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  • Censure des messages anti-réfugiés sur Facebook : Merkel met la pression sur Zuckerberg

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    01/10/2015 – EUROPE (Bloomberg /FSM traduit par NOVOpress)
    La chancelière allemande Angela Merkel a confronté le Directeur général de Facebook, Mark Zuckerberg, sur la progression de son entreprise pour limiter les messages racistes, après que son gouvernement se soit plaint que le réseau social ne faisait pas assez pour sévir contre la récente explosion de messages xénophobes.

    Lors d’un déjeuner en marge du sommet de développement des Nations Unies à New York samedi dernier, Merkel et Zuckerberg ont été enregistrés en direct par une web radio diffusée sur le site de l’ONU.
    Après que Merkel a brièvement interrogé Zuckerberg sur le traitement des commentaires postés sur le réseau social et sur la façon de les censurer, le PDG de Facebook répond que « nous devons encore faire du travail » sur le sujet.
    « Vous travaillez sur ça ? » a insisté Merkel en anglais. « Ouais », a répondu Zuckerberg, avant que leur dialogue ne soit interrompu par de nouveaux arrivants.

    Plus tôt ce mois-ci, Facebook avait déjà indiqué qu’il devrait redoubler d’efforts pour cibler les contenus racistes sur son site allemand. La compagnie a déclaré le 14 septembre qu’ils s’associaient avec un chien de garde Internet allemand, un groupe à but non lucratif appelé Self-Monitoring Volontaire des fournisseurs de services multimédias, pour surveiller le contenu des messages considérés comme « haineux ». (NDLR L’objet de ce site de surveillance est de protéger les jeunes contre tout message qui pourrait les « désorienter sur un plan sexuel ou socioethnique ».)

    Les autorités allemandes sont aux prises avec la plus grande crise de réfugiés du pays depuis la Seconde Guerre mondiale, avec sans doute 1 million de personnes cherchant refuge contre la guerre et la pauvreté qui devraient entrer dans le pays cette année. Alors que beaucoup d’Allemands se sont précipités pour accueillir les nouveaux arrivants, cet envahissement subit a également stimulé une vague d’attaques contre les centres de réfugiés et de sentiment anti-étranger.

    « Nous sommes déterminés à collaborer étroitement avec le gouvernement allemand sur cette question importante », a réaffirmé par email Debbie Frost, un porte-parole de Facebook de Menlo Park, en Californie. « Nous pensons que les meilleures solutions pour traiter avec les gens racistes et postant des commentaires xénophobes peuvent être trouvées lorsque les fournisseurs de services, le gouvernement et la société civile travaillent tous ensemble pour relever ce défi commun. » (NDLR Facebook propose ce même type d’arrangement au gouvernement chinois pour les laisser s’installer dans ce grand pays.)

  • Allemagne : Une ancienne cadre de la STASI aidera le gouvernement à censurer l’opposition à l’immigration sur internet

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    Anette Kahane, ancien agent de la STASI, la police politique de RDA

    BREIZATAO – URZH BED-NEVEZ (28/09/2015) Le ministre de la justice allemand, Heiko Maas, a manifesté sa colère suite aux réactions d’hostilité de l’opinion publique allemande sur internet face au remplacement de population en cours. Le gouvernement allemand a en effet annoncé vouloir accueillir près d’un million d’immigrés musulmans pour la seule année 2015.

    Le ministre a donc envoyé une lettre au réseau social Facebook pour demander à ce dernier de censurer systématiquement les propos critiquant la position gouvernementale sur l’immigration.

    Il y a deux semaines, le réseau social a mandaté une délégation officielle au ministère de la justice allemand afin de discuter du plan défendu par ce dernier, à savoir la création d’équipes chargées de censurer les propos jugés politiquement déviants par l’Etat.

    “Le but est d’identifier les propos criminels” a déclaré Heiko Maas au journal Bild (source).

    Les membres des équipes sont désignés par le gouvernement et l’entreprise Facebook, mais l’organisation d’extrême-gauche liée à l’appareil sécuritaire allemand “Réseau contre les nazis” y participera également.

    Cette organisation a été fondée en 2007 par Antonio Amadeu Trust et est dirigée par  la cadre d'extrême-gauche  Anette Kahane. Celle-ci, de 1974 à 1982, a travaillé en tant qu’agent secret pour la Stasi (nom de code “Victoria”), la terrible police politique de l’Allemagne de l’Est communiste (source).

    Aujourd’hui, Anette Kahane est une cadre professionnelle de l’antiracisme d’état. L’année dernière sur la chaîne russe d’information Russia Today, elle déclarait que les pays d’Europe devaient accepter de voir leurs populations augmentées par les masses du tiers-monde islamique.

    L’ancien agent de la Stasi sera donc chargée de surveiller et de censurer Facebook.

    Vingt-cinq ans après la chute de la RDA, la population allemande se retrouve donc à nouveau étroitement surveillée par le gouvernement qui entend bien détruire toute forme d’opposition politique. Et emploie donc à cette fin d’anciens cadres de la police politique communiste.

    (source)

     

  • Abasourdis après la gifle de Poutine, les États-Unis sont à la recherche d'une stratégie

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    01/10/15 à 11:09 - Mise à jour à 11:11

    Source : Knack

    The Washington Post parle d'une "insulte". D'autres médias la qualifient de gifle. Des membres du gouvernement se montent abasourdis. Les États-Unis sont à la recherche d'une réponse aux bombardements russes en Syrie, qui d'après les sources américaines visaient surtout d'autres objectifs que l'EI.

     

    Vladimir Poutine et Barack Obama © REUTERS

    Selon des sources américaines, Poutine n'a pas seulement fait bombarder des cibles syriennes, il a aussi fait semblant de viser l'État islamique (selon les Américains), alors que son aviation touchait surtout d'autres opposants du régime syrien, dont certains sont armés et entraînés par les États-Unis. Si c'est déjà suffisamment grave, il y a aussi sa façon d'agir.

    Moins de deux jours après les "entretiens francs" entre les présidents Poutine et Obama, où ils ont discuté de la coordination des actions, et à de la grande ouverture mutuelle, les bombardements ont été communiqués de façon très peu orthodoxe à Washington.

    D'après la BBC, les événements ont eu lieu de la façon suivante: "Tout a commencé par un coup de téléphone d'un diplomate russe basé à Bagdad à un confrère américain. 'Nous avons quelque chose d'intéressant à raconter'. Un peu plus tard, un général russe trois étoiles quitte l'ambassade russe et se rend à l'ambassade américaine, où il demande à parler à l'attaché militaire. Il explique au militaire que les bombardements commencent dans une heure et que les Américains ont intérêt à quitter l'espace aérien syrien et évacuer tous les soldats au sol". Soixante minutes plus tard, les bombardements commencent effectivement.

    "De l'huile sur le feu"

    La presse américaine, qui se base sur des sources au sein du gouvernement, a d'abord réagi d'un ton assez modéré en parlant d'une aggravation du chaos. Le ministre des Affaires étrangères John Kerry a rapidement annoncé des entretiens de coordination entre militaires russes et américains tout en se montrant très inquiet. Le ministre de la Défense Ashton Carter a déclaré que les Russes avaient jeté de "l'huile sur le feu".

    Cependant, le ton s'est rapidement durci. Alors que les Russes annonçaient avoir mitraillé 20 cibles de l'EI, les analystes américains et les opposants syriens ont déclaré qu'il s'agissait de mensonges. The New York Times déclare que, d'après des blogueurs et des analystes, les images diffusées par les Russes de leurs attaques aériennes ne montraient pas les cibles de l'EI qu'ils prétendaient attaquer. The Washington Post cite plusieurs hauts fonctionnaires qui affirment que les Russes ont surtout bombardé d'autres opposants, et pas l'EI. "Parmi les opposants touchés, il y avait des unités entraînées et armées par la CIA".

    "De quel côté se trouvent les États-Unis ?"

    The New York Times écrit que les effets des bombardements sur les opposants syriens sont considérables même s'ils ont plus ou moins l'habitude de se faire mitrailler. Le quotidien donne la parole à Jamil Saleh, le leader d'une milice modérée soutenue par les États-Unis dans la province de Hama, qui comptait 8 blessés après ce qu'il décrit comme un bombardement russe. Le groupe a diffusé une vidéo de 2 chasseurs à réaction russes. Ensuite, la dénotation a été si forte que la caméra s'est éteinte. "Nous nous trouvons sur la ligne de front avec l'armée de Bachar el-Assad. Nous sommes des rebelles modérés sans liens avec l'EI. L'EI est situé à au moins 100 kilomètres d'ici".

    Le Times donne la parole à un activiste issu de Homs, où selon les sources de l'opposition, il y a eu 36 civils tués lors des bombardements russes. "La Russie est complice des crimes d'Assad qui peut nous tuer avec l'approbation des États-Unis et de la communauté internationale", estime l'activiste Khoodair Khusheif. "Je ne comprends vraiment pas comment un grand pays comme les États-Unis laisse la Russie bombarder la Syrie". D'après le journal, il s'agit d'une question récurrente en Syrie : de quel côté sont les États-Unis ?

    À en croire la BBC, Poutine développe une stratégie claire au Moyen-Orient. Il souhaite préserver son port en eau profonde dans la ville syrienne de Tartous. Il désire jouer un rôle au Moyen-Orient, garder Assad au pouvoir. Et dans cette perspective, l'opposition modérée constitue une cible au moins aussi légitime que l'EI. À présent, la question se pose : que font les États-Unis ?

    Lundi, dans son discours aux Nations Unies, Obama a déclaré: "Choisissez la coopération plutôt que le conflit. Ce n'est pas de la faiblesse, mais de la force".

    D'après la BBC, Poutine ne partage pas cet avis: "À présent, il semble que le gouvernement américain doit faire un choix: va-t-il risquer une confrontation avec les Russes ou acceptera-t-il qu'Assad reste où il est et pour longtemps? Ce ne sont pas des choix faciles".

    Il faudra que les États-Unis tranchent. Il y a en effet un groupe croissant de parlementaires et d'Américains qui ne comprennent plus la stratégie du gouvernement Obama.

  • Syrie : l'armée russe a déployé plus de 50 avions et hélicoptères, ainsi que des parachutistes et des unités de forces spéciales

    http://www.levif.be/actualite/international/syrie-l-armee-russe-a-deploye-plus-de-50-avions-et-helicopteres-ainsi-que-des-parachutistes-et-des-unites-de-forces-speciales/article-normal-425679.html?utm_source=Newsletter-01/10/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV&M_BT=10384380009393

     

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  • 10.000 personnes manifestent à Dresde avec PEGIDA contre l'immigration - Pas un mot dans les médias français...

    Lundi, le mouvement Pegida manifestait à nouveau à Dresde. Plus de 10.000 personnes avaient répondu à l’appel.
     Devant l’opéra de Dresde, la foule a écouté les discours dénonçant l’invasion migratoire, ainsi que la complicité des politiciens et des journalistes.

    Bien entendu, pas un mot dans les médias français. Pas plus que pour les gigantesques manifestations contre l’immigration en Pologne.

    L’information officielle doit uniquement vous apitoyer sur le sort de malheureux « réfugiés » et vous faire perdre toute envie de résister à ce torrent migratoire.

    Medias-Presse-Info

     

  • VIDEO - Axel Kahn: "au départ tous nos ancêtres étaient noirs..."

    http://www.fdesouche.com/653097-axel-kahn-au-depart-tous-nos-ancetres-etaient-noirs-puis-ils-ont-conquis-le-monde

    Biographie: https://fr.wikipedia.org/wiki/Axel_Kahn

     

     

  • Le gouvernement va baisser les APL pour compenser une partie des aides aux réfugiés

     

    13h44

    Le gouvernement prévoit de raboter le budget des aides personnalisées au logement pour compenser les dépenses pour l’accueil des réfugiés, notamment.

    Le ministère du Logement [NDLR : Sylvia Pinel, voir photo] va devoir économiser 225 millions d’euros sur les aides personnalisées au logement (APL), selon le projet de budget pour 2016 dévoilé mercredi.

    Ces mesures d’économies compenseront des dépenses supplémentaires prévues l’an prochain : 150 millions d’euros d’ »aides à la pierre » (subventions aux bailleurs sociaux pour la construction d’HLM) en plus, et 120 millions pour renforcer les capacités d’accueil des réfugiés, selon l’entourage de la ministre du Logement Sylvia Pinel.

    Les APL, très connues et octroyées sous conditions de ressources, sont aussi le principal poste de dépenses du ministère du Logement pour un montant de 15,5 milliards d’euros. Selon le projet de budget, elles seront rabotées de 225 millions en 2016 et de 314 millions en 2017 par trois mesures d’économies cibles. (…)

    Le Point

    Merci à guillemette

  • La prééminence culturelle du christianisme

     

    Karim Ouchikh intransigeant

    Karim Ouchikh est président du SIEL (Souveraineté, Indépendance Et Libertés). Il a bien voulu répondre aux question du Rouge & Le Noir.

     

    R&N : Une partie de la classe politique française ne définit plus l’identité française qu’à travers des “valeurs de la République”, sans jamais définir celles-ci. Y-a-t ‘il vraiment des “valeurs de la République”, et si oui quelles sont-elles ?

    Karim Ouchikh : Depuis près de 40 ans, sans jamais se soucier de l’assentiment du peuple, nos élites ont choisi de prendre le large en cédant au mirage de la mondialisation, devenue tout d’un coup la nouvelle frontière de la France. Pour rendre l’avenir de notre pays compatible avec un tel dessein, la classe politique française a œuvré en deux temps avec la complicité active des médias et des relais d’opinion.
    Il s’est agi d’abord de détruire la singularité française en effaçant les repères chronologiques de notre histoire, en ringardisant les figures illustres de notre passé, en effaçant l’estime porté à nos anciens, tout en culpabilisant nos compatriotes avec tout ce qui a trait à notre héritage mémoriel, notamment en disqualifiant certains épisodes de notre histoire jugés, bien à tort, éminemment clivants (croisades, guerres de religion, monarchie absolue, traite négrière, décolonisation…). Cette vaste entreprise de déculturation, activement menée dans nos écoles comme au sein des médias, a ainsi rendu possible, dans un second temps, cet extraordinaire tour de passe-passe sémantique qui a consisté à identifier nouvellement notre pays dans le champs lexical, en faisant appel à des ‘‘valeurs de la République’’ que nul n’est capable de définir précisément, évitant ainsi soigneusement de parler tout simplement de la ‘‘France’’.
    Ces introuvables ‘’valeurs de la République’’ (laïcité, égalité, fraternité, libertés…), déclinées ad nauseam au trébuchet des ‘’droits de l’Homme et du Citoyen’’, sont si abstraites, si théoriques, si insipides, qu’elles trouveraient sans peine à s’acclimater dans n’importe quel autre régime démocratique de la planète. De la sorte, on refuse de regarder l’identité charnelle de notre pays, c’est à dire de la voir en acceptant sa dimension culturelle, la spécificité de son héritage chrétien, la beauté de son art de vie…, bref de considérer la France au prisme des traits ordinaires qui la rendent si désirable aux yeux du monde depuis des lustres. Comme beaucoup, je m’insurge contre cette vaste escroquerie intellectuelle qui stérilise et affadit notre identité pour la rendre en réalité davantage accessible à ces populations nouvelles qui arrivent en masse sur notre sol, lesquelles auront d’autant moins d’efforts à accomplir pour s’assimiler dans le creuset national que celui-ci se sera précisément évaporé dans l’intervalle.

     

    R&N : Quel modèle de civilisation la France peut-elle encore proposer ?

    Karim Ouchikh  : La France doit surtout rester fidèle à elle-même, attentive à son être authentique que nous chérissons tous. Plutôt que d’être perpétuellement en quête d’un modèle extérieur insaisissable, américain ou allemand, qui sont radicalement étrangers à son histoire, plutôt que de céder aux sirènes européistes qui imposent une intégration politique des nations de notre continent dans un ensemble européen autoritaire et atlantiste, la France doit défendre sa singularité historique, dans le cadre institutionnel d’un État indépendant appelé à recouvrer au plus vite ses attributs de souveraineté pour bâtir, avec d’autres, une Europe confédérale respectueuse des peuples, à rebours de cette Europe supranationale castratrice qui nous est imposée depuis plus de trente ans.
    Ce modèle singulier repose, au plan intérieur, sur l’affirmation sereine d’un héritage indivis qui se compose d’un socle anthropologique chrétien prédominant, d’une culture gréco-latine toujours vivante, d’une histoire exceptionnelle à nulle autre pareille et d’une langue merveilleuse qui rayonne bien au-delà de nos frontières. Hors de notre pré carré, la France se range aujourd’hui encore parmi ces puissances spirituelles qui, à l’instar de la Russie, porte une âme charnelle à portée universelle, ce qui les démarquent, toutes deux, des puissances matérialistes, davantage tournées vers la recherche d’un impérialisme économique, comme peuvent l’être l’Allemagne ou les Etats-Unis : dans ce cadre géopolitique, il nous appartient ainsi de forger une alliance stratégique avec la Russie, dans l’intérêt bien compris de la France comme de l’Europe. Au sein du concert des nations, la France doit enfin renouer avec sa vocation historique de puissance d’équilibre, capable aussi bien de s’opposer à toutes les hégémonies planétaires, atlantiste ou islamiste, que de créer des espaces de coopération inédits, comme pourrait l’être demain une Union latine que j’appelle de mes vœux depuis fort longtemps.

    Lire la suite de l’article sur lerougeetlenoir.org

     

    E&R

  • Schengen au coeur de la crise migratoire

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/09/02/01016-20150902ARTFIG00222-les-accords-de-schengen-au-coeur-de-la-crise-migratoire.php

    Infographie

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  • Syrie : Le Drian estime préoccupante « l’accélération du déploiement militaire russe »

     

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    Ce n’est pas l’Etat islamique qui le préoccupe mais la Russie ! Invité de Ruth Elkrief ce lundi soir sur BFMTV, Jean-Yves Le Drian s’est interrogé sur les intentions des Russes qui ont renforcé leur présence militaire en Syrie et dans la région. « L’accélération du déploiement militaire russe récent, en particulier, à Tartous et au sud de Lattaquié est quand même très préoccupante. Le fait qu’il y ait maintenant plusieurs dizaines d’avions de chasse russes dans un aéroport militaire au sud de Lattaquié n’est pas neutre. Cela n’incite pas à calmer les tensions. On s’interroge sur les raisons, (…) il faut que les Russes clarifient leur position sur le renforcement de leur présence militaire sur la zone », a déclaré le ministre de la Défense

  • Morano menace de "dézinguer" Sarkozy

    http://www.leparisien.fr/politique/videos-menacee-de-sanction-morano-menace-de-dezinguer-sarkozy-30-09-2015-5141193.php

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  • Marine Le Pen invitée de Mardi Politique

    Ci-dessus extrait de la  vidéo