Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Horreur! Au Libéria, les chiens errants mangent dans les rues les cadavres des victimes du virus Ebola

    PttUYh.jpg

     

    12h20

    Le journal New Dawn révèle que le gouvernement libérien avait enterré il y a quelques semaines en arrière à Johnsonville dans la banlieue de Monrovia, les corps des personnes décédées par le virus Ebola.

     

    Un certain nombre de chiens ont été vus en train de déterrer les tombes afin de manger le reste des corps. (…)

    Le docteur Stephen Korsman de l’Université de virologie médicale de Cape Town (Afsud) a expliqué sur News 24 que les chiens peuvent être infectés par le virus mais de façon « asymptotique ».

    « Cela veut dire que les chiens ne seront d’apparence pas malades mais par contre porteurs du virus en cas de morsures sur quelqu’un » […]

    CBS

    FDS

  • Parade des prisonniers de guerre ukrainiens à Donetsk: l'UE condamne, pas la Russie

    http://www.20minutes.fr/monde/1431963-20140825-parade-prisonniers-guerre-ukrainiens-donetsk-rien-humiliant-lavrov

    D'autres photos  de cette humiliation à la soviétique...

  • Marine Le Pen à Brachay: "Le gouvernement ne passera pas l'hiver"


    Marine Le Pen se dit "prête à gouverner la... par francetvinfo

    4085587_lepen-new_640x280.jpg

    Entre un PS fracturé par ses divergences en matière de politique économique et une UMP endettée, affaiblie par l'affaire Bygmalion et dépourvue de leader, compte bien tirer son épingle du jeu.

     

    La présidente du FN, qui fait ce samedi sa rentrée politique à Brachay (Haute-Marne), s'est engouffrée dans la brèche, se présentant en «capitaine» prêt à «tenir la barre».

    La veille, déjà, la dirigeante du Front National s'était dite prête à gouverner en cohabitation avec Hollande en cas de dissolution, prenant le contrepied de la plupart des dirigeants UMP. La voilà qui enfonce le clou : «Si le peuple veut nous donner la barre, eh bien nous la tiendrons ! En pleine tempête, un capitaine ne peut refuser de prendre le commandement.» Marine Le Pen n'hésite pas à s'afficher en femme d'Etat, assurant être «d'une trempe suffisamment solide pour ne pas reculer devant les dangers et les épreuves».

    Elle se projette à l'Élysée

    Alors qu'un Français sur trois la juge capable de réformer le pays, selon un sondage CSA publié ce samedi sur le site Atlantico, la présidente du FN se projette même à l'Élysée : «Je ne mentirai pas aux Français, ni avant, ni après mon élection. Je ne mentirai pas comme François Hollande sur le chômage ou Nicolas Sarkozy sur l'insécurité.» Elle lance également un long appel à «la responsabilité de chacun», estimant que «chacun doit se poser la question de la part qu'il peut prendre au redressement de la nation».

    La dirigeante frontiste, qui dit croire à une dissolution de l'Assemblée nationale dans un délai assez rapide, n'a pas de mots assez durs pour charger ses adversaires politiques. D'un côté, un gouvernement pris «dans une marche destructrice», de l'autre la «prétendue opposition UMP», «véritable radeau pourri à la dérive, sans projet ni tête, rongé par les guerres intestines d'ambition».

    Dépeignant une triple crise, économique, sociétale et une «terrible crise» politique, la députée européenne en remet un couche et assure qu'après la démission du gouvernement lundi et les critiques de l'ancien ministre de l'Économie Arnaud Montebourg contre la voie économique choisie par le président de la République, le pouvoir «le roi François Hollande est nu, le prince Manuel Valls est nu».

    Le Parisien

  • Pouce levé vers l’Autriche, un voyage européen – par Louise d’Espagnac

    Autiche-stop-id-Une.jpg

     

    30/08/2014 – LYON (NOVOPress)
    C’est un défi que nous nous sommes lancé : rejoindre l’Autriche en 48 heures depuis Lyon. 1.000km pouce levé. Cette idée nous est venue au cours de l’Université d’été de Génération Identitaire à laquelle nous participions, dans les montagnes de Savoie. De nombreux Européens s’étaient joints à nous, et parmi eux deux jeunes Allemands qui avaient ceci d’original de faire le tour d’Europe en stop, pendant un an et sans argent. Si nous nous moquions d’eux au début à cause de leurs pieds nus, leur exemple m’a pour ma part vite fascinée. Aussi quand l’un de mes amis m’a dit qu’il comptait se rendre au Sommerfest organisé la semaine suivante en Carinthie (Autriche du Sud), j’ai sauté sur l’occasion, lui déclarant que je voulais me joindre au voyage.
    Nous en avons décidé le dimanche. Lundi nous préparions nos sacs et mardi matin nous partions de Lyon, direction l’Italie.

    Notre itinéraire était simple : passer la frontière par le tunnel du Fréjus, puis traverser tout le nord de l’Italie, Turin, Milan, Venise, et enfin remonter vers l’Autriche et notre lieu d’arrivée.

    La pratique ne fut pas aussi simple… Il est en effet quelque peu compliqué de sortir d’une ville pour rejoindre l’autoroute, surtout lorsque l’on débute en stop et que l’on se place dans des endroits fort peu propices à l’arrêt d’une voiture. Cependant, après une longue demi-heure, une voiture s’arrête, escaladant à moitié le trottoir. Nous courons vers elle : c’est une gentille dame (catholique) qui « d’habitude ne prend jamais d’auto-stoppeurs », mais nous avions des bonnes frimousses. Elle nous dépose au péage d’où nous repartons 30 minutes plus tard dans un minibus conduit par une charmante Anaïs. Nous nous approchons de la frontière puisqu’elle nous laisse à proximité de Saint-Jean de Mauriennes. A peine descendus – je n’avais pas fini d’écrire notre nouvelle destination sur mon carnet -, un fourgon s’arrête sur le bas-côté et un garçon tout bronzé en sort en nous faisant signe. Ce fou furieux du volant, fort sympathique au demeurant, était étudiant en pharmacie la journée, livreur en pharmacie le reste du temps. Il nous a confié qu’il effectuait ses 35 heures hebdomadaires de trajets en 25 heures. Autant vous dire que les feux rouges et les lignes blanches, il ne connaissait pas trop…

    Après une course mouvementée, il nous laisse à l’embranchement du Tunnel du Fréjus, nous assurant que dans 45mn, nous serions en Italie. Et nous y croyions… Nous avons attendu 4h à l’orée de ce tunnel, maudissant l’humanité et particulièrement les automobilistes, enchaînant les blagues bêtes, avant de voir un poids lourd s’arrêter, que dis-je, déraper à notre hauteur. Nous croyions à une blague et étions prêts à insulter le chauffeur, mais celui nous fait signe de monter. O joie !

     

    C’était un chauffeur turc, qui devait se rendre en Sicile, ou très loin au Sud. Il nous prit donc, et nous fîmes avec lui une grande partie du trajet. Il faut savoir que les camions n’ont la plupart du temps que deux places, aussi s’arrêtent-ils rarement pour prendre des auto-stoppeurs. Mais celui-ci nous a offert de s’asseoir sur la banquette-lit, à l’arrière de sa cabine. De là, nous regardions défiler la route, discutions avec lui dans un mélange d’allemand, français et espagnol, faisions chauffer du café sur un réchaud (oui ,oui), jusqu’à arriver au niveau de Milan.

    Il s’arrêta dans une station-service où il nous laissa, nous souhaitant bonne chance. Il faisait nuit, et nous n’avions pas très envie de dormir sous un camion, alors après avoir vainement cherché une voiture au départ, nous décidions de quitter la station et de planter la tente dans les champs environnants.

    L’endroit idéal trouvé, il fallait dîner. Prévoyants, nous avions apporté réchaud, pâtes, casseroles et tutti quanti. L’eau frémissait, il était temps d’y plonger les coquillettes. Mais là, manque de chance : plus de gaz dans la bouteille… Il fallut donc finir une casserole de pâtes mi-cuites, encore loin de l’aldante. Ah, les joies du camping.

    Mais il est l’heure d’aller dormir. Je tiens à préciser que mon ami est straight edge et que mon cœur est déjà pris, nous voyagions donc seulement en camarades.

    Autiche-stop-id-2.jpg

    Le lendemain matin, à peine de retour à la station, une sympathique vieille dame que j’aborde avec mon plus grand sourire accepte de nous conduire jusqu’à Venise, où elle se rend avec son mari. Nouvelle station, nouvelle recherche de voitures. L e sourire aux lèvres, le panneau Österreich à la main, je vais de voiture en voiture. Une fille, ça passe toujours mieux… Deux bons Italiens acceptent de nous prendre, ils allaient tout près de notre destination. Après avoir bien ri, ils nous laissent à Arnoldstein, petit village d’Autriche, dont, m’assure mon ami, est originaire Arnold Schwarzenegger, ce que je crois bien évidemment. (Il est en fait originaire de Graz, qui n’est pas si loin).

    Une pluie fraîche commençant à tomber, c’est sous un abribus que nous attendons Patrick, l’identitaire autrichien qui doit nous conduire au lieu de camp. A ce moment, nous nous réjouissons du parcours effectué : 1.000km en un plus de 24 heures, il y a de quoi être content.

    Patrick arrive, nous sommes tout joyeux de le revoir, et nous nous laissons conduire.

    L’endroit dans lequel nous arrivons est paradisiaque. Figurez-vous une route de campagne, entourée de hautes montagnes, serpentant dans une plaine verdoyante. A notre droite s’élevait le flanc des montagnes et sur la gauche s’étendait d’immenses lacs aux eaux sombres, où se miraient des rayons voilés de brume. Ce lieu portait au recueillement, à la contemplation.

    Après un si long voyage, je fus heureuse de découvrir ce grand chalet de bois aux volets rouges et blancs, niché aux pieds de la montagne, le jardin donnant sur le lac. Tout était sérénité, loin de la frénésie de la ville. C’est pour cette raison d’ailleurs que je ne souhaite que repartir à chaque retour : l’atmosphère de la ville me paraît irrespirable, la vie semble artificielle, j’ai besoin de retourner à la nature et aux valeurs essentielles.

    Autiche-stop-id-3.jpg

    Ce Sommerfest dans un cadre idyllique, en compagnie de nos amis autrichiens et allemands m’a donc comblée. Ces trois jours en terre autrichienne furent des instants de camaraderie, des sourires plein les yeux, des chants mélancoliques ou au contraire diablement entraînants lancés autour du feu, accompagnés à la guitare et rythmés par nos cris joyeux. Nous avons ri, dansé, chanté, nous avons parlé. Oh oui, nous avons beaucoup parlé. Je ne comprends pas l’allemand alors ils me parlaient anglais. Mais le rire est universel alors nous n’étions jamais seuls. Une après-midi, nous sommes partis marcher, à la conquête d’un sommet. Sacrée montée, mais une fois là-haut, c’est avec bonheur que nous avons posé nos sacs à l’auberge, où on servait ce dessert délicieux, plus encore après une randonnée, que l’on appelle Kaiserschmarrn ! Le temps se rafraîchissant, nous avons investi l’étage, où la tiède chaleur du poêle nous a saisis. Dans une douce torpeur, je réalisais combien ces instants étaient précieux et uniques. Combien ont-ils la chance d’avoir des camarades un peu partout en Europe, qui les accueillent à bras ouverts, les initiant à leur culture, leurs traditions et leur joie de vivre ?

    C’est dans ces moments que je ressens avec le plus d’intensité ma fierté d’appartenir à la grande Europe, dans ces moments que je sens la fraternité qui nous unit tous, au-delà de la barrière de la langue et de la culture. Plus encore, nous avons par-delà les frontière cet idéal qui nous rassemble, l’amour et la défense de notre identité. Et c’est en créant des échanges tels que ceux-ci avec des garçons et des filles d’Europe que nous pourrons faire renaître la lumière dans notre civilisation.

    La construction d’un avenir européen passe par ces instants, j’en suis convaincue.

    Mais il est déjà temps de repartir, nous devons redescendre. Je m’enivre de nature, mes yeux sont absorbés par la montagne et le ciel.

    Le temps s’écoule vite, trop vite, nous devons déjà rentrer en France.

    Dans la nuit du dimanche, nous quittons ce lieu de bonheur avec deux Allemands, en route pour Hanovre. C’est le début de longues péripéties, que je résumerai rapidement par un détour de 600 km, une rencontre avec la Polizei parce que nous avions eu la mauvaise idée de faire du stop sur le bord de l’autoroute, 2 fois coincés à l’aéroport (Munich et Lyon), à tel point que la deuxième fois nous avons dû y passer la nuit. Mais nous avons aussi fait la connaissance d’un routier moldave, le cœur sur la main, qui a partagé son repas avec nous ; nous avons dormi dans la forêt, rencontré d’autres Français au même “spot” que nous. Et puis nous sommes arrivés. Il était 6 h du matin quand nos pieds ont foulé les pavés du Vieux-Lyon.

    Nos têtes bourdonnaient encore de sonorités allemandes, nos yeux étaient remplis de ciel que cachaient désormais les toits des maisons. Nous sommes de retour, mais bientôt nous repartirons.

    Je ne peux me résoudre à m’arrêter là. J’ai poussé la porte du voyage, l’appel de la route se fait trop pressant. Je n’aurai pas assez de temps pour découvrir le monde dans ses moindres recoins. Mais j’en ai bien assez pour vivre, prendre mon sac un matin et partir à l’aventure.

    Louise d’Espagnac
    militante Rebeyne – GI Lyon

    Crédit photos : Louise d’Espagnac

  • La menace jihadiste pourrait gagner l'Europe en quelques semaines, met en garde le roi d'Arabie

    30/08/2014 à 11:31 - Mis à jour à 12:02

    Le roi Abdallah d'Arabie saoudite a prévenu les pays occidentaux qu'ils seraient la prochaine cible de la menace jihadiste, en l'absence d'une réaction "rapide".

    965241.jpg

    Le roi Abdallah d'Arabie s'entretenant avec l'américain John Kerry, Chargé des Affaires étrangères, à Jeddah, en juin 2014 © Reuters

    Cité samedi par le quotidien saoudien Asharq al-Awsat et la chaîne de télévision Al-Arabiya à capitaux saoudiens, le souverain saoudien a précisé que "le terrorisme ne connaît pas de frontière et son danger peut toucher plusieurs pays en dehors du Moyen-Orient", où les jihadistes de l'Etat islamique (EI) sévissent avec brutalité sur les territoires conquis en Syrie et en Irak.

    Le roi Abdallah, qui s'exprimait vendredi en recevant de nouveaux ambassadeurs accrédités en Arabie saoudite, dont celui des Etats-Unis, un proche allié de Ryad, a ajouté que l'inaction face à ce phénomène "est inadmissible". "Vous voyez comment ils (les jihadistes) procèdent à des décapitations et font que des enfants exhibent des têtes coupées dans la rue", a-t-il encore dit, en s'élevant contre "la cruauté" de tels actes. "Ce n'est pas un secret pour vous, ce qu'ils ont commis et ce qu'ils vont commettre encore. Si on les néglige, je suis sûr qu'ils parviendront au bout d'un mois en Europe, et un mois plus tard en Amérique", a-t-il prévenu. Le président américain Barack Obama reste indécis sur des frappes aériennes contre les jihadistes de l'EI en Syrie après celles menées dans le nord de l'Irak.

  • Crimes de guerre de l'Armée rouge pendant la Seconde guerre mondiale

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Crimes_de_guerre_de_l'Arm%C3%A9e_rouge_pendant_la_Seconde_Guerre_mondiale

  • Patrick Bruel, " Qui a le droit ?"

     
  • Vladimir Poutine compare l'armée ukrainienne à l'occupant nazi - L'Ukraine veut intégrer l'OTAN


    L'Ukraine veut intégrer l'OTAN par euronews-fr

  • Béziers et Maaloula jumelées : bonne nouvelle pour ces chrétiens qui se sentaient « abandonnés par la France » (plus d'informations)

    29 août 2014 par CharlotteO 

    Capture d’écran 2014-08-29 à 09.46.17Robert Ménard, maire de Béziers, vient d’annoncer le jumelage de sa ville avec le petit village syrien et chrétien de Maaloula.  Un village martyr, occupé pendant sept mois par les djihadistes de Jabat-al-Nosra, qui reprend vie depuis sa libération par l’armée syrienne aidée du Hezbollah le 14 avril dernier. Reportage à Maaloula.

    Une bonne nouvelle puisque ses habitants confiaient il y a quelques jours se sentir « abandonnés par la France ». Ils sont nombreux à regretter le temps où la diplomatie française faisait exception en honorant ses promesses dans la région, tout particulièrement celle d’être protectrice des Chrétiens…

    La politique française, alignée sur celle des Etats-Unis depuis quelques temps n’a cessé d’accroître l’insécurité dans laquelle vivent les Syriens depuis trois ans, et tout particulièrement ces Chrétiens menacés doublement par les djihadistes, comme Syriens puis comme Chrétiens.

     

    Libéré il y a quelques mois, la village reprend doucement vie et quelques 300 familles ont déjà choisi de s’y installer à nouveau, le curé hésite encore et reste pour l’instant à Damas, conscient que s’il revenait à Maaloula, tous le suivraient : « les djihadistes sont nombreux et sont encore dans les parages, je ne peux pas prendre ce risque tout de suite » confiait-il.

    Mais il revient régulièrement pour dire la messe aux courageux, suivre l’évolution des travaux dans les maisons de ses fidèles mais également dans les églises sérieusement abîmées… Partout demeurent les traces d’une haine anti-chrétienne glaçante : églises brûlées, évangiles déchirés, icônes cassées, statues décapitées… Mais le spectacle n’altère pas la détermination des habitants. Quelques bénévoles de l’association française SOS Chrétiens d’Orient sont là pour financer la restauration de l’une des églises, Saint Georges, et les habitants sont heureux d’accueillir ces pèlerins qui, en plus de les aider, annoncent un retour de la vie presque normale… « Nous avions énormément de touristes et de pèlerins avant la guerre, ces jeunes sont les premiers étrangers à venir si l’on oublie les journalistes. Quelle joie, merci » lance une habitante.

    « Nous sommes quelques uns à être rentrés tout de suite » confie Saba, un épicier d’une quarantaine d’année qui a combattu avec les « gardes » du village en septembre lors de la prise du village, comme en avril lors de sa libération.

    Depuis, il nettoie, répare et restaure sa petite boutique : « il faut que ces monstres comprennent qu’ils ne gagneront jamais la Syrie. Nous résisterons tant qu’il le faudra pour retrouver le pays calme et paisible que nous avons perdu il y a trois ans » affirme-t-il avant d’ajouter : « mais les occidentaux doivent comprendre que leurs gouvernements se trompent… Si la liberté et la démocratie impliquent la destruction de nos églises millénaires, nous n’en voulons pas. Qu’ils nous laissent vivre ! » 

    Tous tiennent un discours encourageant, même si l’avenir est parfois difficile à imaginer. Parmi les djihadistes à s’être révoltés à Maaloula, il y avait de nombreux habitants du village et la confiance sera difficile à regagner… Mais tous n’ont qu’une envie : y arriver. « Comme avant, ceux qui refusent la présence chrétienne en moins » sourit Fadi, jeune maçon revenu le jour même de la libération.

    Contre-info.com

  • Le FMI renouvelle sa "confiance" à Christine Lagarde après sa mise en examen

    images.jpg

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-fmi-renouvelle-sa-confiance-a-christine-lagarde-apres-sa-mise-en-examen-29-08-2014-4096329.php

    Tous pourris, tous complices!