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  • Le château de Versailles livré à une nouvelle ignominie: l'expo d'Anish Kapoor et son "Vagin de la Reine"

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    Sur le site du Château de Versailles, il est écrit sobrement :

    Artiste britannique d’origine indienne né en 1954, Anish Kapoor installe plusieurs de ses oeuvres dans les jardins du Château de Versailles, en dialogue avec les perspectives de Le Notre, les fontaines et pièces d’eau, la statuaire de marbre et d’or, ainsi que la notion de miroir qui renvoie tout à la fois à certains bassins et à la Galerie des Glaces, coeur du Palais de Louis XIV. 

    Mais Anish Kapoor saisit également le poids du pouvoir partout présent à Versailles, jusque dans son apogée révolutionnaire et démocratique. Une exposition phare qui prend le Domaine National à bras le corps.

    Mais la vérité est bien plus répugnante.

     

    Un entretien avec Anish Kapoor paru dans le JDD du 31 mai ne laisse aucun doute sur les intentions sordides de « l’artiste contemporain », désireux de s’emparer du Château de Versailles pour “bouleverser l’équilibre et d’inviter le chaos” :

    Je me suis permis une incursion à l’intérieur, dans la salle du Jeu de Paume, là d’où est partie la Révolution française, où ont été prononcés les mots “liberté, égalité, fraternité”, un symbole du pouvoir encore imprégné d’une formidable tension. Face au tableau de David, j’ai placé un canon qui tire 5 kg de cire, une matière évoquant des corps en bouillie, dans un coin de la pièce. Un symbole phallique évident pour une installation controversée qui interroge sur la violence de notre société contemporaine”

    “Face au château, il y aura une mystérieuse sculpture en acier rouillé de 10 m de haut, qui pèse plusieurs milliers de tonnes et avec des blocs de pierres tout autour. Là encore, à connotation sexuelle : le vagin de la reine qui prend le pouvoir”.

    Les promoteurs de l’art contemporain accumulent les provocations, encensent la laideur, vénèrent ce qui est glauque. Soit. Mais « il n’est pas acceptable que le patrimoine historique de la France serve d’écrin à ces étrons et que l’argent du contribuable rémunère ces insultes à l’intelligence« , commente Alain Escada, président de Civitas, qui appelle les Versaillais, les défenseurs du patrimoine historique français et les partisans du Beau à témoigner publiquement sur place de leur indignation.

    Quant au magazine Les Inrocks, toujours du côté de l’art dégénéré, il dénonce… « l’ire de la fachosphère ».

     

    Médias-Presse-Info

  • Marine Le Pen face à Ruth Elkrief

  • Décevant Felipe VI (Présent 8368)

     

     

    04/06/2015 – FRANCE (NOVOpress)

    Bien sûr, Sa Majesté a fait cette véritable déclaration d’amour à notre pays. Bien sûr, elle a émis le souhait de voir se maintenir en Europe « une France sûre d’elle-même, fidèle à ses valeurs et déterminée à les défendre ». Bien sûr encore, elle s’est engagée à ce que nos deux pays avancent « main dans la main »… Mais comment pardonner à Felipe VI, dont le père n’a dû son trône qu’à Franco, d’avoir rendu hommage aux Républicains espagnols en participant à l’inauguration du Jardin des combattants de la Nueve ?

    Un roi très républicain8368-Une
    Il est vrai que l’intervention du monarque dans l’enceinte même du Palais Bourbon avait fait grincer des dents quelques nostalgiques de la guillotine. Une grogne cependant vite ensevelie sous les nombreux applaudissements qui ont ponctué le discours de Felipe VI.
    S’exprimant dans un français impeccable, le roi devait d’abord se souvenir que son père avait été le premier souverain étranger invité à prononcer un discours dans cette enceinte en octobre 1993, et, ce faisant, rappeler que par ce geste, la France et l’Espagne avaient alors exprimé « leur loyauté sans faille envers des valeurs que nos deux nations partagent : la défense de la liberté, le respect et la promotion des droits de l’homme, l’équité sociale et le respect de la justice ».

    Après quoi, Felipe VI devait exprimer à notre pays sa « reconnaissance face à la leçon de fermeté et de dignité dont ont fait preuve le peuple français et ses institutions lors des tragiques attentats » de janvier. « Les Espagnols, devait-il préciser, savent très bien ce que le peuple français a subi (…), car pendant des décennies, nous avons subi et combattu le terrorisme, et grâce à votre aide, nous l’avons vaincu ». Et le roi d’ajouter : « Je vous assure ici et maintenant que face à toute agression, l’Espagne sera à vos côtés ».

    Puis, évoquant longuement l’Europe et la crise économique qui la bouleverse, Felipe VI devait déclarer qu’« en tant qu’ami et admirateur de votre pays, je tiens à vous dire que sans la France, il n’y a pas d’Europe. Sans une France sûre d’elle-même, fidèle à ses valeurs et déterminée à les défendre, l’Europe et le monde perdraient (…) une référence fondamentale. Voilà pourquoi nous voulons plus de France. Pour nous rappeler que la liberté, la fraternité et l’égalité ne sont pas une évidence, mais que nous devons lutter chaque jour pour les préserver ».

    Une injure au Caudillo
    Bref, un discours mêlant bon et mauvais, et qui n’aura pas suffi à chasser de notre mémoire l’hommage que le souverain avait rendu le matin même aux Républicains espagnols de la Nueve. Lui, dont le père n’a dû son trône qu’à la volonté de Franco, et règne donc aujourd’hui sur l’Espagne grâce au Caudillo, devait non seulement accepter de participer à cette cérémonie orchestrée par Anne Hidalgo, mais y expliquer en outre que ce jardin sera le symbole de… « la liberté et de la tolérance » ! A croire que l’ingratitude coule dans le sang des Bourbons d’Espagne.

    Franck Delétraz

  • La déclaration choc de Viktor Orban sur les migrations actuelles vers l'Europe

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    D’après le Premier ministre hongrois Viktor Orban, les migrations actuelles vers l’Europe menacent la civilisation du continent.

     

    C’est dans le cadre d’une conférence en l’honneur de l’ex-chancelier conservateur allemand Helmut Kohl que le dirigeant populiste a lancé sa déclaration choc :

    « Une migration de masse se produit aujourd’hui dans le monde, et elle pourrait changer la face de la civilisation européenne. Si cela se produit, cela sera irréversible ».

    Et de poursuivre :

    « S’il y a une Europe multiculturelle, on ne reviendra pas en arrière, ni vers une Europe chrétienne, ni vers le monde des cultures nationales. […] Si nous faisons une erreur aujourd’hui, ce sera pour toujours ».

    Le gouvernement hongrois a adressé récemment à la population un questionnaire sur l’immigration très controversé, dont plusieurs des questions « véhiculent des préjugés sur les étrangers », selon le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans.

    La Commission européenne souhaite que les Etats de l’UE prennent en charge de façon plus solidaire les réfugiés et demandeurs d’asile. Le principe de quotas qu’elle a avancé a suscité l’opposition de plusieurs pays, le populiste Viktor Orban la qualifiant d’ « absurde ».

    20 minutes

    FDS

    NdB: En quelques phrases simples et claires, le Premier ministre hongrois a tout dit sur la terrible menace qui pèse aujourd'hui sur l'Europe.

     

  • Viktor Orban ne veut plus de multiculturalisme en Hongrie

     

    Publié le 03-06-2015 à 11h31
     
     Le temps du multiculturalisme est révolu et la Hongrie doit à tout prix éviter d'en subir les conséquences, estime Viktor Orban. Dans un entretien à un journal, le Premier ministre hongrois durcit encore sa position sur l'immigration en disant rejeter tout mélange "à grande échelle" des croyances religieuses. /Photo prise le 29 mai 2015/ REUTERS/Bernadett Szabo (c) ReutersLe temps du multiculturalisme est révolu et la Hongrie doit à tout prix éviter d'en subir les conséquences, estime Viktor Orban. Dans un entretien à un journal, le Premier ministre hongrois durcit encore sa position sur l'immigration en disant rejeter tout mélange "à grande échelle" des croyances religieuses. /Photo prise le 29 mai 2015/ REUTERS/Bernadett Szabo (c) Reuters
     
     

    BUDAPEST (Reuters) - Le temps du multiculturalisme est révolu et la Hongrie doit à tout prix éviter d'en subir les conséquences, estime Viktor Orban.

    Dans un entretien accordé au quotidien Napi Gazdasag, publié mercredi, le Premier ministre hongrois durcit encore sa position sur l'immigration en disant rejeter tout mélange "à grande échelle" des croyances religieuses.

    "Le multiculturalisme, cela veut dire la coexistence de l'islam, des religions asiatiques et du christianisme. Nous ferons tout notre possible pour épargner cela à la Hongrie", assène Viktor Orban. "Les investisseurs, artistes et scientifiques non chrétiens sont les bienvenus mais nous ne voulons pas de mélange à grande échelle", ajoute-t-il.

    Le Premier ministre hongrois, dont le parti, Fidesz (conservateur), cède du terrain dans les sondages au profit du parti d'extrême droite et anti-immigration Jobbik, se heurte régulièrement à ses homologues européens, notamment sur les questions d'immigration. Le mois dernier, il a estimé devant le Parlement européen que les propositions de la Commission européenne sur la mise en place quotas de migrants en réponse à la crise en Méditerranée "confinaient à la folie".

    Dans l'entretien publié mercredi, il s'en prend à Jobbik, un parti qu'il juge dangereux "parce qu'il offre la tentation constante, la capitulation intellectuelle (de choisir) des solutions simplistes", assurant que son propre parti saura tenir un "discours plus conciliant" aux électeurs.

     

    (Marton Dunei, Tangi Salaün pour le service français)

     

    L'OBS

  • L’islamisation : fantasme ou réalité ? Poser la question c’est y répondre !

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    Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia

    Les éditions Dualpha viennent de publier un recueil de contributions sur le thème L’Islamisation de la France, fantasme ou réalité ?, avec de nombreux contributeurs tels que Yves-Marie Laulan, Christine Tasin, Camille Galic ou Michel Lhomme, mais aussi l’imam Tarek Oubrou, Alain de Benoist ou le Père Michel Lelong. Nous publions ci-dessous le texte de Jean-Yves Le Gallou pour qui « l’islamisation de la France n’est pas une question d’opinion, mais une question de faits ». Et les faits sont indubitables : nous avons assisté à une islamisation massive et en profondeur de la France.

    « Réaffirmation claire et radicale de notre droit à défendre notre identité, l’identité européenne d’expression française ».

    Polémia.


    Les faits sont indubitables

    L’islamisation de la France n’est pas une question d’opinion, c’est une question de faits.

    Et les faits sont indubitables.

    Il y a 30 ans il y avait environ 3 millions de musulmans en France, il y en a aujourd’hui autour de 6 millions. Voilà à tout le moins un élément démographique à prendre en compte.

    D’autant que la situation sociologique de la communauté musulmane a profondément changé.

    Au début des années 1980, les musulmans présents en France étaient largement désislamisés : ils n’allaient guère à la mosquée, leurs femmes ne portaient pas le voile, la viande n’était pas halal et la pratique du ramadan, quand elle avait lieu, se faisait discrète.

    En trente ans tout a changé.

    Là où il y avait quelques centaines de salles de prières, il y a désormais près de 3000 mosquées. Et les métropoles régionales construisent des grandes mosquées avec coupoles et minarets, marquant dans l’espace public la conquête symbolique du territoire par l’islam. Dans le même temps les imams se sont multipliés, certains occupant même des fonctions officielles comme aumôniers musulmans dans les armées, la gendarmerie et… les prisons.

    L’apparition du voile islamique dans l’espace public – dans un collège de Creil – en 1989 avait profondément choqué les Français : au point de provoquer l’élection à Dreux de Marie-France Stirbois comme député Front national. Aujourd’hui le voile islamique est visible partout : dans certains quartiers il est même de facto obligatoire. Quant à la loi interdisant la burqa, ses rares tentatives d’application déclenchent des émeutes.

    2 islamisationL’abattage halal, pourtant contraire aux règles de sécurité alimentaire et de protection de l’animal contre la souffrance, concerne près d’une bête de boucherie sur deux. Pour des raisons économiques les abattoirs obligés de disposer d’une filière halal ont tendance à fermer la filière classique d’abattage. Résultat : c’est le consommateur français de souche qui doit s’adapter. D’autant que la restauration collective s’aligne sur les exigences des plus intolérants, c’est-à-dire sur les revendications musulmanes : plat halal et exclusion du porc. La restauration rapide, les cantines scolaires et les rations… militaires adoptent ces normes venues de l’Arabie chamelière du VIIe siècle.

    La pratique du Ramadan est devenue une source de perturbation de la vie économique et une cause supplémentaire de troubles de voisinage. Et les revendications se multiplient pour faire entrer les fêtes musulmanes dans le calendrier officiel.

    En fait, les règles islamiques s’imposent de plus en plus de la vie à la mort : à la naissance, où les gynécologues et soignants masculins sont souvent écartés des parturientes ; aux urgences, où les mêmes tabous venus d’ailleurs s’appliquent ; et lors de la mort, avec la multiplication des carrés musulmans dans les cimetières.

    Une laïcité abandonnée

    Le principe de laïcité que l’islam ignore absolument est de plus en plus souvent bafoué : construction de lieux de culte sur financement public (les élus offrant de l’argent public en échange de votes communautaires) ; pressions sur le contenu des programmes scolaires ; présence de femmes voilées comme auxiliaires du service public (accompagnement des sorties de classe) ; prise de contrôle des prisons – occupées à plus de 50% par des musulmans – par un islam de plus en plus radical.

    La liberté d’expression – au cœur de la pensée européenne – est elle-même menacée et progressivement restreinte au nom du refus de « l’islamophobie » et du respect des prescriptions coraniques, d’où l’interdiction de la représentation de Mahomet. C’est la revendication de toutes les associations musulmanes de France qui relaient les points de vue de l’Organisation de la ConférenceCouv 01 Islamisation France islamique, institution qui regroupe 57 pays musulmans. Tout ce petit monde se réfère à l’article 22 de la Déclaration des droits de l’homme en islam, signée au Caire, en 1990, qui précise : « Tout homme a le droit d’exprimer librement son opinion pourvu qu’elle ne soit pas en contradiction avec les principes de la Charia » : une limitation radicale de la liberté d’expression dont le principe est partagé par la quasi-totalité des musulmans.

    Difficile de ne pas parler dans ces conditions d’islamisation galopante ! Une islamisation qui ne concerne pas seulement les musulmans mais qui frappe aussi de plein fouet les Français de souche : dans leur liberté d’expression, dans leur conception des rapports hommes/femmes, dans les programmes scolaires de leurs enfants, dans leurs habitudes alimentaires, dans le paysage architectural et humain de leur ville.

    Préserver l’identité civilisationnelle

    C’est l’identité civilisationnelle qui est en cause.

    Il est donc légitime de s’attacher à arrêter l’islamisation et donc à comprendre ses causes :

    -la première cause c’est l’ouverture des frontières et le regroupement familial organisé en 1975 : c’est l’origine de l’expansion démographique musulmane en France ;

    -la deuxième cause c’est l’autoculpabilisation française et la répression médiatique et judiciaire de tout propos critique sur l’immigration et les minorités ethniques ;

    -la troisième cause c’est l’acceptation du financement du développement de l’islam par les Etats musulmans et singulièrement par les pétromonarchies sous influence wahabite ;

    -la quatrième cause, c’est l’abandon de nos principes civilisationnels et politiques (laïcité).

    Les réponses

    Le diagnostic étant posé, les réponses sont simples :

    • Réaffirmation claire et radicale de notre droit à défendre notre identité, l’identité européenne d’expression française ;
    • Arrêt total de toute immigration en provenance des pays musulmans, et non-renouvellement des cartes de séjour arrivant à expiration ;
    • Arrêt total du financement public français ou étranger de tout lieu culturel ou cultuel musulman.

     

    Jean-Yves Le Gallou
    2/06/2015

    L’Islamisation de la France, fantasme ou réalité ? (3 volumes), Les Editions de l’Æncre, avril 2015.

    Ecrivains, journalistes, philosophes, chercheurs, acteurs du débat politique et religieux confrontent ensemble leurs points de vue sur la place de l’islam en France et dans le monde qui préoccupe tant nos concitoyens : les trois volumes abordent les thèmes suivants : États musulmans, laïcité, athéisme, liberté d’expression, coutumes, mœurs, théologie, politique, djihad, entretiens, témoignages…

    http://francephi.com/boutique/edition-laencre/lislamisation-de-la-france-fantasme-ou-realite-volume-2/

    Correspondance Polémia – 2/06/2015

    Image : France : L’islamisation de notre pays, un phénomène avant tout démographique ?

    NdB: Le chiffre de 6 millions de musulmans me paraît être très en-dessous de la réalité...