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  • Transfert de migrants : « MSF suspend ses opérations de sauvetage en Méditerranée »

     

    23h21

    Médecins sans frontière (MSF) suspend ses opérations de sauvetage en mer Méditerranée. C’est une réaction à la circulaire des autorités libyennes qui veulent restreindre l’accès à leurs eaux internationales aux navires étrangers. Ce document a été publié hier, il crée une très vaste zone maritime dans laquelle les bateaux étrangers n’ont plus le droit de naviguer sans autorisation. Les ONG qui portent secours aux migrants sont donc particulièrement touchées par cette circulaire. MSF ne baisse pas les bras définitivement, mais l’organisation va demander des explications aux autorités de Tripoli et jusqu’à nouvel ordre donc, plus d’opération de sauvetage. Françoise Bouchet-Saulnier, la directrice juridique de l’ONG, qui gère le navire Prudence.

    RFI

  • Vacances incognito à Marseille pour le couple Macron

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    Footing sur les plages du Prado avec le maillot de l'OM et visite surprise au château de La Buzine hier. Petit tour en bateau dans la rade de Marseille cet après-midi et pied-à-terre dans une demeure du parc Talabot, dans le très chic quartier du Roucas-Blanc (7e arrondissement). Emmanuel et Brigitte Macron ont choisi Marseille pour profiter de leurs premiers jours de vacances.

     
     

    Un choix inattendu ; aucun couple présidentiel n'avait fait opté pour des congés dans la cité phocéenne. Très discret le couple a été aperçu par quelques Marseillais, stupéfaits de cette rencontre. Depuis plusieurs jours, aucune information n'avait filtré sur la destination estivale du couple macron ; certains les imaginant en Italie ou en Grèce. "Ils ont salué tous le personnel du château de La Buzine, ils étaient détendus et très agréables", nous a confié la directrice du lieu culturel. Selon nos informations, les époux Macron prévoient de séjourner à Marseille au-moins jusqu'à la fin de la semaine prochaine.

    "Les vacances des Macron": un dossier spécial à lire dans "La Provence" de dimanche 13 août

    Exclusivité La Provence

  • Les derniers cow-boys du Far West

    Je vous conseille la lecture de cette belle vidéo!

  • Abus sexuels à Newcastle (GB) : « Les blanches ne servent qu’à une chose »

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    12h10
     

    L’affaire est choquante. Un « sex gang » composé par des hommes « asiatiques » originaires du Pakistan, du Bangladesh, d’Iran, d’Iraq, de Turquie et d’Inde, ainsi que par la copine blanche d’un de ceux-ci, aurait abusé de dizaines de jeunes filles dans la ville anglaise de Newcastle-upon-Tyne.


    Le modus operandi était toujours le même: ils fournissaient de nombreux produits stupéfiants à leurs victimes, comme cocaine, cannabis, alcool ou méphedrone, pour ensuite abuser d’elles pendant des orgies collectives connues comme « sessions ».
    La police du conté de Northumbria parle d’au moins 108 victimes potentielles.
    L’un des criminels, Badrun Hussein (37 ans), avait en précédence déclaré: « Toutes les filles blanches ne servent qu’à une chose. Ensuite, il faut les jeter comme des déchets. C’est tout ce qu’elles méritent »
    Ceci est le septième scandale de nature sexuelle qui a frappé le Royaume-Uni, après notamment ceux de Rotherham, Oxford, Rochdale et Bristol, tous très similaires entre eux. (…)

    DailyMail

    Merci à savoyardalpin

     

    NdB: Ils sont méprisants envers les filles blanches, ces déchets de poubelle

  • Gard (30) : quatre jeunes de 16 à 25 ans arrêtés pour une vingtaine d’incendies

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    J-4

    Soupçonnés d’être à l’origine d’une vingtaine de départs de feu dans le Gard, quatre jeunes doivent être présentés au parquet vendredi.

     

    Quatre jeunes, âgés de 16 à 25 ans, soupçonnés d’avoir provoqué volontairement une vingtaine de départs de feu dans le Gard ont été interpellés et placés en garde à vue jeudi et doivent être présentés vendredi au parquet, a-t-on appris auprès des gendarmes.

    Ils sont soupçonnés notamment d’être à l’origine d’une vingtaine d’incendies survenus dans le département depuis juillet, et notamment à Roquemaure, Villeneuve-lès-Avignon et Pujaut. Ils ont été interpellés suite à des recoupements et à une enquête de proximité.

    […] BFMTV

    Merci à Man from Dystopia

  • Qu'est-ce que Guam, cette île américaine isolée et menacée par Pyongyang ?

     

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     Situé dans le Pacifique, ce morceau de terre où résident 160.000 personnes est le territoire américain le plus éloigné du continent. Sa relative proximité avec la péninsule coréenne en fait un point stratégique pour Washington comme pour Pyongyang.

    Palmiers, sable blanc. Guam est une étendue de terre de 550 km² (soit l'équivalent de la superficie d'Ibiza) isolée dans l'océan Pacifique. En dépit de cette description de carte postale, à l'heure de l'escalade entre la Corée du Nord et les États-Unis, elle est désormais la cible des menaces de Pyongyang, qui dit «[étudier] avec attention» la possibilité de «faire feu» autour de ce territoire avec une fusée balistique.

    Conquête espagnole jusqu'en 1898, l'île de Guam est ensuite cédée aux États-Unis après la guerre hispano-américaine. Elle acquiert alors le statut de «territoire non incorporé organisé des Etats-Unis» (un territoire n'ayant pas le statut d'État), statut qu'elle conserve jusqu'à présent, et qui ne sera rompu que lors de la Seconde guerre mondiale, lors de sa conquête par l'Empire du Japon peu après Pearl Harbor. L'île est reconquise par les Américains pendant l'été 1944, et retrouve alors son statut d'avant guerre.

    Des droits limités pour ses habitants

    Si les quelque 160.000 habitants de l'île sont bien des citoyens américains, ils ont des droits limités. Par exemple, ils ne peuvent pas participer aux élections. L'autre partie de la population vivant sur l'île est à 40% Chamorro, un peuple indigène des îles Mariannes. L'île accueille également une forte communauté philippine.

    » Lire aussi - Pour Kim Jong-un, le test de missile nord-coréen est un «cadeau» aux «salauds d'Américains»

    L'île de Guam a pour principales ressources le tourisme et l'armée.
    L'île de Guam a pour principales ressources le tourisme et l'armée. - Crédits photo : Eriko Sugita/REUTERS

    Si Guam attire beaucoup de touristes notamment japonais, grâce à ses paysages paradisiaques, sa principale ressource est l'armée américaine. En effet, elle abrite depuis juillet 1944, une des plus importantes bases militaires dont la base aérienne Andersen ainsi qu'une autre navale. Ces bases occupent environ 30% des terres. Selon ABC, il y aurait actuellement 6000 soldats américains postés à Guam où la base aérienne accueille notamment des bombardiers B52 ainsi que des avions de chasse.

    Sa position est stratégique, au cœur des îles Mariannes, à seulement 3370 kilomètres de la péninsule coréenne. Cité par USA Today, en 2010, l'amiral Robert Williard avait déclaré, que Guam «est le territoire le plus à l'ouest de l'Amérique. Cela fait partie de notre nation. Guam est vital». L'archipel a d'ailleurs un passif dans l'histoire militaire américaine. C'est en effet d'une des îles voisines, Tinian, qu'ont été lancées les attaques contre Hiroshima et Nagasaki au Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

    Une indépendance prochaine?

    Guam est dirigée par un gouverneur élu, Eddie Calvo et a un siège à la Chambre des représentants des États-Unis, occupé par Madeleine Bordallo. L'île est par ailleurs très dépendante des aides sociales américaines. Près de 45.000 habitants reçoivent une aide alimentaire et bénéficient du système de santé publique.

    Pourtant certaines voix s'élèvent pour réclamer l'indépendance de cette colonie. Alors que l'île a fêté le 73e anniversaire de la fin de l'occupation japonaise en juillet, l'ancien sénateur Eddie Duenas a réclamé un référendum pour décider de l'avenir de Guam. Un vote également plébiscité par Eddie Calvo qui veut proposer trois solutions: l'indépendance, devenir un État américain ou rester dans une situation de «libre association» avec Washington. Mais le débat n'est pour l'instant que théorique. En effet, un tribunal fédéral américain s'est prononcé contre un référendum d'autodétermination.

  • En France, le nombre de radicalisés a augmenté de 60% en moins de deux ans

    Le fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste regroupe aujourd'hui 18.550 signalements.

    L'attaque de Levallois-Perret et l'agression avortée de la tour Eiffel inquiètent d'autant plus les autorités qu'elles interviennent dans un contexte de progression régulière du nombre d'individus radicalisés, comme le soulignait le 6 août Gérard Collomb, le ministre de l'Intérieur. Ces radicalisés sont recensés dans un outil dont l'existence a été révélée parLe Figaro , le fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), créé en mars 2015. Place Beauvau, on précise qu'il rassemble aujourd'hui 18.550 signalements. Ce même fichier regroupait 11.400 cas au moment des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis. Soit une hausse de plus de 60 % en moins de deux ans. Le fichier évolue constamment, des individus y étant inscrits et d'autres en sortant selon une évaluation permanente des services de l'État.

    Ce précieux outil est alimenté par trois sources : les préfectures, le public et les services de police ou de gendarmerie

    Aux informations classiques (nom, lieu de résidence, casier judiciaire), cette base de données, dont la consultation est extrêmement restreinte, ajoute des éléments plus sensibles (comme d'éventuels contacts avec d'autres radicalisés). Ce précieux outil est alimenté par trois sources. Dans le premier cas, les radicalisés sont signalés par les préfectures via les états-majors départementaux de sécurité. Créés en 2009 pour mieux répondre à l'époque «aux nouvelles formes de délinquance, relevant à la fois des violences urbaines et du banditisme classique - phénomènes de bandes, violences dans les établissements scolaires, criminalité liée au trafic de drogue et d'armes», ces états-majors rassemblent régulièrement, sous la coprésidence du préfet et du procureur de la République, des représentants de plusieurs administrations, dont les services de police et de gendarmerie et l'Éducation nationale.

    Une vision globale

    En juin 2017, et pour ne parler que des individus recensés via les préfectures ou le public (sans les « objectifs » des services), les radicalisés mineurs représentaient un peu plus de 16 %

    Seconde source: les individus signalés par le public via le Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation, gérant notamment le numéro vert de signalement. Enfin, le fichier, géré par l'unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), accueille également des «objectifs» des services de police ou de gendarmerie (ils étaient un peu moins de 6 000 au 1er mars 2017), ces derniers constituant les cas les plus sensibles et les plus préoccupants. Au total, le FSPRT permet d'avoir une vision globale de la radicalisation en France tant sur le plan géographique (avec une forte présence dans les départements d'Île-de-France, du Nord, des Bouches-du-Rhône, du Rhône et des Alpes-Maritimes) que sur le plan démographique. En juin 2017, et pour ne parler que des individus recensés via les préfectures ou le public (sans les «objectifs» des services), les radicalisés de sexe féminin représentaient 26 % des cas et les mineurs un peu plus de 16 %. Les convertis représentaient plus de 34 % des radicalisés repérés.

    Des chiffres particulièrement inquiétants si l'on considère l'évolution de la menace. Dans un article du numéro de juillet-août de la revue des anciens de l'École nationale d'administration,L'ENA hors les murs, le nouveau patron de la DGSI, Laurent Nunez, évoque, avec le tarissement des filières djihadistes, «une stratégie de l'État islamique davantage tournée vers l'exacerbation de la menace endogène». Une menace qui prend la forme de «djihadistes frustrés qui conçoivent une action terroriste sur notre sol comme une alternative à un projet entravé de départ pour la zone syro-irakienne». «Bien que privilégiant des modes opératoires simples contre des cibles vulnérables ou symboliques», ajoute Laurent Nunez, ces individus «peuvent chercher à commettre des actions de grande ampleur». Autre élément de cette menace endogène: «Les primo-terroristes qui passent à l'acte nourrissent le caractère imprévisible de la menace et impriment à celle-ci une cadence opérationnelle soutenue.»

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 11/08/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

  • Le navire identitaire dément avoir été en détresse alors qu'une ONG pro-migrants allait le secourir

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    © Angelos Tzortzinis 
    Le C-Star en mer en août 2017.
     

    Le bateau d'une ONG a rapporté s'être dérouté pour porter secours au navire identitaire C-Star, en pleine mer, le 11 août. Le navire n'aurait toutefois demandé de l'aide de personne, comme l'affirme un responsable du projet «Defend Europe».

    Un porte-parole du projet identitaire controversé «Defend Europe» a démenti auprès de l'AFP l'information diffusée le 11 août selon laquelle le navire C-Star, qui croise en Méditerranée, aurait lancé un appel de détresse. Plus tôt dans la journée, les opposants à ce projet consistant à intercepter en haute mer des embarcations de fortune remplies de migrants et à les ramener en Afrique, s'étaient gaussés de cette «avarie» sur les réseaux sociaux. 

    Dans la journée du 11 août, l'ONG Sea-Eye, engagée dans le secours aux migrants au large de Libye, avait affirmé avoir changé de cap pour venir en aide au navire identitaire. Michael Buschheuer, président de l'organisation, avait expliqué agir dans le cadre des règles de la navigation, qui préconisent l'assistance à toute personne en situation de détresse en mer, «indépendamment de son origine, sa couleur de peau, sa religion ou ses convictions». L'humanitaire a raconté qu'il avait été informé des difficultés du «navire nazi», et avait décidé d'agir en l'absence de réponse immédiate des garde-côtes.

    Une situation cocasse qui a amusé nombre d'opposants aux identitaires sur les réseaux sociaux...

    Récolter 70000€ pour repousser les réfugiés, finir en croisière mode Costa Concordia et sauvé par ceux à qui tu voulais nuire.  

     

    Le  (bateau qui fait la chasse aux migrants) en détresse,le  (qui sauve les migrants) en route pour l'aider  pic.twitter.com/UbABI8EwKe

     

    Or, interrogé par l'AFP, un militant français présent à bord du C-Star a assuré que le bateau n'était pas en détresse mais avait simplement arrêté ses moteurs afin de résoudre un «problème technique mineur». Son équipage aurait réalisé un simple signal de routine, manifestement interprété comme un appel de détresse, afin de signaler la manœuvre. Un militant identitaire a par conséquent dénoncé sur Twitter la diffusion par la presse de «fake news» sur le sujet.

    Sillonnant la Méditerranée depuis mai 2017, le chalutier affrété par l'organisation politique européene Génération identitaire a rencontré plusieurs déboires depuis le début de sa mission. Il a notamment été bloqué par les autorités égyptiennes et chypriotes – dans ce dernier cas pour le motif pour le moins surprenant d'aide à l'immigration clandestine, quand des membres de l'équipage ont quitté le bateau pour demander l'asile sur place. 

    Par la suite, le navire a été contraint de rester au mouillage pendant cinq jours au large de la Tunisie, où des pêcheurs et un puissant syndicat local empêchaient son ravitaillement. La situation s'était finalement débloquée et le bateau avait pu être approvisionné et repartir le 10 août, d'après les militants identitaires cités par l'AFP.

    Financé par la récolte de 212 000 dollars (180 000 euros) de dons en ligne à l'heure actuelle, le projet «Defend Europe» réunit des militants allemands, français, italiens et autrichiens sur ce navire qui croise en Méditerranée avec l'objectif de raccompagner sur le continent africain les migrants recueillis en mer, mais aussi de surveiller les bateaux des ONG qu'ils accusent d'être complices des passeurs et du trafic d'être humains.