-Maritimes) devant 3.000 personnes, Marine Le Pen s'est présentée comme la défenseure de la France face à « l'étranger ». « Plus les jours passent, plus nous apparaissons comme le parti de la vérité face aux partis du cynisme », a estimé la candidate du Front national qui l'assure : « Je n'ai pas honte de dire que je suis une candidate nationale, que j'aime mon pays et que j'aime son drapeau ».

    Cliquez ici !

    Sans les citer, la leader frontiste a, pour commencer, fustigé un à un ses principaux adversaires dans la course à l'Élysée. « Nous avons un président sortant au bilan catastrophique qui s'accroche désespérément au pouvoir. Il n'a toujours pas de programme. Il nous le promet pour Pâques, nous l'aurons peut-être pour la Trinité », a-t-elle déclaré en évoquant Nicolas Sarkozy. Pour Marine Le Pen, « le candidat socialiste (François Hollande, ndlr) ne fait pas campagne lui non plus. Son ambition : faire moins pire que le président sortant ». Et de détourner et railler son slogan : « le changement, c'est comme avant ». Quand à François Bayrou, sa « famille politique assume le néant de son projet pour la France ».

    "La voix de la survie de la France"

    « Heureusement que nous sommes là », a estimé la candidate du FN. « J'ai soulevé les problèmes, mais en face de moi j'ai des anguilles qui esquivent ». Face à la réalité de leurs bilans, « la première réaction est : "c'est pas vrai", la deuxième réaction est : "c'est pas nous", puis la troisième réaction, en désespoir de cause, "c'est pas grave" ». D'ailleurs Marine Le Pen promet n'avoir « pas trouvé de différence entre le programme de Hollande et de Sarkozy ».

    Se plaçant au-dessus des joutes politiques, la patronne du FN a assuré qu'elle se battait pour « vraiment changer les choses » : « Dans cette élection, ma candidature est unique. Unique, mais pas seule, parce que vous êtes là ». Sombrant alors dans un nationalisme romantique, elle a estimé être « la voix de l'exception française qui veut mettre à bas les élites ». Elle serait même « la voix de la survie de la France ». Et tandis qu'elle se présentait comme la « candidate de la Nation face à la gauche mondialiste » et « la droite du mensonge », Marine Le Pen a violemment et longuement dénoncé « l'immigration » à laquelle elle a directement lié « l'islamisation rampante ». Une diatribe particulièrement agressive mais massivement soutenue par les très nombreux hués qu'a laissé échapper son auditoire à chaque fois qu'elle a prononcé ces deux termes.

    "En 130 ans, les Pieds-noirs ont fait un travail admirable"

    Sans revenir sur l'affaire Merah, la chef du Front national a déploré la « ghettoïsation de la société » et énuméré certaines de ses propositions : suppression des aides sociales aux délinquants d'origine étrangère, expulsion des sans-papiers (« je mettrai les clandestins dehors, qu'ils aient un travail ou non »), ou encore rétablissement d'un service militaire d'un mois pour tous.

    Profitant de la présence dans la salle de nombreux Pieds-noirs et descendants de Français d'Algérie, Marine Le Pen a également fustigé l'attitude du président sortant, accusé de s'être repenti devant le Premier ministre turc et « islamiste » Recep Tayyip Erdogan pour l'occupation de ce territoire par la France : « Nicolas Sarkozy a blâmé l'œuvre de la France en Algérie », a-t-elle estimé, jugeant qu'« en 130 ans, les Pieds-noirs ont fait un travail admirable. La France doit le reconnaître, la France ne doit pas l'oublier ».

    La candidate frontiste a également déclaré que « nous ne devons pas oublier les Harkis, honteusement abandonnés par les pouvoirs publics ». « Si la France a une dette envers les Musulmans, c'est bien vis-à-vis des seuls Harkis qui ont versé leur sang pour la France », a-t-elle affirmé.

     

    Par Philippe Peter
     
    France-Soir - 31/03/12
  • FLN et collabos à Marseille: le FN dit non !

     

    Le théatre de La Criée à Marseille a accueilli durant trois jours, tout le gratin du FLN et de ses porteurs de valises "français" autour d'un colloque traitant des 50 ans de la fin de la guerre d'Algérie.

    Trois jours de haine anti-française en général, anti-pieds noirs et anti-harkis en particulier.

    Les élus et les militants du Front National se sont joints au rassemblement organisé par des associations d'anciens combattants et de pieds-noirs pour accueillir les participants à cette provocation aux cris de COLLABOS et FLN ASSASSIN.

    Plus que jamais, Pieds-Noirs doit rimer avec mémoire et histoire, la grande et glorieuse Histoire de France !

    S.R.

    photo (23).jpg

    Devant La Criée ce vendredi 30 mars avant de revenir le lendemain, samedi 31 mars.

    Entourés des militants marseillais, les élus frontistes Stéphane Ravier, Elisabeth Philippe et Laurent Comas sont venus défendre l'honneur de l'Algérie française et répéter que les assassins du FLN n'avaient pas leur place à Marseille.

     

    Blog de Stéphane Ravier pour Marseille - 01/04/12

     

  • Bruno Gollnisch: "Affaire Merah - La question qui n'est pas posée"

     

    31 mars 2012

    AFFAIRE MERAH : LA QUESTION QUI N’EST PAS POSEE

    par Bruno Gollnisch, Député européen

    La plupart des commentaires sur l’affaire Merah demandent de ne pas stigmatiser tous les Musulmans. Ils ont raison. Il n’y a pas dans notre culture occidentale, et il ne saurait y avoir, de responsabilité collective. En revanche, on voudrait être plus certain que l’Islam est bien pour tous les Musulmans cette religion de paix et d’amour que l’on nous vante dans autant de discours lénifiants. Poser la question, c’est hélas y répondre.

    Un responsable de l’enquête a exposé que la date choisie par Merah pour ses crimes n’était pas choisie au hasard. Et notamment celle du 19 mars, jour anniversaire de l’entrée en vigueur des accords d’Evian. Puisque l’on nous y « invite » donc, rappelons que l’ islamisme fanatique et l’anti-occidentalisme furent parmi les principaux ressorts de l’action du F.L.N. algérien, aujourd’hui encensé de façon indécente, qui pratiqua systématiquement les assassinats de civils, y compris les assassinats d’enfants européens, (enfants de deux et trois ans égorgés, crucifiés sous les yeux de leurs parents) mais aussi musulmans, comme l’entière population du village de Melouza, les familles des malheureux harkis abandonnés par la France, etc.

    Pas plus tard que cette semaine, dans Marianne, Zohra Drif, Sénatrice algérienne, revendique fièrement d’avoir contribué à l’attentat du « Milk Bar » et justifie ses assassinats. Mme Danielle Michel-Chich, qui avait alors 5 ans, y perdit une jambe, et sa grand-mère, qui l’y avait emmenée pour manger une glace. Elle lui répond de façon digne mais ferme. Les morts, eux, ne sont plus là pour répondre à la sénatrice meurtrière.

    Mais revenons à Merah. Je laisserai de côté les aspects seconds, voire secondaires, comme les discussions pour savoir s’il aurait dû être neutralisé dès que la DCRI avait eu connaissance de son séjour au Pakistan. La gauche, qui a voté contre tous les systèmes de collecte d’information, paraît s’indigner de la carence des autorités. Que n’aurait-elle pas dit si l’on avait inculpé ou inquiété ce bon jeune homme au seul motif de cette ballade « touristique ».

    Il est tout de même étrange, avouons-le, qu’on ait laissé prospérer ce réseau salafiste que la Dépêche du Midi qualifiait de « Bureau de recrutement pour le Djihad », et dont onze membres avaient été arrêtés…dès le 14 février 2007 ! Quant à la « neutralisation » de Mohammed Merah, il est vrai qu’il eut bien mieux valu le prendre vivant, afin d’en tirer plus d’informations. Mais c’est facile à dire pour des commentateurs qui écrivent tranquillement leur « papier » dans leur bureau, et qui n’ont jamais entendu siffler que des balles de tennis. Moins facile pour des policiers en situation dont la vie est directement menacée.

    Ce qui m’intéresse ici se situe en amont de tout cela : que faisait ce garçon dans un pays –le nôtre- qu’il haïssait, comme d’autres membres de sa famille ? Comment d’ailleurs, et pourquoi, cette famille est-elle arrivée-là, dans un pays où théoriquement l’immigration de travail a cessé depuis 1975 ? A quelle rationalité obéissait cette présence ? Quel profit la communauté nationale a-t-elle retiré de cet « apport » au regard des coûts ? Je ne parle pas des coûts consécutifs au drame : humains-ils sont irréparables- ou matériels : les pensions dues aux veuves, aux orphelins, etc. Non, je parle de ce qu’il y a eu avant, et que l’on n’évoque pas, ou si peu, ou par bribes, et pour cause :

    Combien donc a coûté la famille Merah à la France ? le Père, Mohammed Melal Merah, qui nous a légué ses rejetons et s’en est si peu ou mal occupé, incarcéré ici quatre années pour trafic de drogue, et qui a eu le bon goût de retourner en Algérie. La mère, les deux frères, les deux sœurs, M. Essid le beau-père, et Sabri Essid, le fils de ce dernier, autre militant salafiste, arrêté les armes à la main, fin 2006 en Syrie, près de la frontière avec l’Irak, condamné et incarcéré en France !

    - Quelle partie des dépenses de la collectivité a été couverte par leur travail ?

    Et en particulier pour feu Mohammed Merah : combien a –t-il coûté à ce pays, qu’il a remercié par ces actes affreux, en allocations pré- et post- natales, en scolarisation gratuite (avec bourses ?), en allocations familiales, en soins gratuits remboursés par la sécurité sociale, y compris l’hépatite A contractée au Pakistan, en formation professionnelle (C.A.P. Carrossier), en Aide Personnalisée au Logement, en R.S.A. ? Combien ont coûté ses méfaits précédents, ses 18 arrestations, ses 15 condamnations, en dommages, déprédations, temps passé de policiers, de magistrats, de greffiers, d’éducateurs, etc. ? et ses 21 mois d’incarcération ?

    Oui, combien tout cela a-t-il coûté ? 200.000, 300.000, 400.000 € ? moins ? plus ?

    Et ceci induit bien sûr une deuxième question. LA question. Question taboue pour le « politiquement correct ». Question qui NE DOIT pas être posée selon, entre autres, le journal Libération. Et qui de fait ne l’a pas été. La question de la Nationalité. Il paraît qu’à l’UMP Jacques Myard, député, l’a soulevée avec trois autres parlementaires du même bord. Ils demandent que désormais l’octroi de la nationalité française à des étrangers nés en France n’ait plus de caractère automatique.

    Dans Libé, journal passé du maoïsme à Rothschild, aujourd’hui son principal actionnaire, devenu gazette officielle de la bien-pensance, et arbitre des élégances morales, M. François Sergent, éditorialiste, s’en indigne. Il stigmatise le « Propos ignoble et hystérisé » (sic). Il s’écrie : « Merah est aussi français que Jacques Myard ». Il martèle « Merah est certainement un monstre, mais un monstre français ». Nous y voilà. Il faut que Merah soit de chez nous. Bien de chez nous. Rien que de chez nous. Parce qu’il faut que quelque part la France soit coupable. Et personne d’autre.

    Coupable, la France, de n’avoir pas été assez gentille avec celui que son ex-avocate, dans le même journal, nous présente comme « Gentiment crâneur, attachant, maladroit » (pas dans le maniement des armes, semble-t-il), car « Son rapport aux adultes était marqué par une grande politesse, une certaine délicatesse. Il était attentif à ses interlocuteurs » (les victimes apprécieront). Elle gardera donc l’ « image de ce gosse souriant, nuque courte, jean taille basse, polo « Ralph Lauren » (sic). Comme tout cela est touchant ! D’autant plus que Libé prend bien soin de ne pas nous dire un mot des raisons qui ont valu à Merah ses déboires judiciaires. Et de conclure :

    « Jusqu’à quelle génération un enfant né français sera-t-il renvoyé à son origine algérienne, pour combien de générations son ascendance le fera-t-il éternellement étranger au pays qui est le sien ? ». Voilà, M. Sergent, un noble et beau discours, que beaucoup d’enfants d’origine européenne eussent aimé entendre lors de l’indépendance algérienne, eux dont les familles étaient en Algérie depuis parfois six générations, au lieu de se voir proposer le « choix » entre la valise ou le cercueil !

    Mais il n’est pas besoin de remonter si loin ! Mohammed Merah est de la première génération à être francisée, et il l’a été, sans perdre sa nationalité d’origine, par l’effet quasi-automatique d’un Code de la Nationalité qui distribue la qualité de Français aussi bien à ceux qui l’on méritée qu’à ceux qui ne la méritent pas, à ceux qui la désirent comme à ceux qui la méprisent, à ceux qui aiment la France comme à ceux qui la haïssent. Et c’est là tout le problème ! Un problème tabou, mais un vrai, un grave, un très grave problème !

    En réalité, comme je l’ai dit dès le début de cette affaire, et comme presque tous les media l’ont occulté, le plus longtemps possible, Merah, né le 10 octobre 1988 de parents algériens, avait la double nationalité. C’était d’ailleurs une évidence. Croyez-vous un seul instant que la France ne revendiquerait pas comme l’un des siens, par exemple, un enfant né de père français et de mère française au Guatemala, et ce au seul motif que sa naissance dans ce pays lui vaudrait la nationalité guatemaltèque ?

    A ce compte-là, Valéry Giscard d’Estaing serait allemand ; Jean-Luc Mélenchon, Elisabeth Guigou et Dominique de Villepin marocains ; Edouard Balladur, turc ; Bertrand Delanoë, tunisien ; puisqu’ils sont nés respectivement à Coblence, à Tanger, à Marrakech, à Rabat, à Smyrne, à Tunis ! Absurde ? Oui, absurde, en effet ! C’est donc que la filiation, est un critère a priori bien plus fort que le lieu de naissance dans l’attribution de la nationalité. Et voila justifié ce fameux droit du sang, ius sanguinis, que d’incultes crétins font remonter à Adolf Hitler, alors que ce concept de droit romain, le plus important dans les droits de la nationalité de tous les pays du monde, se trouve depuis toujours dans tous les manuels de droit international privé des facultés de droit, sans exception. Concept si peu « racial » qu’il englobe aussi l’attribution de la nationalité de l’adoptant à l’adopté, du moins dans l’adoption plénière.

    Eh bien si nous considérons qu’un enfant né de parents français, même à l’étranger, est français, l’Algérie, très légitimement, fait de même pour les siens. Merah était donc algérien, et son père vient de vendre la mèche en révélant qu’il avait toujours eu un passeport algérien.

    Et j’en viens à ma conclusion : si le Code de la Nationalité était ce qu’il devrait être, comme ce qu’il est dans la plupart des pays du monde, la naissance sur le sol français ne lui aurait conféré aucun droit automatique. Elle eût été un simple élément à l’appui d’une éventuelle demande de naturalisation. Naturalisation accordée à ceux qui s’en sont montré dignes-(il y en a, bien sûr !), et refusée aux autres, comme ç’eût été le cas en l’espèce, compte tenu de ses multiples méfaits. Mieux : les méfaits des rejetons –et du père- auraient conduit dans n’importe quel pays à la résiliation des autorisations de séjour de cette famille étrangère.

    Car le séjour en France n’est pas un droit. C’est une faveur. Les parents Merah qui, contrairement aux exigences de la loi, ne se sont pas présentés lors des comparutions de leur rejeton, n’auraient pas pour autant été condamnés. Mais il leur aurait été enjoint de retourner dans leur pays avec leur descendance, puisque certains de leurs enfants troublaient gravement l’ordre public français. C’est ce qui arrive en pareil cas dans la plupart des pays du monde.

    C’est certainement ce qui arriverait à une famille française dont les enfants commettraient des méfaits en Algérie. C’est conforme au droit international public. Et c’est le bon sens. Et cela aurait très certainement sauvé six vies, sans compter celle de Merah lui-même qui aurait eu cependant intérêt à filer doux : la police et la justice algérienne sont moins compréhensives que les nôtres.

    Un dernier mot. Je connais M. Myard depuis 26 ans. C’est un collègue aimable. Quand j’étais député en 1986 à l’Assemblée Nationale, membre de la commission des Affaires Etrangères, il était Conseiller de M. Michel Aurillac, ministre de la Coopération dans le gouvernement Chirac. J’avais été élu sur le programme du Front National ; la majorité chiraquienne avait été élue sur un pâle décalque de ce programme FN, qui s’appelait « la plate-forme commune RPR-UDF » (on dirait aujourd’hui : « la plate-forme UMP »). Dans ce document, RPR et UDF s’engageaient solennellement à changer le Code de la Nationalité pour faire disparaître les cas de « naturalisation automatique ». Il fallait empêcher les électeurs d’aller massivement vers le Front

    Quand la mandature s’est terminée, RPR et UDF avaient renoncé à changer quoi que ce soit. Ils n’ont pas changé un seul mot des lois sur la nationalité. 26 ans après, ils en sont toujours aux promesses électorales. Votez Marine Le Pen.

     

    P.S. Cet article me vaudra, c’est sûr, comme d’habitude, des accusations de dureté de cœur, d’incitation à la haine, de récupération politique, et tout le bazar habituel de la rhétorique des bien-pensant. Je m’en contrefiche. Comme l’écrivait Chateaubriand, il est des temps où il faut être économe de son mépris, à cause du grand nombre de nécessiteux. Je réserve ma compassion aux victimes : aux soldats français, aux enfants et à leur maître assassinés d’aussi ignoble façon.

    Et aussi aux victimes d’avant le crime : à Bitru, figure du français de souche –du « souchien », comme ils disent- qui part au boulot tous les matins, qui n’emmerde personne, qui élève ses gosses, qui n’aura jamais de quoi se payer le pavillon de ses rêves, qui vivra ses dernières années avec 750€ de retraite, et qui, sans le savoir-et sans qu’on lui ait jamais demandé son avis- a entretenu Merah par son travail, ses cotisations et ses impôts…

    Quant à ceux qui m’accuseront d’écrire par détestation de l’Algérie ou des Arabes, ils ont aussi tout faux : je n’ai rien contre les Algériens ; je souhaite des relations apaisées et mutuellement profitables avec l’Algérie. La famille Merah aurait pu venir d’Argentine, d’Albanie, du Kirghizistan ou du Zimbabwé, mon raisonnement serait le même.

     

  • Rhône: un élu de gauche, François Desbois, condamné pour agression sexuelle sur mineur

    Ce scandale politique fera-t-il autant de bruit qu’un bal à Vienne ? Notez que cet article du Progrès tait l’appartenance politique de François Desbois…

    François Desbois apparaît dans la liste unique de la gauche comme « un nouveau souffle pour Neuville ».

    François Desbois

    François Desbois, 58 ans, ancien cadre à La Poste, a été condamné par le tribunal correctionnel de Lyon pour agression sexuelle sur mineur, à quinze mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve et obligation de soins.

    En tant que conseiller municipal à Neuville-sur-Saône, il avait eu l’occasion de siéger au conseil local de prévention de la délinquance (sic). Mercredi, il s’est retrouvé de l’autre côté de la barre, inscrit au fichier des délinquants sexuels.

    L’homme était poursuivi pour avoir pris, en 2008, des photos d’une adolescente âgée de 13 ans, posant nue dans sa salle de bain. Selon le récit de la victime, il en avait profité pour se livrer à des attouchements. (…)

    Pour le procureur, il avait profité de l’isolement d’une adolescente en rupture familiale. Un homme décrit en pervers par une expertise, en manipulateur par sa propre fille, a ajouté le procureur Jean Varaldi. « Attention au mauvais portrait », a répondu Flavien Barioz, avocat de la défense, qui a bataillé les versions accablantes des parties civiles.

     

    François Desbois avec Jack Lang au salon européen
    de l’art contemporain en avril 2010

    Source : Le Progrès, Merci à Miserecord

    Défrancisation 

  • Nicolas Sarkozy invoque l'Histoire pour mobiliser les jeunes...

    PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a invité samedi la jeunesse à s'inspirer des valeurs de la génération de la Résistance pour oser, créer et tirer un trait sur 30 années de pensée unique et de dérives qui ont plongé le monde dans la crise, afin de l'aider à construire "une France forte dans une Europe forte".

    Le président candidat s'exprimait devant plusieurs milliers de jeunes rassemblés dans un hall du parc des Expositions de la porte de Versailles à Paris, à trois semaines du premier tour de la présidentielle.

    Pour cet exercice obligé de toute campagne électorale, le meeting avec les jeunes, il a eu recours au lyrisme dans un discours aux allures de leçon d'histoire et de morale qui portait la marque de sa plume habituelle, son conseiller spécial Henri Guaino.

    Il a invoqué aussi bien le général de Gaulle, le pape Jean-Paul II, les mots d'une rescapée d'Auschwitz que Rimbaud et le révolutionnaire Saint Just pour inviter la jeunesse à l'action et à ne laisser "personne écrire votre Histoire à votre place".

    Il a pris comme modèle la génération de la guerre, "transcendée par l'épreuve", qui a su faire la paix, construire l'Europe, permettre les "Trente glorieuses", créer la sécurité sociale et donner le droit de vote aux femmes, avant d'invoquer comme repoussoir la période qui a suivi mai 1968.

    "Ont suivi 30 années de pensée unique, d'aveuglement, de désordre monétaire, de mondialisation sans règle, de spéculation, de laxisme financier, de dévalorisation systématique du travail, de dépréciation du mérite, d'affaiblissement de l'autorité, de relâchement", le tout générant des "crises sans précédent qui ont fait passer le monde au bord du gouffre".

    UNE BANQUE DE LA JEUNESSE

    A partir de là, il a défendu plusieurs des mesures qu'il propose depuis le début de la campagne pour une France et une Europe qui protège ses entreprises et contrôle son immigration.

    Il n'a fait aucune allusion directe au chômage des jeunes, réaffirmant seulement sa volonté de généraliser l'apprentissage, y compris dans l'administration, et indiqué sans autre précision son intention de doubler les effectifs du service civique.

    Ceux-ci s'élèvent pour l'instant à plus de 22.000 et le gouvernement avait pour ambition de signer 25.000 contrats en 2012 et 75.000 à partir de 2014. Le candidat socialiste François Hollande a retenu pour sa part un objectif de 100.000 contrats.

    La seule véritable annonce du discours de Nicolas Sarkozy a été celle de la création d'une "banque de la jeunesse" qui permettrait de financer, sous forme de caution, des projets d'étude, de formation ou d'entreprises.

    Bernadette Chirac, l'épouse de l'ancien président de la République, et l'ex-ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo étaient au premier rang des invités pour cette intervention au cours de laquelle il n'a pas fait preuve de la même virulence vis-à-vis de l'opposition que lors de ses sorties précédentes.

    Sans les nommer, il a néanmoins stigmatisé les socialistes, quand il a dénoncé dans les opposants à Hadopi, la loi qui protège la création sur internet, des "démagogues", des "apôtres du jeunisme (...) tous ceux qui n'ont que la lâcheté en eux".

    Edité par Marine Pennetier

    Yahoo! Actu

  • Coran ou l'incitation à la haine sans complexe

    Je suis surpris de constater la violence de certains musulmans en France (affaires Youssouf FOFANA, Mohamed MERAH et leurs émules...), ainsi que dans le monde où 99% des gens qui meurent au nom d'un dieu meurent en fait au nom d'Allah.
    J'ai donc décidé de lire le Coran pour voir si ce texte présentait un lien avec cette violence. Ce que j'y ai découvert est effrayant et susceptible de vous intéresser.

    J'y ai trouvé des versets d'une violence inouïe.
    Non pas des histoires à lire comme des romans d'aventure, à l'instar de l'Ancien Testament, qui nous conte les démêlés du peuple juif avec ses voisins aujourd'hui disparus.
    Mais des textes mettant directement en cause nos concitoyens, chrétiens, juifs, ou athées... voire même musulmans jugés trop "modérés".
    Des textes appelant sans ambiguïté à la haine, à la discrimination, et au meurtre des Français.
    Non pas 2 ou 3 mais des centaines (!) d'articles aussi allégoriques que le code Napoléon, qui stigmatisent, insultent, condamnent parfois à mort nos concitoyens en raison de leurs croyances religieuses (ou de leur absence de croyance).
    Des textes contrevenant sans aucun doute à la loi du 29 juillet 1881 modifiée en 2004.

    Jugez plutôt avec ce petit échantillon :

    sourate 9 v29 : "Combattez ceux qui ne croient pas en Allah, qui ne considèrent pas comme illicite ce qu'Allah et son prophète ont déclaré illicite (...) jusqu'à ce qu'ils paient, humiliés et de leurs propres mains le tribut."

    sourate 2 v216 : "Le combat vous est prescrit et pourtant vous l'avez en aversion. Peut-être avez-vous de l'aversion pour ce qui est un bien et de l'attirance pour ce qui est un mal. Allah sait et vous ne savez pas"

    sourate 9 v5 : "lorsque les mois sacrés seront expirés, tuez les infidèles partout où vous les trouverez. (...)"

    sourate 8 v17 : "Vous ne les avez pas tué (vos ennemis). C'est Allah qui les a tués. Lorsque tu portes un coup, ce n'est pas toi qui le porte mais Allah qui éprouve ainsi les croyants par une belle épreuve"

    sourate 47 v35 : "Ne faiblissez pas et ne demandes pas la paix quand vous êtes les plus forts et qu'Allah est avec vous ! (...)"

    - Concernant l'incitation à la torture (oui, dans un texte religieux de référence !) :
    sourate 5 verset 33 : "la récompense de ceux qui font la guerre à Allah (...) c'est qu'ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupés leurs mains ou leurs pieds (...)"

    - Concernant la provocation à la discrimination et à la haine des non-musulmans (athées ou membres des autres confessions) :
    sourate 9 verset 28 : "les infidèles ne sont que souillure"
    sourate 9 verset 30 : (les juifs et les chrétiens) "Qu'Allah les maudissent(...)"
    (Remarque : dans l'Islam, maudire quelqu'un ou l'accuser d'être impur sont ce qu'on peut porter de pire comme attaque verbale ; un peu l'équivalent de notre moderne "fils de pute")

    Les juifs sont décrits comme des êtres injustes, des pervers sans foi ni loi (sourate 2 verset 89/95, sourate 2 verset 79/85, sourate 2 verset 73/79, sourate 5 verset 41)
    La sourate 4 est un torrent de colère et de haine contre les juifs (versets 154, 155, 156, 157) tandis que la sourate 62 verset 5 les compare à des ânes...

    - Concernant la liberté de culte :
    sourate 4 verset 89 : "(ceux qui quittent l'Islam) saisissez-les alors, et tuez-les où que vous vous trouviez."
    - Concernant la liberté de disposer de son corps :
    sourate 4 verset 19 (ou 15) : (les lesbiennes) "Retenez ces femmes dans vos demeures jusqu'à ce que la mort les rappelle (...)"
    etc...etc...J'arrête-là la litanie pour ne pas lasser...

    Ces quelques exemples suffisent amplement à justifier les actes de Mohamed MERAH et de tous ses partisans actuels...et futurs !
    Il me semble qu'ils amènent tout citoyen à se poser les questions suivantes :

    - Comment, en France, les maires peuvent-ils subventionner une religion s'appuyant sur de tels textes (en contournant les loi sur la laïcité !), sans au moins exiger en contre-partie la suppression des versets illégaux ? Simple ignorance, ou préoccupations clientélistes ?
    - Comment dans notre République laïque, les pouvoirs publics peuvent-ils puiser leur inspiration dans ce même texte scélérat pour les guider dans la gestion de notre société (prescription de repas sans porc, ou de viande hallal dans les cantines scolaires ou militaires, autorisation du voile islamique...) sans s'intéresser à l'ensemble du message véhiculé ?
    - Est-ce qu'un texte, sous prétexte qu'il sert de référence religieuse, a le droit de véhiculer les idées les plus abjectes et les plus contraires à notre démocratie ?

    (...)

    Par Cassandre - 31/03/12

    AGORAVOX

  • A Nice, Jean-Marie Le Pen explique comment Sarkozy "gonfle" les sondages de Mélenchon !


    Marine Le Pen en meeting vendredi à Nice pour... par BFMTV