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GAELLE MANN - Page 219

  • Premières mesures de Trump contre l'immigration clandestine

     

      

     

    WASHINGTON (Reuters) - Donald Trump va signer à partir de ce mercredi une nouvelle série de décrets présidentiels visant à renforcer la sécurité aux frontières des Etats-Unis et à réprimer l'immigration clandestine, a-t-on appris auprès de deux conseillers.

    Parmi les projets qu'il entend mettre en oeuvre, le président américain devrait proposer l'embauche de 5.000 garde-frontières supplémentaires et demander aux forces de police locales de collaborer avec les autorités fédérales, ont dit les deux conseillers.

    Donald Trump devrait en outre annoncer la diminution du quota de réfugiés autorisés à entrer sur le territoire américain de 100.000 à 50.000 au cours de l'exercice fiscal 2017, qui a commencé le 1er octobre dernier.

    Avec seulement 19.000 agents recensés, l'Agence des Douanes et de la protection des frontières ne parvient déjà pas à pourvoir l'ensemble de ses postes dont le nombre a été fixé à 21.000 par le Congrès.

    Donald Trump devrait en outre s'efforcer de mettre fin à l'existence des "villes sanctuaires" dont les autorités locales refusent de coopérer avec les autorités fédérales de l'immigration.

    Le président devrait ainsi réclamer la fin de ces pratiques et pourrait ordonner que les villes qui ne se conformeraient pas à ses instructions soient privées de fonds fédéraux.

    Il est également prévu que la Maison blanche suspende l'octroi de visas pour les ressortissants de plusieurs pays. Selon des spécialistes de l'immigration, il devrait s'agir de la Syrie, du Soudan, de la Somalie, de l'Irak, de l'Iran, de la Libye et du Yémen.

     

    (Julia Edwards Ainsley, Nicolas Delame pour le service français)

    Challenges

     
  • JOURNAL TVL DU 25. 01. 17

  • Dégénérescence

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  • Pénélope Fillon a-t-elle bénéficié d'un emploi fictif pendant 8 ans ?

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    >Elections>Election présidentielle|24 janvier 2017, 19h10 | MAJ : 24 janvier 2017, 19h24|104

     

     
    Election présidentielleFrançois FillonprésidentielleAssemblée nationaleCanard enchaîné
     

    La femme du candidat de la droite à la présidentielle aurait touché 500 000 euros en tant qu'attachée parlementaire de son mari alors qu'une collaboratrice du député affirme « n'avoir jamais travaillé avec elle »

     

    La femme du candidat de la droite à la présidentielle, François Fillon, Penelope Fillon, a été rémunérée pendant huit ans comme attachée parlementaire de son mari - ou du suppléant de celui-ci - à hauteur d'environ « 500 000 euros brut » au total, rapporte dans son édition de mercredi le Canard Enchainé. 

     

    L'hebdomadaire se base sur les feuilles de paie de la femme du candidat pour avancer qu'elle aurait été rémunérée sur l'enveloppe réservée aux députés pour leurs collaborateurs.

     

    Thierry Solère, porte-parole du candidat, a confirmé à l'AFP que Pénélope Fillon avait «bien été la collaboratrice de François Fillon» et qu'elle «a travaillé à la Revue des deux mondes». «Il est fréquent que les conjoints des parlementaires soient leurs collaborateurs», a-t-il affirmé, sans citer de chiffre de rémunération.

     

    S'il n'est pas interdit en effet pour un parlementaire d'embaucher un de ses proches, le fait de rémunérer l'un d'eux au titre d'un emploi fictif est répréhensible par la loi.

     

    « Collaboratrice » du suppléant aussi

     

    Et c'est là que le bât blesse. Toujours selon le palmipède, une collaboratrice de François Fillon à l'époque des faits, assure « n'avoir jamais travaillé avec elle. Je n'ai pas d'info à ce sujet. Je ne la connaissais que comme femme de ministre.»

    L'hebdomadaire rapporte également qu'à partir de 2002, après l'entrée de François Fillon au gouvernement, Penelope Fillon, sans profession connue et qui est toujours en retrait des activités politiques de son mari, est devenue collaboratrice du suppléant de celui-ci, Marc Joulaud. C'est d'ailleurs à cette période qu'elle aurait été rémunérée le plus (de 6900 à 7900 euros mensuels).

     

    En 2012, la femme du député a de nouveau été rémunérée « pendant six mois au moins » quand François Fillon est redevenu député de la Sarthe, après cinq ans à Matignon. « Au total, Penelope aura perçu environ 500 000 euros brut sur les caisses parlementaires » en huit ans, affirme le Canard Enchainé. 

     

    Parallèlement, Penelope Fillon aurait également touché un salaire de 5 000 euros bruts par mois entre le 2 mai 2012 et décembre 2013, de la part de la Revue des deux mondes, propriété de Marc Ladreit de Lacharrière (PDG de Fimalac), un ami de François Fillon.

     

    Le directeur de la revue, Michel Crépu, se dit « sidéré » : « Je n'ai jamais rencontré Penelope Fillon et je ne l'ai jamais vue dans les bureaux de la revue», précise t-il à l'hebdomadaire, assurant que Penelope Fillon a dû signer « deux ou peut-être trois notes de lecture.»

    Le Parisien

  • Le Sénat américain valide les nominations "controversées" de Donald Trump

    Dominé par les Républicains, le Congrès a notamment validé cette nuit la nomination du nouveau directeur de la CIA par 66 voix contre 32. Un peu plus tôt, la Commission des Affaires Etrangères préparait la voie au futur chef de la diplomatie américaine, l’ancien PDG d’Exxon Mobile, Rex Tillerson, aurait été choisi pour sa proximité avec le Kremlin. Elu du Kansas, Mike Pompeo prend, lui, officiellement la tête de la CIA. Il est devenu cette nuit le 3ème homme de la nouvelle administration dont la nomination a été validée par le Sénat. Il a même reçu le soutien d’une quinzaine d’élus démocrates. Vendredi dernier, c’est la nomination du Secrétaire à la Défense James Mattis et le Secrétaire de la Sécurité Nationale, John Kelly, qui étaient confirmés.

    FDS

  • VIDEO - Convoi de Noël 2016: Solidarité Kosovo au chevet des enclaves serbes chrétiennes

    Toute l’équipe de Solidarité Kosovo vous renouvelle ses meilleurs vœux pour l'année 2017 et tient également à vous remercier, une nouvelle fois, pour le soutien que vous lui avez témoigné au cours de l'année écoulée.

    Votre don est une formidable preuve de confiance grâce à laquelle nous avons pu conclure l'année 2016 sur des notes d’entraide et d’espoir avec le traditionnel convoi de Noël.

    En sept jours à peine, 12 tonnes de matériel humanitaire d'une valeur dépassant les 85.000 euros ont été distribuées. Ce 40ème convoi humanitaire s'est frayé un chemin jusque dans dix enclaves chrétiennes du Kosovo-Métochie afin de distribuer des vêtements chauds et du matériel scolaire récoltés en France. Nouveauté cette année, 80 moutons ont été offerts aux familles démunies de la région montagneuse de Novo Berdo.

    Solidarité Kosovo vous invite à découvrir la vidéo exclusive ainsi que l'intégralité de l'album photo du convoi de Noël 2016.

  • Etats-Unis: Trump promet de supprimer 75% de la réglementation

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    « Nous pensons que nous pouvons réduire la réglementation de 75%, peut-être plus », a-t-il affirmé devant les journalistes en début de réunion, tout en assurant, sans autres précisions, que la sécurité des employés et la protection de l’environnement seraient garantis.

    « Nous allons baisser les impôts de façon massive, à la fois pour la classe moyenne et pour les entreprises », a-t-il ajouté, martelant sa volonté de « faire revenir les emplois » aux Etats-Unis et de favoriser la production des produits sur le sol américain.

    Parmi les dirigeants d’entreprises présents figuraient en particulier Mark Fields (Ford), Marillyn Hewson (Lockheed Martin), Alex Gorsky (Johnson&Johnson), Michael Dell (Dell), ou encore Elon Musk (SpaceX) et Kevin Plank (Under Armour).

    « Le problème de de la réglementation que nous avons aujourd’hui est que vous ne pouvez rien faire (…) c’est devenu hors de contrôle », a-t-il ajouté. Avant d’avertir de nouveau les groupes prévoyant de délocaliser.

    ..

    Le 23 janvier 2017 par Le Figaro
  • Trump enfonce un premier coin dans les traités de libre-échange

    Le nouveau président des Etats-Unis a signé ce lundi un décret de retrait du Traité de libre-échange transpacifique (TPP), négocié pendant plusieurs années par l’administration précédente.

    Le milliardaire devrait dans le même temps signer un décret de renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain (Aléna) liant les Etats-Unis, le Canada et le Mexique, rapporte NBC News. « Nous allons rencontrer le Premier ministre du Canada (Justin Trudeau) et le président du Mexique (Enrique Pena Nieto) et nous allons commencer des négociations liées à l’Aléna », avait-il prévenu dimanche.

    Et le Tafta? Donald Trump ne devrait pas avoir besoin d’un décret pour geler les discussions pour une zone de libre-échange entre les Etats-Unis et l’Union européenne, comme il l’avait promis pendant la campagne. Il a en revanche annoncé être ouvert à un accord rapide avec le Royaume-Uni de Theresa May. Cette dernière, pour contrebalancer le Brexit, souhaite mettre rapidement en place de nouveaux accords commerciaux.

    Le 23 janvier 2017 par L'Express
     
    Président Trump
  • Trump s'attaque à l'avortement

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    Tout juste investi, le nouveau président américain a signé ce lundi un décret qui interdit le financement d'ONG qui soutiennent l'avortement. Ce qui a provoqué de vives critiques des associations de défense du droit des femmes.

    Alors que des millions de personnes ont défilé ce week end aux Etats-Unis lors de Women's March contre Donald Trump et ses propos sexistes, le nouveau président américain a signé lundi un décret qui interdit le financement par des fonds fédéraux d'ONG internationales qui défendent l'avortement. Le jour choisi est d'autaut plus symbolique, puisque la veille était célébré le 44e anniversaire de "Roe V. Wade", l'arrêt emblématique de la Cour suprême qui a légalisé l'avortement en 1973 aux Etats-Unis.

     

    Cecile Richards, la présidente de Planned Parenthood, le plus grand réseau de planning familial du pays, a alors réagi en indiquant que "les femmes les plus vulnérables dans le monde" allaient "souffrir de cette politique, qui va saper des années d'efforts en faveur de la santé des femmes". "Cela va provoquer des fermetures de cliniques dans le monde entier, avec pour corollaire une augmentation des grossesses non désirées et des avortements dangereux", a-t-elle indiqué tout en appelant au "combat". De son côté, l'association américaine de défense des libertés ACLU (American Civil Liberties Union) dénonce un décret qui "représente une agression à l'encontre de la santé des femmes".

     

    Pour le parlementaire démocrate Steny Hoyer, "le fait que le gouvernement de Donald Trump et les républicains du Congrès mettent à profit leur première semaine aux commandes de l'Etat pour s'attaquer à la santé des femmes en dit long sur leurs priorités".

    Les associations Pro life s'en félicitent

    En revanche, les associations "Pro life", qui militent contre l'avortement, se sont quant à elles félicité de cette initiative. "Il s'agit d'une étape cruciale sur la voie pour rendre sa grandeur à l'Amérique", a estimé Tony Perkins, président de l'organisation Family Research Council, reprenant le slogan de campagne "Make America great again". Ainsi, il a remercié le président d'avoir tenu sa promesse "de ne plus obliger les contribuables à payer pour des avortements".

     

    Mais ce n'est pas la première fois qu'une telle mesure est prise. Ces interdictions avaient d'abord été mises en place sous la présidence du républicain Ronald Reagan en 1984, avant d'être annulées par le démocrate Bill Clinton, puis réhabilité sous George W.Bush, et de nouveau annulées avec Barack Obama.

     

    Lorsque Donald Trump a signé ce décret, il s'est entouré uniquement de membres masculins de son gouvernement, pour la plupart hostiles à l'avortement, comme par exemple son vice-président Mike Pence. Ce dernier avait notamment adopté une législation répressive à l'égard de l'avortement, lorsqu'il était gouverneur de l'Indiana. Par ailleurs, le nouveau président américain entend nommer prochainement à la Cour Suprême un juge opposé à l'IVG. 

    LCI

  • Cinéma : le sexe non simulé n’entraînera plus une interdiction aux mineurs

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    12h18

    Le ministère de la Culture va publier d’ici début février un décret assouplissant les critères d’interdiction des films aux moins de 18 ans.

     

    Avant de quitter ses fonctions, Audrey Azoulay a décidé d’assouplir le régime de classification des films. La ministre de la Culture va signer d’ici début février un décret relatif aux critères d’interdiction aux mineurs.

    Jusqu’à présent s’applique un décret datant de 2003, qui stipule que doivent être interdits aux moins de 18 ans les films « comportant des scènes de sexe non simulées ou de très grande violence ». Autrement dit, tout film rentrant dans l’une de ces catégories doit être automatiquement interdit aux mineurs. Et si le ministère passe outre avec une interdiction seulement aux moins de 16 ans, il risque d’être désavoué en justice.

    C’est ce qui est arrivé à plusieurs reprises ces dernières années, à la suite de plaintes émanant notamment de l’association Promouvoir qui affirme défendre les « valeurs judéo-chrétiennes ». La justice a ainsi relevé plusieurs visas de -16 ans à -18 ans: le premier Nymphomaniac et Antichrist de Lars Von Trier, Ken Park de Larry Clark, Love de Gaspard Noé, ou encore le film d’horreur Saw 3D.

    Plus d’automaticité

    Le nouveau décret va mettre fin à cette automaticité. « L’interdiction aux moins de 18 ans ne sera plus appliquée automatiquement aux œuvres comportant des scènes de sexe non simulé, mais réservée aux œuvres comportant des scènes de sexe ou de violence de nature à heurter gravement la sensibilité des mineurs », explique le ministère de la Culture.

    Ce nouveau décret s’inspire du rapport remis il y a un an par Jean-François Mary, président de la commission de classification des films. Selon ce rapport, « le critère de la ‘non simulation’ a évidemment perdu son intérêt au cours des récentes années. Une scène peut être tout à fait explicite à l’écran tout en ayant été simulée lors du tournage ». Surtout, « beaucoup de professionnels du cinéma déplorent le ‘choix binaire’ imposé par la rédaction actuelle. Choix binaire car, si le critère objectif de la scène de sexe non simulée est caractérisé, il n’y a d’autre possibilité que d’interdire le film aux mineurs de 18 ans. Cette ‘logique binaire’ convient mal à la police du cinéma ».


    Impact économique important

    La classification du film est « très importante pour sa vie économique », soulignait Audrey Azoulay lors de la remise du rapport. Et cela à toutes les étapes de cette vie. En effet, en salles, une interdiction aux moins de 18 ans réduit d’abord le nombre de spectateurs potentiels, mais ferme aussi les portes des grands circuits comme UGC ou Pathé, dont la politique est de ne pas projeter de films interdits aux mineurs. Ensuite, certaines plateformes de vidéo-à-la-demande comme iTunes refusent les films interdits aux moins de 18 ans.

    BFM TV

    Merci à Romain-Guillaume de Mastarte

  • Hollande tacle Trump sur le climat !

    Mis à jour

    • Publié

    François Hollande a une nouvelle fois critiqué sans le nommer aujourd'hui le président des Etats-Unis Donald Trump, expliquant ne pas comprendre que "certains", sans doute "peu informés", puissent encore "s'interroger" sur la réalité du réchauffement climatique.

    Lors de la COP21, "nous avons tout fait pour qu'il y ait à Paris un traité historique. Il a été ratifié par la plupart des pays signataires dans un temps record", a rappelé le président à Bogota, lors d'une déclaration à la presse conjointe avec son homologue colombien Juan Manuel Santos.

    "Depuis que cet accord a été trouvé, c'est-à-dire à la fin de l'année 2015, nous n'avons eu que des confirmations des constats que nous avions pu poser : sécheresses, El Niño, catastrophes... Je reviens du Chili (où) des milliers d'hectares sont partis en fumée. Il y a partout dans le monde des preuves tangibles, et je ne comprends même pas que certains puissent s'interroger encore sur l'existence du réchauffement climatique", a-t-il poursuivi.

    "Nous devons surtout faire en sorte que cet accord puisse être mis en oeuvre effectivement, à travers les contributions de chacun des pays les financements qui sont attendus, parce que c'est essentiel", a-t-il conclu.

    Donald Trump a déclaré à plusieurs reprises lors de la campagne présidentielle américaine qu'il retirerait les Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat, co-signé par plus de 190 pays, et dans lequel son prédécesseur Barack Obama a joué un rôle décisif. L'accord de Paris "restera dans l'Histoire", a pour sa part déclaré Santos, pour qui "si nous ne nous y conformons pas, c'est la planète entière qui en sera victime".

    Le Figaro

  • Manif Anti-Trump : Madonna sous le coup d’une enquête des services secrets de la Maison Blanche, selon le DailyMail

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    2h45
     

    Le DailyMail affirme que suite au discours de Madonna lors de la Women’s March anti-Trump où elle appelait à se rebeller contre le président et déclarait « réfléchir à comment faire exploser la Maison Blanche », les Services Secrets gouvernementaux ont décidé d’ouvrir une enquête sur la popstar.

    > The Daily Mail
    > BFM TV

  • Qui est Linda Sarsour, organisatrice de la marche anti-Trump de Washington ?

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    15h12

    Linda Sarsour, l’une des organisatrices de la Marche des femmes qui a eu lieu samedi à Washington D.C., a été récemment aperçue lors d’un grand congrès musulman à Chicago posant avec un homme accusé d’être un financier du groupe terroriste Hamas.

     

    Sarsour, qui est à la tête de l’Association arabe américaine de New York  et que le site de la Maison-Blanche appelait du temps d’Obama une « Championne du changement », a pris la parole le mois dernier à la 15e convention annuelle de la Société musulmane américaine et du Cercle islamique de l’Amérique du Nord.

    À cette occasion, elle a posé pour une photo avec Salah Sarsour, membre de la Société islamique de Milwaukee et ancien agent du Hamas qui a été emprisonné dans les années 90 en Israël parce qu’il était soupçonné de travailler pour le groupe terroriste.

    Sarsour a nié avoir des contacts avec le groupe terroriste. Elle a déclaré en 2012 au New York Times que, si c’était le cas, elle n’aurait pas été nommée par Obama « Championne du changement ».

    Cette militante s’est acquis récemment une renommée nationale. Elle a été déléguée à la convention démocrate et elle est l’une des quatre principales organisatrices de la Marche des femmes.

    [...] Elle a d’autres liens de famille avec des gens soupçonnés d’être des agents du Hamas. Bien qu’elle évite maintenant d’en parler, Sarsour a reconnu dans des entretiens passés qu’elle avait des cousins purgeant des peines de prison en Israël pour avoir travaillé pour le Hamas.
    [...]

    (Traduction Fdesouche)

    Source