http://www.contre-info.com/kiev-scenes-de-guerre-civile
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Sur la Chaîne parlementaire (française précisons-le), Frédéric Haziza reçoit Meyer Habib.
Un entretien complice entre deux militants très communautaires, à propos des projets de Habib de faire passer une loi pénalisant le geste de la « quenelle », ainsi que le salut européen traditionnel !
En dépit de la complaisance d’Haziza, Meyer Habib a beaucoup de mal à s’exprimer et à justifier son projet.
Il affirme que la « quenelle » est un geste antisémite, mais que beaucoup de gens la font sans le savoir, mais qu’il faut quand même l’interdire… Sans qu’on sache pourquoi au final.
L’extrémiste sioniste (voir ici) Habib est plus habile à manier la barre de fer contre les nationalistes que la rhétorique.
Il entend aussi pénaliser le salut olympien ou salut romain, réduit à un « salut nazi » bien qu’il ait été utilisé dans presque toute l’Europe, ce qui était naturel, historiquement.
Contre-info.com
Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius et ses homologues allemand Frank-Walter Steinmeier et polonais Radoslaw Sikorski seront jeudi matin à Kiev, juste avant une réunion à Bruxelles des ministres européens des Affaires étrangères, a annoncé mercredi le ministre français.
« Il faut rétablir le dialogue politique entre opposition et pouvoir », a déclaré Laurent Fabius, en présence du secrétaire d’État américain John Kerry. « Chacun doit se mobiliser pacifiquement pour revenir au dialogue », a-t-il ajouté.
Les trois ministres rendront compte ensuite à leurs homologues européens de leurs entretiens à Kiev. MM. Fabius et Steinmeier devaient quitter leur pays respectif jeudi très tôt pour Kiev, M. Sikorski étant attendu dès mercredi soir à Kiev, selon des sources diplomatiques.
John Kerry a, de son côté, affirmé que le président ukrainien Viktor « Ianoukovitch avait le choix entre protéger le peuple qu’il sert, le choix de compromis et de dialogue, et la violence et les troubles. Nous pensons que le choix est clair. »
« Nous souhaitons que le président Ianoukovitch réunisse le peuple, dialogue avec l’opposition, trouve les moyens d’un compromis », a ajouté M. Kerry.
« Nous sommes en train de discuter de la possibilité de sanctions ou d’autres mesures avec nos amis en Europe et ailleurs pour tenter de créer un environnement pour un compromis », a précisé M. Kerry.
« Nous sommes tous profondément affectés par les scènes de violence et le niveau des abus que les citoyens ont subis dans la rue au cours des derniers jours. Nous sommes de tout cœur avec le peuple ukrainien », a ajouté le secrétaire d’État américain.
Guy Verhofstadt avec une délégation libérale
Le chef du groupe libéral au Parlement européen, Guy Verhofstadt, partira demain/jeudi pour Kiev, à la tête d’une délégation libérale de soutien aux manifestants d’euro-Maidan.
Il sera accompagné par les eurodéputés Hans Van Baalen et Marielle de Sarnez. Les trois libéraux rencontreront notamment les principaux leaders de l’opposition ukrainienne.
« Il est important de montrer notre solidarité avec ceux qui protestent pour protéger leurs droits démocratiques. C’est pourquoi j’ai décidé de voyager à Kiev. Ils ne sont pas des terroristes ou des violents révolutionnaires. Ils sont juste des citoyens ordinaires qui voulaient que leur voix soit entendue et ne méritaient pas une telle brutalité en retour », a commenté M. Verhofstadt, cité dans un communiqué.
La Flandre suspend ses exportations d’armes vers l’Ukraine
Le ministre-président flamand a décidé de mettre « en suspens » les exportations d’armes de la Flandre vers l’Ukraine au vu du déchaînement de violence qui a causé la mort de 26 personnes ces dernières heures à Kiev. Toutes les demandes d’exportations d’armes vers l’Ukraine recevront un avis négatif, a fait savoir le cabinet du ministre-président flamand.
Wallonie
En Région wallonne, on fait observer que l’octroi de licence est gelé de facto vu la situation. « Vu le contexte actuel en Ukraine, il n’y a aucune possibilité qu’une licence d’exportation d’armes wallonnes soit octroyée, car cela violerait la directive européenne en la matière », a-t-on commenté au cabinet du ministre-président Rudy Demotte.
« Il n’y a par ailleurs aucune demande d’exportation d’armes en provenance d’Ukraine », a-t-on précisé.
Voir aussi, sur E&R :
« Kiev se rapproche de la guerre »
« Des contingents militaires envoyés à Kiev afin de sécuriser certaines installations »
« La Russie dénonce une tentative de coup d’État en Ukraine »
E&R
Nous y voilà donc !
À l’heure où le pays semble s’effondrer sous les coups d’une insécurité croissante, d’une économie asphyxiée, d’un endettement abyssal et d’une immigration insoutenable, les socialistes et leurs alliés écolos-marxistes s’emploient avec méthode à détricoter l’édifice France. Pendant que le toit prend l’eau, ceux qui devraient le réparer semblent s’employer à détruire méthodiquement les murs maîtres de l’édifice.
Loi Taubira, entrée de la Turquie dans l’Union européenne, euro-fédéralisme, banalisation de l’IVG, et, désormais, langues régionales et minoritaires et droit de vote aux étrangers… Ce ne sont pas là que « des faux débats » que l’on invente pour masquer les « vrais problèmes ». Ce ne sont pas exclusivement des « choix peu couteux » destinées à faire oublier les « politiques nécessaires que l’on ne peut mettre en œuvre faute de budget ». Non, ce sont d’abord des valeurs que l’on brade.
Imagine-t-on Bonaparte dictant le Code civil en corse, Clémenceau appelant à l’effort de guerre en vendéen ou encore De Gaulle lançant l’appel du 18 juin en ch’timi ?
Sécessionnistes poussiéreux hérités des vieilles féodalités, rejoints dans leurs efforts par les soixante-huitards, pour qui « la Nation, c’est la guerre », sans oublier ceux qui rêvent d’une gouvernance continentale, simple étape vers le mondialisme triomphant… Tous adversaires de l’idée Nation, tous regroupés pour l’occasion dans ce qu’il convient bien d’appeler le « parti de l’étranger »… Ce parti qui se relève chaque fois que la Nation se trouve en crise.
Car si les langues et dialectes régionaux se trouvent « en danger », il serait bien illusoire de prétendre les sauver en les mettant en rivalité avec le français, en cherchant à trouver dans une quelconque charte la solution politique et juridique à un problème culturel. Chacun peut constater que dans notre société utilitariste et consumériste, la jeunesse, les études et les familles accordent plus d’importance aux langues garantissant une plus large ouverture aux marchés à l’international, au monde de l’emploi… Le Français est touché par ce phénomène et ce n’est pas dans la multiplication des parlers officiels que se construira une réponse au défi ainsi lancé.
C’est au contraire en confortant la complémentarité qui peut exister entre la langue de la République et les parlers locaux, c’est en insistant sur l’importance de l’usage de ces langues, l’importance de leur conservation, de la préservation des traditions et de l’âme qui y est liée que celle-ci trouveront toute leur place. C’est par la transmission, l’héritage, l’usage et l’enseignement que se préserveront demain les langues régionales, non par la confrontation aboutissant sur du perdant-perdant. L’usage du Français comme seule langue officielle est un principe fondamental de l’unité nationale française. La remette en cause serait affaiblir l’édifice national sans pour autant répondre aux attentes locales. Accepter la Charte des langues régionales et minoritaires reviendrait à mettre sur un pied d’égalité deux langues différentes, consacrées à deux usages distincts, comme s’il existait une compétition à mort entre elles alors que notre identité procède et s’enrichit de leur cohabitation.
L’autre danger que l’on voit poindre à travers ce texte est l’amalgame – volontaire – qui est fait entre langues régionales et langues minoritaires. On jette dans la même marmite le basque, le breton, le corse, l’occitan et… l’arabe ou l’ayizo-gbe. On prétendrait à mélanger des dialectes locaux hérités d’une tradition ancrée sur notre territoire et la langue des nouveaux arrivants dont on accepterait ainsi le refus d’intégration à la communauté nationale. L’idée n’est pas nouvelle. Combien de municipalités financent déjà des cours d’arabe au titre de la politique de la ville ? Plutôt que l’intégration, certains font aujourd’hui le choix de la désintégration nationale, encourageant le repli communautaire le plus contraire à notre conception de la République, le plus antinomique avec l’idée même de communauté nationale au sens français du terme.
En 1992, la gauche au pouvoir – déjà elle – avait souhaité faire adopter la charte des langues régionales et minoritaires. Elle s’était alors vu rappeler, non à l’ordre, mais plutôt aux réalités, par le Conseil constitutionnel. La Constitution de 1958 précise en effet que « la langue de la République est le français ». Plus intéressant encore que la formule, c’est par sa place dans la Constitution que s’affirme l’importance de l’unité linguistique nationale : placé au premier alinéa de l’article 2, la langue française est en effet identifiée par le constituant comme le premier des attributs de la souveraineté nationale.
Le combat pour la langue française se confond avec le combat pour la France. Bien avant 1789 et l’Abbé Grégoire, avant même l’ordonnance de Villers-Cotterêts, le travail politique d’unification et d’indépendance des Rois de France a tendu vers l’affirmation d’une « langue pour la France ».
L’idée France se conçoit et s’exprime en français car « les limites de ma langue sont les limites de mon monde » écrivait Désiré Nisard.
Car n’est-ce pas cela, la disparition de la voix de la France, que recherchent avec tant d’insistance les promoteurs de cette charte ?
Il y aura trois cents ans le 6 mars, le Traité de Rastatt offrait au crépuscule du règne de Louis XIV l’une des plus belle victoires de la France. Celle-ci n’était pas tant militaire – même si un Bourbon montait sur le trône d’Espagne ; mais politique.
Pour la première fois, un traité international était rédigé en Français. Devenu langue de la diplomatie, celle-ci s’imposait alors comme la traduction la plus éclatante de la puissance et du prestige de notre Nation à travers le monde. Ce temps allait durer jusqu’en 1919.
C’est en effet à l’occasion du Traité de Versailles que le français perdit son statut de langue de la diplomatie internationale au profit de l’anglais. C’est aussi lors du Traité de Versailles que les États-Unis s’affirmèrent, face à une Europe saignée à blanc, comme la première puissance mondiale… Le témoin venait de passer. Le lien entre langue et puissance, jamais démenti au cours de l’histoire, demeurait intact.
Où sera la puissance, où sera le pouvoir et donc l’autorité légitime si demain le français se trouvait menacé sur son territoire même ?
> Gaël Nofri préside le think tank Le Temps de la France.
NOUVELLES DE FRANCE
19/02/2014 – AMSTERDAM (NOVOpress/Bulletin de réinformation) – Alors que l’euthanasie des enfants y était formellement interdite depuis 2002 mais était dépénalisée dans certains cas, elle est depuis 2011 totalement légalisée. Depuis lors, les catégories de personnes pouvant y avoir recours ne cessent de s’élargir. Ainsi, comme l’affirme le ministre de la Santé néerlandais 45 malades mentaux ont été euthanasiés en 2013 contre 14 l’année précédente.
En tout ce sont plus de 4.000 personnes qui ont été euthanasiées l’année dernière. Super luxe : il existe six unités mobiles qui viennent à domicile pratiquer les éliminations. Une psychiatre a déclaré qu’« elle ne trouve pas difficile de tuer ses patients parce qu’elle croit qu’elle rend heureux les gens ». Certains pensent que ce sont les médecins eux-mêmes qui « poussent à la roue ».
18/02/2014 – DOHA (NOVOpress/Bulletin de réinformation) – L’ambassade d’Inde affirme en effet que 450 immigrés indiens travaillant au Qatar sont morts depuis deux ans sur les différents chantiers des stades prévus pour accueillir la coupe du monde de football 2022. Le timide rappel à l’ordre adressé par la Fifa au Qatar concernant les conditions de travail des ouvriers sur les chantiers semble donc être resté lettre morte.
La révélation de ce chiffre terrible ne va pas manquer de relancer les très nombreuses polémiques qui entourent le faramineux projet qatari et a fait réagir la Fifa. Theo Zwanziger, membre du comité exécutif de la Fédération internationale du football, a ainsi notamment alerté l’opinion en déclarant que « La situation des travailleurs migrants employés sur les chantiers liés à la Coupe du monde était inacceptable et horrible ».
Un scandale humanitaire qui curieusement fait très peu de bruit dans les médias et la communauté internationale et qui tranche radicalement avec le déchaînement moralisateur subi par les jeux olympiques de Sotchi organisés par la Russie de Vladimir Poutine.
Un « deux poids, deux mesures » qui résulte sans doute des investissements colossaux réalisés par le Qatar dans la plupart des pays occidentaux dont, bien évidemment, la France.
Crédit photo : Omar Chatriwala, via Flickr, (cc).
19/02/2014 – VIDÉO du TELEGRAPH - Groupe de militants libertaires “Queer” plus ou moins liés aux Femen et bien évidemment hostiles à Vladimir Poutine, les Pussy Riot (dont les prestations artistiques habituelles consistent à s’accoupler en public ou à s’enfoncer des animaux morts dans les parties génitales) ont tenté de faire parler d’eux à Sotchi. Mal leur en a pris, puisque quelques secondes à peine après le début de leur spectacle, des cosaques assurant la sécurité des lieux ont fait usage de leur fouet.
NdB: ce doublon est volontaire, car cette vidéo me semble meilleure que la précédente!
© AFP
Dernière modification : 19/02/2014
L’annonce était programmée pour le vendredi 21 février, mais les noms des futurs panthéonisés ont finalement filtré.
Parmi eux figure l’ancienne résistante Germaine Tillion, qui était fortement pressentie. Elle sera accompagnée de deux autres résistants, Geneviève de Gaulle-Anthonioz et Pierre Brossolette et de l’ancien ministre de l’Éducation Jean Zay, qui a exercé son mandat sous la IIIe République.
Le président François Hollande officialisera l’identité des quatre personnalités dans un discours qu'il prononcera vendredi au Mont-Valérien (Hauts-de-Seine), haut lieu de la mémoire nationale.
Première publication : 19/02/2014
FRANCE 24
Serge Dassault était convoqué ce mercredi par les policiers qui enquêtent sur des soupçons d’achats de votes à Corbeil-Essonnes, dont il fut maire de 1995 à 2009.
Le sénateur UMP est actuellement entendu sous le régime de la garde à vue. Une mesure applicable depuis une semaine seulement, depuis que le bureau du Sénat a levé l’immunité parlementaire qui protégeait l’industriel.
Les enquêteurs veulent savoir si l’ancien maire de Corbeil-Essonnes (1995-2009) a acheté des voix, soit pour sa dernière élection en 2008, soit pour les élections de son successeur en 2009 et 2010, les scrutins de 2008 et 2009 ayant été invalidés.
Des « mensonges » selon le sénateur UMP, qui se disait la semaine dernière « très content de pouvoir enfin dire la vérité aux juges ». La justice attend des explications à propos des sept millions d’euros dépensés pour les deux dernières campagnes municipales. Son successeur Jean-Pierre Bechter, qui brigue un nouveau mandat, a déjà été mis en examen notamment pour financement illicite de campagnes électorales. « Je n’ai jamais acheté une seule voix », assure-t-il.
Serge Dassault aura 89 ans en avril. Sa garde à vue, allégée, se déroule à Nanterre, et il pourra rentrer dormir chez lui. Le sénateur devrait être confronté à d’autres acteurs du dossier, comme Mamadou Kebe, un habitant de Corbeil qui témoigne avoir été payé pour ramener des électeurs vers les urnes, mais Serge Dassault l’accuse d’extorsion de fonds. Par ailleurs, la justice s’intéresse à la reprise en 2010 de la grande entreprise d’électronique de Corbeil, Altis, avec l’aide financière de Serge Dassault. Charlie Hebdo révèle qu’une enquête préliminaire est ouverte sur cette affaire.
NPI
Invitée : Marine Le Pen - Preuves par 3 par publicsenat
Marine Le Pen était l’invitée de Michel Grossiord et Perrine Tarneaud dans Preuves par 3 sur Public Sénat.
Parallèlement, ce même Occident a mis à sa merci le pouvoir légitime en Ukraine, en le mettant en garde contre toute utilisation de la force pour défendre la structure constitutionnelle et même l’ordre élémentaire. Maintenant, voilà le résultat, et l’Occident ne songe pas à assumer une quelconque responsabilité. » C’est ce qu’a déclaré Dmitri Kisselev, le directeur général de l’agence d’informations Russie aujourd’hui, en commentant les événements dramatiques en Ukraine.
A Laval (Mayenne), le Front national n'a pas de candidat mais soutient un trublion au langage imagé quand il évoque ses marottes : les immigrés, les francs-maçons, les homosexuels et les journalistes. Jean-Christophe Gruau, ancien rédacteur en chef du journal municipal, publie régulièrement sur son blog des interviews fleuve de lui-même où il passe en revue l'actualité de manière fracassante, comme l'a repéré le «Canard Enchaîné».
Dernier post, le 15 février. La tête de la liste «Laval mieux vivre» évoque longuement les conséquences de l'immigration à Laval. Le candidat déplore «l’état-civil que le triste journal de la Ville publie tous les mois. Il suffit de compter les prénoms d’origine étrangère pour entrevoir le Laval de demain, qui ne sera guère clément aux petits blancs d’aujourd’hui, aux marchands de vin rouge et aux éleveurs de porcs.»
L'Etat civil local semble le préoccuper beaucoup puisque dans un autre billet publié cinq mois plus tôt, il regrettait que «depuis de longues années déjà, les Fatoumata, Karamba et autres Sounkamba remplacent chaque mois les Lucien, Germaine et autres Marie-Josèphe». A le lire, «nombre de Lavallois» subissent des «problèmes de voisinage». Tout cela à cause de personnes «issus et "porteurs" d’une culture et/ou une religion incompatible avec la nôtre (qui) balance tout par la fenêtre, y compris les excréments...»
«Les socialos marient des sodomites»
La loi sur le Mariage pour tous, Jean-Christophe Gruau y est fermement opposé. Il a été de toutes les manifestations jusqu'à celles organisées par «Jour de colère». Mais il se défend avec force d'être homophobe. «A partir du moment où aucun (homosexuel) ne pose sa main sur une partie de mon corps avec le désir de prendre du bon temps, je considère que leur sexualité ne regarde qu’eux-mêmes», estime-t-il. Il ajoute, pour bien prouver qu'il n'a rien contre les homosexuels : «Je signale également que j’ai dans ma bibliothèque des œuvres que je chéris bien qu’elles aient été écrites par des homosexuels.»
Forcément, Jean-Christophe Gruau ne porte pas dans son coeur le gouvernement et la gauche, plus exactement la «gôche», comme il l'écrit. Dans un billet, il s'emporte contre «les socialos (qui) détruisent la famille, marient des sodomites (...) envisagent d’euthanasier le moindre vieillard atteint d’une grippette.»
Les «journalistes collabos»
Autre obsession du candidat : les francs-maçons. A longueur d'interview, il distille des allusions. Comme par exemple quand il évoque la liste du sénateur UDI François Zochetto. «Pour être franc (tout court), à chaque fois que j’entends le nom d’un petit nouveau qui rejoint l’équipe Zocchetto, je me dis in petto : Mazette, ce n’est plus une liste, c’est une loge !»
Et malheur aux «journalistes collabos» qui auraient l'outrecuidance d'écrire un article peu flatteur. Jean-Christophe Gruau relate son expérience avec un «jeune type de Ouest-France (qui) a torché son premier papier moins d’une heure après (l)'avoir rencontré. Que voulez-vous attendre de bon, de fin, de talentueux d’un journaliste qui, de surcroît, appartient clairement à un camp politique opposé ?»
Le Parisien 19 02 14
http://www.contre-info.com/ukraine-25-morts-dans-les-affrontements-entre-manifestants-et-police
PHOTOS ET VIDEO
(1894-1961)
Comme l’Espagne, les autorités portugaises préparent une loi accordant la nationalité automatique aux descendants des Juifs séfarades expulsés. Les 400 000 membres de la communauté juive portugaise ont été expulsés, tués ou forcés de se convertir au christianisme au cours de l’Inquisition au 16ème siècle.
Le ministre du tourisme portugais, Adolfo Mesquita Nunes , qui s’est rendu en Israël la semaine dernière, a déclaré qu’une loi, accordant la nationalité portugaise automatique pour les descendants des Juifs, sera bientôt finalisée.
Le projet de loi a été initié par le membre du Parlement, José Ribeiro Castro , qui y voit une réparation d’une injustice historique. Sa proposition a été adoptée à l’unanimité par le Parlement en avril et a été approuvé l’été dernier.
[...] La communauté juive de Lisbonne conserve également les enregistrements de ces jours sombres . » Ce sont les rabbins qui connaissent le mieux qui était juif , mais le problème est de déterminer si les victimes sont originaires d’Espagne ou du Portugal », a déclaré Jose Oulman Carp , président de la communauté.
Le Rabbin, Eliezer Shai Di Martino, du Portugal a salué l’initiative et a exprimé l’espoir que le mouvement augmenterait la petite communauté juive , qui ne comprend actuellement que 1.000 personnes.
Lire l’intégralité de l’article sur tel-avivre.com
Voir aussi, sur E&R : « 3 millions et demi de juifs éligibles à la nationalité espagnole »
La semaine dernière, l'agence de notation Fitch Ratings avait également pointé que le choix des électeurs suisses allait accroître l'incertitude pour l'économie du pays.
Le Salon Beige 18 02 14