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  • «Cabinet noir» : les ténors de la droite réclament l'ouverture d'une enquête

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    • Par Paule Gonzales
    • Mis à jour
    • Publié

    Le Palais de l'Élysée. Crédits photo : 9522566/fanfan - Fotolia

     

    INFO LE FIGARO - Les signataires d'une lettre adressée à Eliane Houlette, patronne du Parquet national financier et à François Molins, procureur de Paris, invoquent l'article 40 du code de procédure pénale et dressent une liste des infractions constatées dans le livre Bienvenue Place Beauvau.

    Ils ont disséqué Bienvenue Place Beauvau, le livre par qui le nouveau scandale est arrivé par effraction, dans la campagne présidentielle, jeudi soir. Cette fois-ci, ce sont les poids lourds de la droite française institutionnelle qui ont bien l'intention de réagir. Certains occupent parmi les fonctions les plus importantes de l'État: Philippe Bas, président de la commission des lois du Sénat, Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, Christian Jacob, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile de France, Nathalie Kosciusko-Morizet, présidente du groupe d'opposition LR au Conseil de Paris et Luc Chatel, ancien ministre de l'Éducation nationale et désormais porte-parole du candidat François Fillon s'apprêtent à adresser à Eliane Houlette, patronne du Parquet national Financier et François Molins, procureur de Paris, une dénonciation de faits délictueux au titre de l'article 40 du code de procédure pénale qui oblige toute autorité constituée à donner avis d'infraction connue.

    Dans un courrier qui pourrait leur parvenir dès ce lundi matin, tous ces politiques reviennent sur le livre des journalistes Didier Hassoux, Christophe Labbé et Olivia Recasens. À ce courrier est joint un tableau mettant en regard les extraits du livre avec les seules infractions jugées constituées. Elles sont nombreuses. À titre principal: association de malfaiteurs, corruption, corruption des autorités judiciaires, trafic d'influence, atteinte à la vie privée, atteinte au secret des correspondances, abus d'autorité, complicité de fraude fiscale, violation du secret professionnel, violation du secret de l'enquête. Reste désormais à savoir si la justice donnera suite.

    DOCUMENTS - La lettre et le tableau qui vont être adressés à Eliane Houlette, patronne du Parquet national Financier et François Molins, procureur de Paris.

    Cliquer sur le lien pour lire la suite:

    http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/03/26/35003-20170326ARTFIG00184-cabinet-noir-les-tenors-de-la-droite-reclament-l-ouverture-d-une-enquete.php

  • 26 mars 1962 : massacre de la rue d’Isly, par les gendarmes gaullistes

    26 mars 2017 par admin4

    Il y a cinquante ans environ, alors que De Gaulle avait trahi et abandonné l’Algérie aux égorgeurs du FLN, des Français manifestaient pacifiquement rue d’Isly à Alger. Une centaine d’entre eux furent abattus et des centaines furent blessés par les balles des gendarmes français. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    T. de Chassey
    Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com/il-y-a-50-ans-le-26-mars-1962 |

  • Un "polar" (et un peu plus que ça) de Bruno FAVRIT

    Couv Le Hussard.JPG polar bruno.JPG

    Le Hussard ne perd pas le Nord (2017)

    12,00 €

    Même au fin fond du Lubéron, au pays de Giono, on peut faire des rencontres singulières. Ainsi en est-il pour Julien Ardant, dit le Hussard, auquel la jeune Lola demande protection. Une bonne action qui va le propulser dans l’univers des plus malfaisants prédateurs. Du Sud au Nord, aidé de son acolyte le Lansquenet et d’un jeune journaliste indépendant et rebelle, le Hussard va affronter tous les dangers. Il y aura des coups à prendre et à donner pour gagner la partie. Avec le Hussard, franc-tireur, ami de l’ordre, défenseur des justes causes, aristocrate à la longue mémoire et digne successeur d’Arsène Lupin, un héros de haute volée est né.

    Né en 1960, Bruno Favrit, homme d’action et philosophe panthéiste, a publié plusieurs essais et romans.

    Ce titre est le second de la collection policière Le Lys Noir. On peut aussi l’acquérir dans une formule club qui propose 4 titres (tous à 12 euros) à 36 euros au lieu de 48 euros. Pour cela, nous écrire à audaisarn@free.fr pour que l’on vous envoie un lien paypal spécifique.

     

    NdB: Je vous le recommande si vous avez envie de vous distraire avec humour et intelligence!

  • Un "grand jour" pour les emplois américains

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    C’est un «grand jour» pour l’emploi et l’indépendance énergétique, a affirmé le président américain vendredi. «C’est un moment historique pour l’Amérique du Nord», a-t-il ajouté après que son administration a donné son accord plus tôt dans la journée.

    Il n’a pas fait allusion au débat sur le réchauffement climatique et à l’environnement, sujets qui avaient poussé son prédécesseur Barack Obama à bloquer la construction de l’oléoduc.

    En accordant le permis, le département d’État a indiqué que la construction de cet oléoduc «servirait l’intérêt national» américain. TransCanada, l’opérateur canadien qui va exploiter l’oléoduc a indiqué pour sa part qu'il abandonnait en conséquence les poursuites engagées contre le gouvernement américain après le veto d’Obama.

     

    Le département d’État a souligné que ce feu vert avait été donné après avoir pris en compte divers facteurs comme «la sécurité énergétique, l’environnement, les aspects culturels ou les impacts économiques», tout en étant conforme sur un plan légal.

     
    Le 24 mars 2017 par TVA nouvelles

     

  • Farage utilise l’attaque à Londres pour justifier le décret migratoire de Trump

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    17h47

    L’ancien dirigeant du parti indépendantiste britannique Ukip a utilisé l’exemple de l’attaque perpétrée mercredi à Londres pour justifier le décret anti-immigration défendu par Donald Trump.

    Un véritable plaidoyer contre le multiculturalisme. Intervenant ce jeudi matin sur la chaîne américaine Fox News, Nigel Farage, l’ancien dirigeant du parti indépendantiste britannique Ukip, qui avait mené campagne en faveur du Brexit en 2016, a estimé que l’attaque terroriste perpétrée mercredi à Londres justifie des mesures contre l’immigration, telles que le décret anti-immigration défendu par Donald Trump pour bloquer l’accès aux Etats-Unis à des ressortissants de pays musulmans.

     

    « Nous avons fait des erreurs terribles dans ce pays »

    Comme le rapporte le Guardian, Nigel Farage s’en est pris aux hommes politiques prônant le multiculturalisme et l’immigration non contrôlée en provenance des pays du Moyen-Orient, les accusant « d’inviter au terrorisme ».

    « Nous avons fait des erreurs terribles dans ce pays, et cela a vraiment commencé avec l’élection de Tony Blair, en 1997, qui a dit qu’il voulait bâtir une Grande-Bretagne multiculturelle », a estimé Nigel Farage.

    « Le problème avec le multiculturalisme c’est qu’il mène à la division entre les communautés. (…) Les Américains qui observent ce terrible événement survenu à Westminster devraient certainement commencer à se dire que quand Donald Trump essaye de mettre en place des mesures de contrôle, il le fait pour protéger notre pays », a poursuivi celui qui a plusieurs fois apporté son soutien au nouveau président américain pendant la campagne.
    « Si vous ouvrez votre porte, vous invitez au terrorisme »

    « Franchement, tous ces gens qui manifestent sur la 5e Avenue à New York et ailleurs devraient longuement réfléchir à ce qu’ils sont en train de faire. Si vous ouvrez votre porte à l’immigration incontrôlée en provenance du Moyen-Orient, vous invitez au terrorisme », a encore ajouté Nigel Farage, faisant référence aux larges mouvements de protestation qui avaient suivi la signature du décret anti-immigration par Donald Trump, aux Etats-Unis.

    De son côté, la Première ministre polonaise Beata Szydlo a établi un lien, ce jeudi, entre l’attaque à Londres et la politique migratoire européenne, estimant que cet événement conforte la décision de Varsovie de refuser d’accueillir des migrants.

    BFM

  • Denise Bombardier : « Au nom d’Allah, détruire la culture judéo-chrétienne »

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    Denise Bombardier est une journaliste, essayiste et animatrice de télévision, née à Montréal en 1941, très connue dans la « Belle Province ». Elle vient, dans la rubrique « Opinions » qu’elle tient dans le quotidien québécois Le Journal de Montréal, de publier les réflexions que lui inspire le dernier attentat islamiste commis à Londres, sous le titre « Au nom d’Allah »… Ce n’est pas “politiquement correct”, mais cela mérite d’être lu…

    Chaque nouvel attentat islamiste provoque dans nos pays occidentaux des réactions diverses, enveloppées d’une ouate de prudence et formulées dans un vocabulaire qui cherche à atténuer la brutalité et l’intolérable barbarie d’un acte meurtrier. « Nous n’avons pas peur », assurent nos dirigeants, obligés de cacher leurs mains tremblantes derrière le dos lorsqu’ils commentent publiquement les tueries des soldats­­ d’Allah.

    Des médias préfèrent parler de « fous » ou de « malades » afin d’éviter de jeter de l’huile sur le feu et laisser place aux amalgames accablant des musulmans. Or, le vocabulaire psychiatrique fait référence­­ à une maladie mentale expliquant le besoin de tuer, supprimant ainsi­­ la responsabilité pénale de ces criminels­­. Certains veulent laisser entendre­­ que ces terroristes agissent par des pulsions incontrôlables et seraient­­ donc inaptes à être jugés.

    Or, cette tentative d’écarter le véritable motif de cette guerre, menée au nom d’Allah par des combattants dont l’objectif est de détruire la culture judéo-chrétienne, sert à justifier Daech­­, Al-Qaida, les talibans ou Boko Haram, qui créent la terreur sur tous les continents.

    Les djihadistes ne se réclament ni du marxisme ni du fascisme. Leur combat n’a pas comme objectif d’abolir les inégalités­­ sociales, l’exploitation politique ou économique. Ils recherchent non pas la paix, mais le cataclysme universel. Ce sont des combattants de la mort. Tuer est un sentiment orgasmique pour eux. Tuer tous ceux qui ne sont pas eux, tous les « infidèles », c’est-à-dire les chrétiens, les juifs, les athées, les bouddhistes, les hindous et les minorités musulmanes hérétiques à leurs yeux, et dont la présence sur terre est une offense­­ à leur Allah à eux.

    Le terroriste au passé de criminel, radicalisé­­ probablement en prison par un des imams qui sévissent en Angle­terre depuis longtemps, a attendu son heure. Installé dans sa voiture, il s’est engagé sur le pont de Westminster, bourré de touristes, et a foncé dans la foule. Ensuite, armé de couteaux de 12 pouces, il s’est précipité vers un policier en faction devant le parlement, l’a poignardé à mort et a continué sa course vers des gardes armés qui l’ont descendu. Son fantasme religieux de vierges qui l’attendaient au paradis s’est réalisé.

     

    Cessons de crier haut et fort que nous n’avons pas peur et que la démocratie qui est la nôtre va triompher. D’abord la peur, c’est-à-dire la conscience aiguë du danger, n’est pas que paralysante. Elle peut ajouter à la lucidité. Être sur ses gardes n’est pas un défaut. Lorsque le président Erdogan de Turquie, un musulman­­ “modéré”, déclare que les Européens ne pourront plus marcher dans la rue en sécurité si l’Union européenne poursuit son hostilité à l’endroit de son pays, faut-il hausser les épaules ?

    Le paradigme pacifiste est chose du passé. Des touristes de neuf pays sont morts ou ont été blessés à Londres. Ils sont originaires de la Corée du Sud aux États-Unis.

    Au moment où j’écris ces lignes, un djihadiste français vient d’être arrêté à Anvers en Belgique pour avoir tenté de foncer dans la foule avec sa voiture.

    Que conclure ? Qu’il faut le soigner ?

    Source : Le Journal de Montréal, 24 mars 2017

    L'Observatoire de la christianophobie

  • Mosquée fermée à Clichy: prière devant la mairie pour protester

    https://fr.news.yahoo.com/mosqu%C3%A9e-ferm%C3%A9e-%C3%A0-clichy-pri%C3%A8re-devant-mairie-protester-151924962.html

  • Pont de Westminster: non, la femme voilée n'était pas indifférente aux victimes...

    6795267_femme_1000x625.jpg Londres.jpg

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/attentat-de-londres-non-la-femme-voilee-n-etait-pas-indifferente-aux-victimes-25-03-2017-6795267.php

  • Marine Le Pen pour la levée des sanctions contre la Russie

    La supposée ingérence russe dans la présidentielle française, les enquêtes judicaires, la coopération avec la Russie… Marine Le Pen, présidente du Front national, expose ses réflexions après sa rencontre avec le président russe, Vladimir Poutine.

    «Ce qui est prioritaire, c’est de permettre précisément la coopération entre la Russie et la France, non seulement la coopération culturelle mais aussi la coopération commerciale», a déclaré Marine Le Pen, le 24 mars, lors de sa visite à Moscou. Pour elle la France ne devrait pas «se limiter dans son souhait de pouvoir retrouver des relations normalisées avec la Russie». Une mesure première pour un rétablissement, c’est la levée des sanctions qui, à ses yeux, ont été décidées en réalité par l’Union européenne.

    La présidente du Front national (FN) n’est pas inquiète d’éventuelles retombées négatives de sa visite en Russie à quelques semaines de l’élection présidentielle française : «C’est contre l’ensemble de ce système que je me bats, par conséquent je ne vais pas me couler dans le moule des gens qui ont toujours pris de mauvaises décisions». Pour elle, il n’y pas une seule bonne raison pour mener «une forme de guerre froide» à la Russie. Marine Le Pen est persuadée la France devrait avoir une relation équilibrée avec la Russie et les Etats-Unis ce qui est «possible parfaitement» avec Vladimir Poutine et Donald Trump.

    La présidente du FN a également réfuté les accusations d’ingérence russe dans la présidentielle française : «Je les entends sortir de la bouche de François Hollande tous les jours alors que je n’ai pas vu le début d’un commencement de preuve de ces accusations». Marine Le Pen s’est néanmoins dite étonnée que François Hollande ne réclame pas d’explications aux Etats-Unis, alors qu’«il est avéré» que la CIA a effectué des écoutes des dirigeants européens et également d’un candidat à la présidentielle de 2012. «Je pense qu’il faut arrêter le deux poids deux mesures. C’est cela qui donne un véritable sentiment d’injustice pas seulement au peuple russe mais à beaucoup de peuples dans beaucoup de pays dans le monde», a-t-elle martelé.

    Quant à l’enquête dont Marine Le Pen fait l’objet, la présidente du parti souverainiste français est persuadée que la justice est «en grande partie instrumentalisée par le pouvoir politique». Pour elle, les autorités s’en servent pour «tenter de priver le peuple français du débat légitime auquel il a le droit» au moment où le choix que les Français vont faire est «un choix essentiel, un choix de civilisation».

     «Je pense que les Français jugeront assez durement la manière dont cette campagne présidentielle a été perturbée par cette instrumentalisation politique», a-t-elle conclu.

    Source

    En marge de sa rencontre avec Vladimir Poutine, Marine Le Pen est revenue sur la campagne électorale française et notamment sur les accusations portées par François FIllon à l’encontre de François Hollande quant à l’existence d’un «cabinet noir».

    Lors d’une conférence de presse à Moscou le 24 mars, Marine Le Pen a réagi aux accusations directes portées par François Fillon à l’encontre de François Hollande. «Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vais laisser Monsieur Fillon se bagarrer avec le président de la République qui, semble-t-il, n’a rien d’autre à faire que de mener bataille contre les candidats s’opposant à Monsieur Macron, c’est-à-dire Monsieur Fillon et moi-même», a-t-elle lancé.

    En effet lors de L’Emission politique sur France 2 du 23 mars 2017, François Fillon a accusé le président de recourir aux services d’un «cabinet noir» pour lancer des affaires contre ses adversaires politiques. L’Elysée avait réagi rapidement et François Hollande fustigé François Fillon pour son manque de «dignité».

     A une autre question «Avez-vous peur ?» posée par une journaliste évoquant le risque de troubles sociaux au cas où elle serait élue –allusion directe aux manifestations qui ont eu lieu contre la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis –, Marine Le Pen a déclaré n’avoir «peur de rien».

    Et la présidente du Front national (FN) de préciser : «Je sais très bien que les défenseurs de la mondialisation sauvage qui nous a été imposée depuis des années avec son cortège de chômage, de délocalisations, de dilutions de notre identité, d’immigration massive chercheront par tous les moyens à éviter […] la reprise en main du pouvoir politique par les peuples».

    Le meilleur outil à disposition desdits peuples, «c’est la Nation», a-t-elle martelé. «Je crois à la Nation contre la globalisation, je crois au patriotisme contre le mondialisme», a conclu Marine Le Pen.

    Source

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