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  • François Hollande accorde une «remise gracieuse» de peine à Jacqueline Sauvage

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/francois-hollande-accorde-une-remise-gracieuse-de-peine-a-jacqueline-sauvage-31-01-2016-5502519.php

  • Belgique : Les migrants à l’assaut des côtes de Zeebruges


    Migrants : à l'assaut des côtes belges

     

    19h42

    Certains migrants à bout d’espoir tentent désormais de passer par la Belgique. Le port de Zeebruges bientôt un nouveau Calais? C’est en tout cas ce que redoutent les autorités belges confrontées à un afflux de migrants ces dernières semaines.

     

  • Résistance Républicaine privée de manifestation anti-islamisation à Saint-Brieuc ?

     




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    Communiqué. « Nous apprenons par un article de Ouest France de ce jour que le Préfet aurait décidé d’interdire à Saint-Brieuc la manifestation qui doit avoir lieu à l’appel de Pegida dans 14 pays européens et plusieurs villes françaises sur le thème « Sauvons notre pays, sauvons notre culture, sauvons notre futur ». Cette manifestation est organisée et a été déclarée par le responsable Côtes d’Armor de notre association, Mickael Bussard.  

    Nous nous étonnons vivement que le Préfet des Côtes d’Armor qui représente l’Etat justifie cette interdiction par des commentaires et des prises de positions personnelles. Est-il habituel, en France, que les préfets n’acceptent que les manifestations avec lesquelles ils sont en phase et en accord intellectuel ?

    Ses assertions montrent clairement qu’il utilise sa fonction à des fins idéologiques : « L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante. Je ne suis pas en phase avec ces thèses racistes, provocatrices et xénophobes. » Il précise qu’il « ne souhaite ni cette manifestation ni la contre-manifestation annoncée par ailleurs ».

    Il s’agit là d’une instrumentalisation et d’une intrusion du politique dans la liberté de manifester reconnue par la constitution que nous ne pouvons accepter.

    Nous nous réservons d’ailleurs également le droit d’engager une procédure pour injures publiques. »

    Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine

    NDF

  • Mais qu’arrive-t-il à la Suède et au Danemark ?

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    Jusqu’à 80.000 migrants vont être expulsés du sol suédois, c’est-à-dire la moitié des demandes d’asile du pays.

    Suite à la vague sans précédent de migrants, les Suédois viennent de frapper fort dans l’Europe entière : jusqu’à 80.000 migrants vont être expulsés du sol suédois, c’est-à-dire la moitié des demandes d’asile du pays.

    La social-démocratie suédoise, dont on nous vend, en France, tous les mérites tant au niveau de l’intégration que de l’emploi et du système syndical, durcit le ton. Ironie des ironies, des avions « charters » renverront les migrants : le caractère « inhumain » du procédé qui choquait, en 2003, les associations de défense des étrangers en France sera celui qu’utilisera le modèle d’intégration et d’emploi de ces mêmes associations.

    Les « terres promises » des migrants disent « stop » ! Certains blâment l’absence de coordination européenne, d’autres le manque d’engagement des autres pays dans la crise migratoire : la Suède et le Danemark n’en peuvent plus et les heurts s’amplifient. Récemment, c’est une des gérantes d’un centre d’hébergement qui est morte sous les coups de couteau d’un migrant de 15 ans. Dans le même temps, certains irresponsables comme Jean-Claude Juncker n’hésitent pas à renvoyer la balle aux pays de l’Union en affirmant qu’il s’est « enclenché une spirale négative dans laquelle les gouvernements nationaux restreignent leur régime d’asile pour le rendre moins attrayant que celui du pays voisin, tandis que les responsables politiques alimentent un populisme qui n’apporte que de la colère, et non des solutions ». Sacrée patate chaude…

    On pourrait peut-être trouver une raison plus crédible que l’absence de coordination européenne pour justifier cette décision : les Suédois commencent tout simplement à comprendre que leur mode de vie risque d’être complètement bouleversé par l’arrivée des migrants. Ils agissent en conséquence pour le préserver !

    Le Danemark n’est pas en reste, d’ailleurs, puisqu’il a remis ses contrôles aux frontières (mais où est passé Schengen, sacrebleu ?) et vient de voter une loi pour confisquer les biens des migrants au-delà de 1.340 euros… La loi a fait un tollé et une bonne vieille reductio ad hitlerum n’a pas tardé à être envoyée par le Washington Post. François Gemenne, professeur en science politique à l’université de Liège et spécialiste des flux migratoires, s’offusque : « Avec la loi danoise, on a franchi un palier supplémentaire dans l’ignominie, quasiment dans l’indifférence générale. »

    Elle est belle, cette social-démocratie dont vous nous vendiez les charmes ! Malheureusement, tout comme vous, elle se confronte à la dure et violente arrivée des migrants sur notre sol. François Hollande nous a affirmé que la France était une social-démocratie : suivons le modèle de nos « grands frères », alors !

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • A-t-on été manipulé dans l’affaire Sauvage ?

     

    14h48

    La famille de Jacqueline Sauvage est allée réclamer ce vendredi la grâce présidentielle à François Hollande. Florence Rault voit dans l’émotion suscitée par cette affaire la poussée d’un féminisme victimaire qui voudrait se substituer à la justice.

     

    Le traitement de «l’affaire Sauvage», illustre jusqu’à la caricature ce qu’est devenu le débat public. Approximations, ignorance, inculture juridique, androphobie, hystérie, se marient pour imposer UNE vérité et la mettre au service d’UNE cause.

    (…) L’analyse d’un dossier comme source d’information vaut toujours mieux que la notice Wikipédia pour parler sérieusement d’un tel cas. Or ce dossier fait apparaître une autre réalité. Le récit que la clameur vient de nous infliger est tout simplement faux.
    Jacqueline Sauvage est restée mariée 47 ans avec un homme dont elle a eu 4 enfants. Les violences qu’elle aurait subies durant toute cette fort longue période ne sont attestées que par un seul certificat médical récent. Même si des témoignages de voisins et de relations parlent d’un homme manifestement colérique. À cette inertie quasi cinquantenaire, les militants répondent: «emprise». Notion commode et utilisée à tout propos, qui devrait pourtant recouvrir des situations très différentes. Non, les femmes ne sont pas systématiquement victimes de tout et responsables de rien. Et la violence des femmes n’est pas toujours tentative d’échapper à une emprise.
    En ce qui concerne le passage à l’acte, il faut rappeler que Jacqueline Sauvage a abattu son mari avec son propre fusil alors qu’il était immobile sur sa terrasse, de trois balles dans le dos. Et qu’elle pratiquait la chasse en tireuse expérimentée. À cela, les militants répondent: «souvenirs post-traumatiques». Si l’on comprend bien, à la suite d’une nouvelle altercation Jacqueline Sauvage aurait brutalement été confrontée aux souvenirs de 47 ans de martyr jusqu’alors refoulés.

    (…) Concernant le contexte familial des Sauvage il est intéressant de rappeler que les quatre enfants du couple avaient fait leur vie depuis longtemps, l’aînée ayant déjà 50 ans… Que la présentation d’une fratrie dévastée par le caractère monstrueux du père ne résiste pas à l’examen du dossier.
    Autre détail déplaisant, l’épisode du suicide du fils la veille du meurtre est souvent présenté comme étant aussi à l’origine du déclic. Problème: Jacqueline Sauvage ne le savait pas quand elle a abattu son mari. Les débats ont plutôt fait apparaître un fils trouvant dans la mort le moyen d’échapper à l’emprise de la mère.
    C’est sans doute ce récit qu’on retenu ceux qui sont intervenus dans ce dossier et ceux qui l’ont jugé, en toute connaissance de cause après une procédure dont personne n’a contesté la régularité.

    (…) Le FigaroVox

  • Estrosi a dit...

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  • Apartheid au conseil régional : personne ne veut s’asseoir à côté des élus FN

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    Conseil régional IDF

     

     

    Source : Boulevard Voltaire
    Il y en a pour qui accepter les règles de la démocratie n’est pas chose simple.

    Il y en a pour qui accepter les règles de la démocratie n’est pas chose simple. De ces partis politiques pourtant autoproclamés héritiers des valeurs de la République. À s’en attribuer le patronyme. Républicains.
    Les élections régionales ont vu entrer des conseillers régionaux FN par dizaines dans des hémicycles peu enclins à partager leur terrain de jeux, et l’aller-retour entre les déclarations de principe et la mise en place de la volonté des urnes tourne au cul-de-sac.
    Ainsi, pour la première session du conseil régional d’Île-de-France présidée par Valérie Pécresse, les élus FN ont eu la surprise de voir les sièges autour d’eux vacants.
    Isolés de leurs homologues Les Républicains par quatre places laissées vides entre le rang de la majorité et celui des élus frontistes.

    Le président du groupe FN, Wallerand de Saint-Just, a adressé un courrier à la présidente de la région pour dénoncer cette politique de la chaise vide, en précisant que le lendemain, à la commission permanente, cela avait recommencé, la « présidence » ayant supprimé un siège à côté d’une élue FN pour que l‘élu suivant, du Front de gauche, n’ait pas de contact avec elle.
    Manquerait plus que ça.

    Il y aurait donc des élus fréquentables et des sous-élus, ceux de seconde zone, tolérés, mais physiquement tenus à l’écart par un vide sanitaire sous forme d’humiliation déguisée. Oui, mais des sous-élus n’existent que par la volonté de sous-électeurs. Et c’est Marianne qu’on assassine à défaut d’insulter 6 millions de Français.
    Madame Pécresse s’est donc justifiée, par des mots d’excuse qui rabaissent plus qu’ils ne consolent. « Il se trouve qu’il y a 4 sièges en trop par rapport au nombre d’élus et qu’ils sont tombés là. » Pas de bol.
    Citée par L’Opinion, Mme Pécresse expliquera : « Ce n’est pas notre faute, personne ne veut s’asseoir à côté d’eux ! »
    Nous y voilà.

    En Bourgogne-Franche-Comté également, le résultat des urnes bouscule les habitudes de ceux qui gouvernent sans contradiction depuis plusieurs décennies.
    Le vote du 21 janvier en assemblée plénière a permis aux élus frontistes d’être désormais représentés dans les conseils d’administration des lycées. Une répartition à l’image de la composition de la nouvelle assemblée régionale.
    Une réalité sortie des urnes qui a du mal à passer, d’autant que des voix socialistes se sont mêlées à celles du Front national lors de ce vote, faisant ainsi rompre « une petite digue », comme l’a déclaré Sophie Montel, présidente du groupe frontiste. Seul le groupe d’opposition Les Républicains-UDI s’est prononcé contre. On respire.

    Des élus FN dans les lycées, chasse gardée de l’intelligentsia gauchiste depuis 1968, c’est un pavé dans la mare de la bien-pensance. Celle qui vise à préformater nos chères têtes blondes à coups de relecture de l’Histoire de France, de théories du genre en tout genre et d’associations héritées de SOS Racisme.
    Non, décidément, ces 6 millions d’électeurs FN n’ont pas dû bien soupeser les conséquences de leur bulletin de vote en décembre dernier. De chaise musicale en apartheid organisé, la seule présence de leurs représentants bouscule, à elle seule, le doux ronronnement d’une caste politique ankylosée, percluse de suffisance et adepte d’une démocratie à tolérance variable.

    Anne-Sophie Désir
    Juriste

  • L'islam à l'Académie française !

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