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GAELLE MANN - Page 218

  • Donald Trump rencontre Theresa May à la Maison-Blanche

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    La Première ministre britannique était le premier dirigeant à être reçu par le président américain à la Maison-Blanche, ce vendredi.

    Baptême du feu diplomatique pour Donald Trump. Une semaine tout juste après son investiture, et 24 heures avant de s'entretenir avec Vladimir Poutine, Angela Merkel et François Hollande, le président des États-Unis recevait, ce vendredi, la Première ministre britannique, Theresa May, à la Maison Blanche.

     

    Après s'être entretenus pendant plus d'une heure dans le Bureau ovale, les deux dirigeants se sont présentés devant les journalistes pour une conférence de presse commune. Durant ce bref exercice (à peine plus d'un quart d'heure), Donald Trump a semblé moins agressif qu'à l'accoutumée.


    En guise d'entrée en matière, Trump et May ont vanté «la relation très spéciale» entre le Royaume-Uni et les États-Unis. «De beaux jours s'annoncent pour nos peuples et nos deux pays», a affirmé le président américain. La Première ministre britannique a quant à elle félicité le nouvel occupant du Bureau ovale pour sa «sensationnelle victoire». Donald Trump aura d'ailleurs l'occasion de venir à Londres avant la fin de l'année pour honorer une invitation de la reine Elizabeth II. 

      

    Trump est à «100% derrière l'Otan»


    Le président américain et la Première ministre britannique ont également abordé les questions de défense et l'avenir de l'Otan. L'Alliance atlantique, qualifiée d'«obsolète» à plusieurs reprises par Trump, «est un rempart pour notre défense commune», a déclaré Theresa May. «Monsieur le Président, je crois que vous avez confirmé que vous étiez à 100% derrière l'Otan», a-t-elle ajouté. De son côté, la locataire du 10 Downing Street a appelé ses partenaires européens à consacrer 2% de leur PIB à leur budget de défense. De quoi contenter Donald Trump, qui n'a cessé de se plaindre du fait que les États-Unis payaient à la place des autres membres de l'Alliance.

     

    Theresa May et Donald Trump ont aussi abordé les sanctions visant la Russie depuis l'annexion de la Crimée. La dirigeante britannique est convaincue que celles-ci «doivent rester en vigueur». Pour Donald Trump, il est encore «trop tôt» pour évoquer une telle mesure. 


    Autre sujet majeur abordé lors de cette conférence de presse : le futur partenariat commercial entre Londres et Washington. Un dossier délicat, puisque la marge de manoeuvre du Royaume-Uni reste limitée tant que le pays reste membre de l'Union européenne. Donald Trump se réjouit à l'avance de cette perspective. Il a une nouvelle fois affirmé que le Brexit sera «fantastique» pour les Britanniques. «Nous sommes en train de discuter sur la façon dont nous pouvons jeter les bases sur un accord entre le Royaume-Uni et les États-Unis. Je suis persuadée qu'un partenariat commercial est dans l'intérêt de nos deux pays», a assuré Theresa May. 

     

    LE PARISIEN

     

     

  • Quand Penelope Fillon affirmait qu'elle ne s'impliquait pas dans la vie politique de son mari


    Penelope Fillon en 2008, "Je n'ai pas de rôle, je l'accompagne de temps en temps comme ça"

     

     

     

  • L'élection de Donald Trump est aussi importante que la chute du Mur de Berlin

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    Avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, nous prenons conscience qu’il existe un peuple américain qui nous ressemble.

    Écrivain, journaliste
     
     
     
     
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    Le « mur de Berlin » symbolisait la chape de plomb que le communisme soviétique faisait peser sur la Russie, communisme dont la doctrine, paradoxalement, prônait un monde sans frontières.

    L’espace Schengen des « Européens » qui voulaient s’affranchir desdites frontières a vu s’ériger dans les pays de l’Est des murs pour garantir leur nouvelle liberté retrouvée contre l’invasion migratoire.

    Aux États-Unis, Donald Trump s’apprête à poursuivre l’œuvre de ses prédécesseurs (ses opposants « oublient » de préciser que c’est George Bush junior qui a initié le projet en 2006 !) en achevant le mur de séparation entre les États-Unis et le Mexique.

    Ainsi, les frontières qui n’avaient pas besoin, autrefois, d’être délimitées par un mur pour être respectées réapparaissent comme autant de barrières bien concrètes contre l’utopie mondialiste, laquelle a succédé à l’utopie marxiste, « l’internationalisme » se muant en « mondialisation» et le « grand capital », cher aux imprécations de Georges Marchais, devenant un « gentil » mais sournois social-libéralisme apatride.

    Dans cette grande confusion idéologique, l’Europe artificielle dite « de Bruxelles », « de Schengen », « de Maastricht » ou « de Lisbonne » s’est succédé à elle-même comme une couleuvre à avaler en boucle par les peuples européens ; ces derniers se sont retrouvés d’abord désemparés devant ce gigantesque hold-up ; puis ils ont commencé à prendre conscience de la situation grâce, principalement, aux réseaux sociaux qui ont révélé l’escroquerie.

    Pour les anciens dissidents soviétiques, Zinoviev et Boukovsky, l’Union européenne ressemble désormais à l’Union soviétique avec ce que tout cela implique d’obsolète, de totalitaire, de sordide et d’anachronique, puisque le communisme a échoué partout dans le monde.

     

    Pour nos amis dissidents, l’Ordre mondial est une « superstructure » basée aux USA, monstre froid échappant à toute personnalisation et à toute autorité, son seul but étant de « faire de l’argent », par tous moyens, en asservissant le monde. Le Système emploie, selon Zinoviev, une cinquantaine de millions de personnes dans le monde.

     

    Nous, qui lui résistions, n’avions à lui opposer que nos traditions, notre histoire millénaire, notre spiritualité, notre sol et notre sang. Nous avions donc considéré que notre ennemi était, dans sa globalité, l’Amérique.

     

    Et puis, patatras !

    Voilà que, avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, nous prenons conscience qu’il existe un peuple américain qui nous ressemble, qui est confronté aux même casseurs que l’Ordre mondial a lancés de par le monde, qui détruisent notre cadre de vie, nos structures traditionnelles, nos âmes, la beauté du monde.

    L’élection de Trump, sans préjuger de son action future, est aussi importante que la chute du mur de Berlin. Il y a désormais deux mondes qui s’affrontent : celui des peuples traditionnels sur leurs terres et les hordes sataniques de la décadence. Times are changing!

    BV

  • Donald Trump : « Nous construirons le mur ! »

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    Le mur ! Ce fameux mur dont on parle depuis 18 mois, depuis juillet 2015 exactement, lorsque Donald Trump réunit les journalistes dans sa tour de Manhattan pour leur annoncer qu’il briguait la magistrature suprême. A ce moment-là, le magnat de l’immobilier lança l’idée de construire un mur – pas une palissade, pas une barrière, pas des barbelés, un mur – le long des 3 300 kilomètres de frontière qui séparent les Etats-Unis du Mexique.

    Au début, les médias prirent ce projet pour une bravade bien dans le style du New-Yorkais jamais en retard d’un coup de pub, d’un éclat qui provoque. Mais l’idée fit son chemin. Et Trump s’aperçut très vite qu’elle pouvait se transformer en un excellent slogan de campagne électorale. Le mur régna dans tous les discours, franchit tous les obstacles, meubla tous les débats. Plus tard, les historiens s’apercevront qu’il leur sera impossible d’écrire une ligne sur l’iconoclaste sans parler de ce fameux mur. Il est devenu une bannière, c’est-à-dire le contraire d’un mythe.

    Un monument emblématique

    Trump Mur MexiqueIl sera construit, ce mur, Trump l’a dit et répété mercredi dans le bureau ministériel du département de la Sécurité nationale, où il avait tenu à présider une petite cérémonie de signatures de décrets-lois concernant la lutte contre le fléau de l’immigration. Le mur, c’est la pièce maîtresse du dispositif, le monument emblématique, l’incontournable sceau. Mais bien d’autres mesures l’accompagnent. Elles poursuivent toutes les mêmes buts : verrouiller la totalité des frontières, éradiquer l’illégalité intérieure, filtrer les visas d’entrée. Ces mesures n’ont rien d’extraordinaire. Elles font même partie de la panoplie normale d’un chef d’Etat soucieux de protéger son pays de prédateurs allogènes et d’une subversion intestine.

    Sur ce terrain explosif, Trump paraît monstrueux parce que ses prédécesseurs (Bill Clinton, George Bush et Barack Obama), confrontés au même défi, n’ont rien construit, rien proposé, rien imaginé pour y faire face. Trump passe pour un anticonformiste forcené tout simplement parce qu’il avance sur un terrain en friche, terrible miroir de l’establishment et de son incurie.

    Faire en sorte que l’Amérique soit impénétrable aux sans-papiers et invivable aux clandestins. Pour cela, trois tours de vis qui s’articulent autour d’une constatation claironnée à tous les vents du pays : « Une nation sans frontières n’est pas une nation. »

    D’abord, recruter 15 000 agents supplémentaires, dont 5 000 patrouilleurs de terrain, et se doter d’un matériel ultra-performant afin de rendre l’outil ministériel plus opérationnel. Ensuite, inciter à une plus grande collaboration entre les autorités fédérales et locales dans la recherche des illégaux au lourd passé criminel. Enfin, interdire indéfiniment l’accès de l’Amérique aux réfugiés syriens et, pendant trente jours, aux ressortissants de pays à risques comme l’Irak, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen. A ces trois promesses tenues, s’ajoutent quelques compléments caractéristiques : les chrétiens du Moyen-Orient qui parviennent jusqu’aux portes de l’Amérique ne seront plus traités comme des chiens galeux. Les familles de victimes d’illégaux ne seront plus considérées comme d’horribles parias. Et les dizaines d’enclaves urbaines où pullule un tiers-monde incontrôlé ne seront plus regardées comme des sanctuaires intouchables.

    En guerre contre les médias

    L’obstination audacieuse et lucide du président a provoqué dans la mare somnolente de Washington des centaines d’ondes de choc, qui apparaissent à la surface en cercles concentriques. Le cercle du Mexique : furieux de devoir finalement verser, directement ou indirectement, sa contribution financière à la construction du mur, le président Enrique Pena Nieto vient d’annuler un voyage officiel aux Etats-Unis. Le cercle des shérifs : bien placés pour apprécier le trumpisme en action, quelques-uns de ces policiers ont décidé de rassembler certains de leurs prisonniers sur la frontière méridionale où le travail ne manquera pas. Le cercle du Congrès : étourdi par la fulgurante trajectoire de Trump, qui arrive au pied de son mur comme il l’a toujours annoncé, les élus de la nation se rassurent en se disant qu’ils sont plus que jamais les grands argentiers de ces virils projets. En d’autres termes, il faudra débattre, négocier, puis voter. Les batailles s’annoncent âpres. Mais Trump, porté par l’opinion, a de bonnes chances de voir son plan recueillir une majorité de voix.

    Le cercle de la presse : c’est le plus affligeant. Il pousse même à la nausée. On le sait, Trump est en guerre contre les médias depuis 18 mois. Avec de bonnes raisons : informations falsifiées, scandales fabriqués, chiffres tronqués, interviews piégées – en plus d’un dénigrement systématique, méchant et souvent imbécile dans les éditoriaux. Celui du Wall Street Journaldépasse ses concurrents. « Un pays où la liberté est sacrée et qui a toujours accueilli et assimilé les immigrants, vient d’envoyer un message corrosif aux nouveaux arrivants qui ont toujours fait l’Amérique plus grande. » Emphase et contre-vérités. Le Wall Street Journal, comme le New York Times, le Washington Post et les autres, n’est que le porte-parole du Grand remplacement, du métissage et du terrorisme.

    Christian Daisug
    correspondant de Présent aux Etats-Unis

    Article paru dans Présent daté du 28 janvier 2017

  • Penelopegate: la défense de François Fillon l'enfonce !

    http://www.bvoltaire.fr/pascalcelerier/penelopegate-defense-de-francois-fillon-lenfonce,309290

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  • Lutte contre le terrorisme: Donald Trump cible les étrangers musulmans

    Après la crise diplomatique avec le Mexique, Donald Trump a été encore plus abrupt : il va faire un tri entre les réfugiés musulmans et les autres. "Au nom de la lutte contre le terrorisme, Donald Trump va bel et bien cibler les étrangers musulmans", explique Valérie Astruc, en direct de Washington (États-Unis).

    "Le tri selon les religions"

    Le territoire américain va être interdit aux ressortissants de sept pays musulmans pendant un mois. "Les Syriens, eux, vont être définitivement interdits de territoire aux États-Unis. Le président prévoit aussi de suspendre toutes les demandes d'asile, à l'exception des minorités religieuses persécutées, autrement dit des chrétiens. Donald Trump fait le tri selon la religion, c'est une première aux États-Unis. Et le président a déclaré qu'il assumait de provoquer la colère de la communauté musulmane", complète la journaliste.

    France 2

  • Face aux décrets Trump, Madeleine Albright se dit prête à devenir musulmane

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    10h35

    L’ancien secrétaire d’Etat américain a vivement dénoncé les nouveaux décrets sur l’immigration signés par Donald Trump. Prenant la défense des réfugiés, elle a déclaré être disposée à changer de confession en signe de solidarité avec eux.

    «J’ai été élevée catholique, je suis devenue épiscopalienne, puis j’ai découvert que ma famille était juive. Je suis prête à m’enregistrer en tant que musulmane par solidarité». C’est par ce tweet que l’impétueuse ex-secrétaire d’Etat américain Madeleine Albright a fait part de son indignation face aux deux décrets de Donald Trump pour limiter l’immigration aux Etats-Unis.

    (….) Alors qu’il faisait campagne, Madeleine Albright avait déjà critiqué Donald Trump, affirmant que ce dernier nuisait à la sécurité nationale américaine par sa seule participation à l’élection présidentielle. Née à Prague en 1937, Madeleine Albright avait atteint les sommets de la politique américaine sous la présidence de Bill Clinton en devenant la première femme à occuper le poste de secrétaire d’Etat (1997-2001). Elle n’avait, à l’époque, pas manifesté une telle solidarité avec les peuples du Moyen-Orient, allant jusqu’à justifier un embargo sur l’Irak qui avait fait des centaines de milliers de morts chez les enfants.

    Source

  • Benoît Hamon : « Bilal est un très beau prénom, c’est le 1er muezzin du prophète »

    12h52

    C’est devenu une habitude de la fachosphère : renommer un candidat à la présidentielle dans le but de dénoncer sa proximité présumée avec l’islam radical. Après Alain Juppé, devenu Ali Juppé sur le clavier ce certains internautes, c’est au tour de Benoît Hamon d’en faire les frais. Mercredi soir après le débat qui l’a opposé à Manuel Valls, le candidat est revenu face à ses sympathisants sur cette polémique avec légèreté : « Je tiens à dire à ceux qui ont la haine dans le bide et dans la tête que Bilal est un très beau prénom », a-t-il déclaré. L’ancien ministre de l’Education a ensuite évoqué l’histoire de Bilal, « le premier muezzin du prophète » Mahomet, suscitant les applaudissements de ses sympathisants.

    Ce-qu-est-la-gauche-moderne-selon-Benoit-Hamon-qui-s-oppose-a-la-loi-Macron-et-au-travail-du-dimanche

     

     et fait un appel du pied électoral. C’est une stratégie d’attrape-tout. Pour obtenir un vote, tout est valable. C’est le pire des discours possibles, un discours de faiblesse. Autour de lui, il y a un certain nombre de gens, comme Pascal Cherki [porte-parole de Benoît Hamon], qui vont encore plus loin et ont soutenu par exemple une réunion qui était interdite aux blancs », ajoutait à 20 minutes Malek Boutih, soutien de Manuel Valls. « C’est une injure », a simplement réagi jeudi Benoît Hamon, assurant que ces « paroles blessantes » étaient « parfaitement injustifiées ».

    Le JDD

    Merci à Vlo

  • Discours intégral de Trump sur l'immigration et l'insécurité (sous-titres en français)

    Un magnifique discours,  précis et émouvant, qu'il faut écouter jusqu'à la fin.

  • Le tribunal enterre définitivement la Grande Mosquée de Marseille

     

    22h27

    Quelques mois après la résiliation du bail de la Grande mosquée de Marseille par le conseil municipal, la justice vient d’entériner définitivement la décision.

     

    Dans une décision rendue hier, le tribunal administratif vient d’autoriser la ville de Marseille à résilier complètement le bail de cette mosquée en projet depuis plus de 10 ans.

    « On a imposé un budget 5 étoiles à cette association qui n’en a pas les moyens », explique Me Benoît Candon, avocat de l’association en charge du projet, affirmant que le budget de la mosquée a plus que doublé en passant de « 8,4 millions d’euros à 22 millions d’euros ».

    Mais le projet de cette mosquée n’est pas abandonné pour autant, précise l’avocat qui a prévenu que les mosquées de la ville n’avaient pas les capacités pour accueillir les fidèles qui devront donc prier dans la rue, rapporte le site Saphirnews.

    Ce bail avait été signé en 2007 entre la mairie de Marseille et l’association « La Mosquée de Marseille », mais des problèmes financiers et des dissensions internes ont eu raison de ce projet qui devait être bâti sur une superficie de 8000 m2.

    Bladi

  • Sommet historique à Wall Street : le Dow Jones passe le mur des 20 000 points

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    Depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis le 8 novembre dernier, Wall Street ne cesse de grimper. Le Dow Jones a gagné environ 10% depuis le scrutin.

    Cinq jours seulement après l’investiture de Donald Trump à la Maison Blanche, le Dow Jones vient de casser le mur des 20 000 points sur lequel il buttait depuis plusieurs semaines. Une nouvelle preuve de la confiance des marchés dans la politique économique de l’administration Trump.

    Depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis le 8 novembre dernier, déjouant tous les pronostics, Wall Street ne cesse de grimper. En bientôt trois mois, l’indice phare de la Bourse de New York a gagné environ 10% et avance ainsi de plus de 25% les douze derniers mois.

    L’élection de Donald Trump a littéralement galvanisé les marchés. Le président élu a annoncé des baisses d’impôts massives pour les entreprises (avec un taux de l’impôt sur les sociétés à 15% alors que son taux maximal est aujourd’hui de 35%) et une ambitieuse politique de relance budgétaire. Autant de mesures favorables aux entreprises et qui propulsent les marchés d’actions. Autre bonne nouvelle pour les marchés: le prix du baril de pétrole qui était bloqué sous les 50 dollars repart de l’avant, avec la promesse des membres de l’Opep de réduire leur production.

    La saison des résultats 2016 qui bat son plein a aussi largement participé à propulser Wall Street, notamment le secteur bancaire où les bonnes surprises ont été nombreuses. Les banques sont en effet les grandes gagnantes de ce rally boursier. L’indice sectoriel a bondi de près de 25% dans le mois qui a suivi l’élection de Donald Trump le 8 novembre. JPMorgan Chase, Bank of America ou encore Goldman Sahs ont dévoilé des résultats bien supérieurs aux attentes.

    Les banques américaines bénéficient d’un véritable carré magique de conditions favorables

    Les banques américaines bénéficient d’un véritable carré magique de conditions favorables. La formidable hausse des taux est une excellente nouvelle pour les banques qui étaient étranglées par la faiblesse du loyer de l’argent. La fiscalité plus douce devrait également profiter au secteur comme à l’ensemble des entreprises. L’allégement des contraintes réglementaires drastiques qui pèsent sur le secteur depuis la crise financière devrait aussi apporter un bol d’air aux banques américaines. Enfin, les banques profitent par le biais de leurs activités de trading et d’intermédiation, du vif rebond des marchés.

    Plus généralement pour les analystes, l’élection de Donald Trump valide le scénario d’une reprise économique graduelle aux États-Unis accompagnée d’une hausse contenue des taux d’intérêt. De fait, la croissance américaine culmine à plus de 3 % en rythme annuel, les embauches se poursuivent à des niveaux solides et le chômage est désormais tombé à moins de 5%.

    LE FIGARO

     

  • A Perpignan, un patron de pressing offre les vêtements non réclamés aux SDF

     

     

    Plutôt que de laisser les affaires stagner dans les réserves, l’artisan préfère les donner à des SDF qui ont froid.

  • Benoît Hamon promet « une police des discriminations »

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    pour persécuter davantage encore l’homme blanc orthosexuel et chrétien, chez lui en France, mais pour combien de temps encore ?

    NDF

  • Marine Le Pen se voit refuser l’entrée du camp de Grande-Synthe par le maire

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    19h04

    En déplacement ce mardi dans les Hauts-de-France pour évoquer notamment la question migratoire, Marine Le Pen n’a pas pu pénétrer dans le camp de migrants de Grande-Synthe. Selon notre journaliste sur place, l’entrée lui a été refusée. « C’est la démocratie à la française. On n’accepte que les élus pro-immigration », a réagi la présidente du Front national.

     

    L’association responsable du camp a assuré de son côté ne pas avoir été tenue au courant de la visite de Marine Le Pen.

    De son côté, le maire écologiste de Grande-Synthe Damien Careme s’est félicité sur Twitter d’avoir refusé l’accès du camp à Marine Le Pen.

    (…) BFMTV

  • Les Français plébiscitent l’élimination physique des djihadistes

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    25/01/2017 – FRANCE (NOVOpress) : L’élimination physique des djihadistes par les agents des services de renseignement – ce qu’on appelle les « opérations homo » – est plébiscitée par les Français, quelle que soit leur proximité politique. Selon un sondage Ifop pour le site Atlantico, « 79 % des Français se disent aujourd’hui favorables à l’élimination par l’armée française et les services secrets de djihadistes impliqués dans les réseaux terroristes menaçant ou ayant frappé la France – 47 % (près de la moitié des Français) s’y disent même “tout à fait“ favorables ».

    Mieux encore, à la question : « Et êtes-vous tout à fait favorable, plutôt favorable, plutôt opposé ou tout à fait opposé à ce que l’armée française et les services secrets éliminent à l’étranger des djihadistes français impliqués dans les réseaux terroristes menaçant ou ayant frappé notre pays ? », les Français répondent positivement à 85 % !

    54 % sont « tout à fait favorables » à ce qu’on liquide les Français engagés dans le djihad, 31 % y sont « plutôt favorables ». Le taux cumulé de ces deux catégories atteint 93 % chez les sympathisants des Républicains – un peu plus que chez ceux du Front national, qui ne sont « que » 91 % –, 94 % chez les électeurs qui se sentent proches d’En Marche !, et même 89 % chez ceux du Parti socialiste et 81 % parmi les sympathisants du Front de gauche.

    « A titre de comparaison, comment l’Ifop, en février 2013, seuls 49% des Américains se prononçaient en faveur de l’élimination à l’étranger de citoyens américains. »

    En joue… feu !