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GAELLE MANN - Page 339

  • VIDEO - Italie : 2 femmes « populistes » à la conquête de Rome (Màj)

    http://www.francetvinfo.fr/monde/italie/rome-un-duel-de-femmes-populistes-pour-le-gain-des-municipales_1483977.html

     

    4h48

    05/06/2016

    En Italie, les Romains vont se rendre aux urnes demain, dimanche 5 juin, afin d’élire leur nouveau maire. La ville pourrait connaître une vraie révolution : deux femmes populistes sont en tête des sondages.

     


    04/06/2016

    Une avocate du mouvement populiste de Beppe Grillo et une militante d’extrême droite sont les favorites du premier tour des municipales dans la capitale dimanche. Avec un déficit de 14 milliards d’euros, Rome est aujourd’hui quasi ingouvernable, très étendue avec ses 15 municipalités

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     Giorgia Meloni, Virginia Raggi

     

    Virginia Raggi, 37 ans, avocate venue de la périphérie ouest de Rome, inconnue jusqu’à il y a quelques mois, sans aucune précédente expérience politique, pourrait bien être la nouvelle maire de Rome au soir du second tour, le 19 juin. Créditée de plus de 30% d’intentions de vote au premier tour, qui aura lieu dimanche 5 juin, selon le dernier sondage Demos-La Repubblica, elle bénéficie du mécontentement général des Romains, lassés de cette capitale européenne en délabrement. « Pour le Mouvement 5 étoiles, qui n’administre que des villes moyennes comme Parme ou encore Livourne, remporter Rome constituerait un tournant politique majeur« , commente Jacopo Iacoboni­, journaliste au quotidien La Stampa.

    Celle qui la talonne est Giorgia Meloni, 39 ans, politicienne aguerrie, militante d’extrême droite depuis ses 16 ans, fondatrice du parti Frères d’Italie-­Alliance nationale et candidate de la Ligue du Nord, de Matteo Salvini. Du point de vue des idées, difficile de déceler une vraie vision de la Ville éternelle chez ces deux candidates antisystème. Leur point commun : vouloir renouveler la vie politique romaine.

    Virginia Raggi met en avant l’objectif d’une saine administration de la ville, « jouant sur l’échec de tous les mandats précédents, du gâchis d’argent dans un registre antipolitique« , commente le politologue Giovanni Orsina. De son côté, Giorgia Meloni, qui réussit assez finement à faire oublier que sa famille politique a dirigé la ville, défend l’idée d’une ville propre, sûre, anti-immigrés. « Elle a des accents idéologiques plus forts que Raggi, et plus proches d’une Le Pen », ajoute le politologue. [...]

    Le JDD

  • Laurent Ruquier reçoit Florian Philippot : vrai et faux fascisme sur ONPC, émission de service public

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Laurent-Ruquier-recoit-Florian-Philippot-vrai-et-faux-fascisme-sur-ONPC-emission-de-service-public-39747.html

  • VIDEO - Estrosi sur Marion Maréchal: " Des trois Le Pen, c'est la plus dangereuse"

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/estrosi-sur-marion-marechal-des-trois-le-pen-c-est-la-plus-dangereuse-828217.html

  • Saint-Malo. Des « mineurs isolés étrangers » agressent des collégiens de Surcouf [MAJ : ils ressortent libres]

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    MAJ : 28 mai 2016 : Verdict. 

    Les trois jeunes présentés à un juge pour enfants vendredi 27 mai sont ressortis libres. Ils ont interdiction de rentrer en contact entre eux ou avec les victimes. Obligation de pointage au commissariat de Saint-Malo (de Dinard pour deux d’entre eux) une fois par semaine .

    27/05/2016 – 12H00 Saint-Malo  (Breizh-info.com) –Le 25 mai 2016, deux jeunes collégiens scolarisés au collège Robert Surcouf ont porté plainte suite à une violente agression dont ils ont été victimes. Une plainte visant 6 individus (dont au moins trois nominativement), des jeunes Albanais et Afghans, collégiens et lycéens à Saint-Malo, qui auraient agressés plusieurs élèves depuis des semaines. Ces Albanais mineurs isolés étrangers sont accueillis au collège Surcouf dans le cadre du programme UPE2A de l’Education nationale (unité pédagogique pour des allophones arrivants).

    Dernière agression en date, le 24 mai, à la sortie du collège. Plus précisément devant le Netto (Bellevue), situé dans le quartier « sensible » de La Découverte. Les deux jeunes, qui se dirigeaient vers les arrêts de bus afin de rentrer chez eux, ont été agressés par ce groupe qui les avait suivis depuis la sortie du collège. S’en sont suivis un coup de tête suivi d’un lynchage au sol, à plusieurs, qui occasionnera à l’une des victimes – qui a tenté de se défendre durant l’agression –  une ITT de six jours. La deuxième victime subira le même sort, lynché par terre, et devait aller faire constater les dégâts après son dépôt de plainte.

    Le principal adjoint du collège Surcouf, Jean-Patrick Thierry a tenu à souligner (sur une « fiche incident grave » adressée à l’inspection académique ainsi qu’au parquet de Saint-Malo) « la très grande violence des agresseurs ».  Des mineurs étrangers qui séjournent tous, au frais du contribuable, en famille d’accueil ou en foyer.

    M. Thierry  – qui évoque des faits « qui se sont passés hors de l’enceinte du collège » – rapporte sur cette fiche que deux assistants d’éducation se sont rendus sur place lorsque des élèves les ont informés de l’agression, et qu’ils ont pu prendre en charge les victimes et recueillir des témoignages. Une vidéo a été tournée et a permis de voir ce qu’il s’est exactement passé.  La vidéo a été transmise à la police qui a procédé à l’interpellation de plusieurs individus (3 pour le moment), formellement reconnus par les deux victimes. Placés en garde à vue, ils seront déférés ce vendredi après-midi devant un juge pour enfant.

    Les mineurs isolés étrangers coûtent chacun à la collectivité 60 000 € par an . Fin 2014, ils étaient 272 à être pris en charge en Ille et Vilaine, et leur nombre n’a cessé de croitre dès lors. « Il n’est pas normal que nos enfants aient à subir le comportement violent de ces jeunes marginaux, que nous accueillons et qui ne respectent pas nos règles de vivre ensemble » nous écrit la mère d’un élève, agressé lui aussi par un mineur isolé étranger, récemment à Rennes. « Le pire, c’est qu’ils sont protégés judiciairement et qu’ils ne sont même pas expulsables . Ce sont nos jeunes enfants qui en payent directement les conséquences». A Rennes en effet, ces jeunes, principalement issus d’Europe de l’Est, d’Afrique subsaharienne et d’Afrique du Nord, font fréquemment parler d’eux dans le cadre de trafics, d’agressions et de règlements de compte en tout genre.

     

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2016 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

  • Foot: dérapage raciste en Roumanie

    «Quelle est la différence entre notre sélectionneur et celui du Congo ? Le nôtre croit en Dieu, celui du Congo au chimpanzé»!

     
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    Mihai Morar et Daniel Buzdugan, commentateurs sportifs pour la station roumaine Radio Zu, ont fortement dérapé lors d’un match amical entre leur équipe et celle du Congo. La sélection africaine et les Bleus ont été les cibles d’insultes racistes.

    La France a déjà sa polémique sur le racisme dans le football. En Roumanie, on est carrément dans une autre galaxie. Il y a dix jours se tenait un match amical entre le premier adversaire des Bleus à l’Euro et l’équipe congolaise. Les deux animateurs vedettes de Radio Zu, Mihai Morar et Daniel Buzdugan, se sont… lâchés. Les auditeurs ont eu droit à des commentaires du type : «Le Congo est venu avec 8 000 singes pour les supporter», «Quelle est la différence entre notre sélectionneur et celui du Congo ? Le nôtre croit en Dieu, celui du Congo au chimpanzé».

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    L’équipe de France n’a pas été épargnée. Alors qu’elle affrontera la sélection roumaine en ouverture de l’Euro le 10 juin, les commentateurs vedettes ont déjà une idée bien précise des tricolores : «T’as vu les joueurs français ? C’est un peu le Congo sauf qu’ils jouent un peu mieux.»

    Les réactions n’ont pas tardé. Plusieurs auditeurs ont notamment été choqués et ont décidé de porter plainte auprès du CSA local. Mais le plus grave réside peut-être dans les excuses trouvées par les animateurs. Daniel Buzdugan, après avoir fait son mea culpa, a tenté de se justifier : «Pourquoi les singes nous sont venus à l’esprit ? Parce que ce sont des animaux représentatifs du Congo.» La suite est du même acabit : «Si nous avions joué contre l’Australie, nous aurions parlé de kangourous, comme nous parlons de coqs lorsque nous affrontons la France.»

    Pour tenter de sauver la face, ils ont présenté directement leurs excuses à l’ambassade de la République démocratique du Congo. Des excuses qu’auraient acceptées les diplomates.

    Source

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  • Transhumance de Campan au col du Tourmalet

    Eric Abadie conduit ses 2000 brebis au pâturage près du col du Tourmalet (2115m). La fête bat son plein à l'étape du berger, les traditions ne se perdent pas!

    Regardez la vidéo en plein écran!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Petits peuples de Russie : les Ijoriens

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    Oleg Skripnik ♦

    Plusieurs localités dans les environs de Saint-Pétersbourg sont habitées par les représentants d’un peuple peu nombreux de Russie, les Ijoriens. Notre correspondant a visité l’un de ces villages.

    « Et l’on aperçoit volant dans le ciel une louche de feu qui emporte le bonheur d’autrui », récite sur un ton un peu dramatique Nikita, un homme aux cheveux noirs dépassant la trentaine, Ijorien de souche. Ses paroles sont bues par l’effigie d’un esprit de la forêt – un épouvantail vêtu d’un costume national ijorien – et une dizaine d’écoliers. Les cours donnés par le Musée des Ijoriens dans le village de Vistino (à une centaine de kilomètres à l’ouest de Saint-Pétersbourg) susciteront un grand étonnement si l’on ne sait pas d’avance à quoi s’attendre.

    Les Ijoriens sont un peuple finno-ougrien peu nombreux de Russie (selon les données officielles, le pays compte 50 peuples peu nombreux) qui constitue la population autochtone des côtes de la Baltique. Il ne reste que quelques centaines de représentants de ce peuple jadis puissant dont le caractère rude et farouche est mentionné dans une bulle pontificale : plusieurs missionnaires qui tentaient de christianiser ces païens ont été cruellement tués. Toutefois, les nombreuses guerres et les bouleversements politiques de l’histoire récente ont placé la culture ijorienne au bord de la disparition.

    Toutefois, si l’idée vous vient de décrire aux Ijoriens leur triste situation, ils seront extrêmement étonnés. Voici pourquoi.

    La vie au village

    Ecriteau bilingue dans le centre de Vistino.

    Ecriteau bilingue dans le centre de Vistino.

    Vistino, le centre de la culture ijorienne, est une localité très propre aux routes de bitume. Les rues sont bordées de petites maisons soigneusement entretenues, décorées de chambranles et entourées de jardins fruitiers. Le village compte également plusieurs immeubles avec, dans la cour, des puits en bois. « Il y a à peine deux ans, la localité ne possédait aucune barrière », soupire Zinaïda qui y habite depuis 1935.

    Se tenir séparé du monde n’est pas dans la tradition ijorienne, mais la proximité d’un grand port fait que les habitants ont tendance à accroître leur sécurité. En outre, certains cas insolites – quand un petit élan est venu piétiner plusieurs dizaines de potagers – accentuent cette tendance. En outre, des animaux beaucoup moins amicaux comme des renards, des ours et des belettes pointent souvent leur nez dans le village. Que la route de bitume n’induise pas en erreur le visiteur : la localité est entourée de forêts impénétrables de toutes parts. L’année dernière, les habitants ont même dû prendre les armes pour lutter contre une meute de loups qui attaquait le village.

    Zinaïda, née dans une famille ijorienne. Enfant, elle a traversé les affres de l’occupation allemande et des camps de concentration pendant la guerre. Elle a travaillé longtemps comme pêcheur et a plusieurs fois risqué sa vie en luttant contre la tempête.

    Zinaïda, née dans une famille ijorienne. Enfant, elle a traversé les affres de l’occupation allemande et des camps de concentration pendant la guerre. Elle a travaillé longtemps comme pêcheur et a plusieurs fois risqué sa vie en luttant contre la tempête.

    Mais les Ijoriens ne prennent que rarement le fusil. Ce ne sont pas des chasseurs. Ils sont pêcheurs de père en fils. De nombreux dictons et chansons sont consacrés à la mer. Les femmes embarquaient aux côtés des hommes dans les barques. Même le kannel (une sorte de cithare) est fait, selon la légende, pour apaiser par sa douce musique les vagues de la Baltique. La construction dans la région d’un grand port commercial, Oust-Louga, a sérieusement compliqué la navigation des petites barques dans le golfe. « Nous ne fêtons plus la Journée du pêcheur depuis deux ans, regrette une petite vieille. Elle a été remplacée par la Journée de la culture ijorienne. Mais la culture ijorienne sans pêcheurs, ça ne rime à rien ».

    Les jeunes Ijoriens ont commencé à former des sociétés de pêcheurs, ce qui permet d’espérer la renaissance de ce métier. Aujourd’hui, la plupart des habitants de Vistino travaille dans le port et presque chaque famille possède de petites exploitations. Pendant les heures de loisir, ils fréquentent le club local ou vont au stade. Un seul homme continue de vivre selon les mœurs ancestrales : le pêcheur Alexeï, 33 ans, qui approvisionne sa famille grâce à son exploitation et qui de toute la liste du matériel technique moderne ne possède qu’un téléphone portable.

    Culture et religion

    Selon un dicton, l’Ijorien ne parle que trois fois dans sa vie : il crie à la naissance, dit « oui » à son mariage et soupire sur son lit de mort. C’est un peuple renfrogné qui continue dans une grande mesure à respecter les traditions païennes.

    « Croyons-nous aux esprits ? Nous ne les nions pas, sourit Nikita. Notre prêtre lutte contre ce phénomène, mais est-il facile d’effacer les traditions ? »

    Ce peuple fait preuve de persévérance pour perpétuer son patrimoine culturel. Des enthousiastes ont organisé des cours de langue ijorienne à Saint-Pétersbourg, tandis que l’État fournit son aide dans l’édition de manuels et finance le Musée ethnographique de Vistino où les petits Ijoriens étudient leur langue natale.

    Plusieurs objets en argile sont déposés dans un coin du musée : ils ont été fabriqués pendant une classe de poterie pour les enfants. Les petits Ijoriens y apprennent également à broder, à cuisiner, à sculpter le bois, à tisser et même à construire.

    Maîtrise parfaitement la langue ijorienne qu’il a apprise lui-même à l’âge adulte et qu’il enseigne aujourd’hui à ses enfants. Il travaille comme guide au musée et chante dans un ensemble folklorique.

    Maîtrise parfaitement la langue ijorienne qu’il a apprise lui-même à l’âge adulte et qu’il enseigne aujourd’hui à ses enfants. Il travaille comme guide au musée et chante dans un ensemble folklorique.

    Même aujourd’hui, quand les Ijoriens ne peuplent plus que quelques villages, les vieux rites et signes tiennent un rôle important. Il faut dire que les habitants ont été christianisés au Moyen Âge, mais les habitudes païennes y sont encore très fortes. Par exemple, un sapin n’est orné que pour le mariage. Qui plus est, il est attaché… au plafond. Lors des funérailles c’est encore le sapin qui accompagne le mort : le chemin jusqu’au cimetière est tapissé de branches. Ces dernières sont gardées par la famille pendant quarante jours après quoi elles sont brûlées.

    « On dit que nous sommes presque entièrement assimilés, indique la directrice du musée, Elena Kostrova. Or, nous n’étalons tout simplement pas nos traditions, car c’est très personnel. Depuis la ville cela ne se voit pas. Il faut vivre pendant assez longtemps avec nous ».

    Source

    Illustration : Elizaveta, Ijorienne. Donne des cours de langue ijorienne par Internet.

    METAMAG

  • Climat et énergie : mensonges et omerta

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     4 juin 2016

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    Jean-Pierre Bardinet ♦

    Nul n’ose dire qu’il n’y a plus de réchauffement climatique depuis près de 20 ans et que les projections des modèles numériques se plantent lamentablement, ce qui confirme que leur crédibilité est nulle, tout comme les thèses du GIEC qui en sont le socle.

    Nul n’ose dire que le CO2 est gaz de la vie, indispensable à la photosynthèse, et que, grâce au taux actuel de 400 ppm, la planète reverdit et les récoltes sont meilleures. Pire, on veut nous faire croire que c’est un polluant…

    Nul n’ose dire qu’il n’y a aucune preuve scientifique que le CO2 ait une action mesurable sur la température, et nul n’ose dire que 1300 publications scientifiques récusent les thèses du GIEC/IPCC. Bien sûr, on veut nous faire croire que l’affaire est pliée et que la science a parlé.

    Nul n’ose dire que la montée « cataclysmique » des océans n’est que de 1,5 mm/an depuis belle lurette, et qu’aucune accélération n’a été identifiée.

    Bien sûr, on ne précise jamais quelles sont les observations (mesures des marégraphes). On fait croire que la montée est importante, qu’elle s’accélère et qu’elle sera de plusieurs mètres dans les prochaines décennies. Pour enfoncer le clou, on nous présente des infographies qui montrent toutes les côtes qui vont être englouties par les flots. Cataclysmique !…

    Nul n’ose dire que le dérèglement climatique, qui sert à entretenir la peur, donc l’asservissement des citoyens à la Pensée Unique, est un mythe, démenti par les observations : l’indice ACE, qui mesure l’énergie cumulée des ouragans/typhons/cyclones est en légère diminution depuis environ 10 ans et a retrouvé son niveau des années 1975 .

    Pourquoi tout ce bazar ?

    Parce qu’il y a une puissante convergence d’intérêts.

    Je mets un carton rouge à nos médias serviles et aux ONG qui font caisse de résonance à la Pensée Unique et sont les principaux vecteurs de propagande « réchauffiste » (notamment, mais pas seulement, l’AFP)

    Transition énergétique : les grands mensonges sur les EnR

    Nul ne dit qu’elles sont aléatoirement intermittentes, que leur facteur de charge est faible (21% pour l’éolien et 13 % pour le solaire), que leur emprise au sol est très importante, qu’elles génèrent des infrasons ayant des effets sanitaires néfastes pour les riverains, qu’elles tuent de la biodiversité ailée, que les promoteurs disposent d’avantages déraisonnables accordés par nos gouvernants, que le kWh des EnR doit être racheté à prix conventionné, élevé, par EDF, même si cette production ne sert à rien, que les infrastructures complémentaires coûtent fort cher pour ces productions dispersées.

    Nul ne dit que les citoyens, dont des écologistes de terrain responsables, se battent pour sauver nos territoires de l’intrusion dictatoriale des aérogénérateurs et dénoncent les mensonges, la rapacité des promoteurs et la complaisance (pour ne pas dire plus…) de l’Etat.

    Nul ne dit que la production annuelle des EnR intermittentes n’est que de 5,3% (3,9 pour l’éolien et 1,4% pour le solaire, alors que cela coûte 5 Md€ aux ménages…et que le coût de la transition énergétique va exploser dans les prochaines années…(Les surcoûts se montent à 23 Md€/an en 2016, et, si la loi sur la transition énergétique perdure en l’état, ils se monteront à 70 Md€/an en 2030.)

    Nul ne dit que, comme les EnR ont besoin en soutien permanent de centrales thermiques qui sont obligées de fonctionner en discontinu, donc consomment plus, le bilan CO2 (même si le CO2 n’a aucun impact mesurable sur la température) est significatif (voir l’exemple de l’Allemagne, championne des EnR et championne des émissions de gaz satanique…).

    METAMAG

  • Pass contraception : il serait temps que les Républicains s’assument !

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    Si Les Républicains ne parviennent pas à se mettre d’accord là-dessus entre eux, comment pourrait-on les croire sur la Loi Taubira ?

    Mère de famille.
     
     
     
     

    Un bon nombre de concitoyens ignorent encore ce qu’est le « pass contraception », dispositif pourtant financé par l’argent public.

    Le pass contraception, c’est un des services que propose une carte de crédit toute simple que n’importe quel jeune de 15 à 25 ans peut commander, puis recevoir par la poste en s’inscrivant le site Web de sa région. Acheter un livre de Jules Verne pour le cours de littérature ou aller voir Le Malade imaginaire, les adolescents peuvent également se procurer la pilule du lendemain (voire du surlendemain) dans n’importe quelle pharmacie ou s’offrir les services d’un généraliste pour se faire prescrire un contraceptif, sans que les parents soient au courant de quoi que ce soit.

    Non seulement ce volet est absolument hors compétences de la région, mais en plus il renforce l’intrusion permanente et indécente de l’État dans la famille, dans nos lits. Sous couvert de prévention, ce dernier – aidé par les collectivités locales – fait croire aux générations qui arrivent et se construisent que le tout-contraceptif est LA solution pour prévenir de tous les maux, notamment des grossesses non désirées (oui, parce qu’en France, la grossesse est une maladie).

    C’est sûr qu’avec plus de 200.000 avortements par an, le tout-contraceptif, c’est vachement efficace.

    Outre l’aspect intrusif, ce pass transforme la sexualité en un bien consommable et animal. Il n’y a qu’à voir la campagne de communication vidéo d’Auvergne où, pour introduire le volet « contraception », un acteur mime la copulation du lapin. Franchement, nos jeunes valent mieux que ça !

    À la région Auvergne-Rhône-Alpes, et ce, depuis plus de deux mandats successifs, le groupe Front national propose, via des amendements, la suppression pure et simple de ce volet, au regard de ces arguments, non exhaustifs. La gauche refuse, la droite s’abstient… systématiquement.

    Le 3 mai 2016, le groupe a pris le taureau par les cornes et passe la seconde en envoyant à chaque élu de la majorité un courrier officiel lui demandant de bien vouloir se positionner sur la suppression du pass contraception.

    À ce jour, aucune réponse écrite reçue. Qui ne dit mot consent ? Et pourtant, il y a dix jours, les débats en commission Lycées puis en commission Santé-Famille ont changé de tournure sur le sujet. Les Républicains ont laissé entendre que Laurent Wauquiez supprimerait le pass contraception. Une pression et une houle palpables se sont fait sentir… Puis la gêne et la rétractation se sont très vite installées côté LR lorsque la gauche est montée sur ses grands chevaux. On pouvait lire la peur dans les yeux des élus de la majorité.

    Hé oh la droite, les 100 jours sont largement dépassés ! Il s’agirait, maintenant, d’avoir le courage de sa politique ! Vous ne pourrez pas éternellement faire campagne sur les idées du FN et trahir les Français par la suite. Maintes fois en privé, vous avez avoué être d’accord avec nous sur ce sujet…

    Si Les Républicains ne parviennent pas à se mettre d’accord là-dessus entre eux, comment pourrait-on les croire sur la loi Taubira et, plus encore, sur leur programme ?

    Alors, encore un petit effort : franchissez le Rubicon, nous sommes juste sur l’autre rive !

    BV

  • 50% des jeunes d’origine portugaise votent Marine Le Pen

     

    J-1

    (…) les jeunes Français issus de l’immigration de l’Europe du Sud semblent accorder massivement leurs suffrages à la présidente du Front national alors que celle-ci ne rencontre qu’un très faible écho au sein de la
    jeunesse issue de l’immigration maghrébine : 41% de ceux qui ont une ascendance espagnole, 45% une ascendance italienne, et 50% une ascendance portugaise contre 9% de ceux qui ont une ascendance maghrébine.

    (…) Sciences-Po Cevipof

  • Paris : un camp de migrants va être évacué après la découverte de cas de tuberculose

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    Éole, situé sur les XVIII et XIXe arrondissements, est le dernier en date d'une série de campements qui se sont développés depuis un an à Paris, avant d'être démantelés. Attractivité de la capitale, allers-retours avec Calais...

     Selon Le Parisien, les 1200 migrants qui se sont installés aux jardins d'Eole dans le XVIIIe arrondissement vont être transférés vers d'autres sites d'accueil franciliens.

     
     

    C'est un campement de migrants informel apparu récemment dans la capitale. Et comme celui de Stalingrad ou de Jemmapes, il va être rapidement évacué. Selon Le Parisien, les 1200 personnes installées aux jardins d'Eole dans le XVIIIe arrondissement de Paris vont être transférées rapidement dans plusieurs structures d'accueil de l'Ile-de-France (à l'exception de la Seine-Saint-Denis).

    L'opération devrait intervenir rapidement car les conditions d'hygiène sont des plus précaires et plusieurs cas de tuberculose ont été recensés. Les autorités veulent éviter une contagion favorisée par la promiscuité des bâches servant d'abris. Les six malades - trois cas confirmés et trois cas suspects, parmi lesquels deux jeunes de 16 ans - ont été emmenés à l'hôpital. Selon Médecins du Monde, «c'est la première fois qu'on découvre des cas sur des campements» de migrants à Paris.

    Les malades «étaient porteurs du bacille actif» à leur arrivée et «tout est mis en oeuvre par les autorités sanitaires et la ville de Paris pour que les risques de contamination soient contrôlés», a indiqué le Dr Jeanine Rochefort, déléguée régionale pour l'Ile-de-France pour Médecins du Monde, pour qui «il est grand temps que l'État réagisse» car «si on ne le fait pas, les risques vont se multiplier».

    Les 1200 personnes dont une bonne partie vient d'Afrique sub-saharienne vont être réparties dans certains des 65 centres d'accueil déjà existants en Ile-de-France. Mais pour pouvoir accueillir tout le monde dans les délais impartis, des gymnases ont dû être réquisitionnés, relève Le Parisien. Des locaux qui ne pourront fonctionner plus d'un mois, précise le quotidien.

     

    Des maires protestent

    Ces lieux d'accueil provisoires ont suscité des tensions entre la préfecture et certaines communes concernées qui estiment avoir atteint les limites de leur capacité. Le maire LR d'Argenteuil George Mothron a ainsi publié quelques tweets de protestation soulignant que sa ville ne «pouvait recevoir toute la misère du monde». Finalement la préfecture a renoncé à utiliser le gymnase en question.

  • Paris: la manif des antifas en mémoire de Clément Méric dégénère, les drapeaux rouges sont sortis

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-manif-des-antifas-en-memoire-de-clement-meric-degenere-a-paris-04-06-2016-5856331.php

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  • Les députés s’interrogent sur les motifs du développement de la viande halal en France

    http://www.fdesouche.com/737113-les-deputes-sinterrogent-sur-les-motifs-du-developpement-de-la-viande-halal-en-france

  • Inondations en Allemagne : des réfugiés déblaient une rue… pour la télévision !

     

    0h42

    Une « action d’aide » de réfugiés, mise en scène par la municipalité [de Schwäbisch-Gmünd] à la demande d’une équipe de cameramen étrangers, a provoqué une vive émotion chez de nombreux citoyens [...] dans le quartier de Weststadt encore marqué par les inondations

    Habillés légèrement, portant des chaussures de sport impeccables et au son d’une musique entraînante venant de leurs smartphones, ils ont été envoyés, accompagnés de collaborateurs de la municipalité, en intervention dans la rue Eutighofer, où leur aide n’était en principe plus du tout nécessaire. « Tous, nous n’en croyions pas nos yeux quand nous avons vu tout à coup ce qui se passait », dit par exemple , complètement stupéfait, notre lecteur Wolfgang Binder. [...] Les réfugiés ont même été obligés pour les prises de vue d’aller chercher dans les conteneurs des objets récupérés depuis longtemps par les habitants, pour les ressortir de la cave de façon médiatisée. [...] Les citoyens étaient si indignés que, à ce qu’on nous a rapporté, on en est presque venu à des voies de fait contre l’équipe de télévision étrangère.

    (Traduction Fdesouche)

    Rems-Zeitung