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Immigration

  • Marseille 1ère au palmarès de la violence

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    Où court-on le plus de risques de se faire agresser ? Quelles sontles communes les plus sûres ?«Le Figaro» révèle l'état des violences dans les quelque 400 agglomérations de 20 000 habitants et plus. D'après les chiffres incontestables de la PJ.

    D'un côté, il y a la violence crapuleuse, celle commise pour s'emparer d'un bien, comme le sac ou le téléphone mobile que l'on arrache en frappant sa ­victime. De l'autre, il y a la violence non crapuleuse  autant dire la violence gratuite : l'enfant qui se fait agresser à la sortie de l'école pour un regard, pour rien, le conducteur rossé par un automobiliste irascible, la femme battue par son conjoint.

    Si les actes crapuleux enregistrent une baisse de plus de 10 % sur les douze derniers mois, avec un peu plus de 100 000 vols avec violence au total, les violences non crapuleuses, en revanche principalement les coups et blessures volontaires , ont encore augmenté de 3,8 % en un an, faisant près de 10 000 victimes supplémentaires, soit un total de 224 000 faits. Pour la première fois, Le Figaro a choisi de dresser le portrait de toutes ces violences, non pas par département comme le fait chaque année le ministère de l'Intérieur mais ville par ville.

    Variations de un à vingt

     

    Les risques d'agression varient de un à vingt, selon que l'on vit à Marly-le-Roi, dans le 78, ou à Saint-Denis, dans le 93. «Et encore les chiffres de la PJ ne re­prennent-ils que des faits ayant abouti à une plainte», rappelle le sociologue Sebastian Roché. Selon lui, «en devenant de plus en plus violente, la délinquance devient de plus en plus invisible à la statistique poli­cière». Les sondages réalisés auprès des victimes révèlent qu'un tiers de celles qui ont subi des violences ne se signalent pas aux autorités.

    Au palmarès des villes qui souffrent, on retrouve sans surprise celles de la banlieue nord de Paris, la Seine-Saint-Denis en tête. Creil, dans l'Oise, affiche un taux de violence particulièrement élevé. À équivalence avec Dreux et Évreux, la ville de Jean-Louis Debré. Dans le sud-est, Nîmes talonne Marseille. La Cité phocéenne se distingue par un taux de vols violents deux fois supérieur à Lyon.

    Les violences non crapuleuses, celles qui trahissent, selon le criminologue Alain Bauer, la «dégradation du climat social» se révèlent particulièrement élevées dans le nord et l'est, souvent sur fond de chômage et d'alcoolisme. Auchel, l'une des communes les plus sinistrées du Pas-de-Calais est ainsi la plus violente des villes de province. Et Calais suit de près. À Lille, la ville de Martine Aubry, les agressions gratuites font jeu égal avec les vols violents. La tension rejaillit aussi à Lens, touchée de plein fouet par les violences intrafamiliales, mais aussi à Saint-Dizier, cette ville de Haute-Marne qui fut le théâtre des scènes de guérilla urbaine d'une rare intensité en octobre 2007, quand une cinquantaine de jeunes encagoulés avaient agressé des pompiers et des policiers, brûlant leurs véhicules.

    À Grasse, dans les Alpes-Maritimes, le taux d'agression atteint deux fois celui de la moyenne nationale. «Grasse n'est pas la douce ville du parfum qu'on imagine», reconnaît un cadre de la police lo­cale. Selon lui, «la paupérisation de la population, sur fond de difficultés d'intégration, a conduit à une radicalisation des comportements». Un directeur départemental de la sécurité publique le dit : «La violence physique devient, dans la vie de tous les jours, un mode d'expression.»

    Reste l'autre bout du classement, celui des villes plus tranquilles. On ne sera pas étonné d'y retrouver nombre de communes du centre de la France. La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, aura la satisfaction de constater que sa terre d'élection de Saint-Jean-de-Luz figure parmi les dix villes de la zone police les moins exposées aux violences. On y commet à peine deux agressions pour 1 000 habitants. Guère plus qu'à Marly-le-Roi, ex aequo ou presque avec Neuilly-sur-Seine et Saint-Germain-en-Laye.

  • "Delenda est Carthago..."

    La Tunisie et la France ont signé lundi soir un accord dit de gestion concertée des flux migratoires, le premier conclu entre Paris et un pays du Maghreb, au premier jour de la visite d'Etat du président français Nicolas Sarközy à Tunis, a annoncé la présidence française.

    Cet accord a été paraphé par le ministre français de l'Immigration Brice Hortefeux et le ministre tunisien des Affaires étrangères Abdelwaheb Abdallah, en présence de M. Sarkozy et du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali.


    Outre un "volet répressif contre l'immigration clandestine", ce texte doit permettre d'ouvrir le marché du travail français aux Tunisiens qui, selon le texte, «ont des compétences de haut niveau ou pour des métiers pour lesquels existe en France une demande non satisfaite».

    Il prévoit également de «faciliter la circulation des personnes» entre les deux pays, notamment par une délivrance «plus large» des visas français d'une durée de un à cinq ans, et d'appuyer «des actions de développement solidaire» telle que la formation professionnelle au profit des Tunisiens ainsi que la création d'emplois dans les régions tunisiennes d'émigration.

    Avant la Tunisie, la France a signé des accords sur le contrôle des flux migratoires avec quatre pays africains, le Bénin, le Sénégal, le Gabon et la Républiqie du Congo.

    Près de 600.000 Tunisiens vivent légalement en France et les Tunisiens constituent la troisième communauté étudiante étrangère en France avec 10.000 étudiants inscrits, selon les chiffres officiels.

    Les consulats français en Tunisie délivrent par ailleurs chaque année quelque 80.000 visas à des ressortissants tunisiens.

    Et les chômeurs français de souche, qu'est-ce qu'ils vont faire? Aller cueillir les dattes en Tunisie?

    "Delenda est Carthago": célèbre formule de Caton l'Ancien, sénateur de Rome (234 à 149 av.J.C.)

  • IMMIGRATION: UN COÛT EXORBITANT

    Réalisée par Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, une étude récente, "Le coût réel de l'immigration en France", nous apprend que l'immigration proprement dite coûte au total 71,76 milliards d'euros (coûts sécuritaires, coûts fiscaux et sociétaux, coût de la protectoion sociale...) et ne rapporte que 45,57 milliards d'euros. L'immigration serait donc responsable des 3/4 du déficit public de la France.

    Face à ce problème, il est important de se baser sur la vérité des chiffres. En voici quelques-uns:

    - La France compte 6 868 000 immigrés, soit 11% de la population métropolitaine

    - L'immigration réduit des 2/3 la croissance du PIB

    - Le coût de l'immigration en France étant donc de 71,76 milliards d'euros et les recettes liées à l'immigration en France étant de 45,57 milliards d'euros, le déficit dû à l'immigration et supporté par les contribuables est de 26,19 milliards d'euros.

    - Lorsqu'une personne immigrée ne repart pas dans son pays d'origine à la fin de son contrat de travail, c'est l'Etat (le contribuable) qui prend en charge le coût des prestations sociales

    - Les immigrés extra-européens et leurs descendants  perçoivent 22% des prestations sociales

    - Le coût unitaire des demandes d'asile est de 15 000 euros

    - La plupart des dépenses d'immigration ne relève pas du ministère de l'Immigration de Brice Hortefeux 

    - Les dépenses sécuritaires liées à l'immigration s'élèvent à 5,2 milliards d'euros

    - Le travail au noir concerne au minimum 500 000 personnes immigrées et représentent un manque à gagner pour l'Etat de 3,81 milliards d'euros

    - 65 à 90% des prostitué(e) sont des étrangers

    - Le taux de chômage des immigrés est le double de celui des indigènes

    - Les prestations sociales constituent 14% du revenu moyen des ménages contre 5% pour les ménages indigènes. 

    On peut télécharger cette étude "Le coût réel de l'immigration en France" au format pdf sur le site www.contribuables.org

    (Source: Rivarol - n°2852 - 4 avril 2008)

     

     

  • VIDEO Discours de Sarközy à Toulon

    http://www.dailymotion.com/video/x1djxc_discours-de-toulon-de-nicolas-sarko

  • VIDEO Noailles, centre ville de Marseille

    http://www.youtube.com/v/wY_aCCl19rU

    Le quartier Noailles est au centre ville de Marseille. La vidéo est excellente! Il ne manque que les "odeurs"! Quartier poubelle, d'une saleté repoussante, entièrement colonisée par l'immigration africaine!

    Rue Longue-des-Capucins, tous les petits commerces français ont disparu! Le vrai pittoresque est mort, avec une certaine douceur de vivre à la provençale...

    Le soir venu, il vaut mieux ne pas traîner à Noailles quand on a la peau blanche! Drogue, prostitution, vols, agressions...

     

  • Mères de famille nombreuses à Epinal

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    A Epinal (Vosges), sur les 7 mères de famille nombreuses médaillées, 6 étaient musulmanes
    (Source: Quotidien La Liberté de l'Est)
    En 1974, à la tribune de l’ONU, le président de la République Algérienne, Houari Boumediene, a déclaré : « Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C'est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ». Dans le Figaro du 19 décembre 2006, notre grand ami Mouammar Kadhafi déclarait : « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans  en Europe la  transformeront bientôt en continent musulman ! »   C’est ainsi…  L’ « extrémisme », sans doute, consiste à prévenir nos compatriotes de ce qui les attend :  Un pays où les Français d’origine européenne seront minoritaires.  Les démographes indépendants prévoient ce basculement pour le milieu du XXIème siècle.

     Est-ce bien cette France-là que vous souhaitez ?

  • LE PEN en meeting à Marseille

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    3 mars: meeting de Jean-Marie Le Pen à Marseille, salle Vallier.

    "Aucun des hommes politiques qui se présentent aujourd'hui au suffrage des Français n'a pris la mesure du phénomène migratoire dans le monde contemporain" a déclaré le chef du Front National devant un auditoire de plus de 2.000 personnes venues l'écouter et l'applaudir sur le thème "tabou" de l'immigration massive en France comme ailleurs en Europe (près de 10 millions d'immigrés, principalement en provenance du Maghreb et d'Afrique noire, vivent actuellement sur le sol français).

    Il a dénoncé "l'incompétence foncière" de ceux qui nous ont gouvernés depuis 30 ans et leur "cécité absolue" en matière d'immigration.

    Le 21 avril 2002, au 2ème tour, Le Pen avait recueilli 27,46% des voix dans les Bouches-du-Rhône et 26,89% dans la ville de Marseille.