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GAELLE MANN - Page 970

  • Communiqué de presse de Marine Le Pen suite aux accusations de Mediapart

    18 juillet 2013

    A la suite des accusations diffamatoires portées par Mediapart à l’encontre de Marine Le Pen, celle-ci engage une procédure en diffamation.

    Elle tient également à informer qu’aucune situation de conflit d’intérêt n’existe dans les contrats la liant à ses assistants parlementaires.

    Si le Parlement européen s’est interrogé par courrier il y a plus d’un an, les réponses apportées à ses interrogations en septembre 2012 ont pleinement rassuré le Parlement européen sur l’absence totale de conflit d’intérêt.

    Le Parlement n’a d’ailleurs pas donné suite après les informations fournies.

    Les accusations de Mediapart sont évidemment calomnieuses mais pas très étonnantes lorsque l’on sait que, contre le Front National, tout est bon.

     

  • Marion Maréchal Le Pen invitée au Carré Parisien le 15 juillet

     

    Lundi 15 juillet 2013, Marion Maréchal-Le Pen était invitée au « Carré Parisien » pour une soirée débat ayant pour thème « Engagés à 20 ans ». Il s’agissait d’expliciter les raisons pour lesquelles la jeunesse doit s’engager en politique. Marion Maréchal-Le Pen y était naturellement conviée. Elle a pu développer sa vision de l’investissement politique de la jeunesse, au travers de son parcours, son analyse et le développement de son projet au service de la France.

  • Etiquetage de la viande en fontion du type d’abattage : réactions hystériques des sionistes

     

    Sachez que si vous êtes favorables à la proposition de mentionner systématiquement le type d’abattage sur l’étiquette des produits carnés, vous êtes antisémites !

    Selon le Monde : Sylvie Goy-Chavent, la sénatrice (UDI) de l’Ain nommée rapporteuse de la mission commune d’information sur la filière viande, a été en effet l’objet d’insultes à la suite de la publication, mercredi 17 juillet, de son rapport.[...]
    Samedi 13 juillet, quelques jours avant la diffusion officielle du rapport, un article intitulé « Abattage rituel : interdit en Pologne, une sénatrice antisémite (?) tente de l’interdire en France« , était publié par le webzine d’opinion israélien JSSNews.com (NDLR : site ultra-sioniste)

    En conclusion de l’article de JSSNews on peut lire :

    « Sylvie Goy-Chavent est aussi celle qui veut forcer la France à étiqueter les produits fabriqués par des juifs israéliens qui vivent en Judée et en Samarie. Mais non, elle n’est pas concentrée sur Israël. Et non, elle n’est pas antisémite. »

    En résumé : si on n’obéit pas aux moindres claquement de doigts du lobby juif, on est antisémite.

    Exemple de mots doux trouvés dans les commentaires de l’article :

    « Moi je propose que l’on égorge Sylvie Goy-Chavent pour voir combien de temps elle va rester consciente… », « que la pétasse Sylvie Goy-Chavent, une blonde (pas de sa faute) sache qu’il existe un point au niveau de la carotide où l’animal est insensible… »

    Mais le meilleur est pour la fin. Joël Mergui, président du Consistoire central israélite de France, déclare à propos de ce débat :

    Je peux vous garantir que depuis quelques années, en raison de ce débat, il y a des Juifs qui quittent la France. … La laïcité devient de plus en plus rigide et ceux qui sont les plus pratiquants et détiennent une identité s’en vont…

     

    Merci à Outcher

     

    Contre-info.. com

  • L'ancien chef de cabinet de Juppé rejoint Marine Le Pen

                                                                                                

     18/07/2013 – 17h30
    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) –
    Selon une information parue dans les colonnes du Point du 18 juillet, le vice-président du FN, Florian Philippot (ancien chevènementiste) ne sera plus le seul énarque au sein du Front national.

     

    Il sera rejoint en septembre, au sein de « l’équipe rapprochée de Marine Le Pen », par Philippe Martel. Ce dernier n’est pas un inconnu. Agé de 57 ans, il a été chef de cabinet… d’Alain Juppé au ministère des Affaires étrangères de 1993 à 1995, et est l’ancien responsable des relations internationales du RPR.

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  • Brétigny-sur-Orge : des scènes de vol et de caillassage ont bien eu lieu

                 

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    Le Point.fr s'est procuré un document confidentiel de la direction centrale des CRS qui fait état de jets de projectiles et de vols sur les victimes du déraillement du train.

    A-t-on voulu cacher une réalité trop dérangeante ? Contrairement à la version officielle véhiculée par les autorités politiques, policières et sanitaires, il y a bel et bien eu des scènes de vol et de caillassage après le déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge. Le Point s'est procuré le rapport de synthèse des affaires marquantes du 10 au 16 juillet de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) dans lequel une page est consacrée à l'opération de sécurisation mise en place après la catastrophe ferroviaire par deux sections de la CRS 37-Strasbourg venues du cantonnement de Meaux. 

    Or le compte rendu des forces de l'ordre est sans ambiguïté. "À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles", note la synthèse de la DCCRS. Un constat fort différent de celui dressé par les responsables de la Croix-Rouge et du Samu qui affirmaient n'avoir constaté "aucune agression et avoir travaillé de façon tout-à-fait normale" en gare de Brétigny. Pourtant le rapport de synthèse de la DCCRS va plus loin : "Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes." Et la note d'enfoncer le clou : "Les fonctionnaires protégeaient ensuite les lieux de l'accident pour favoriser le travail des enquêteurs et des techniciens et sécuriser la visite des nombreuses autorités (président de la République, Premier ministre, ministre de l'Intérieur, ministre des Transports, ministre de la Santé...).

    Démentis officiels

    À la lecture de la synthèse, on apprend qu'un dispositif de sécurité très important a été déployé alors sur place. Ainsi pour assurer des escortes d'ambulances, un équipage motocycliste de la CRS autoroutière Sud-Ile-de-France était également réquisitionné. Par ailleurs, deux autres sections de la compagnie 37, employées sur le département de la Seine-et-Marne ainsi que les fonctionnaires de la CRS 51-Orléans, utilisées sur le département de la Seine-Saint-Denis étaient appelées en renfort.

    Pourtant, ministres et sous-préfet présents sur place ont démenti à l'unisson tout caillassage sur les forces de secours et vol sur les victimes. Ainsi, sur i>Télé, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier déclarait ne pas avoir eu connaissance "de victimes dépouillées", faisant simplement état "d'actes isolés" et "de pompiers qui par petits groupes ont été accueillis de façon un peu rude". Le sous-préfet d'Estampes, Ghyslain Chatel, démentait pour sa part que les secours aient fait l'objet de jets de projectiles, à l'exception "d'un camion de pompiers, qui pourrait avoir été visé mais pas touché".

    Enquêtes

    Contacté jeudi par Le Point.fr, Luc-Didier Mazoyer, le directeur départemental de la sécurité publique de l'Essonne, persiste et signe : "J'étais sur place, il y a certes eu des tensions pour repousser des individus, mais je n'ai vu ni scène de pillages ni violences urbaines. J'ai déclenché une enquête pour en avoir le coeur net." Le parquet d'Évry a ouvert une enquête préliminaire pour vol en réunion avec violences, à la suite des incidents qui se sont déroulés en marge de la catastrophe. Les autorités avaient seulement reconnu qu'un urgentiste du Samu s'était fait voler son portable. Dans le cadre de cette affaire, cinq personnes ont été placées en garde à vue puis relâchées, les perquisitions à leurs domiciles n'ayant rien donné. Eux-mêmes ont nié toute participation à ces vols. L'un d'eux a néanmoins été désigné comme l'auteur du vol du téléphone par sa victime. Selon le parquet d'Évry, aucune plainte pour d'autres vols n'aurait été à ce jour déposée.

    Nos révélations ne vont pas manquer de relancer la polémique. En effet, dès le vendredi, le syndicat de police Alliance avait fait état de scènes de pillage avec un groupe de jeunes qui "aurait dépouillé les victimes et notamment les premiers cadavres". Des déclarations démenties avec virulence par de nombreux responsables socialistes ou ministres du gouvernement. Le syndicat avait alors quelque peu fait machine arrière. Aujourd'hui, la synthèse de la DCCRS, même si elle ne mentionne pas le terme de cadavre, ni celui de pillage, semble bel et bien donner raison au syndicat.

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    Source

    WikiSrike - 18/07/13

  • [Cinéma] projection exceptionnelle du film « La Brière » à Piriac (Loire-Atlantique)

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    18/07/2013 – 11h10
    SAINT-NAZAIRE (NOVOpress Breizh) –
    La maison du Patrimoine de Piriac-sur-Mer (44) organise le dimanche 21 juillet à 21 heures (salle Méniscoul, jardin de la bibliothèque)  une projection exceptionnelle du film « La Brière » de Léon Poirier. Réalisé en 1925 d’après le célèbre roman d’Alphonse de Châteaubriant, le film  – muet – est accompagné d’une musique du compositeur breton Paul Ladmirault.

     

    L’histoire : à la fin du XIXème siècle, Aoustin, garde-chasse du marais et des tourbières, refuse l’exode des Briérons vers les forges de Trignac. Trahi par sa fille qui veut épouser un vannier qui n’est pas du marais, notre héros la poussera au suicide et pardonnera à son séducteur, prenant la stature d’un héros de Dostoïevski. Pour l’Abbé Maugendre, biographe de Châteaubriant : « Aoustin a les traits de Jacquou le Croquant… plus sollicité par le grand Pan que par le dieu chrétien ».

    Châteaubriant avait commencé à écrire La Brière en 1913, mais le manuscrit disparut lors de la Grande guerre où l’écrivain resta mobilisé quatre ans. En 1919, Châteaubriant se remit à l’ouvrage, plongeant dans l’atmosphère ensorcelante du grand marais breton. Comme dans les récits panthéistes de Giono, le véritable héros du roman c’est la nature, avec les paysages qui finissent par l’emporter sur les personnages.

    La Brière reçut en 1923 le grand prix du roman de l’Académie française. La critique unanime – de l’Humanité (« un très beau livre puissant et sombre ») au Figaro (« un curieux et ample roman qui fait songer à Barbey d’Aurevilly ») – salua un chef d’œuvre. « Maintenant ton nom est inscrit dans l’histoire littéraire de France », écrira à l’auteur son ami Romain Rolland.

    Avec plus de 600.000 exemplaires, La Brière connut le plus fort tirage de l’entre-deux-guerres. Réédité sans interruption durant plus de 60 ans, le chef d’œuvre d’Alphonse de Châteaubriant fut illustré notamment par des artistes aussi prestigieux que R-Y Creston et Mathurin Méheut.

    Crédit photo : archives

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  • Marseille 14-Juillet : plusieurs incidents en marge des festivités...

     

    Marseille / Publié le mardi 16 juillet 2013 à 07H47
     

    216 départs de feu ont mobilisé les pompiers une bonne partie de la nuit

    Faits Divers - Justice - Actualités - 14-Juillet : plusieurs incidents en marge des festivités
    Photo P.L.
    Si dans le centre ville la fête a été réussie, dans les quartiers périphériques, les habitants ont passé une mauvaise nuit...
     

    C'est le secret - de Polichinelle - le mieux gardé de la place Félix Baret. Et c'est le même, tous les ans, à la même époque. La communication autour des incidents en marge des festivités du 14-Juillet, une triste et imbécile tradition à Marseille, doit être centralisée par la préfecture de Police qui attend le feu vert du ministère de l'Intérieur pour livrer quelques chiffres.

    "Nous avons tout donné ce matin à la préfecture", prévient le bataillon des marins pompiers, sous-entendant qu'il ne trahirait pas le secret en détaillant ses "chaudes" interventions de la soirée. "Nous croyons savoir que le Préfet veut communiquer lui-même sur le sujet", botte également en touche l'Hôtel de Police, en glissant néanmoins avoir procédé à 12 interpellations entre 22 heures et 3 heures du matin. Mais visiblement, hier soir, du côté de la préfecture, on attendait encore le signal du ministre, "Peut-être demain...", nous confiait-on pour nous inviter à la patience.

    517 interventions en 24h

    Mais comme tout secret, notamment de Polichinelle, il a fini par s'éventer... Alors, en 24 heures, entre 8 heures le 14 juillet et 8 heures le lendemain, le bataillon des marins pompiers de Marseille a comptabilisé 517 interventions, avec un pic entre 22 heures et 3 heures du matin. Les pompiers ont dû éteindre pas moins de 83 feux de broussaille, 54 feux de véhicules et 79 feux de poubelles.

    Une activité, donc, sensiblement identique à celle de l'année dernière mais avec moins de conséquences dramatiques grâce à l'absence de vent... Du côté de Consolat, à Saint-Louis (15e), on a eu tout de même très chaud, avec une voiture enflammée projetée sur le mur de l'école communale et un départ de feu dans la colline voisine.

    Quelque 12 personnes ont été interpellées, notamment pour des incendies volontaires, des violences sur les forces de l'ordre et des jets de pierres et de pétards. Bref, la routine... à laquelle les fonctionnaires de la sécurité publique et les secours sont désormais bien rodés !

     

    La Provence

  • Brétigny-sur-Orge : acte de sabotage confirmé sur la ligne Paris-Limoges

      

    Le 12 juillet, le jour du déraillement à Brétigny-sur-Orge, la SNCF a été confrontée à un acte de malveillance sur la ligne Paris-Limoges. En cause: le démontage d’une "éclisse", le même type de pièce qu’à Brétigny-sur-Orge.

     

    Alors que les enquêtes se poursuivent sur les causes du déraillement d’un train à Brétigny-sur-Orge (Essonne), nous apprenons que la SNCF a été victime, le même jour, d’un acte de malveillance sur le même axe Paris-Limoges, du côté de la gare de triage de Saint-Sulpice Laurière, dans la Haute-Vienne.

    Une locomotive, qui circulait à vitesse réduite et sans tracter de wagons de voyageurs, a déraillé. D’après des techniciens de la SNCF, des éclisses (lourdes pièces d’acier) et des boulons ont été démontés et retrouvés sur le bas-côté. L’acte de malveillance ne fait aucun doute.

    Dans l’affaire de Brétigny-sur-Orge, une éclisse est également à l’origine du drame qui a fait 6 morts et une trentaine de blessés.

    Sources : Youtube / L’Express / Le Journal du Siècle

  • Pesticides Monsanto: 20 écoliers morts en Inde

     

    En Inde les paysans se suicident à cause de la dépendance économique aux fabricants d’OGM et de pesticides (voir ici) et les enfants meurent des récoltes de leurs parents… Bienvenue dans le monde selon Monsanto (reportage complet : ici ).

     

    Contre-info.com

  • Un possible sabotage a fait dérailler une locomotive sur l'axe Paris-Limoges le 12 juillet

    http://www.20minutes.fr/societe/1189733-20130717-autre-deraillement-12-juillet

  • La photo du jour : une femme empêchée de dire son opposition à la loi Taubira sur les Champs

     

    La photo infra prise par Louis Witter montre une policière plaquant sa main sur la bouche d’une manifestante opposée à la loi Taubira pour l’empêcher de crier ses slogans dimanche 14 juillet 2013 sur les Champs :

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    Source.

     

    Nouvelles de France - 17/07/13

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  • Gens du voyage: un maire ferme sa mairie pour protester - 17/07/13

    Le maire de Château-d'Olonne, en Vendée, a décidé ce mercredi de fermer les portes de sa mairie au public, jusqu'à jeudi soir. Jean-Yves Burnaud, veut protester contre la répétition des campements illégaux de gens du voyage.

     
           
  • "Mariage" gay en Angleterre, après le Parlement, Elizabeth II a dit oui

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    http://www.leparisien.fr/international/mariage-gay-en-angleterre-le-parlement-l-adopte-mais-la-reine-doit-signer-17-07-2013-2986725.php

  • La France bien élevée vous emmerde !

     

     

    3-6

    Mais que cherchent au juste ceux qui, sur Boulevard Voltaire, à l’instar d’un Alain de Benoist, raillent, méprisent, minimisent (en faisant mine de le soutenir) le grand mouvement de cette année, et prophétisent sa fin depuis des mois, comme s’ils l’espéraient ?

    Ils l’appellent la manif des bisounours, des cuculs, des neuneus, des benêts, des trop polis, des naïfs, des ravis de la crèche, bref des cathos qui n’ont rien compris. Ils leur font la leçon, expliquant doctement, ah, là, là, que ce n’était pas du tout comme ça qu’il fallait faire, qu’ils s’y sont pris comme des pieds, que d’ailleurs, c’était perdu d’avance, qu’emmanchés comme ils sont, on ne fera jamais rien d’eux, surtout pas une révolution, bref que tout cela n’a servi à rien, que c’était juste la manif pour les nuls. Fermez le ban.

    Je lis, par exemple, que l’on ne fait pas la révolution avec des poussettes. Dois-je rappeler qu’on ne la fait pas non plus sans poussettes ? Car le propre d’une poussette est de voir, à terme, le contenu s’échapper du contenant… pour aller gambader, par exemple, quelque vingt ans plus tard sur les Champs-Élysées vêtu d’un polo rose La Manif pour tous. L’arme fatale du camp catho contre le camp bobo, pour reprendre la terminologie du dernier Causeur en kiosque, a été sa jeunesse, en nombre, que personne n’avait vu venir, sans soupçonner, bizarrement, que l’accueil de la vie prôné par l’Église à rebours de la société depuis des dizaines d’années finirait par porter ses fruits démographiques. Les cortèges de La Manif pour tous étaient peuplés de familles nombreuses, cela n’a échappé à personne. Les contempteurs de La Manif pour tous sur ce site lui reprochent souvent, à trop s’occuper du mariage gay, de ne pas voir « le grand remplacement ». Et pourtant, quelle meilleure façon, quelle façon plus vitale, plus féconde que bien des longs discours, d’œuvrer contre celui-ci, que ces petits enfants ?

    Ensuite, s’apitoyer sur le sort de Nicolas qui a fait trois semaines de taule serait bien ridicule. Cette bande de chochottes ! La prison est une promenade de santé, sans jeu de mots, une « expérience », a dit Ségolène Royal, avec le même sourire condescendant que certains sur ce site, et ce sont ceux qui n’en ont jamais fait qui en parlent le mieux. Quand Nicolas se réveillait dans sa cellule de Fleury-Mérogis, quand certains passaient la nuit en garde à vue, d’autres dormaient benoîtement dans leur petit lit blanc.

    Oui, je me prends à me le demander, quel objectif poursuivent donc ces contributeurs qui affirment — du bout des lèvres — se réjouir de ce mouvement sans précédent, mais jettent sur lui leurs critiques asséchantes comme du sable pour éteindre le foyer ?

    S’ils savent tout mieux que personne depuis le début, que ne font-ils œuvre de pédagogie par une analyse constructive et en renforçant leurs rangs, plutôt que rester à l’écart pour mieux les écraser de leur supériorité distanciée empreinte de désespérance ?

    Ne craignent-ils pas que cette France qu’ils ont décrétée consubstantiellement niaise, impropre par nature au service, finisse, malgré toute sa bonne éducation, par s’asseoir sur le bord du chemin pour leur demander des comptes : super, les gars, les éminences grises, les inspecteurs des travaux finis plus malins que les autres ; ben maintenant, on vous regarde : où se cache donc le million de gens que vous avez réussi à faire descendre dans la rue, la jeunesse (mal élevée, forcément, pour être efficace) rentrée en résistance qui harcèle le gouvernement, sans craindre l’opprobre pour défendre ses idées ? En plus d’être gnangnan, cette France-là doit être myope, hein, car elle a beau chercher, elle n’arrive pas à les voir, même en remontant loin en arrière. On ne fait peut-être pas la révolution avec la France bien élevée, on ne la fait pas non plus avec la France des éteignoirs et des bonnets de nuit.

    Je ne sais pas, encore une fois, quel objectif poursuivent ces contributeurs, mais je sais que ce n’est pas celui de l’unité, de l’unité pour mener sur tous les fronts le combat de civilisation dans lequel la France — bien élevée ou non — est engagée.

    Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire

     

    ALTERMEDIA INFO

     

  • Le triste anniversaire de l’exécution de la famille Romanov

          

     

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 la famille impériale était assassinée à Ékaterinbourg – l’empereur Nicolas II, sa femme, ses cinq enfants et les domestiques. Bien que le massacre ait eu lieu il y a 95 ans, il continue de susciter l’intérêt du grand public russe et européen qui s’efforce de le reconsidérer et de le comprendre.

     Des recherches controversées, rejetées par la majorité des historiens et des scientifiques, remettent pourtant en cause l’exécution de la famille impériale. La responsabilité de la décision pourrait incomber soit à Lénine, soit à Sverdlov, soit aux autorités locales. Aucune théorie ne peut être prouvée en raison de l’absence de documents.

     « L’Armée blanche portait le drapeau des Romanov, les monarchistes russes espérant le retour au pouvoir de la dynastie. Quand aux bolcheviques, ils croyaient changer la face de la Russie grâce à l’exécution de la famille impériale. Pourtant, le massacre n’a pas eu d’impact considérable sur la situation dans le pays. La pression des Armées blanches sur les faubourgs d’Ékaterinbourg a accéléré le cours des événements. Il n’y a pas eu de procès. Ainsi, l’impartialité de la décision est contestable, notamment parce que les enfants ont aussi été exécutés», relate l’écrivain et historien russe Alexeï Chichov.

     La personnalité même de Nicolas II est discutable. Certains historiens affirment que la Russie a connu un essor dans le domaine économique et sociopolitique, malgré la faiblesse de caractère de l’empereur. C’est le règne doux qui a sans doute mené la Russie aux révolutions. Pourtant, l’historien russe Leonid Katsva n’est pas d’accord.

     « En réalité, Nicolas II est connu pour « son humilité, sa patience et sa douceur ». Pourtant, cela ne veut pas dire qu’il est responsable des multiples révolutions qui se sont suivies l’une après l’autre en Russie à cette époque. Il a succédé au tsar puissant Alexandre III, dont le règne était très calme et paisible. Nicolas II a dû recueillir les fruits du règne de son prédécesseur. »

     Nicolas II a abdiqué après la révolution de 1917, peu avant sa mort. Au début de l’année 1918 les bolcheviques envisageaient la possibilité d’organiser un procès contre le tsar. C’est la raison pour laquelle la famille impériale a été transférée à Tobolsk et après à Ékaterinbourg. Après avoir passé 78 jours dans la cave de la maison Ipatiev, les derniers Romanov ont été exécutés.

     En 2013, ce sont des églises et des chapelles qui se dressent sur ces anciennes places mortuaires, et le triste anniversaire est comme sublimé par une autre commémoration, celle des 400 ans de la naissance de la dynastie Romanov, célébrée avec faste dans tout le pays ainsi que partout dans le monde.

     
     
    La Voix de la Russie
     
  • Autorisation de la recherche sur l'embryon: la primauté de la science et du marché sur l’humain

     

     
    16 juillet 2013 

    Communiqué de Presse de Marion Le Pen – Maréchal

    Autorisation de la recherche sur l’embryon: la primauté de la science et du marché sur l’humain

    L’Assemblée nationale s’est prononcée aujourd’hui en faveur d’une proposition de loi radicale de gauche et soutenue par le Gouvernement concernant la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires. Ce texte majeur modifie la loi de 2004 en passant d’une interdiction de principe avec dérogation à une autorisation de principe assortie de conditions plus souples.

    Le débat a eu lieu en catimini, en quelques heures à peine et à l’insu des Français. Non content de ne pas respecter la loi de 2011 prévoyant un débat public sous forme d’états généraux pour les réformes éthiques, la ministre a demandé l’application de la procédure de « réserve des votes » empêchant ainsi les députés d’amender la proposition afin d’accélérer le débat.

    Par ce texte, l’humanité de l’embryon est niée par principe, l’humain en devenir sera réduit à l’état de matériau d’expérimentation au nom de la compétitivité scientifique. Et ce, alors même que l’utilisation des cellules souches adultes et du cordon ombilical sont à l’origine de la majeure partie des avancées scientifiques et qu’une solution alternative a été découverte par le chercheur japonais Yamanaka grâce aux cellules souches dites IPS.

    De surcroit, le texte a supprimé une disposition de la loi de 2011 prévoyant que les alternatives aux recherches sur l’embryon humain et conformes à l’éthique doivent être favorisées.

    Cette proposition est d’autant plus étonnante qu’une directive européenne de 2010 fixe comme objectif le remplacement total des procédures scientifiques appliquées aux animaux « sous forme embryonnaire ou fœtale » par des méthodes alternatives. Demain l’embryon humain vaudra moins que celui de la baleine…

    On peut s’étonner de la détermination du Gouvernement quand de nombreux chercheurs, comme le professeur Ménasché, affirment que l’ancien régime ne les empêchait pas de mener à bien leur recherche mais faisait obstacle aux investissements privés dans ce secteur…

    Pour toutes ces raisons, Marion Maréchal-Le Pen a voté contre ce texte et cosigné avec Jacques Bompard un amendement interdisant toute recherche sur l’embryon humain.

     

    NdB: Si l'embryon n'a pas de conscience, nous, nous en avons une !

  • Israël déçu par l'interdiction de l'abattage rituel en Pologne

    VIDEO:   http://fr.euronews.com/2013/07/16/israel-decu-par-l-interdiction-de-l-abattage-rituel-en-pologne/

  • Brétigny-sur-Orge : le caillassage et les vols sur des cadavres confirmés. Ce n'était pas une rumeur !

     

    L’information est sortie en début de soirée le vendredi 12 juillet de manière spontanée, après la catastrophe Brétigny-sur-Orge qui a causé la mort de six personnes et fait 62 blessés dont six dans un état grave : des cadavres et des blessés, des victimes de la catastrophe ferroviaire auraient été volés et les secours auraient été attaqués violemment.

    Le lendemain, les autorités d’État comme le service du Ministre des transports et les médias minimisaient les faits, allant même dire que cela n’était qu’une rumeur.

    Nous avons contacté le syndicat Alliance de la police et parlé à son secrétaire général adjoint, Frédéric Lagache, qui lui, au stade de l’enquête, confirme bien des vols sur des blessés et des cadavres, du caillassage et de la violence urbaine.

    Vols sur cadavres et blessés avec caillassage.

    Les médias, depuis le témoignage d’une syndicaliste d’Alliance, s’efforcent de taire la véracité des faits en disant qu’il ne s’agit que d’une rumeur selon laquelle les secours et la police aient dû essuyer des caillassages lors de leur intervention sur le site de la catastrophe. De nombreux lecteurs ont des doutes quant à ce témoignage du syndicat Alliance car les responsables politiques relayés par la majorité des médias se contentent de tuer la véracité des événements dans l’œuf. On ne sait plus où se trouve la vérité des faits. Le secrétaire général adjoint d’Alliance confirme les dires de sa collègue et explique qu’une enquête a lieu pour déterminer les circonstances des actes de vandalisme. Des violences urbaines, un vol de portable et des pillages.

    « Nous, on confirme. Les forces de l’ordre ont été requises par les pompiers car ils ont reçu des projectiles sur place. Le premier fait existe bel et bien. Quand on a fait appel aux renforts de police et aux CRS, c’est que la situation était devenue difficile et sérieuse. Les agents du SAMU ont été agressés. Et ces derniers nous donnent la description de l’individu qui a agressé et volé le portable d’un sauveteur. Je ne sais pas par quel biais du hasard ils n’ont rien vu et rien entendu, nos responsables politiques. Nous confirmons ces faits ».

    Il semblerait que des individus étaient en train de voler des effets sur des blessés et des morts.

    « Les faits ont été rapportés par des collègues et nous tenons à vérifier les dires des collègues par une enquête parallèle qui est actuellement en cours. On a trouvé des SMS dans le portable d’un des jeunes arrêtés : « t’as trouvé quoi dans les bagages ? »…Tout ça est fort suspicieux. Je n’ai pas dit pas qu’ils étaient en train de voler des individus [en raison de l’enquête en cours Frédéric Lagache se doit de garder une distance] mais des indices montrent déjà que c’était le cas ».

    Les responsables du syndicat de la police sont scandalisés qu’on puisse remettre en cause la parole de leurs collègues.

    « Si on fait appel aux renforts, c’est qu’on est mis en difficulté. On doit penser aux victimes dans une telle situation et pas à autre chose comme devoir protéger les pompiers et les urgentistes du SAMU ».

    Le témoignage de la police montre des scènes qu’on peut connaître dans des zones de guerre où il faut protéger les secours de représailles.

    « Je n’ai pas connaissance d’avoir eu ce genre de problématique aussi gravissime en France. Que les officiels disent qu’il n’y a pas eu de caillassage, cela montre qu’ils sont à côté de la plaque. Mes collègues ont sauvé des personnes gravement agressées ».

    Presse. « C’est plus un sujet polémique qui est sorti dans les médias. Les médias se sont limités à relayer les paroles de l’Etat par les paroles du préfet. L’ensemble du monde journalistique me donne l’impression qu’ils ont recopié la déclaration officielle de l’État. Le Point, lui, confirme le caillassage, la violence urbaine et le vol de portable et est bien le seul média qui ait relaté la véracité des faits », termine Frédéric Lagache Secrétaire général adjoint d’Alliance.

    E&R

  • Charlotte CORDAY, une héroïne française (27 juillet 1768 - 17 juillet 1793)

    220px-Charlotte_Corday.png Charlotte Corday.png

    Charlotte Corday par Jean-Jacques Hauer

    445px-Charlotte_Corday.jpg Charlotte Corday.jpg

    L'assassinat de Marat par Paul Baudry

     

    Lire: http://fr.wikipedia.org/wiki/Charlotte_Corday

  • « Ceux qui ne sont pas comme nous », par Bruno Gollnisch

     

    nationalité française konk

    Quand les situations et les mots pour les décrire n’ont plus le même sens pour les Français et ceux qui sont censés les représenter,  l’heure est grave. En témoigne le discours de François Hollande ce 14 juillet, qui a permis de juger une nouvelle fois du décalage effrayant existant d’un côté entre le monde dans lequel évoluent nos énarques pensionnés,  la technostructure européiste aux  manettes du Système , et le pays réel de l’autre. Le chef de l’Etat a ainsi tenu à mettre en garde les Français contre le danger que constituerait   l’opposition nationale , jugeant  «d’une extrême gravité» la montée du FN, ainsi que ses propositions, qui «enfermeraient la France» (sic).  Le vœu de  Marine Le Pen  de faire du FN le centre de gravité de la vie politique française ? « D’une extrême gravité». La sortie de l’euro ? «D’une extrême gravité », la preuve Nicolas Sarkozy était contre a t-il avancé !   L’instauration d’un  protectionnisme intelligent? «D’une extrême gravité», a-t-il insisté, la preuve les Américains,  les Chinois   sont  protectionnistes mais nous interdisent  de l’être…avec le soutien de  Bruxelles.

      «Quand on dit qu’on va chasser ceux qui ne sont pas comme nous (sic) , ceux qui ne sont pas Français et même peut-être certains Français»,  c’est aussi « d’une extrême gravité» a encore avancé le président de la République  semblant d’adresser à des élèves d’école primaire.

    François Hollande semble oublier, note Bruno Gollnisch, que selon la doxa socialo-écolo-communiste,  matérialisée par un vote récent  à l’assemblée,  tout le monde il est comme les Français, tout le monde il est comme nous  et que    tout le monde y ressemble à tout le monde . En effet, puisque    le mot  race  , selon un engagement du candidat Hollande reprenant  une vieille marotte communiste, a été supprimé de   la Constitution, les différences l’ont été aussi automatiquement…non?

    Éradiquer  les mots pour faire disparaître les maux, les  problèmes et escamoter le réel, nous voilà en pleine pensée magique socialiste à laquelle les médias sont priés de collaborer. La catastrophe ferroviaire survenue le 12 juillet  en gare de la très plurielle  commune de  Brétigny-sur-Orge (Essonne)  en est une nouvelle illustration.

     Les sites de Libération, du  Monde, du  Figaro, du  Nouvel ObsRue 89, Europe 1,  France Info,  BFM,  France 3, ont ainsi évoqué la conduite des bandes de jeunes  présentes sur place.  Au micro d’Europe 1,  Nathalie Michel, membre  syndicat de police Alliance,  a raconté:  « A 17h 30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres. »

     Ces détrousseurs de cadavres et/ou leurs amis, ont  aussi  eu à cœur de caillasser secouristes, pompiers policiers et cheminots.

     Le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, est intervenu sur les antennes le lendemain pour tenter de minimiser les faits   en expliquant, joyeux euphémisme socialiste, que « les pompiers ont été accueillis de façon un peu rude»,  qu’il n’a pas eu  connaissance de victimes dépouillées, évoquant tout juste « des actes isolés ». Le maire socialiste de Brétigny-sur-Orge, Bernard Decaux,  terrorisé  à l’idée d’être accusé de stigmatiser les « jeunes » (de futurs électeurs ?) de sa commune,  a tenu à expliquer que « le mot caillassage paraît très exagéré »…

     Des exactions certainement  perpétrées par des jeunes normands, berrichons, bretons ou provençaux  de passage, bref par des Français comme nous, mais cela M. Cuvillier n’a pas été jusqu’à l’affirmer…

     Restons dans le même registre avec cet article paru la semaine dernière dans l’hebdomadaire Minute à la suite de l’audience qui s’est tenue  le 3 juillet  au tribunal de grande instance de Paris.

     Devant celui-ci, « Treize citoyens, des Noirs et des Arabes, attaquaient l’Etat et le ministère de l’Intérieur pour discrimination lors des contrôles d’identité. Les plaignants estiment que, à cause de leur profil ethnique, ils sont trop souvent la cible privilégiée des contrôles policiers. Ils se disent victimes du délit de faciès, le  délit de sale gueule . A l’appui, ils ont fourni une étude du CNRS (le Centre national de la recherche scientifique), selon laquelle les citoyens d’origine nord-africaine et subsaharienne risquaient respectivement 7,8 et 6 fois plus de se faire contrôler qu’un  individu de type européen ».

     Or, rapportait Minute, dans les faits « Si certains citoyens sont plus contrôlés que d’autres, c’est que, malheureusement pour eux, ils appartiennent à une population à risques . Il suffit de consulter les avis de recherche de la police nationale pour s’en convaincre », fichier public consultable sur le site gouvernemental  http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/.

     « Il n’est pas difficile d’en tirer une statistique. Sur les 85 personnes qui font l’objet d’une fiche de police (…)  on ne compte, au maximum, que quatorze individus (…) représentant les  Français de souche. Soit seulement 16,47 % du panel. Cela revient à dire que 83,53 % de ces malfrats recherchés par la police n’ont pas pour ancêtres les Gaulois. » Mais de cela aussi les Français ne sont pas dupes car dans tous les domaines  les tentatives de dissimulation et  les mensonges du Système sont de moins en moins efficients.