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GAELLE MANN - Page 972

  • Italie: la ministre noire comparée à un singe

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    La Ligue du Nord continue de s'illustrer en maître des dérapages racistes. Le dernier en date est sorti de la bouche de Roberto Calderoli, habitué des propos polémiques. "(Cécile Kyenge) fait bien d'être ministre, mais peut-être devrait-elle le faire dans son pays", a-t-il déclaré à l'égard de la ministre d'origine congolaise. "Quand je vois les images de Kyenge, je ne peux ne pas m'empêcher, même si je ne dis pas qu'elle en soit un, de voir des ressemblances avec un orang-outan", a poursuivi le cadre du parti anti-immigration. L'ancien vice-président du Sénat, également ministre sous Silvio Berlusconi, l'a également accusée de faire miroiter une sorte d'"Amérique" aux immigrants arrivant en Italie, peut-on lire dans le Corriere della Sera.

    Ces propos ont provoqué l'indignation de nombre de personnalités, notamment du chef du gouvernement, Enrico Letta, qui les a qualifiés d'"inacceptables". "Les paroles rapportées aujourd'hui par la presse et attribuées au sénateur Calderoli à propos de Cécile Kyenge sont inacceptables et dépassent toutes les limites", a-t-il commenté dans un communiqué officiel, dans lequel il assure également Cécile Kyenge de "sa pleine solidarité et de son soutien". Deux députés du Parti démocrate (PD, gauche), Khalid Chaouki et Gianni Cuperlo, ont exigé la démission de Roberto Calderoli de la vice-présidence du Sénat. Une sénatrice du PD, Anna Finocchiaro, s'est elle engagée à "demander des comptes au sénateur Calderoli" lundi au Sénat. "En attendant, j'espère que le vice-président du Sénat trouvera la dignité de s'expliquer et de s'excuser auprès de la ministre" a-t-elle déclaré.

    Appel au viol

    Ce n'est pas la première fois que la ministre pour l'Intégration est la cible de commentaires racistes. En juin, une élue locale, également membre de la Ligue du Nord, avait proposé que Cécile Kyenge soit mise à la place d'une victime d'un viol afin qu'elle "comprenne". "Mais personne ne la viole jamais, juste pour lui faire comprendre ce que peut éprouver la victime de ce terrible délit ?" avait écrit Dolores Valandro sur sa page Facebook. Cette sortie suivait la publication d'une tribune intitulée "Tous les crimes des immigrés" après la tentative de viol présumée de deux Roumaines par un Noir à Gênes.

    Depuis son arrivée au gouvernement, Cécile Kyenge subit les insultes racistes. "Ministre bonga-bonga", "négresse" ou encore "singe congolais" avaient été entendus lors de sa première apparition à l'Assemblée. Ce à quoi la ministre congolaise répond : "Je ne suis pas de couleur, je suis noire, et je le répète avec fierté."

    Le Point - 14/07/13

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  • Dénaturation du mariage : l’étrange sortie de Mgr Hippolyte Simon

    Ecrit le 14 juil 2013 à 8:40 par Jean Terrènne  

     
     Dénaturation du mariage : l'étrange sortie de Mgr Hippolyte Simon
    Interrogé sur le site de la CEF, Mgr Hippolyte Simon, archevêque de Clermont et vice-président sortant de la Conférence des évêques de France, vient de déclarer« on ne peut pas rester tout le temps en train de contester une loi. En ce qui concerne le mariage, la nouvelle législation en France ne change rien pour les catholiques. La loi de séparation de 1905 entre l’Église et l’État garantit que chaque Église, chaque communauté religieuse s’organise selon ses propres lois».

    Interrogé en tant que responsable de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron, Olivier Drapé souligne qu’à ses yeux, « Mgr Simon n’a certainement pas voulu dire que les catholiques et les citoyens français devaient accepter avec résignation des lois intrinsèquement mauvaises, qui sont  de véritables « structures de péché »… Cela serait tout à fait contraire à l’enseignement social de l’Église. Le Catéchisme de l’Église catholique insiste en effet sur la nécessité « d’apporter aux institutions et aux conditions de vie, quand elles provoquent le péché, les assainissements convenables pour qu’elles se conforment aux normes de la justice et favorisent le bien au lieu d’y faire obstacle » (n° 1 888). Nul ne songe d’ailleurs à reprocher à Nelson Mandela d’avoir contesté, cinquante années durant, c’est-à-dire jusqu’à leur abrogation, les lois racistes sur l’apartheid en Afrique du sud… ».

    Le responsable de l’Observatoire sociopolitique diocésain fait par ailleurs observer que « la loi Taubira modifie en profondeur le code civil et les règles de la filiation, non seulement pour les catholiques mais pour l’ensemble des citoyens français », que « la séparation de l’Église et de l’État à laquelle se réfère Mgr Hippolyte Simon ne saurait être interprétée dans le sens d’une séparation de la loi morale et des lois civiles » et que « les catholiques ne sont pas seulement concernés par la défense des intérêts propres à leur communauté religieuse mais ont bien évidemment un rôle irremplaçable à jouer en vue du bien commun de la société dans laquelle nous vivons. »

    Nouvelles de France

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  • Un bus en flammes en plein Paris

     

     

    Un bus a pris feu vendredi 13 juillet, vers 20h15, dans le XVIIe arrondissement de Paris, après qu’« un pétard a été tiré sur l’arrière du bus », selon un témoin. Parmi la cinquantaine de passagers, on ne répertorie qu’un blessé léger, le conducteur. Une enquête est en cours...

    Nouvelles de France

     

  • Récit réaliste du 14 juillet 1789

    Ecrit le 14 juil 2013 à 11:58 par Eric Martin

     

    Voici le récit réaliste (âmes sensibles s’abstenir) du « Combat du 14 juillet », extrait des Causeries du Dimanche (publiées rue Bayard en 1922) :

    Récit réaliste du 14 juillet« A la Bastille! criait-on. Cette action héroïque de la prise de la Bastille, choisie par la Révolution comme son épopée, célébrée avec tant de tapage (…) est une des dérisions les plus remarquables de l’histoire.

    Les papiers du temps racontent que, dès que l’émeute se fut portée du côté de la for­teresse, toutes les élégantes de Paris, aussi curieuses qu’aujourd’hui, s’y portèrent en foule; la place des Vosges (alors place Royale) était pleine de leurs carrosses. Les poissardes ne manquaient pas non plus.

    Cette rivière de curieux était considérée du haut de la forteresse par 32 Suisses et 82 invalides, qui. avec M. de Launay, commandant, et les officiers, formaient les 120 hommes de la garnison: il leur semblait, dirent-ils, que Paris tout entier débordait vers eux. C’était vrai.

    Les émeutiers, assemblés dès 10 heures du matin, fusillent les murs hauts de 40 pieds, épais de 30 pieds, et cet exercice héroïque semble les amuser d’autant plus qu’on ne répond pas.

    Enfin le hasard amène un accident qui fut acclamé comme une victoire : un pauvre invalide, en sentinelle sur une tour, est blessé.

    Une députation se présente. Le gouverneur fait baisser les ponts-levis, et la reçoit avec honneur, l’invite à déjeuner. Les héros acceptent. Ils se plaignent des canons qui menacent le peuple, le gouverneur fait retirer de suite les canons des embrasures; ils se plaignent de l’attitude de la garnison qui menace le peuple, le gouverneur fait jurer devant les députés aux 114 Suisses et invalides de ne pas tirer sur le peuple s’ils ne sont pas directement atta­qués. Les députés se plaignent enfin des moyens extraordinaires de défense de la forteresse, le gouverneur leur offre de visiter toute la Bastille.

    Les parlementaires sortent enfin, et l’on attaque le premier pont; pas une amorce n’est brûlée contre eux; ils l’abaissent, mais quand ils sont au second pont, le gouverneur les fait prévenir qu’il va faire feu. Cela les scandalise.

    Les hommes armés qui assiégeaient la Bastille dans ces conditions très exceptionnelles étaient 800. Mais il faut dire qu’ils n’eurent tant d’audace quen raison de la présence au milieu d’eux des gardes françaises.

    Ces gardes, qui formaient une partie très galante de l’armée, et où l’on s’engageait pour ce honteux motif, venaient beaucoup au Palais Royal, rendez-vous assez immonde. Cette situation exceptionnelle rendait ces soldats propres à toutes les misères. (…) le peuple les faisait boire, et ils étaient de la partie de plaisir et de gloire du 14 juillet 1789.

    Cependant on ne prend point une solide for­teresse avec des cris et des vociférations. On délibéra si on ne pourrait point calciner les pierres avec une huile savante au phosphore. Ceci est imaginé par un brasseur, qui ne connaissait pas encore le pétrole. Un autre propose de brûler une jeune fille, qu’on assurait être la fille du gouverneur, pour obliger ce dernier à se rendre ; or, cette pauvre enfant, qui n’avait pas du tout ce titre à leur fureur, faillit périr.

    Un jeune homme qui a étudié ses auteurs veut construire une catapulte, il a le mo­dèle, etc.

    Cependant, profitant de la répugnance qu’a­vait la garnison trop bien garantie « à tirer sans péril sur des corps vivants », les gardes françaises, un pont-levis étant baissé, allument de la paille; alors les Suisses exaspérés, au lieu de se laisser rôtir, font une décharge, et la foule crie à la trahison, elle recule épouvantée

    A ce moment, un chasseur du marquis de Conflans, né en Suisse, de parents pauvres, adopté par lui et patriote à la belle figure, qui se distinguait parmi les assaillants débouche avec des gardes françaises; ils avaient trouvé cinq canons ; on les braque sur les embrasures, et l’attaque recommence. Ce Hullin qui va arrêter M. de Launay recevra de la municipalité le titre de vainqueur de la Bastille et une médaille commémorative; comme il est le héros de la grande journée du 14 juillet, (…).

    On perd la tête. M. de Launay ne voulant pas, avec cent hommes, lutter contre tout un peuple et contre des soldats, ni livrer la forteresse confiée à son honneur, veut mettre le feu aux poudres et faire sauter le quartier Saint-Antoine. Un officier invalide l’arrête et il en sera cruellement châtié par le peuple; son supplice sera une des horreurs épouvantables de la journée; on lui coupera la main, on le pendra, on le percera, et cette main coupée sera promenée en triomphe au bout d’une pique.

    A la demande des officiers invalides, de Launay capitule donc, mais à la condition que la garnison aurait la vie sauve. C’est solennel­lement juré, et le grand pont-levis, que l’émeute n’eût jamais fait tomber, s’abaisse lentement.

    La foule, ivre de joie, se précipite dans la sombre forteresse; Hullin et les gardes fran­çaises veulent faire respecter la capitulation, mais la populace déclare qu’il faut tuer, et elle exécute, séance tenante, cinq officiers et plusieurs invalides qui avaient fait la ma­nœuvre du pont.

    De Launay, en sortant, reçoit un coup d’épée dans l’épaule droite; rue Saint-Antoine, « tout le monde lui arrachait les cheveux et lui don­nait des coups ». Sous l’arcade Saint-Jean il était déjà « très blessé ». Autour de lui, les uns disaient : « Il faut lui couper le cou », les autres : « Il faut le pendre », les autres : « Il faut l’attacher à la queue d’un cheval. » Alors, désespéré, et voulant abréger son supplice, il crie: « Qu’on me donne la mort! » et, en se débattant, lance un coup de pied dans le bas-ventre d’un des hommes qui le tenaient. A l’instant il est percé de baïonnettes, on le traîne dans le ruisseau, on frappe sur le cadavre, en criant : « C’est un galeux et un monstre qui nous a trahis; la nation demande sa tête pour la montrer au public. » Et l’on invite l’homme qui a reçu le coup de pied à la couper lui-même. Celui-ci, cuisinier sans place, demi-badaud qui est allé à la Bastille pour voir ce qui s’y passait, juge que, puisque tel est l’avis général, l’action est « patriotique » et croit même « mériter une médaille en détrui­sant un monstre ». Avec un sabre qu’on lui prête il frappe sur le cou nu; mais le sabre mal affilé ne coupant point, il tire de sa poche un petit couteau à manche noir, et « comme en sa qualité de cuisinier il sait travailler les viandes », il achève heureusement l’opération. Puis, mettant la tête au bout d’une fourche à trois branches, et accompagné de plus de 200 personnes armées, « sans compter la populace », il se met en marche, et, rue Saint-Honoré, il fait attacher à la tête deux inscrip­tions pour bien indiquer à qui elle était. — La gaieté vient; après avoir défilé dans le Palais-Royal, le cortège arrive sur le Pont-Neuf; devant la statue de Henri IV, on incline trois fois la tête, en lui disant : « Salue ton maître. » C’est la plaisanterie finale; il y en a dans tout triomphe, et, sous le boucher, on voit apparaître le gamin … » (Taine)

    L’Assemblée écouta le récit de cette cam­pagne glorieuse, exigea du roi le retrait de l’armée sous Paris pour donner satisfaction aux héros du 14 juillet; le roi céda (…)

    Le lendemain 15 juillet (il n’y a pas de fête sans lendemain), le cuisinier qui a coupé la tète à M. de Launay apportait au Palais-Royal le cœur enlevé d’un homme massacré sans motif dans la rue, un soldat tenait la tête; le peuple réclame ces trophées, et pendant que le cuisinier soupe, on promène le cœur san­glant sur un bouquet d’oeillets blancs. »

    Merci à EVR.

    Nouvelles de France

  • Xavier Cantat, le compagnon de Cécile Duflot, "fier" d'avoir boycotté le défilé du 14 juillet...

    http://www.leparisien.fr/politique/14-juillet-le-compagnon-de-cecile-duflot-fier-d-avoir-boycotte-le-defile-14-07-2013-2982117.php

     Xavier Cantat est le frère aîné de Bertrand Cantat

  • Marseille ou l'Europride pour personne

    Posté le 13 juillet 2013 à 16h37 | Lien permanent 
     

      

    Echec et bientôt mat pour cette manifestation des lobbies gays qui, bien que véritables coquilles vides n'intéressant personne, avaient pourtant réussi à drainer des subventions très importantes, dont 100 Er000€ de la mairie : 

    ""On a travaillé comme des forcenés pour mettre en place ce village et aujourd'hui nous sommes effondrés parce qu'il n'y a pas de monde. La communication qui devait être assurée par la Lesbian and gay pride n'a pas été faite et c'est une honte", a estimé Stany Marle, le responsable de la production sur la plage du Prado sud, par ailleurs directeur de l'association Marseille médiateur, au lendemain des deux premières soirées où l'on n'a pas dénombré plus de 500 personnes.

    Alors que le village peut en accueillir plus de 10 000. "Nous sommes des exécutants loyaux mais eux ne l'ont pas été parce qu'ils n'ont pas fait leur boulot", ajoute-t-il en espérant "avoir perdu une bataille mais pas la guerre." Un DJ de la scène marseillaise bien renseigné tient une explication : "ça ne se remplit pas et ils sont sur les nerfs, mais tout a été fait à la va-vite. Il y a en plus une concurrence sur les plages avec d'autres fêtes." Organisé sur les mêmes dates à proximité immédiate du Beach club, l'événement "Marseille on the beach", pourtant payant, attire les foules".

    Les artistes fuient cette mascarade pour ne pas être assimilés à ce fiasco : 

    "Surprise totale hier après-midi lorsque le festival Get a Kool, greffé à l'Europride au Dock des suds, annonce l'annulation de sa troisième soirée lors de laquelle devaient se produire des artistes comme Miss Kittin, Olivier Huntemann ou encore Chloé".

    Et encore

    "le concert de Sheila à Marseille, initialement prévu le 18 juillet, est annulé pour cause de "fantaisie des organisateurs".

    La Friche où se tient cette Europride porte bien son nom (photos de ce vide abyssal) : 

    "Hier en début d'après-midi, la Friche de la Belle-de-Mai était déserte."Il n'y a personne depuis le début", se plaignaient les commerçants présents sur le site. À l'espace de restauration, seuls deux stands étaient ouverts sur les sept emplacements prévus.

    Et les quelques visiteurs présents se situaient à la "Cartonnerie", le hangar dédié aux expositions, où cinq personnes osaient s'aventurer au milieu des photographies et tableaux".

    Soulignons l'investissement et la vigilance de la MPT13 qui fait un énorme travail de terrain en multipliant chaque jour les tractages informatifs (cliquez pour agrandir) : 

    Eup

    Lahire

    Le Salon Beige

  • Drame de Brétigny : la caste politico-médiatique tente de minimiser les exactions des racailles pillant des cadavres

     

    Suite au dramatique déraillement d’un train en gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne), très rapidement la presse mainstream se faisait l’écho d’informations alarmantes sur les réactions de « jeunes » : téléphones portables volés aux gens du Samu, caillassage des secouristes, tentative de forcer le périmètre de sécurité établi par les forces de l’ordre.

    Mais il y a plus grave encore. Dans la soirée, Europe 1 nous livrait un témoignage direct et non anonyme, celui de Nathalie Michel, du syndicat de police Alliance pour l’Essonne : « A 17 heures 30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres », s’insurge la syndicaliste. Les policiers décident alors de les chasser, mais les jeunes n’entendent pas se laisser faire. Ils ripostent aux forces de l’ordre en leur jetant des pierres, ainsi qu’aux pompiers en cours d’intervention. Pour s’en débarrasser, les secours sont contraints de demander des renforts. « C’est inqualifiable, monstrueux », ajoute encore Nathalie Michel, écœurée.

    http://www.youtube.com/watch?v=sT3PUl3zjO4

    Information confirmée par Le Monde : « Tout de suite après l’accident, selon des témoins, une trentaine de jeunes venus des environs ont tenté de voler des effets des victimes, sacs, portables ou autres »

    Dès lors, la machine politico-médiatique se met en branle pour étouffer l’affaire. Dans ses infos du samedi matin, plus de trace sur Europe 1 sur le témoignage de la syndicaliste policière. Et dès hier soir, un journaliste de BFMTV minimise les fait dans un incroyable pathos : « incidents mineurs », « quelques jeunes auraient récupéré des objets [sic !] à l’intérieur du train ». Il reconnaît tout de même qu’il y a eu vol d’objets et de bagages…

     

    http://rutube.ru/video/1a65a14ae51a64fb6e6c073fdb84d0ba/

    Naturellement, silence radio du ministre de l’Intérieur sur cette monstrueuse affaire. Quant au ministre des Transports Frédéric Cuvellier, il indique ce matin qu’il n’a pas eu connaissance « de victimes dépouillées ». Curieux bottage en touche : il ne nie pas les pillages, il dit seulement qu’il n’en a pas entendu parler.

    Frédéric Cuvellier contredit ainsi le témoignage de la policière syndicaliste, mais aussi celui du député PS Jérôme Guedj qui a « twitté » : « enfin, de sombres crétins inhumains ont manifestement profité de la cohue pour voler téléphone(s) portable(s) et des bagages ».

    L’affaire est donc entendue : même s’il y a pillage des cadavres et des blessés, il ne faut surtout pas le dire sous le régime de la Hollandie. Mais nous sommes habités à ses mensonges d’Etat depuis le montage de l’affaire « Carpentras-bis » concernant le décès de Clément Méric…

    Il ne faut surtout pas dénoncer l’ensauvagement de hyènes innommables, puisqu’elles constituent un réservoir électoral pour le Parti socialiste et que dénoncer ces charognards pourrait porter préjudice au pouvoir exécutif impuissant devant la canaille.

    La police continuera-t-elle à se faire complice de ce rôle d’outil de répression de la liberté d’expression et de la manifestation de la vérité ? Il est à espérer que non, puisque même des commissaires de police s’insurgent aujourd’hui contre le rôle de « police politique » (sic !) et de « police d’opinion » (re-sic !) que tente de leur faire jouer le ministre de l’Intérieur.

    Roger Heurtebise

     

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Communiqué du Front National à la suite de la catastrophe de Brétigny-sur-Orge

    Communiqués / 13 juillet 2013

    Le Front National exprime toute sa solidarité aux victimes de l’effroyable catastrophe de Brétigny-sur-Orge.

    Il présente ses condoléances aux proches des personnes qui y ont perdu la vie et souhaite le meilleur rétablissement possible aux nombreux blessés.

    Il salue l’action remarquable des services de secours, des unités médicales, des services de l’Etat et des forces de l’ordre qui, dans des conditions difficiles, sont le visage de la solidarité nationale.

    Il attend les résultats de l’enquête qui détermineront les causes du déraillement.

    Il ne peut enfin que déplorer et condamner très fermement les comportements abjects et immoraux de voyous qui, jusque dans l’horreur d’un tel drame, continuent leur sale besogne : voler, piller et faire mal. Ces voyous méritent des condamnations particulièrement fermes.

  • Victimes de Brétigny-sur-Orge dépouillées par des "jeunes" des cités: le sinistre des Transports minimise...

    Lire: http://www.ndf.fr/article-2/13-07-2013/victimes-de-bretigny-sur-orge-depouillees-par-des-jeunes-des-cites-le-sinistre-des-transports-minimise

     + VIDEO

     

    A noter que les jeunes sont englobés dans le terme "badauds" par les médias officiels !

  • Pillards à Brétigny : le ministre des transports Frédéric Cuvillier dément ainsi que des secouristes de la Croix-Rouge: négationnisme officiel !


    Brétigny policière par Europe1fr

    Témoignage d'une policière qui a vu les scènes de pillage par une bande de jeunes sur les morts et les blessés

     

    Tweets de Lionnel LUCA:

      

    Lionnel Luca @lionnelluca06

     

    Député de la Nation Vice-pdt du Conseil Général des Alpes-Maritimes

     

    http://www.lionnel-luca.fr

     

     
     

                               

         

     

     

  • 14 juillet : fête nationale ou fête maçonnique?

     

    « Après un oubli de près de 100 ans depuis la prise de la Bastille, le 14 juillet devient fête Nationale en 1880, sous la IIIème République.

    La République toute nouvelle se cherche des symboles. Là encore, comme souvent en cette période de notre Histoire Nationale, l’action des francs-maçons sera importante.

    C’est le frère Benjamain Raspail, député de la Seine pour la gauche républicaine (fils aîné de François-Vincent Raspail, candidat malheureux à la présidence de la République en 1848, carbonaro et franc-maçon au sein de la célèbre loge parisienne Les Amis de la Vérité), qui dépose le 21 mai 1880 la loi faisant du 14 juillet la fête nationale. Ce projet de loi, signé par 64 députés, sera adopté par l’Assemblée le 8 juin et par le Sénat le 29 juin. Elle sera promulguée le 6 juillet 1880.

    Mais qu’est-ce qu’on commémore exactement? Cette loi a eu bien du mal à passer car nombre de députés ne souhaitaient pas commémorer la prise de la Bastille du 14 juillet 1789, épisode historique jugé trop violent. Le frère Raspail propose donc de commémorer… le 14 juillet 1790, jour de la Fête de la Fédération, 1er anniversaire de la prise de la Bastille.

    (…)

    La décision officielle est prise en juin 1790 par l’Assemblée Nationale.

    Le 14 juillet 1790 ce sont 14 000 fédérés venus de province (chaque garde nationale a été chargée de choisir parmi ses membres 2 hommes sur 100), rangés par départements sous 83 bannières, qui partent de l’emplacement de la Bastille, empruntent les rues Saint-Antoine, Saint-Denis, Saint-Honoré et se rendent par le Cours-La-Reine par le pont de bateaux qui leur permet d’accéder au Champ de Mars. Ils sont plus de 60 000 fédérés avec ceux de Paris qui les ont rejoint.

    Plus de 400 000 parisiens assistent à la Fête.

    C’est le frère La Fayette qui le premier jure fidélité à la Constitution et au Roi. Louis XVI lui-même fait ensuite serment de respecter la Constitution.

    Puis une grande Messe est célébrée par l’Evêque constitutionnel d’Autun, le frère Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord.

    Enfin le « Te Deum de la Fraternité » pour 3 voix, chœur d’homme et orchestre d’harmonie, composé et dirigé par le frère François-Joseph Gossec (membre de la Loge « La Réunion des Arts » à l’Orient de Paris) est joué devant la foule.

    Pour la première fois le drapeau de la jeune République américaine est déployé hors des Etats-Unis. Une délégation menée par le frère John Paul Jones (fondateur de la Marine Américaine) et par le frère Thomas Paine (qui sera plus tard élu à la Convention) se joint au cortège des fédérés. Elle comprend également James Swan, Georges Howell, Benjamin Jarvis, Samuel Blackden, Joël Barlow, William Henry Vernon. Elle arrive au Champ de Mars avec son drapeau et est acclamée par la foule des patriotes.

    C’est pourquoi en 1880, la jeune République veut retrouver autour de ses valeurs cet élan populaire et choisit de célébrer la Fête de la Fédération. Elle a d’ailleurs fait les choses en grand. Le ministre de l’Intérieur prescrit aux préfets de veiller à ce que cette journée « soit célébrée avec autant d’éclat que le comportent les ressources locales ».

    Un défilé militaire est organisé sur l’hippodrome de Longchamp devant 300 000 spectateurs, en présence du frère Président de la République Jules Grévy. Il s’agit de montrer le redressement de l’armée française après la défaite contre la Prusse en 1870.

    Ce défilé militaire, toujours en vigueur aujourd’hui le 14 juillet, s’inspire aussi du défilé des gardes fédérés de 1790.

    En 1880 on inaugure également le monument surmonté de la statue de la place de la République, et partout sont donnés concerts et feux d’artifices. « La colonne de Juillet » qui surplombe la place de la Bastille, elle, ne se réfère pas au 14 juillet 1789. Elle porte le nom des victimes des journées révolutionnaire de juillet 1830, les « Trois glorieuses ». »

    Source

     

    Contre-info.com

     
  • Catastophe de Brétigny: des jeunes venus dépouiller les morts et les blessés - 13/07/13

    7763085085_un-train-a-deraille-a-bretigny-sur-orge.jpg Brétign y.jpg

    Alors que les secours tentaient de porter secours aux victimes du déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge, dans lequel au moins six personnes ont trouvé la mort, ils ont dû faire face à des jets de pierres de la part d’un petit groupe de jeunes. A l’origine de l’agression, des pillards, venus voler sur les corps des morts et des blessés ce qu’ils pouvaient emporter.

    Nathalie Michel, du syndicat de police Alliance, raconte la scène au micro d’Europe 1 :

    "A 17 heures 30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres", s’insurge la syndicaliste.

    Les policiers décident alors de les chasser, mais les jeunes n’entendent pas se laisser faire. Ils ripostent aux forces de l’ordre en leur jetant des pierres, ainsi qu’aux pompiers en cours d’intervention. Pour s’en débarrasser, les secours sont contraints de demander des renforts.

    Au moins un suspect a été arrêté pour vol, mais les autres ont peu de chances d’être retrouvés : une partie des caméras de la gare était hors-service après l’accident, et les policiers présents sur place travaillaient surtout à secourir les victimes.

    Sources : Europe1 / Le Journal du Siècle

     

    NdB: Ces charognards n'ont peur que la force armée. Où sont les CRS et leurs gazeuses ? 

  • France, la patrie du 2 poids, 2 mesures

     

    Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

     Nombreux sont les Français qui s’indignent des scandales politiques à répétition, qu’ils se passent au sommet de l’État – de Stauss-Kahn à Cahuzac, de Woerth à Sarkozy, de Lagarde à Tapie – ou en région comme dans les Bouches-du-Rhône – d’Andrieux à Guérini, de Ciot à Medvedowsky – ou bien encore des médiocres crises d’ego au sein des partis de gouvernement : présidence de l’UMP, à droite ; limogeage de la Ministre Delphine Batho pour insurbordination budgétaire, à gauche.

    La cadence d’apparition sur la scène publique des affaires, scandales et autres joyeusetés judiciaires et/ou morales semble s’accélérer depuis l’élection de François Hollande à la Présidence de la Répu­blique… Sans compter les anciennes enquêtes toujours en cours, comme celle des rétrocommissions sur les ventes par la France de frégates à l’Arabie Saoudite et de sous-marins au Pakistan…

    Car une affaire médiatique en chassant une autre, constatons que chacune d’elle, après avoir défrayé la chronique et embarrassé plus ou moins longuement son ou ses protagoniste(s), aboutit rarement aux condamnations attendues…

    Il a suffit, outre-Atlantique, à l’inculpé de viol Dominique Strauss-Kahn de payer pour que cessent les poursuites à son encontre… et en France, au même inculpé – cette fois pour des parties fines avec professionnelles rémunérées – de ne même pas attendre que soit prononcé le non-lieu requis par le Parquet de Lille, pour se rendre à une invitation à prendre la parole au Sénat.

    Tout comme sont également attendus les non-lieux en l’absence de charges requis par le parquet de Bordeaux dans l’affaire Betten­court, en faveur cette fois de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, de l’ex-ministre Éric Woerth, ainsi que de l’homme d’affaires Stéphane Courbit et de l’avocat Pascal Wilhelm…

    Quant à Jérôme Cahuzac, lui, rappelons qu’il n’est finalement mis en examen que pour blanchiment de fraude fiscale, mais comme il n’a pas menti à ce propos devant les juges chargés de la procédure, il risque tout au plus une amende, alors que pour son crime le plus grave – avoir ridiculisé par son mensonge les élus de la Nation alors qu’il occupait le poste prestigieux de Ministre du Budget, donc d’avoir bafoué une des plus hautes institutions de la République – aucune sanction n’est prévue.

    Et dans le même temps, sont jetés en prison des gosses à peine majeurs, tel Nicolas de la Manif pour tous, coupable d’avoir manifesté contre François Hollande et refusé de se soumettre à un test de salive… ou Esteban, agressé avec sa compagne, comme cela ne fait désormais plus aucun doute, par une bande de nervis gauchistes et dont le seul tort, pour s’être défendu, est d’avoir donné un coup de poing mortel dans la confusion de la bagarre…

    Et dans le même temps encore, la classe politique européenne vient de lever l’immunitée parlementaire de Marine Le Pen pour sa décla­ration comparant les prières de rues des islamistes en France à l’occupation allemande…

    Que craint-on ? Que des Français en arrivent à considérer que les défilés au pas de l’oie de la Wehrmacht étaient somme toute moins dérangeants – et peut-être plus esthétiques aussi – que les culs en l’air des barbus fanatiques au milieu des chaussées de leur pays ?

    Horresco referens ! Il serait à l’évidence citoyennement inadmissible que les avis soient de plus en plus partagés sur la question… plus de soixante-dix ans plus tard !

    Il est en revanche moralement admissible que le Sénat français refuse, de son côté, la levée de l’immunité parlementaire de Serge Dassault dans le cadre d’une enquête sur une affaire d’achats de voix et une autre de tentatives d’homicides qui pourraient être liées.

    Tout un chacun peut ainsi juger de la gravité du crime de Madame Le Pen, à l’évidence sans commune mesure avec les soupçons de facéties politiciennes pesant sur l’ancien maire de Corbeil-Essonnes… du moins pour la Justice française.

    L’indignation populaire va-t-elle rester indéfiniment un tonneau des Danaïdes que rien, ni personne, ne pourra décidément jamais faire déborder ou sommes-nous, tout de même, à la veille d’un bouleversement… à force de le craindre… ou de le souhaiter… suivant que l’on soit puissant élu ou misérable citoyen !

     (Cette chronique a été publiée dans le numéro 32 de la revue Synthèse nationale).

     © Philippe Randa est écrivain, chroniqueur politique et éditeur (www.francephi.com). Ses chroniques sont libres de reproduction à la seule condition que soit indiquée leurs origines, c’est-à-dire le site www.francephi.com, « Espace Philippe Randa ».

  • Le « Moyen Age » n’a jamais cru que la Terre était plate !

    12 juillet 2013

    « Présentation : Christophe Colomb n’a jamais eu à démontrer que la Terre était ronde. Car tout le monde le savait déjà. Et depuis longtemps ! C’est ce que confirme l’ouvrage d’un historien américain, Jeffrey B. Russel, qui met à mal bon nombre d’idées reçues sur les géographes du Moyen Age et de l’Antiquité. Il commence par constater que les auteurs médiévaux affirment la rotondité de la Terre, comme le faisait Platon. Il examine ensuite l’apparition du mythe moderne selon lequel le Moyen-Age croyait la Terre plate. En fait ce sont des évolutionnistes libéraux américains qui ont créé de toutes pièces ce mythe aujourd’hui repris dans la presse et dans les manuels scolaires.

    En cette année anniversaire de la découverte du Nouveau Monde, c’est un véritable déluge de publications qui s’abat sur nous ; à cette occasion, nombre d’idées reçues sont remises en question. L’une d’elles, selon laquelle les contemporains de Christophe Colomb croyaient que la Terre était plate, a trouvé son historien, Jeffrey B. Russel, dans un petit ouvrage décapant qui vient d’être publié aux Etats-Unis.

    Considérons le cas de Christophe Colomb : les historiens ont depuis longtemps dénoncé la fable selon laquelle il aurait dû affronter les foudres des docteurs de Salamanque pour avoir osé prétendre que la Terre était ronde – sans quoi le passage des Indes par l’ouest était inconcevable. Certes, le découvreur a eu ses détracteurs et ses opposants, mais leurs arguments tenaient aux probabilités d’échec de l’entreprise.
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