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  • La fin inéluctable d’un système, l’avènement d’un monde nouveau : des raisons d’espérer – Par Louis Tode

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    17 décembre 2012

     

     
     

    Dans notre pays, le refus du débat, la non-émergence artificielle d’idées nouvelles, les procès faits aux gêneurs, tout cela dénonce un régime politique qui est dépassé, se craquelle et se fragilise. Si les choses se font lentement, on voit ce régime s’effondrer à petit feu, politiquement et intellectuellement. LT

     

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    Délabrement politique

    Politiquement, l’UMP est devenue un vaste champ de ruine voué au pourrissement. Chaque composant ayant toutes les tendances politiques en son sein, sans chef, sans idées claires est plus ou moins contaminé idéologiquement par la gauche, avec, dès le début, une volonté d’associer des forces idéologiquement opposées (gauche moderne et droite populaire, etc.). L’UMP a été mise à l’épreuve pendant 10 ans et n’a pas à proprement parler appliqué une politique de droite et de bon sens.

    Côté PS, on ne sait plus trop ce que signifie « socialisme » ; nous sommes bien loin de l’esprit d’un Salengro ou d’un Jaurès. Là encore, pas de ligne claire (communautaristes, libéraux, patriotes, etc.) sans chef, des divisions avec les verts et les communistes, qui lui sont pourtant alliés (sur le plan national ou local). On le voit à l’œuvre : chaque jour un nouveau couac, des ministres apparatchiks incompétents, des retournements de veste…

    Concernant l’extrême gauche, celle-ci reste pro-immigration, pro-mariage homosexuel (loin de l’esprit des pères fondateurs Marchais ou Thorez) car elle n’a plus que cela à offrir. Ce n’est pas vraiment la ligne anti-capitaliste (positionnement d’ailleurs malhonnête puisque la haute finance a toujours soutenu les mouvements progressistes) ; là encore, la ligne idéologique n’est pas claire, elle se dit anti-système mais est dirigée par un Mélenchon ancien ministre, sénateur, et franc maçon. L’extrême gauche semble s’être appliquée son propre dogme : faire table rase du passé, pour rester l’idiot utile du capitalisme.

    Le spectre politique explose de tous les côtés, sans chefs, sans lignes, pour ne donner qu’un vaste ensemble un peu flou, sans rêve, globalement pro-Union européenne, pro-immigration, libéral, avec des divergences purement techniques comme il peut en exister au sein de n’importe quel bloc politique. Il n’y a pas de divergences de fond, pas plus qu’il n’y a d’affrontements :
    Où sont les grands débats publics enflammés entre Jaurès et Clémenceau, voire entre Le Pen et Tapie, dans lesquels deux visions du monde, deux fortes personnalités s’affrontaient franchement ? Où sont les affrontements littéraires, par livres interposés, comme ont pu le faire Voltaire et Rousseau, Marx et Proudhon ou encore Drieu la Rochelle et Aragon ? Où sont les articles de journaux dans lesquels les auteurs se confrontaient loyalement et parfois durement, argument contre argument ?

    Délabrement intellectuel

    Aujourd’hui, dès que quelqu’un bouscule l’ordre établi, il se retrouve devant les juges pour finir au bûcher… La vie intellectuelle est devenue assez pauvre ; la radio et la télévision ne font plus que des entrevues très rapides, mélangent politiques, intellectuels et « artistes », détruisent ainsi toute véritable discussion de fond ; les partis politiques, cherchant uniquement à avoir des élus, se livrent à de basses démagogies pour séduire : il leur est donc par essence impossible d’aller au fond des choses, tenus qu’ils sont de coller à l’opinion et au cadre politique. Vu l’importance qu’ils ont prise, allant de pair avec leur délitement idéologique, ils court-circuitent tout débat.

    Par ailleurs, les intellectuels en cour (Attali, BHL, Minc, etc.) n’ont plus rien à offrir de nouveau.
    Nous vivons ainsi une période de mollesse politique et intellectuelle.

    Ce qui se traduit dans les faits :

    • - une incapacité à gérer les problèmes de fond du pays (chômage, instruction, immigration, écologie…) ; l’ensemble de notre système éducatif, universitaire, économique, politique, militaire, alimentaire, géopolitique, est devenu fou et ne trouve aucune justification dans la manière dont il fonctionne. Il n’est même plus en accord avec ses propres fondements (ceux du Général De Gaulle, qu’il conviendrait parfois de relire). Seulement, des incapables sans ossature idéologique ne peuvent le réformer ;
    • - une déviation du débat sur des questions polémiques et inutiles (drogue, mariage homo…) ;
    • - une volonté de ne pas faire émerger les forces politiques alternatives et nouvelles : pas de proportionnelle, pas de totale liberté totale pour la presse et la pensée, interdiction formelle de certains mouvements politiquement incorrects.

    Cette élite déliquescente ne fait plus rien de son pouvoir mais s’y accroche tant qu’elle peut, au service d’elle-même et de son idéologie obsolète. La République française ressemble de plus en plus à un régime bananier : toute puissance des apparatchiks de partis dans les institutions, affaires de mœurs et d’argent en tout genre, refus de la dure réalité (rapports de la Cour des compte enterrés, etc.), opacité des subventions aux associations et à la presse, copinage entre journalistes et politiques. Il est légitime de se poser la question suivante : vers quoi nous mène notre système fondé sur une tolérance imposée, le métissage, la mondialisation, le droit de l’hommisme, le déracinement ? A la lumière de ce qui se passe dans les autres pays, il est difficile de répondre autre chose que vers le chaos.

    Néanmoins, face à ce régime cliniquement mort qui se craquelle, la nature ayant horreur du vide, d’autres forces émergent, dissidentes, populaires, spirituelles, qui prennent le relais. Un exemple représentatif aura été les manifestations catholiques des automnes 2011 et 2012 (contre certaines pièces blasphématoires et le « mariage pour tous »). Dans les deux cas, nous avons vu les tenants d’un projet de société fondé sur le respect de l’homme, de sa spiritualité, de ses lois et institutions naturelles, face aux défenseurs de la tolérance à tout va, de l’hédonisme, du relativisme : la grandeur et l’idéal contre le néant et la mollesse.

    Une lueur d’espoir

    De plus en plus de livres, d’articles, sur des sujets qui fâchent, sur les nouveaux totalitarismes, sur la volonté de davantage de débat, sur la déliquescence de la politique, sont édités. Des enquêtes, études, sondages, montrent que, malgré tout le matraquage médiatique, beaucoup gardent un esprit critique et de bon sens (sondage sur l’islam, vote dissident, popularité des Zemmour, Soral ou Dieudonné, émergence de gens comme Richard Millet, durées de mouvements politiques ou métapolitiques, nombre de vues sur certains sites, etc.). Les intellectuels officiels et le politiquement correct ne peuvent que constater leur échec ; leur système ne tient plus qu’artificiellement ; nous observons un retour aux traditions, aux frontières. La rigueur et la profondeur intellectuelle ne se trouvent plus chez eux, tant sur la politique, la géopolitique, la sociologie, que sur l’histoire, mais chez les dissidents (*). Ces mêmes rigueur et profondeur ont disparu aussi de l’offre politique des mouvements du système.

    Nous sommes en train de connaître la fin d’un monde et la naissance d’un monde nouveau, en dépit d’un système qui, malgré une inéluctable descente aux enfers, fera tout pour préserver le monde ancien et dépassé.

    Louis Tode

    Note :
    (*) La révolte des intellectuels contre le Système

    Les intertitres sont de la rédaction

    Source : Polémia – 13/12/2012.

    Image : fin d’un système : fin de l’occultation de Jupiter par la Lune – Cliff’s photography via Flickr (cc)

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT

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    Une scène choquante. Pour rappel, les personnes et mouvements qui faisaient l’apologie de la pédophilie dans les années 70 étaient liées à la mouvance homosexuelle militante.

    Jeanne Smits a pris des photos de la manifestation d’hier : les pancartes montrent que le mauvais goût, la vulgarité, l’insulte, voire la haine sont bien ancrées (et permises !) au sein des militants LGBT. Aucun élu soutenant cette manifestation ne s’est désolidarisé de ces attaques.

    Ces gens ont une piètre idée du mariage.

    ALTERMEDIA FRANCE - 17/12/12

    Cliquez sur le lien Jeanne Smits pour voir les photos

  • Hollande, Ayrault: plus dure sera la chute ! L'effondrement continue dans les sondages

    PARIS (Reuters) - La cote de popularité de François Hollande est en baisse d'un point en décembre à 40% d'opinions positives, tandis que celle du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, baisse de trois points à 37%, selon le baromètre LH2 pour Le Nouvel Observateur.

    L'institut remarque que la popularité du chef de l'Etat s'érode auprès des populations les plus fragiles sur le marché de l'emploi, avec une baisse de neuf points chez les personnes âgées de 50 à 64 ans et cinq points chez les 18-24 ans.

    Le président de la République perd aussi cinq points chez les femmes, trois chez les sympathisants de la gauche et cinq chez les sympathisants du Front de Gauche.

    La baisse de la cote de Jean-Marc Ayrault coïncide avec l'accord signé avec le groupe ArcelorMittal sur le site sidérurgique de Florange, en Lorraine, et dénoncé par les syndicats. Il perd six points chez les ouvriers et employés.

    Le sondage a été réalisé les 14 et 15 décembre par téléphone sur un échantillon de 956 personnes représentatif de la population française âgée de plus de 18 ans.

    Thierry Lévêque, édité par Gilles Trequesser

    Yahoo Actu! - 17/12/12

  • Idéologie du "Genre" à l'école: le FN réagit

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    17 décembre 2012

    « Halte à ceux qui veulent déconstruire les enfants ! » s’insurge Françoise Grolet, conseiller régional de Lorraine, dans un communiqué.

    La Ligue de l’Enseignement, association gauchiste, met effectivement en place un projet national « Ecole et cinéma », qui mobilise 645 000 enfants par an pour un cycle de trois films. Voici comment le présente la fiche pédagogique : « Laure a 10 ans. Laure est un garçon manqué. Arrivée dans un nouveau quartier, elle fait croire à Lisa et sa bande qu’elle est un garçon. Action ou vérité ? Action. L’été devient un grand terrain de jeu et Laure devient Michael, un garçon comme les autres… suffisamment différent pour attirer l’attention de Lisa qui en tombe amoureuse. Laure profite de sa nouvelle identité comme si la fin de l’été n’allait jamais révéler son troublant secret ».

    Le conseiller FN condamne ce film qui « propage clairement l’idéologie du Genre, qui essaie de substituer, à une humanité composée d’hommes et de femmes, des individus dotés d’une « orientation sexuelle » interchangeable« . Françoise Grolet souligne que l’ »auteur, Céline Sciamma se revendique comme militante de la cause lesbienne, et a reçu à la Biennale de Berlin 2011 le « Teddy Awards » dédié aux films évoquant l’homosexualité« .

    « Cette séance de cinéma à l’école heurte gravement le droit des parents, premiers éducateurs« , dénonce le FN à travers l’ancien soutien de Bruno Gollnisch. « A force de vouloir détruire tout repère, toute identité, on crée une société qui déstabilise totalement un enfant » poursuit-elle.

    « Revendiquons pour nos enfants le droit à grandir paisiblement, pour autant que le monde actuel le leur permette. En tout état de cause, il appartient aux adultes de refuser la « subversion délicate » (bel oxymore du critique d’Arte…) de ces apprentis-sorciers saccageurs d’enfance » termine le communiqué.

    Contre-info.com

  • L'esprit de Noël

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  • Marseille : Jean-Marie Le Pen rejoue ses classiques

     

     
     
     
     

    Publié le dimanche 16 décembre 2012 à 13H54

     

    Le président d'honneur du FN était hier en tournée provençale dans une salle du boulevard Ganay (9e)

    En visite à Marseille, Jean-Marie Le Pen était accompagné, hier, du futur candidat FN aux municipales, Stéphane Ravier.

    En visite à Marseille, Jean-Marie Le Pen était accompagné, hier, du futur candidat FN aux municipales, Stéphane Ravier.

    Photo G.R

    Une demi-heure de retard sur l'horaire, la démarche empruntée et la voix prise. Mais une vigueur retrouvée au moment de tirer à l'arme lourde sur le "système UMPS" qui conduit le pays "à la décadence".

    En tournée provinciale dans une salle du boulevard Ganay (9e), hier midi, devant 300 fans qui avaient payé le couvert 20 euros pour déjeuner en compagnie du "vieux chef", Jean-Marie Le Pen a revisité ses classiques. Au menu, un coup de trique contre les partis de gouvernement : "La droite et la gauche, c'est blanc bonnet et bonnet rose ! Mais la droite a plus de responsabilités. Elle est censée avoir des principes, qu'elle ne met jamais en application. Pourquoi ferait-il demain ce qu'ils n'ont pas fait hier ?"

    Un retour aux fondamentaux

    Une rafale contre les éternels boucs émissaires du mouvement frontiste : "Dans 20 ou 30 ans, les Français seront minoritaires dans leur propre pays... Ceci dit, à Marseille, c'est difficile de ne pas s'en apercevoir. Hier, mon chauffeur s'est perdu au Panier, ça m'a rappelé la casbah d'Alger". Le tout, agrémenté d'une revue de presse façon Guy Bedos, qui aurait radicalement viré de bord : "Je lisais ce matin dans La Provence un papier sur l'assassinat de l'avocate. Il est plein de précaution. C'est toujours le cas quand l'assassin n'est pas un Gaulois".

    Ou encore : "Après l'incident gravissime qui s'est produit aux USA, on met en cause la législation sur les armes. C'est comme si on disait qu'il faut boucher les ravins pour éviter les accidents de bus..." Timidement intronisé candidat aux prochaines municipales marseillaises à cette occasion, Stéphane Ravier, au côté du président d'honneur du FN, s'est lui aussi laissé aller son petit jeu de mot. "Que pensez-vous des ambitions de Bernard Tapie pour Marseille ?", interroge un journaliste. "Le seul Tapie qui a de l'avenir ici", rétorque Ravier, "c'est le tapis de prière". Bref, un FN de retour aux fondamentaux.

    La Provence

  • Avocate tuée à Marseille : le film de l’enquête

     

     
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    Publié le samedi 15 décembre 2012 à 11H55

     

    Le tueur présumé de Me Talbot a été mis en examen et écroué hier soir. Retour sur 15 jours d’investigations éclairs

    Chronique d’un drame qui a chahuté les Marseillais : l’enquête démarre au cabinet de Me Talbot rue St-Ferréol, rassemblement devant la Maison de l’Avocat dès le lendemain, obsèques à Gardanne, interpellation à la cité La Maurelette (15e).

    Photo DR

    Comme un couvercle de douleur qui se serait refermé sur Marseille. Et derrière, comme un sursaut unanime. Comme si cette affaire-là, il fallait absolument la "sortir", parce que le vendredi 30 novembre au soir, elle a semé la consternation sur la ville. Affaire symbole.

    Après un papetier poignardé, après un chauffeur de car exécuté de sang-froid pour sa sacoche, c’était l’affaire de trop. Une avocate de 66 ans, Me Raymonde Talbot, versée dans le droit de la famille, attaquée dans son cabinet du centre-ville, rue Saint-Ferréol, réputé sanctuaire, lieu privilégié de défense des petites gens et des autres, poignardée une dizaine de fois. Mais pourquoi ?

    Les pistes explorées

    D’emblée, les enquêteurs n’ont négligé aucune piste. Ils ont découpé le carton qui se trouvait sur le bureau de Me Talbot et y ont cherché de l’ADN. Ils ont aussi tenté de reconstituer le film du drame. Ils ont passé au crible son agenda, sur lequel figurait le nom de Sahki. Ils ont retrouvé son image sur les caméras de vidéosurveillance, découvert que Me Talbot avait défendu il y a dix ans le père Sahki, un des trois hommes placés en garde à vue mercredi, "dans une affaire grave, un crime de sang", a indiqué hier le procureur Jacques Dallest.

    Mais, selon nos informations, c’est un renseignement anonyme qui aurait définitivement mis la brigade criminelle de la police judiciaire sur la piste des Sahki. L’associé de Me Talbot, interrogé, indiquera qu’il a ouvert la porte, le 30 novembre, en milieu de matinée. "Laisse, c’est pour moi !" aurait alors lancé Me Talbot à Me Jean Wilkin. Les deux avocats avaient en effet deux rendez-vous à la même heure. L’associé a donc vu le tueur présumé, mais il se trompe. Fragilité des reconnaissances humaines. Il reconnaît le frère cadet.

    Les éléments qui désignent le suspect

    "On retrouve un certain nombre d’éléments lourds et convergents dans sa chambre qui donnent à penser qu’on a l’auteur présumé", a indiqué hier Jacques Dallest. Or l’auteur présumé, c’est le frère aîné, Laidi Sahki, 28 ans. Sous son lit, en perquisition, les enquêteurs découvrent un sac en plastique. A l’intérieur, la carte d’identité de la victime, son passeport, sa carte d’avocat, son permis de conduire, un relevé d’identité bancaire, mais aussi son sac et les bijoux de la victime (montre, collier, bagues...)

    Sur un pantalon de survêtement du suspect, qui porte des traces de sang, on va mettre au jour l’ADN de Me Talbot. On trouve aussi le couteau du crime dans un tiroir de sa chambre. On découvre enfin l’ADN de la victime et celui du suspect sur le couteau. Le bout de la lame est cassé. Or l’autopsie a révélé qu’un morceau métallique avait été découvert planté dans son oreille. Troublante coïncidence...

    Ce qu’il dit

    Il conteste les faits pour l’essentiel. Il affirme avoir ramassé le sac de la victime dans une poubelle.

    Son profil

    Grand amateur de couteaux, sans emploi, "en errance intellectuelle" selon le procureur, le suspect a aussi un profil psychologique inquiétant. Interrogé, il a parfois donné des réponses précises, mais il a fait beaucoup de réponses incohérentes, précise-t-on de source proche de l’enquête. Simule-t-il ou bien a-t-il de réels problèmes ? Il ne faisait en tout cas l’objet d’aucun suivi ou traitement psychiatrique régulier.

    Sa mise en examen

    Laidi Sahki, dit "Hadou", a été mis en examen hier soir par les juges Patricia Krummenacker et Caroline Charpentier pour "homicide volontaire commis en concomitance avec le crime de vol à main armée". Il a ensuite été présenté au juge des libertés et de la détention, qui l’a placé en détention conformément aux réquisitions du parquet. Dans l’intervalle, dans les geôles du palais, oubliant la gravité des faits qui lui étaient reprochés, le suspect a pointé un policier, mimant une étrange scène, comme s’il lui tirait dessus... Son père et son frère avaient été remis en liberté jeudi soir.

    L’introuvable mobile

    "On n’a pas d’explications sur sa présence au cabinet de Me Talbot, notera le procureur. Elle avait déjà rencontré le père pour les aider à trouver un logement, mais pas spécialement le fils." On peut penser qu’il n’a pas pris rendez-vous pour la voler. Voulait-il absolument un logement ? Un échange de mots aura-t-il dégénéré ?

    La Provence

  • Jésus devrait peut-être changer d’attachée de presse

     

    [Tribune libre de Christine Dol pour Contre-info]

    On ne la présente plus, car la meneuse de revue catholique qui se définit comme « attachée de presse de Jésus » ne cesse de faire parler d’elle. « Frigide Barjot » a dernièrement pris sous son aile la majorité des opposants aux « mariage pour tous » avec succès grâce à son aura médiatique. Même si beaucoup de citoyens de bon sens ne peuvent soutenir cette nouvelle conception de la famille, il est vrai que les catholiques se montrent davantage fermes.

    Mais après le succès de « la manif pour tous » du 17 novembre, Frigide semble avoir pris la grosse tête et vouloir mettre Jésus au second plan… Que dis-je ? Au dernier rang, voire aux oubliettes. Car si la Barjot utilisera la foule du 13 janvier prochain, majoritairement catholique, ce n’est pas pour exprimer la simple volonté de retrait du projet de loi mais pour servir ses lubies.

    Première lubie apparente : la fête, « la vraie », celle que l’on peut voir à la « gay pride », à laquelle elle se vante d’avoir participé ; raison pour laquelle elle veut de la musique, des chars, du rose et surtout pas de chapelets ni de prêtres visibles, il est vrai que ça casse un peu l’ambiance « boite de nuit géante».
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    Contre-info.com