Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Sondage : avec 41% des voix au 1er tour, le FN aux portes de l'Aisne

     

    Selon notre enquête Odoxa, le parti de Marine Le Pen serait très largement en tête au premier tour dans l’Aisne et pourrait faire basculer le département.

    Olivier Beaumont | 15 Mars 2015, 21h41 | MAJ : 15 Mars 2015, 21h55

     
    0
     
     
     
     
    1/2 réagir
    38
    Exclusif
    DOUCHY (AISNE), LE 12 MARS 2015. Le Front National FN a fait ici  lors de la dernière élection européenne un score dépassant le 60%. Les sondages créditent le FN d'importantes intentions de vote pour les prochaines élections départementales et le département de l'Aisne pourrait basculer sous la gouvernance du
    DOUCHY (AISNE), LE 12 MARS 2015. Le Front National FN a fait ici  lors de la dernière élection européenne un score dépassant le 60%. Les sondages créditent le FN d'importantes intentions de vote pour les prochaines élections départementales et le département de l'Aisne pourrait basculer sous la gouvernance du FN. 


    Olivier Corsan / Le Parisien

    «S'il y a un endroit où on peut gagner, c’est bien dans l’Aisne », pronostique Marine Le Pen avant même de découvrir notre sondage exclusif Odoxa pour le premier tour des élections départementales dans cette terre de Picardie.

     

    La présidente du Front national ne croit pas si bien dire. Selon notre enquête, le FN obtiendrait 41 % au premier tour ! Très loin devant l’UMP-UDI (24 %) et surtout devant le PS et ses alliés (20 %), qui dirigent ce département.

    Bien sûr, comme tout sondage, il s’agit d’une mesure de l’opinion à un instant T, et celle-ci n’a pas valeur de pronostic. D’autant que ce sondage est réalisé à l’échelle du département, alors que le vote aura lieu dans chacun des 21 cantons de l’Aisne. Cependant, le signal envoyé à une semaine du premier tour est clairement une alerte pour la droite et la gauche. Jamais le FN — qui ne détient qu’un seul conseiller général sortant dans toute la France — ne s’est retrouvé aussi près des portes du pouvoir d’un exécutif local.

    Largement en tête chez les ouvriers et les jeunese

    A la lecture de notre enquête, les candidats du FN sont d’ailleurs en capacité de se qualifier pour le second tour dans la quasi-totalité des 21 cantons. Ce qui met le parti de Marine Le Pen « dans une position extrêmement favorable pour remporter dans quinze jours une victoire historique dans un département », note Gaël Sliman, président d’Odoxa.

    Dans ce territoire rural marqué par un chômage supérieur à la moyenne nationale, la fermeture des services publics et un sentiment d’abandon généralisé, le discours frontiste à l’attention de cette « France des oubliées » porte à plein. D’ailleurs, chez les ouvriers, le FN obtiendrait 59 % au premier tour ! Et il ferait presque aussi bien chez les 25-34 ans, avec un électeur sur deux convaincu. « C’est la preuve que les classes populaires ont le sentiment que le gouvernement leur mène la guerre », confie la présidente du Front national. « Et les gesticulations de M. Valls ces derniers jours ne changeront rien », enfonce-t-elle, en référence à la venue d’une bonne partie du gouvernement à Laon, vendredi, pour un conseil interministériel décentralisé consacré à la ruralité. « Personne n’est dupe. Ce déplacement était frappé du sceau de la manœuvre électoraliste pour tenter de récupérer ces électeurs déçus. Mais c’est trop tard », poursuit Marine Le Pen.

    Le renfort des électeurs de Mélenchon et de Hollande

    D’ailleurs, « alors que la propension d’ex-électeurs de gauche à voter désormais FN est un phénomène encore assez minoritaire au niveau national (entre 10 % et 15 %), il est bien massif dans le département de l’Aisne », remarque Gaël Sliman. La preuve ? Quatorze pour cent des électeurs ayant voté pour Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle de 2012 et surtout 28 % des électeurs de François Hollande disent vouloir voter pour le FN dès le premier tour des départementales dans l’Aisne…


  • L'Ecole des chartes: les gardiens de la mémoire française


    L'école des Chartes : la conservation du... par LePoint

     

    L’École des chartes forme les archivistes-paléographes. Ce sont eux qui veillent sur les archives et les bibliothèques de France. L’École nationale des chartes, créée sous le règne de Louis XVIII par l’ordonnance du 22 février 1821, souffre de sa discrétion. Ils sont pourtant les gardiens de la mémoire française.

    À l’ombre des arbres de la place de la Sorbonne, sirotant des cafés aux terrasses des bistrots, rares sont les étudiants qui connaissent l’École des chartes. Pourtant, jusqu’en octobre dernier, elle se trouvait juste sous leurs yeux : au 19 rue de la Sorbonne. Voilà 117 ans que cette institution formait les plus brillants esprits au coeur même de la célèbre université du Quartier latin. Pour retrouver sa trace, il faut désormais changer de rive et prendre la direction de la rue de Richelieu. Les chartistes y ont investi un bâtiment plus moderne, à proximité immédiate de la Bibliothèque nationale de France.

      

    Méconnue du grand public, elle jouit cependant, à l’image de l’École normale supérieure ou de Polytechnique, du statut de grande école. Signe de sa qualité, elle peut se vanter d’un prestige important à l’étranger, où elle a été souvent imitée. Tous les ans, après deux années de classes préparatoires, plusieurs centaines de candidats tentent leur chance aux concours d’entrée… pour une vingtaine de places. Ces dernières sont réparties à travers deux formations : une plus classique et centrée sur l’histoire (le latin est obligatoire), dite filière A, et une autre proposant des matières plus diversifiées, dite filière B. [...]

    Le Point

    FDS

  • A Béziers, Robert Ménard salue l'Algérie française

    4604481_11-1-944837924_545x460_autocrop.jpg

     

    Le maire a créé la polémique en donnant à la rue du 19-Mars-1962 le nom d'Hélie de Saint Marc, officier ayant pris part au putsch des généraux d'Alger.

    Claude Massonnet | 15 Mars 2015, 07h00 | MAJ : 15 Mars 2015, 04h55

            
     
     
                                                                                                                                                         La rue du 19-Mars-1962, date de la signature des accords d'Evian, ,n'existe plus dans le quartier populaire de la Devèze, à Béziers.
  • Béziers et l'Algérie française : Jean-Marie Le Pen tacle Valls, naturalisé «à 20 ans»

     

    Le président d'honneur du FN a défendu ce dimanche le choix de Robert Ménard, maire de Béziers, de donner à une rue le nom d'Hélie Denoix de Saint-Marc, militaire ayant pris part au putsch des généraux en Algérie. Il en a profité pour égratigner «M. Valls», «devenu français à l'âge de 20 ans».

    15 Mars 2015, 11h40 | MAJ : 15 Mars 2015, 12h10

    0
     
     
     
     
    réagir
    109
                                                        

    sans-titre.png JMLP XXX.png


    En tant que nostalgique de l'Algérie française, Jean-Marie Le Pen ne pouvait que se féliciter du choix de Robert Ménard. Ce dimanche, le président d'honneur du Front national a salué sur Europe 1 le choix du maire de Béziers de donner à une rue le nom d'Hélie Denoix de Saint-Marc, un militaire qui avait pris part au putsch des généraux en 1961.

     

    Sur le même sujet

    Béziers : la rue du 19 Mars 1962 débaptisée, nouvelle polémique

    Béziers : la rue du 19 Mars 1962 débaptisée, nouvelle polémique

      
    LE PARISIEN MAGAZINE. Manuel Valls : «J’ai appris à devenir français»

    LE PARISIEN MAGAZINE. Manuel Valls : «J’ai appris à devenir français»

    Cote de popularité : Hollande et Valls quasi stables

    Cote de popularité : Hollande et Valls quasi stables

    Il en a profité pour tacler Manuel Valls, le Premier ministre ayant de son côté désapprouvé cette initiative de l'ancien journaliste.

    «Le commandant Denoix de Saint-Marc a été mon premier commandant de compagnie en Indochine, par conséquent j'approuve le fait d'honorer cet officier français, qui je le rappelle a été grand-croix de la Légion d'honneur», a déclaré Jean-Marie Le Pen. Le locataire de Matignon avait, lui, jugé que «la nostalgie, et notamment la nostalgie de l'Algérie française, n'apportera(it) rien de bon». «Aujourd'hui, on a besoin de regarder l'avenir avec de l'optimisme et le Front national n'aime pas la France», avait-il ajouté.

    «M. Valls est devenu français à l'âge de 20 ans, voilà ! Alors pour moi, qui suis de vieille souche morbihannaise, c'est un peu court pour recevoir des leçons d'un tel personnage», a-t-il estimé. Cette attaque fait référence au parcours du Premier ministre, enfant espagnol formé à l'école laïque puis naturalisé. Vendredi, dans Le Parisien Magazine, Manuel Valls a raconté sa fierté «d'être devenu français».

    Jean-Marie Le Pen a enfin rappelé sa nostalgie de l'Algérie française : «Evidemment, je suis un nostalgique des espérances de l'Algérie française et quelqu'un de très choqué par la trahison des engagements qui avaient été pris et l'abandon, voire même la complicité d'assassinat des harkis ou des pieds-noirs.»

    Le Parisien

  • Hyper Cacher: quand la carte bleue de Cazeneuve ne passe pas à la caisse

    http://www.bfmtv.com/politique/hyper-cacher-quand-la-carte-bleue-de-cazeneuve-ne-passe-pas-a-la-caisse-869176.html

    + VIDEOS

     853c3455a956ee294860635becaa2.jpg  Cazeneuve.jpg

     

  • Célébrations du 9 mai : Merkel n’ira pas à Moscou célébrer la victoire de la barbarie stalinienne

     image

    BREIZATAO – ETREBROADEL (12/03/2015) Angela Merkel a annoncé que l’Allemagne ne se rendrait pas à Moscou pour les célébrations organisées le 9 mai en l’honneur de la barbarie communiste ayant conquis la moitié de l’Europe en 1945. Sputnik News (source) :

    “Le gouvernement allemand a annoncé que la chancelière Merkel considérait comme “déplacée” sa présence à la Parade de la Victoire prévue à Moscou le 9 mai 2015 en raison de la crise ukrainienne.”

    Les Pays Baltes et la Pologne ont également refusé de joindre l’événement destiné à faire une apologie du totalitarisme soviétique dont le bilan s’élève à plus de 40 millions de morts.

    A la faveur de la crise ukrainienne, la révision de la lecture historique de la Seconde Guerre Mondiale sonne comme une libération. L’Allemagne, comme les nations européennes, ne sauraient rendre hommage aux plans d’agression de l’URSS contre l’Europe. Plans d’agression déjoués le 22 juin 1941 par le Führer du Reich, Adolf Hitler, qui avec moins de 4000 tanks parvint à détruire en 6 mois près de 24 000 chars russes amassés aux frontières orientales de l’Europe.

    Sans le sacrifice héroïque de l’armée allemande et des volontaires européens, la totalité du continent aurait été livrée à la barbarie communiste, scellant le destin du monde européen.

    Auteur: Yann de Kerguezec

  • Marine Le Pen : «Si le PS prend une déculottée, il faut que Valls... valse»

    PROPOS RECUEILLIS PAR OLIVIER BEAUMONT | 14 Mars 2015, 18h19 | MAJ : 14 Mars 2015, 19h40

    0
     
     
     
     
     
    118
    Exclusif
    «Vous verrez qu’au final, nous aurons beaucoup d’élus. Je ne fais pas de pronostics. Mais si les Français le veulent, cette victoire aura lieu», assure dans un entretien exclusif au Parisien/Aujourd'hui en France la présidente du Front national.

    A une semaine du premier tour des élections départementales, la présidente du Front national accorde un entretien à notre journal.

     

    Sur le même sujet

    Parlement européen : soupçons de fraude sur 20 assistants FN

    Parlement européen : soupçons de fraude sur 20 assistants FN

    Départementales : de nouveaux dérapages racistes de candidats FN

    Départementales : de nouveaux dérapages racistes de candidats FN

    Départementales : le FN reprend la tête, l'UMP en embuscade

    Départementales : le FN reprend la tête, l'UMP en embuscade

    VIDEO. «Prendre un verre» avec Madonna ? Marine Le Pen «accepte avec plaisir»

    VIDEO. «Prendre un verre» avec Madonna ? Marine Le Pen «accepte avec plaisir»

    Départementales : «Oui, je mène campagne contre l'extrême droite», s'enflamme Valls

    Départementales : «Oui, je mène campagne contre l'extrême droite», s'enflamme Valls

    Dérapages de certains candidats, mesures appliquées en cas de victoire dans un département, négociations au 3e tour, les attaques du Premier ministre Valls, mais aussi les assistants parlementaires FN soupçonnés de fraude, les élections régionales, ou encore sa rencontre avec Madonna... Marine Le Pen n'élude aucun sujet. 

    Tous les sondages annoncent le FN en tête au premier tour. Mais au final, c’est l’UMP qui va gagner la majorité des départements. Tout ça pour ça ? 
    MARINE LE PEN. Non. Si la droite enregistre des gains de départements, ça ne sera que par effet mécanique d’alternance avec la gauche, comme depuis toujours, et seulement grâce à ses élus de terrain. Mais tout cela est en train de changer. Vous verrez qu’au final, nous aurons beaucoup d’élus.

    Combien ? 
    Je ne fais pas de pronostics. Mais si les Français le veulent, cette victoire aura lieu.

    Si vous gagnez un département, cela changera quoi ? 
    Ce serait un résultat fondamental. Cela permettra d’apporter une réponse précise et factuelle à la campagne de dénigrement perpétuelle, cette campagne de catastrophisme visant à dire que si le Front national gagne il va pleuvoir des grenouilles et les rivières vont se transformer en torrents de sang. Ca sera l’inverse.

    Quelles seraient les premières mesures d’un département géré par le FN ? 
    Nous commencerons par faire un audit pour lutter de la manière la plus sévère contre les gaspillages. Tout cela pour dégager des économies et stopper l’inflation fiscale ininterrompue depuis des années. Nous mettrons aussi en place, avec les organismes concernés, des méthodologies pour traquer les fraudes, notamment celle du RSA. Cela permettra par exemple en retour de revaloriser l’allocation personnalisée pour les personnes âgées.

    «Sur 7650 candidats, il peut exister des brebis galeuses»

    Lors du troisième tour là où le FN sera en situation d’arbitre pour l’élection des présidents de département, vous négocieriez avec l’UMP... ou le PS ?
    Nous ne négocierons rien. Mais nous nous ferons de la politique. Ceux qui réclameront nos voix devront s’engager sur quatre ou cinq points. Comme le refus absolu de toute augmentation des impôts ou la lutte contre le communautarisme. Si la personne signe, nous participerons à son élection et sa victoire. Mais sans participer à l’exécutif. En clair, nous ne négocierons pas de vice-présidence en retour.

    Tous ces candidats FN épinglés pour des propos racistes, antisémites ou xénophobes, cela fait tache, non ?
    C’est caricatural ! 0,1 % des candidats ont tenu des propos qui se sont avérés soit condamnables, soit contestable du fait de leur qualité de candidat. Ils ont été systématiquement suspendus et seront traduits devant la commission de discipline du Front national qui, en général, est extrêmement raide.

    En attendant, ils restent candidats...
    C’est vrai, et M. Tron (Ndlr, l’ex-secrétaire d’Etat UMP renvoyé devant les assises pour viols et agressions sexuelles) aussi est candidat ! Quoi qu’il en soit, nous prenons nos responsabilités : sur 7650 candidats chez nous, il peut exister des brebis galeuses. Et on ne peut pas leur retirer leur candidature car les bulletins sont déjà déposés en préfecture. Mais nous serons irréprochables par rapport à ces dérapages. Et si la commission d’investiture les exclut, et que ces candidats sont élus entre temps, ils siégeront sans étiquette.

    Les récents sondages montrent que l’UMP se rapproche de vous au premier tour. Cela vous inquiète ? 
    Non. La vérité, c’est que la droite se porte très mal. Il n’y a plus de direction, plus de vision, plus d’imagination ni de volonté. Mais que des batailles d’égos et un Nicolas Sarkozy qui a perdu la gagne, qui n’est plus que l’ombre que de lui-même. Les divergences de fond qui existent entre les dirigeants et la base ne vont cesser de s’agrandir. On va le voir un peu aux départementales, et beaucoup aux prochaines régionales.

    «On connaissait Max la menace, il y a maintenant Valls la fureur»

    Pensez vous que Sarkozy sera candidat en 2017 ?
    Il n’ira pas jusqu’au bout. Chaque jour qui passe, il est de plus en plus contesté et de moins en moins attendu dans son camp. Je vois mal ce qui pourrait inverser cette tendance.

    Valls vous étrille depuis plusieurs jours, et il vous met au centre du jeu dans cette élection... 
    Je n’ai besoin d’aucune aide. On connaissait Max la menace. Il y a maintenant Valls la fureur, qui en toute circonstance éructe sa haine contre nous. C’est lui qui jette les Français les uns contre les autres, alors qu’il est censé être le Premier ministre de tous. Or, on voit surtout qu’il est clairement en campagne pour son parti en ce moment. Donc, si le PS prend une déculottée aux élections, il faut que Valls... valse.

    François Hollande a déjà annoncé qu’il resterait... 
    Donc, quoi qu’il arrive, on peut tout se permettre en politique ? Quel que soit le signal envoyé par les Français, le président de la République annonce déjà qu’il n’y aura strictement aucun changement? J’attends un minimum de respect pour le résultat des urnes.

    Vous avez été épinglée à propos de vos assistants parlementaires européens. Vous récusez ces accusations, mais le fait est qu’on ne voit jamais certains de vos collaborateurs au Parlement... 
    Il ne sont pas là pour travailler pour le Parlement, mais avec leur député européen. On peut avoir une responsabilité politique et avoir comme travail celui d’assistant parlementaire. De la même manière qu’on peut avoir une responsabilité politique et être pilote de ligne, boucher ou chef d’entreprise. Et je note que concernant M. Schulz (Ndlr, le président du Parlement européen à l’origine de cette enquête), son assistant parlementaire accrédité s’occupe d’une agence de voyage liée à son propre parti. Ca c’est contestable !

    Régionales : «Je prendrai ma décision dans les semaines qui viennent»

    Allez-vous réellement déposer plainte contre Martin Schulz ?
    Non seulement je vais le faire, mais tous les assistants parlementaires concernés le feront aussi pour dénonciation calomnieuse et diffamation.

    Serez-vous candidate aux régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie ? 
    Je suis une battante. En plus, j’ai beaucoup d’affection pour cette région et je sais pertinemment ce qu’il faut faire pour qu’elle aille mieux. Tout cela me pousse à vouloir mener ce combat. Je prendrai ma décision dans les semaines qui viennent. Mais ma problématique, c’est ce choc entre l’agenda présidentiel et celui d’une présidence de région qui nécessite un investissement total.

    Si vous êtes candidate, vous aurez Xavier Bertrand face à vous. Ca vous motive ?
    Je n’accorde pas assez de qualités à Xavier Bertrand pour que sa présence me motive. Lui ou un autre, ça ne changera pas grand chose. Et puis franchement, cette entrée en campagne brutale en cognant d’emblée si fort contre moi... ça me rappelle Mélenchon quand il est venu me défier à Hénin-Beaumont. A l’époque, ça ne lui a pas vraiment servi.

    Répondrez-vous à la proposition de Madonna qui souhaite vous rencontrer ? 
    J’ai cru comprendre qu’elle allait revenir en France en fin d’année (Ndlr, en décembre pour deux concerts à Bercy). Je ferai contacter son entourage pour lui dire que, si elle veut donner suite à cette proposition, on peut se voir. Je répondrai à ses interrogations. Nous aurons une conversation entre femmes.

    Le Parisien

  • Italie : Harcelé et frappé par un Africain, il est inculpé pour racisme

    Tram6.jpg

     Partager sur Facebook Tweeter

     

    14/03/2015 – PEROUSE (NOVOpress)
    C’est l’histoire d’un Italien de 55 ans, dans la belle ville de Pérouse, qui n’avait pas encore compris dans quel pays il vivait désormais. Il y a quelques jours, à l’arrêt du tramway, un Noir lui a demandé un billet. Malgré son refus, l’Africain n’a pas cessé d’insister. L’Italien a fini par s’énerver et a lancé : « Va-t’en, nègre de m… » L’Africain est effectivement parti, mais pas avant de lui avoir lancé un coup de poing en pleine figure.

    L’Italien a alors cru bon d’aller au commissariat, pour se plaindre d’avoir subi une agression de la part d’un étranger. Grâce à la description qu’il a donnée, la police a pu retrouver rapidement l’agresseur, un Sénégalais de 35 ans, qui a été déféré au parquet.

    Mais les agents ont aussi expliqué à l’Italien « que l’expression qu’il avait employée pour chasser l’étranger constituait un acte illicite et discriminatoire, et qu’une procédure pénale allait être engagée contre lui ». L’Italien a protesté en vain : « Les Africains, je les vois comme ça ». Il a été inculpé pour violation de la loi Mancino, « qui punit tout comportement comprenant une discrimination pour motifs raciaux ».

    Crédit photo : Vitalij Sergeevič Volkov, via Wikipédia, (cc).

  • Béziers : la rue du “19 mars 1962″ débaptisée, des réactions hostiles

     

    14/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Le maire de Béziers a décidé de renommer la rue du “19 mars 1962″, date qui fait référence à la fin de la guerre d’Algérie. Robert Ménard assure que ce n’est pas un événement que l’on peut commémorer puisqu’il ne s’agit pas d’une victoire.

    Des habitants de cette rue ont réinstallé une plaque provisoire pour marquer leur hostilité. La défaite de la France (du moins, sur le papier) leur plaît, ils y sont attachés au point de s’insurger contre cette promesse de campagne tenue.

    Un tel mauvais état d’esprit inquiète. Il y a, en effet, une marque ostentatoire d’agressivité à l’égard de la France dans l’attachement à cet armistice. Il marqua le début d’une grande répression sanglante au slogan évocateur : “la valise ou le cercueil.
    C’est après cette date que le plus grand nombre de “Pieds-Noirs” furent tués.

    Quel élu français digne de ce nom voudrait nommer une rue, acte toujours symbolique, avec une telle date ?

    NdB: Nous sommes les seuls propriétaires de notre histoire.