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  • Le calvaire d'un jeune Tarnais menacé de 10 ans de prison au Maroc pour défloration

     

    Publié le 30/08/2013 à 07:49, Mis à jour le 30/08/2013 à 07:58

     

    Le jeune homme a été emprisonné pendant près de 3 mois./Photo DDM illustration

    Le jeune homme a été emprisonné pendant près de 3 mois./Photo DDM illustration

                

    Cédric, un jeune Tarnais de 21 ans, encourt jusqu’à 10 ans de prison au Maroc. Il est accusé d’agressions sexuelles et de défloration sur une jeune fille de 17 ans et demi. Il a passé de longues semaines en prison et attend son procès prévu en octobre.

    «Nous sommes pris au piège d’un chantage». Cédric, un jeune Tarnais de 21 ans, originaire de Rabastens, vit, depuis presque trois mois, un véritable calvaire au Maroc. Emprisonné de longues semaines avant d’être remis en liberté ce mercredi, il encourt jusqu’à 10 ans de prison.

    Il est accusé «d’agressions sexuelles et de défloration», circonstance aggravante, sur une jeune fille de 17 ans et demi. «Il s’est installé au Maroc, où vit son père, il y a 18 mois, résument ses avocats toulousains, Me Emmanuelle Franck et Me Alexandre Martin, rentrés hier soir de Casablanca où ils sont allés défendre leur client. Il a monté une entreprise d’informatique et rencontré cette jeune fille, Syrene, une Tunisienne.»

    Une idylle s’est nouée entre eux. «Ils se connaissent depuis environ un an. Ils ont commencé à se fréquenter intimement, à avoir des relations sexuelles, au mois d’avril. Les parents de cette jeune fille l’ont découvert. Pour eux, c’est une atteinte à l’honneur.»

    Trente policiers pour l'interpeller

    Ils décident donc de porter plainte, pour viol d’abord, mais l’accusation ne tient pas car Syrene était consentante. L’agression sexuelle et la défloration sont finalement retenues. Début juin, c’est le coup de massue. «Notre client ne comprenait pas pourquoi il n’avait plus de nouvelles d’elle depuis quelque temps. Un matin, une trentaine de policiers ont fait irruption dans sa résidence. Il a été placé en détention.»

    Rapidement, l’affrontement entre Cédric et ses accusateurs tourne «au chantage». «La famille a demandé une Audi TT, 500 000 dirhams (50 000 €) et un mariage à l’ambassade de France.» Le jeune Français refuse. Sans accord conclu, il va droit au procès.

    «Tout est fait pour qu'il craque»

    En attendant l’audience, il croupit en prison dans des conditions difficiles. «Il y a 8 000 détenus, une surpopulation impressionnante, de la malnutrition. Il n’a pas bien vécu du tout son incarcération».

    L’audience prévue pour le 31 juillet a été renvoyée. Idem pour celle programmée ce mercredi. «On a l’impression que tout est fait pour qu’il craque et cède au chantage», souligne Me Martin.

    Mercredi cependant, Cédric, dont le casier judiciaire est vierge, est sorti de prison. «Nous avons vu un juge incorruptible qui l’a libéré. C’est une décision rare dans une procédure criminelle.»

    Cédric a été placé sous contrôle judiciaire. Il n’a pas le droit de quitter le territoire marocain et doit répondre aux diverses convocations d’ici son procès prévu le 9 octobre. Ce jour-là, si l’audience n’est pas renvoyée une nouvelle fois, il risquera jusqu’à 10 ans de prison.


    Procès le 9 octobre

    Le procès de Cédric au Maroc a déjà été reporté par deux fois. Fin juillet d’abord, l’audience avait été renvoyée. Mercredi, l’absence de la victime qui n’avait pas été convoquée dans les règles, a entraîné un nouveau délai. Le jeune Tarnais devrait finalement comparaître devant ses juges le 9 octobre prochain à 9 heures. Il sera assisté de ses avocats toulousains, Mes Emmanuelle Franck et Alexandre Martin. Il est désormais libre mais ne doit pas quitter le territoire marocain.

     
     
     
     
            
  • Gennevilliers : un moteur de scooter lancé sur des policiers

     

                     Nicolas Jacquard avec V.M. | Publié le 31.08.2013, 16h25 | Mise à jour : 16h28                                    

    Les forces de l'ordre ont arrêté quatre suspects ce samedi matin à Gennevilliers (Hauts-de-Seine).

    Les forces de l'ordre ont arrêté quatre suspects ce samedi matin à Gennevilliers (Hauts-de-Seine). | (LP/G.R.)

                                                                   
    «L’objet est tombé à seulement un mètre d’un policier. Il aurait pu le tuer», selon une source proche du dossier. Lancé du 13e étage du numéro 20 de la cité , à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), bloc moteur de scooter pesant près de 5 kg a atterri la nuit dernière au beau milieu d’une patrouille de police, sans faire de blessés.
     
     
     
    Les agents, en poste dans la commune limitrophe d’Asnières-sur-Seine, avaient été appelés en renfort dans le cadre d’une opération démarrée à cause d’un tapage nocturne. C’est d’ailleurs de l’appartement d’où émanait ce tapage qu’aurait été jetée la pièce métallique.

    Vers 6 heures ce samedi matin, les forces de l’ordre ont pénétré dans les lieux en défonçant la porte du en question à l’aide d’un bélier. Selon nos informations, quatre personnes ont été interpellées. Toutes se trouvaient dans l'appartement duquel a été jetée «la pièce métallique de 5 kg». L'occupant en titre du logement compte parmi elles. Les autres sont des amis venus participer à la soirée organisée sur place. Ils ne sont pas originaires du quartier. Les suspects, âgés de 25 à 35 ans, étaient toujours en garde à vue cet après-midi tandis que la police technique procédait à une série de prélèvements sur le bloc moteur.
     
     
    Le Parisien
     
  • Thierry Meyssan sur l'implication d'Israël dans l'opération contre la Syrie


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