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  • Tchétchénie : Kadyrov veut enfermer les femmes et leur interdire de communiquer

    http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/tchetchenie-kadyrov-veut-enfermer-les-femmes-et-leur-interdire-de-communiquer-20-05-2015-4787651.php

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  • Mariage homosexuel: l'Irlande dit oui à plus de 62%, Dublin à 70%

    http://www.leparisien.fr/international/mariage-gay-en-irlande-un-partisan-du-non-reconnait-sa-defaite-23-05-2015-4796431.php

  • #OccupUE : Génération identitaire occupe la représentation en France de la Commission européenne

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    23/05/215 – PARIS (NOVOpress) - Cet après-midi à Paris, le mouvement de jeunesse Génération identitaire a occupé le bâtiment de la représentation en France de la Commission européenne, à Paris, boulevard Saint Germain. Une banderole a été déployée sur le balcon principal du bâtiment, juste devant l’Assemblée nationale, avec le slogan “L’émigration tue l’Afrique, l’immigration tue l’Europe”.


    Dans son communiqué officiel publié sur Facebook, Génération identitaire déclare que “(…) la passivité dans la lutte contre l’immigration clandestine, l’accueil systématique des bateaux de clandestins, la folle politique des quotas par pays, ne font que renforcer le fantasme d’un eldorado européen qui n’existe pas. Les candidats à l’émigration se font donc toujours plus nombreux, pour le plus grand bonheur des passeurs, milices et mafias dont nos dirigeants se font finalement les complices. Les morts en Méditerranée sont aussi la conséquence de cette politique. (…)”

    Pour suivre l’événement en direct, rendez-vous sur Twitter avec le hashtag #OccupUE : https://twitter.com/hashtag/occupue?f=realtime&src=hash

     

  • Fabrice Luchii se paye la classe politique française


    Le Top Flop : Fabrice Luchini se paye la classe... par Lopinionfr

     NDF

    NdB:  Et avec quel talent!

  • Le latin face aux barbares

    Ecrit le 20 mai 2015 à 9:23 par Christian Vanneste dans Poing de vue

     
     NDF

     

    Le latin face aux barbares

    La grève des professeurs ne semble pas faire reculer le gouvernement. Comme d’habitude le pourcentage de grévistes passe de 25% si on prend en compte la totalité des enseignants à 50% si on calcule par rapport aux professeurs qui devaient être en cours au moment de la grève.  Les motivations sont disparates : certains craignent de voir leur horaire diminuer, voire leur poste disparaître, d’autres redoutent un surcroît de temps passé en réunions interdisciplinaires ; certains craignent l’accroissement du pouvoir des principaux, d’autres redoutent la perte d’autonomie dans leur travail pédagogique ; certains craignent l’abandon de l’excellence, d’autres redoutent l’augmentation  d’une sélection sournoise.

    Le collège comme l’ensemble du système éducatif n’est pas fait pour fournir un emploi aux professeurs. Il a pour but de permettre aux élèves puis aux étudiants d’acquérir les savoirs fondamentaux, de développer leurs aptitudes et de s’insérer dans la société et avant tout dans le monde du travail. Mais à travers cette première finalité, il en existe une seconde qui est de renforcer la cohésion et d’améliorer les performances nationales. Des personnes mieux formées pour un pays plus fort, tel devrait être le but de l’Education Nationale. La défense compréhensible de leur discipline et de ses horaires par les professeurs n’est donc pas l’enjeu essentiel. Cette réforme s’inscrit dans un processus de trahison du pouvoir à l’encontre de la nation. C’est la véritable question que les réticences syndicales risquent de masquer en regardant la réforme par le petit bout de la lorgnette.

    Cette réforme est avant tout portée par une idéologie. Elle correspond comme celles qui l’ont précédée à la volonté de démocratiser. S’il s’agissait de diminuer le nombre des échecs en rétablissant des filières et des modes d’enseignement adaptés aux capacités des élèves afin de les conduire à des réussites fondées sur leurs différences, on le comprendrait. Mais il s’agit au contraire de lutter contre les déterminismes sociaux, de supprimer les filières d’excellence, de soustraire son héritage à l’héritier, en un mot de niveler. Pour la gauche, l’ascenseur social, c’est tout le monde au rez-de -chaussée. On prétexte l’ennui, en oubliant qu’à l’école d’aujourd’hui, deux ennuis s’affrontent, celui des élèves que l’enseignement n’intéresse pas parce qu’ils n’ont ni motivation sociale, ni pré-requis culturel, et celui des élèves qui savent déjà et dont l’intelligence est en manque d’exercice. C’est aux uns et aux autres qu’il faut s’intéresser, et ce ne peut être dans la même classe et de la même manière. Une nation a évidemment besoin d’une élite. L’héritage social, familial participe à sa formation. C’est une économie dont le pays aurait tort de se passer. Il lui faut seulement veiller à ce que cette élite indispensable s’élargisse et se renouvelle par la détection et l’encouragement des talents et des mérites. C’était l’idéal de « l’école de la République », comme ils disent, qui était clairement élitiste et méritocratique. Les Hutus en coupant les jambes des Tutsis n’ont guère amélioré la situation du Rwanda que les Tutsis gouvernent à nouveau depuis vingt ans.

    La remise en cause de l’enseignement du latin, plus encore que du grec, participe hautement de cette trahison. Le latin est la mère de notre langue, de ses soeurs ou cousines du sud de l’Europe. Non seulement elle fournit l’intelligence du français par l’étymologie, mais encore elle est au coeur de la transmission de notre identité. Le latin c’est le lien de notre civilisation avec l’ordre romain dont elle est l’héritière. Lorsque l’Empire d’Occident s’est dissous dans la submersion barbare, l’Eglise a maintenu ce qu’elle pouvait de cet ordre avec sa langue, le latin. Pourquoi parle-t-on de renaissance, sinon pour signifier la redécouverte de ces racines par le monde laïque et profane. S’attaquer au latin, c’est une fois encore vouloir gommer notre identité. C’est un acte de barbarie. C’est accepter que l’hétérogénéité prétendument non assimilable des jeunes issus de cultures étrangères à cet héritage d’une part, l’invasion du sabir anglais d’autre part, nous obligent à nous dépouiller de ce que nous sommes.

    Les langues anciennes ont aussi donné l’expression « fort en thème ». Cela n’a rien d’anodin. La clarté et la rigueur de la grammaire latine, les subtilités du grec, les liens de cette langue avec la philosophie étaient des terrains d’exercice privilégiés de l’intelligence verbale. Certes, ce n’est pas la seule, et il y a de l’intelligence dans la conception et la réalisation d’une serrure comme dans la composition latine ou la résolution d’une équation. On voit cependant à quel point la maîtrise de la logique, le sens de l’ordre des pensées sont nécessaires aux dirigeants. La baisse du niveau chez ceux qui nous dirigent aujourd’hui et qui se se font un plaisir de parler anglais est déjà suffisamment cruelle.

  • L’enseignement catholique se soumet à la réforme scolaire

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     21 mai 2015 / 15 commentaires / 1703 vues 

    Le secrétaire général de l’enseignement catholique, Pascal Balmand, demande aux catholiques d’« accueillir favorablement » la réforme du collège du gouvernement, publiée par décret. Contre quel plat de lentilles moisies le gouvernement a-t-il arraché cette soumission ? Dans un texte publié le lundi 18 mai, le secrétaire général de l’enseignement catholique écrit :

    « […] Il ne s’agit, à ce jour, que d’un ensemble de projets du Conseil supérieur des programmes, qui sera prochainement soumis à une large consultation. Ces propositions de nouveaux programmes s’inscrivent dans la logique évoquée à propos du nouveau socle commun et de la réforme du collège. Puisque chacun des domaines du socle « requiert la contribution transversale et conjointe de toutes les disciplines et démarches éducatives », les programmes commencent par déterminer, pour chaque discipline, sa « contribution essentielle et spécifique à l’acquisition de chaque domaine ». C’est là une nouveauté importante pour les enseignants souvent déconcertés, depuis le socle commun de 2006, par des exigences peu articulées posées d’une part dans le socle, et d’autre part dans les programmes. Il existe, dans le projet, une précieuse recherche de cohérence, de nature à réellement aider les équipes enseignantes.

    Chacun des programmes fixe, ensuite, « les niveaux de maîtrise attendus à la fin du cycle, les compétences et connaissances à acquérir et mobiliser ». Cette seconde partie précise les notions à faire découvrir. La nouveauté – que je salue – tient à ce que, par rapport à une tradition fortement normative d’un même programme imposé à tous, des choix sont désormais laissés aux équipes enseignantes pour se centrer d’abord sur les besoins des élèves. Les programmes deviennent un cadre national au sein duquel les enseignants organisent leurs enseignements en prenant en compte les besoins des élèves. C’est aussi ce qui amène, dans certaines disciplines, à proposer des thèmes obligatoires, et d’autres thèmes parmi lesquels les enseignements auront à choisir.

    Outre le fait que certaines formulations relèvent, à l’évidence, d’un jargon à clarifier, les principales polémiques touchent au programme d’histoire. Les choix opérés entre thèmes obligatoires et thèmes facultatifs me semblent assurément contestables. Trop de propositions thématiques séparent de façon regrettable les éléments liés à la vie politique, à l’économie et à l’histoire intellectuelle et religieuse, alors qu’une bonne compréhension requiert une articulation des divers domaines au sein d’une trame chronologique claire. Je m’interroge également sur des choix d’écriture qui, à tort ou à raison, pourraient laisser penser qu’est, peu ou prou, occultée la part du christianisme dans la construction de la culture et de la société nationale et occidentale. Je souhaite vivement que la consultation permette de réorienter ces approches.

    Au total, j’invite donc l’Enseignement catholique à accueillir favorablement le nouveau socle commun et la réforme des collèges, qui me paraissent à même de favoriser l’autonomie des établissements, de faire évoluer la mission de transmission de l’École pour le service d’une pédagogie personnalisée et d’une formation intégrale de la personne, et de rénover le métier de professeur en développant l’articulation entre enseignement et éducation. Les horizons dessinés rejoignent bien des pratiques déjà mises en œuvre dans nombre de nos établissements, et correspondent à des paradigmes de souplesse, d’adaptation, de créativité et de responsabilité que l’Enseignement catholique promeut et appelle de ses vœux.

    Par ailleurs, j’appelle chacun à un concours actif et loyal à la consultation sur les programmes, dont des points notables sont à mes yeux à profondément améliorer. Je souhaite que le regard porté sur ces réformes et les nécessaires débats qui s’ouvrent se fondent sur une lecture sérieuse, approfondie et globale des textes en cours d’élaboration. Les enjeux éducatifs, et notamment la préoccupation de la réussite de tous et de chacun, requièrent de dépasser les luttes partisane, les anathèmes radicalisés et une certaine forme d’excessive grandiloquence. »

    Deux millions d’élèves sont scolarisés dans l’enseignement catholique. Et si ces écoles privées refusent du monde chaque année, c’est parce qu’elles sont limitées par l’Etat collectiviste à 20 % des élèves. En 1984, nos parents ont défilé contre le régime socialiste, qui avait reculé. Malgré les évêques. 30 ans après, l’école dite libre se rend sans combattre. Avec les évêques. Les professeurs sont (dé)formés comme ceux du public. Public et sous contrat suivent les mêmes programmes. Le seul avantage de l’école sous contrat est d’avoir encore un peu de discipline permettant aux élèves d’apprendre plus sérieusement les cours enseignés. Et c’est pourquoi le taux de réussite est meilleur. Mais à quelques exceptions près, l’enseignement catholique n’offre plus grand chose de catholique.

    Cette démission en rase campagne face à la réforme n’est sans doute pas étrangère à la manoeuvre de Najat Vallaud-Belkacem, qui a annoncé la mise sur pied d’un bataillon d’inspecteurs pour aller fouiner dans les écoles hors contrat qui ne respecteraient par les sacro-saintes valeurs de la République. Ces valeurs contre lesquelles il est interdit de blasphémer : contraception, avortement, immigrationnisme, anthropologie nihiliste, LGBTisme exacerbé, etc.  Des écoles hors-contrat qui se créent par dizaines chaque année, au point de détourner les meilleurs éléments de l’enseignement sous contrat. Un plat de lentilles ?

    RIPOSTE CATHOLIQUE

  • FLUX MIGRATOIRES

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    FLUX MIGRATOIRES - La commission de Bruxelles est-elle criminelle ?

    La commission de Bruxelles est-elle criminelle ?



    Michel Lhomme
    le 22/05/2015
    modifié le 22/05/2015 à 15:56h
    La proposition, par Jean-Claude Juncker Président de la commission européenne, de quotas pose problème et constitue une faute dont les conséquences risquent d'être redoutables.
     
    En effet, l'enjeu des flux migratoires ne se limitera pas à n'accueillir que 20 000 migrants mais les chiffres seront entre l'Afrique, le Proche et le Moyen Orient, l'Inde aussi d'une toute autre ampleur et se chiffrent en dizaines de millions de femmes et d'hommes, voire davantage ! Il est en conséquence irresponsable d'afficher une politique d'accueil de 20 000 personnes alors que dès le lendemain se présenteront 40 000 nouveaux arrivants puis le double !

    La commission européenne et son président jouent les apprentis sorciers et sont totalement irresponsables. Les flux migratoires n'en sont qu'au commencement et vont se poursuivre pendant des décennies jusqu'au moment où les sociétés africaines entreront en transition démographique.
     
    En conséquence, il faudrait agir de suite sur les sources de ces flux. Comment ?  Cibler les passeurs criminels est nécessaire mais sera insuffisant car on va connaitre une pression permanente d'immigration sous l'effet conjugué de l'explosion démographique, des déstabilisations politiques et de la dégradation du climat. Il faut dès lors convaincre les pays africains et les aider massivement à mettre en place des programmes de maîtrise démographique. L'Afrique avait 250 millions d'habitants en 1950, elle en a aujourd'hui 1,2 milliard et atteindra 2,4 milliards en 2050 ! En 2100, le quart de la population du globe sera africaine !
     
    En urgence, Il faut que le conseil de sécurité de l'ONU se saisisse immédiatement du dossier libyen, érythréen et qu'il s'active sans tabous et préalable à rechercher une solution politique au conflit syrien. Il est urgent de reconstruire un Etat en Libye, de réparer l'erreur, la faute impardonnable de Nicolas Sarkozy. Seule la communauté internationale peut maintenant l'imposer au besoin par une mise temporaire sous tutelle de la Libye.


    Dans toutes ces conditions, on comprend mieux les réactions hostiles de très nombreux Etats européens (Grande-Bretagne, Hongrie et pays nordiques) aux propositions Juncker.  La France se réfugie, elle, dans un silence coupable et demeure aveugle sur les réalités géostratégiques d'aujourd'hui. Elle feint d'ignorer les conséquences sur la paix civile que cela entraînera nécessairement sur son territoire.
     
    Pourquoi cet aveuglement presque incompréhensible dans un pays qui portait autrefois le culte de la raison et du bon sens ? La France reste tout simplement aujourd'hui sous le contrôle et la pression des collabos immigrationnistes, le diktat d’intellectuels rétrogrades, faussement humanitaires dont le fond de commerce se résume depuis quarante ans par un slogan: "il faut ouvrir les frontières de l'Europe"! 

    Or, l'Europe n'a plus le choix. Elle n'a plus que le choix de la fermeté, du face à face et de l'affrontement puisqu'elle ne veut pas aider l'Afrique à stabiliser sa population (planning familial, voire stérilisation).

    La politique européenne est en l'état suicidaire. Elle nous amène à relire Arnold Toynbee : les civilisations ne meurent pas assassinées mais parce que justement, elles se suicident.
     
    METAMAG
  • L’État islamique mêle ses combattants aux migrants qui traversent la Méditerranée tandis que l’Europe fait l’autruche face aux invasions barbares.

    NDF 

    Interrogé par la BBC le 17 mai dernier, un conseiller du gouvernement libyen (celui qui est reconnu à l’étranger, actuellement basé à Tobrouk), Abdul Basit Haroun, a affirmé avoir discuté avec des passeurs. Ceux-ci lui ont dit avoir transporté des combattants de l’État islamique sur leurs bateaux remplis de migrants. D’après Abdul Basit Haroun, si l’EI n’organise pas lui même le trafic de migrants, il autorise les passeurs à exercer leur activité contre une commission de 50 % sur chaque émigré clandestin à destination du continent européen. Le trafic de migrants qui a pris des proportions démesurées grâce à la collaboration des autorités européennes est donc une source de revenus importante pour l’État islamique dans sa stratégie visant à imposer par un déchaînement de violence l’islam des origines, y compris en Europe.

    Mais l’EI ne se contente pas de prélever des impôts sur le trafic de migrants. D’après le conseiller du gouvernement libyen, il embarque aussi ses commandos terroristes sur les embarcations des passeurs. Des passeurs qui auraient expliqué à Abdul Basit Haroun que, outre les candidats à l’immigration clandestine en Europe inscrits sur leurs listes de passagers, ils ont à emmener des groupes de personnes non inscrites, sur ordre de l’EI. Ces groupes se distinguent des autres passagers par le fait qu’ils se tiennent à l’écart et qu’ils ne montrent aucune peur pendant la traversée contrairement aux autres personnes.

    Néanmoins, comme le fait remarquer Abdul Basit Haroun, les équipages des navires européens envoyés pour aller récupérer ces migrants entassés sur des embarcations surchargées ne font pas la différence entre les colons plus ou moins pacifiques fuyant la pauvreté ou la guerre dans leur pays et les envahisseurs belliqueux de l’EI débarqués en Europe pour y attendre le moment favorable. Sans parler du fait, même si Abdul Basit Haroun ne le dit pas, que les colons musulmans constitueront avec leurs enfants un futur vivier de recrutement pour l’EI puisque l’Arabie Saoudite et le Qatar se chargeront d’en endoctriner une partie à l’islam pur et dur dans les mosquées que nos élites corrompues par l’argent du pétrole les autorisent à financer et gérer sur notre territoire.

    Si nos grands médias, comme France 24 et Le Point, et aussi la BBC qui a pourtant réalisé cette interview, cherchent à relativiser, et même à décrédibiliser, les propos tenus par ce conseiller du gouvernement libyen, on ne doit pas oublier que c’est l’État islamique en Libye lui-même qui a prévenu les Européens qu’il enverrait ses djihadistes en Europe sur les bateaux de migrants.

    Peut-être serait-il temps de nous souvenir de la phrase prononcée en 1974 par le président algérien de l’époque, Houari Boumédiène, au Sommet islamique de Lahore ?
    « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »

    D’après l’agence européenne Frontex, chargée de coordonner la surveillance des frontières de l’UE, ils sont déjà 60 000 à avoir tenté la traversée cette année. L’année dernière, environ 220 000 ont réussi. Or, les affirmations de cet Abdul Basit Haroun sont d’autant plus crédibles que l’Espagne a elle aussi signalé à plusieurs reprises l’année dernière la présence de djihadistes parmi les personnes qui pénètrent illégalement sur son territoire à Ceuta et Melilla, ces deux enclaves espagnoles en Afrique du Nord, frontalières avec le Maroc. L’agence Frontex a elle aussi prévenu cette année qu’il était possible que des combattants étrangers se joignent aux immigrants clandestins pour pénétrer en Europe. Il en va de même pour le gouvernement italien qui a exprimé sa crainte d’une présence de musulmans djihadistes sur les bateaux d’immigrants clandestins.
    Et qui étaient d’ailleurs ces quinze musulmans qui ont jeté des chrétiens à la mer pendant la traversée ?

    Nos médias mainstream prétendent que le gouvernement libyen voudrait nous faire peur pour nous pousser à intervenir et que l’EI a meilleur compte à faire appel aux islamistes déjà présents en Europe, mais on peut très bien imaginer que des combattants soient envoyés pour mieux former les apprentis-terroristes qui vivent parmi nous et pour préparer des actions de plus grande ampleur. La meilleure défense, ce serait de débarquer les migrants repêchés en Méditerranée dans leurs ports d’origine, et pas de les disséminer dans l’UE par un système de quotas. L’hypocrisie des Européens est sans bornes quand ils prétendent avoir besoin d’une autorisation de l’ONU. Pour démolir l’État libyen et faire assassiner Kadhafi, les gouvernements français, britannique et américain n’ont pas demandé l’avis de l’ONU. En effet, le mandat de l’ONU qui leur avait été accordé les autorisait uniquement à empêcher l’aviation libyenne de voler. Il est d’ailleurs bien dommage d’avoir agi de la sorte, car le colonel Kadhafi était devenu notre meilleur allié dans la lutte contre l’immigration clandestine.

     

    Source : interview d’Abdul Basit Haroun dans l’émission Investigates de la radio BBC 5 Live (en anglais, à partir de 4 min 50 s)

  • Morbihan : le président des Jeunes UDI quitte le parti et adhère au FN

    0h22

    L’annonce vient d’être faite dans un communiqué du Front national. Le conseiller municipal d’oppostion de Plescop, Fabrice Dervouët quitte l’UDI pour le FN.

    Bertrand Iragne, secrétaire départemental du Front national du Morbihan annonce le ralliement au FN de Fabrice Dervouët, ancien président des Jeunes UDI du Morbihan et conseiller municipal sur la commune de Plescop.

    « J’ai quitté l’UDI parce que je ne me retrouvais plus dans ce parti, ni dans aucun autre à part le FN. Le centre va se morfondre dans l’UMP. Si à Plescop, on vote FN à 20 %, ça vaut dire que les gens veulent que ça change », explique Fabien Dervouët.

    Fabrice Dervouët avait annoncé sa candidature aux dernières élections départementales avant de se retirer.

    ouest-france.fr

  • Hongrie : le questionnaire sur l’immigration et le terrorisme inquiète l’ONU

    18h57

    Un questionnaire sur l’immigration et le terrorisme a été envoyé par le gouvernement hongrois à tous les ressortissants du pays âgés de plus de 18 ans.

    Vendredi, le Haut-Commissariat de l’ONU pour les droits de l’homme a fait part de son inquiétude sur ce questionnaire envoyé la semaine dernière.

    « Nous sommes choqués par le message d’introduction du Premier ministre, suggérant un lien entre migration et attaques terroristes, y compris l’attaque qui a eu lieu à Paris début janvier de cette année », a indiqué une porte-parole du Haut-Commissariat lors d’un briefing à Genève.

    Selon le Haut-Commissariat, le message de Viktor Orban indique également que les migrants économiques représentent « une nouvelle menace » pour la Hongrie et que le pays doit décider comment « se défendre contre les immigrants illégaux« , a ajouté la porte-parole.

    Le Haut-Commissariat pour les droits de l’homme « rappelle aux autorités hongroises qu’elles ont le devoir au titre du droit international humanitaire de combattre la xénophobie et la discrimination« . [...]

    Le Haut-Commissariat s’est également déclaré « très inquiet » par les récents appels du Premier ministre hongrois à ouvrir un débat sur un possible rétablissement de la peine de mort. « Toute tentative de rétablir la peine de mort en Hongrie serait un terrible revers dans la lutte globale contre la peine capitale« , a-t-elle conclu.

    Le Point

  • 22 mai 1885, mort de Victor Hugo

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    21h52

    Il y a 130 ans décédait l’un des plus grands auteurs français, tour à tour poète, romancier, critique, journaliste, homme politique et auteur de théâtre.

     

    Le 22 mai 1885, Victor Hugo s’éteint. Celui qui a 16 ans, poète précoce, avait écrit « Je serai Chateaubriand, ou rien » a finalement réussi à dépasser son prestigieux modèle. Considéré comme l’un des plus grands écrivains du 19e siècle, Victor Hugo c’est plus qu’une plume de génie, c’est aussi un engagement politique. Un engagement qui le conduira à défendre la liberté de la presse, l’enseignement pour tous, ou bien encore les Etats-Unis d’Europe… A sa mort, la dépouille d’Hugo est installée dans un corbillard des pauvres, comme il l’avait demandé. Et quelques jours plus tard, la troisième république lui organisera des funérailles nationales, son cercueil sera exposé à l’Arc de triomphe avant d’être portée au Panthéon, accompagné par une foule de 2 millions de personnes… La mort de Victor Hugo, c’était il y a 130 ans.

    France Info

  • Le mouvement écologique

     jaysclick | 5 mai 2015 | Non classé |

     

    mouvement-ecologique

    A la caisse d’un super marché une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche alors de ne pas se mettre à « l’écologie » et lui dit:
    « Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources! »

    La vieille femme s’excusant auprès de la caissière expliqua:
    « Je suis désolée, nous n’avions pas de mouvement écologique dans mon temps. »

    Alors qu’elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta:
    « Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens.
    C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps! »

    La vieille dame se retournant admit qu’à l’époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de limonade et de bière au magasin qui les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises.
    À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées,
    mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    De mon temps, on montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu’à l’épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues.
    Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    À l’époque, on lavait les couches de bébé avec du savon ; on ne connaissait pas les couches jetables ni les lingettes.
    On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans un machine avalant 3000 watts à l’heure.

    On utilisait l’énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.
    À l’époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d’un frère ou d’une soeur à l’autre.

    C’est vrai ! on ne connaissait pas le mouvement écologique

    À l’époque, on n’avait qu’une TV ou une radio dans la maison ; pas une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d’une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l’État du Texas.

    Dans la cuisine, on s’activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.

    Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

    À l’époque, on utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon ; on n’avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées ou auto portées.

    À l’époque, on travaillait physiquement; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.
    Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    À l’époque, on buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif ; on n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu’on voulait prendre de l’eau.
    On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo ; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage.
    Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    À l’époque, les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l’école au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.

    À l’époque, les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers à jeter fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
    Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.

    ALORS NE VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON SAC PLASTIQUE ET TON MOUVEMENT ÉCOLOGIQUE !!!!!!

    La vieille dame avait raison : à son époque, on ne connaissait pas le mouvement écologique, mais on vivait chaque jour de la vie dans le respect de l’environnement.

    Sousesprit