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  • Donald Trump dénonce les violences de l’extrême-gauche, lance une vaste enquête contre les Antifas et autres terroristes rouges

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    POSTED BY LA RÉDACTION ON 16TH AOÛT 2017 
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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (16/08/2017) Donald Trump est revenu sur les événements de Charlottesville (Virginie, USA), où une marche nationaliste a été attaquée par l’extrême-gauche avant qu’un déséquilibré ne tue une personne avec son véhicule.

    Une manifestation légale attaquée par des groupes marxistes violents

    Ayant dénoncé hier les « néo-nazis » et le « Ku Kux Klan » présents lors de la manifestation, le président a tenu à rappeler des points volontairement omis par les médias, largement orientés à gauche. Donald Trump a souligné le rôle des groupes communistes violents (Antifas) dans le déclenchement des troubles.

    La manifestation était organisée pour protester contre la volonté du maire de la ville, Michael Signer (Démocrate), de faire enlever une statue du Général Robert E. Lee, figure militaire respectée de la Confédération lors de la Guerre de Sécession. Il fut d’ailleurs plus tard réintégré dans ses droits en 1888 par le gouvernement américain.

    Le président américain a tenu à rappeler, lors d’une conférence de presse à New-York, que s’il avait condamné les violences des quelques néo-nazis présents, les violences avaient éclatée après que des groupes d’extrême-gauche armés décident de s’en prendre physiquement à la manifestation nationaliste.

    Celle-ci avait en effet été autorisée par un juge fédéral, comme le garantit la constitution. La police cependant n’a pas séparé les deux groupes dans ce qui ressemble à une volonté délibérée, de la part du maire, de créer des troubles dans la ville.

    Donald Trump dénonce les groupes violentes d’extrême-gauche

    Les médias dominants américains ont tenté de déstabiliser le président américain depuis ce week-end en tentant de faire croire qu’il soutenait les émeutiers en ne les dénonçant pas nommément. Chose qu’il a faite le lendemain lors d’une conférence spéciale. « Je voulais m’assurer, contrairement à la plupart des politiciens, que ce que je dirais était exact […] vous ne faites pas de déclaration avant de connaître les faits, cela prend un peu de temps pour avoir les faits. C’est un processus très, très important pour moi. Donc je ne veux pas faire une rapide déclaration juste pour faire une déclaration. Je voulais connaître les faits », a-t-il insisté.

    Au sujet de l’attaque menée par un déséquilibré, Donald Trump a dénoncé « un meurtrier » qui s’est avait fait une « chose horrible et inexcusable », ajoutant qu’il s’était « déshonoré, a déshonoré sa famille et le pays ».

    Revenant sur les violences initiées par les anarcho-communistes dits « Antifas », le président américain a déclaré avoir « vu les choses de très près, de beaucoup plus près que vous [les journalistes, NDLR]. Vous aviez un groupe d’un côté qui était mauvais et vous aviez aussi un groupe, de l’autre côté, qui était très violent. Personne ne veut dire ça, mais je le dis maintenant. Vous avez un groupe qui est venu, qui a chargé, qui n’avait pas de permis de manifester, qui était très, très violent ».

    Le président américain s’inquiète de la réécriture de l’histoire par les marxistes

    Donald Trump s’est inquiété de l’origine des violences déclenchées par l’extrême-gauche, à savoir la volonté des marxistes et du Parti Démocrate de réécrire l’histoire des USA, notamment dans le Sud des États-Unis.

    « J’ai condamné les néo-nazis, j’ai condamné beaucoup de groupes. Mais tous ceux qui étaient là n’étaient pas des néo-nazis. Tous ceux qui étaient là n’étaient pas des suprémacistes blancs. Des gens étaient aussi là parce qu’ils voulaient protester contre le retrait de la statue de Robert E. Lee. Je me demande, est-ce que ce sera George Washington la semaine prochaine ? Et est-ce que ce sera Thomas Jefferson la semaine suivante ? Vous devez vraiment vous demander où est-ce que ça s’arrête […] George Washington possédait des esclaves, allons-nous retirer les statues de George Washington ? Qu’en est-il de Thomas Jefferson ? Thomas Jefferson était un très grand propriétaire d’esclaves. Vous changez l’histoire, vous changez la culture et vous avez des gens – et je ne parle pas des néo-nazis, car ils doivent être condamnés totalement – mais vous avez beaucoup de gens dans cette manifestation qui ne sont pas néo-nazis et la presse les a traité de manière absolument injuste. Dans l’autre groupe aussi  vous aviez des gens bien, mais il y avait aussi des éléments très, très violents » a rappelé le président.

    Des initiatives similaires sont lancées un peu partout dans le but évident de susciter des troubles. Ainsi, dans le Texas, les organisations juives gérant le « musée de l’holocauste » ont annoncé vouloir lancer des destructions de monuments dressés à la mémoire des soldats confédérés (source).

    Vaste enquête du gouvernement US sur les agissements des groupes d’ultra-gauche

    Suite aux violences générées par l’extrême-gauche ce week-end et le meurtre par un déséquilibré d’une contre-manifestante, le gouvernement américain a annoncé une vaste enquête sur les organisations présentes.

    Contrairement à ce qui se passe en Europe et en France où les gouvernements protègent les groupes communistes dits « antifas », le gouvernement américain entend faire la lumière sur les responsabilités de ces réseaux extrémistes, généralement agités par le Parti Démocrate à des fins de basse politique.

    Le ministère de la Justice a déjà annoncé la saisie de serveurs appartenant à des administrateurs de sites internet supervisant l’agitation de rue contre le président américain. Plus de 1,3 million d’adresses IP sont concernées (source).

    Le Parti Démocrate et ses organisations gigognes comme « Black Lives Matter » ont été à l’origine de nombreuses actions violentes contre les meetings de Donald Trump ou contre d’autres cibles. Ainsi, un activiste noir avait assassiné 5 officiers de police (source).

  • Pays-Bas: Amsterdam submergée par les masses islamiques

    http://breizatao.com/2017/08/14/pays-bas-amsterdam-submergee-par-les-masses-islamiques-video/

     

  • Éditorial : «Djihadistes pour toujours ?» par Yves Thréart

    Par Yves Thréard

    Ils sont partis quand l'État islamique gagnait du terrain en Irak et en Syrie. Aujourd'hui, leur «rêve» de califat s'est évanoui. Nombre des quelque 42.000 étrangers recensés sur place dans les rangs djihadistes songent au retour. Ils sont ressortissants du Golfe, maghrébins, américains… Européens aussi, pour 5000 d'entre eux.

    Plus de 250 Français, dont des femmes et des mineurs, sont déjà revenus. La plupart dorment dans nos prisons. Et attendent leur procès. Pour les accueillir, la loi a changé: beaucoup comparaîtront en cour d'assises. Des images et des témoignages étaieront l'accusation. Ils disent la violence et l'horreur, l'insoutenable et l'indicible. Quand on est commandé pour tuer - élevé, pour les plus jeunes -, peut-on en sortir? Même après des années de rééducation, placés sous étroite surveillance? Terroriste islamiste un jour, terroriste islamiste toujours? Sans être définitif, le verdict appelle la plus grande prudence.

    Pour la France et l'Europe, le défi est donc immense. Aucune expérience de déradicalisation n'a encore fait ses preuves. Bien qu'elle provoque des haut-le-cœur aux arbitres des élégances, la déchéance de nationalité devrait s'imposer aux ennemis de l'Occident. Elle se révélerait pourtant plus symbolique qu'efficace.

    De retour du front, rien n'interdit, en effet, aux fortes têtes de rentrer dans la clandestinité et de voyager sur le sol européen en toute liberté. Plusieurs des assaillants de novembre 2015 à Paris et de mars 2016 à Bruxelles étaient passés d'un pays à l'autre sans crier gare. Se faufilant entre les réfugiés.

    L'Europe sans frontières est une gageure contre ces bombes humaines. Des experts mettent plutôt l'accent sur le renforcement des dispositifs de renseignements. C'est certes utile pour éradiquer le mal. Par tous les moyens, on doit empêcher les «revenants» de revoir un jour l'Europe. Mais quand ils sont là, pour éviter le pire, il paraît urgent de pouvoir aussi les intercepter sur le seuil de notre porte.

  • Submergé par les migrants illégaux, le Tyrol autrichien déploie des soldats à la frontière italienne

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    © Srdjan Zivulovic Source: Reuters
    Des policiers autrichiens submergés par un afflux massif de migrants à la frontière avec la Slovénie en 2015 (illustration)
     

    Les autorités du Land autrichien du Tyrol ont annoncé le 16 août avoir appelé 70 soldats en renfort sur le col du Brenner, à la frontière avec l'Italie, où plusieurs milliers de migrants affluent chaque mois, mettant les autorités en difficulté.

    Depuis quelques mois, la situation migratoire dans la région du Col du Brenner, qui marque la frontière entre l'Autriche et l'Italie, se fait toujours plus préoccupante. Dépassés par un afflux massif de migrants provenant d'Afrique via l'Italie, les autorités d'Innsbruck, la capitale du Tyrol, ont décidé de déployer environ 70 soldats pour intensifier les contrôles à l'entrée dans le pays et surtout, empêcher les migrants de se cacher dans les trains de marchandises au péril de leur vie. 

    A l'heure actuelle, environ 700 à 1 000 migrants sont interceptés chaque mois dans le Tyrol

    Interrogé par le quotidien allemand Die Welt, le chef de la police du Tyrol, Helmut Tomac, s'est voulu rassurant : «On ne parle pas de chars, ni de déploiement massif de troupes armées. La situation là-bas est assez stable. Cependant, en juillet, de nombreux migrants illégaux ont été retrouvés dans des convois et des trains de marchandises», a-t-il expliqué. «A l'heure actuelle, environ 700 à 1 000 migrants sont interceptés chaque mois dans le Tyrol. Il s'agit non seulement de lutter contre l'immigration illégale, mais aussi de sauver des vies», a-t-il poursuivi, défendant ce renfort de 70 soldats déployés le long de la frontière italienne.

    Le 3 juillet dernier, Hans Peter Doskozil, le ministre de la Défense autrichien, avait déclaré au quotidien Krone que les contrôles aux frontières seraient rétablis avec une mission «d'assistance» de l'armée, dans la contexte d'un accroissement des flux migratoires en provenance d'Italie. Le ministre avait alors souligné qu'il comptait sur 750 hommes et quatre blindés mobilisables en 72 heures, une mesure qu'il avait jugée «indispensable» pour le cas où les arrivées de migrants ne faiblissaient pas.

    La situation inquiète d'autant plus les autorités que des drames ont défrayé la chronique depuis deux ans. Le 28 août 2015, 71 corps de migrants – 59 hommes, 8 femmes et 4 enfants – avaient été extraits d'un camion frigorifique sur la bande d'arrêt d'urgence d'une autoroute de l'est du pays, non loin de la Hongrie et de la Slovaquie. Trois suspects ont par la suite été interceptés en Hongrie. Deux semaines plus tard, le 13 septembre 2015, la police autrichienne était venue au secours de 42 migrants enfermés dans un camion frigorifique non loin de la frontière allemande. Deux passeurs irakiens avaient été arrêtés sur le champ.

    RT

  • Sept-Sorts: une serveuse blessée témoigne

    http://www.francetvinfo.fr/france/ile-de-france/seine-et-marne/sept-sorts-une-serveuse-blessee-temoigne_2329047.html#xtor=EPR-502-[newslettervideo]-20170816-[video3]

    Une adolescente a perdu la vie et 12 autres personnes ont été blessées dans l'attaque à la voiture-bélier d'une pizzeria de Sept-Sorts (Seine-et-Marne). Parmi les victimes, la serveuse du restaurant, blessée à la jambe, et hospitalisée à l'hôpital de Meaux. Frédérique Zajac vient de sortir du bloc opératoire : fracture ouverte du tibia, côtes cassées, contusions au bras. Hier soir, la jeune serveuse de 20 ans travaillait sur la terrasse de la pizzeria au moment où la voiture a foncé. "Je l'ai vu arriver avec la main sur le volant, et un grand sourire sadique", se rappelle-t-elle, au micro de France 3.

    Hantée par les images du drame

    "Au début, j'ai cru qu'il allait faire peur à des amis à lui qui étaient sur la terrasse, et puis en fait, à la vitesse où il arrivait, il n'aurait jamais eu le temps de freiner ou de tourner. Et puis c'est arrivé tellement vite, il nous a foncés dessus, et le choc nous a fait traverser et atterrir dans le restaurant",raconte la jeune femme.
    Courageuse, digne, Frédérique refuse de s'apitoyer sur son sort, mais elle est hantée par les images de cette soirée d'horreur. Bouleversée par le souvenir des victimes.

    France 3