A voir! - Quid de l'intelligence animale?
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
A voir! - Quid de l'intelligence animale?
Il s'appelle Pantaléon! Il a un mois et pèse déjà 62 kg !
Une macabre découverte met en en émoi l’Afrique du Sud depuis plusieurs jours. Quatre hommes ont en effet été arrêtés pour cannibalisme, et inculpés de meurtre, la semaine dernière au KwaZulu-Natal, une province de l’Est du pays.
L’un des quatre suspects s’est rendu de lui-même à la police de la localité d’Escourt, vendredi dernier, expliquant être « fatigué de manger de la chair humaine ». L’individu a alors montré des preuves aux policiers, sortant de son sac des restes humains, en l’occurrence la jambe et la main d’une femme. Puis il a emmené les enquêteurs dans la maison d’un sorcier, située dans un village voisin, où d’autres restes humains ont été retrouvés.
Trois autres suspects ont été arrêtés: le sorcier, et deux autres de ses acolytes. Ces individus sont soupçonnés d’avoir violé, tué, et coupé en morceaux une femme, avant de manger sa chair, et de la partager avec le quatrième suspect.
[…] les enquêteurs soupçonnent les quatre suspects d’avoir profané et pillé des tombes, dans l’espoir de trouver des restes de chair humaine.
Selon un professeur de droit qui a demandé à ne pas être nommé, le cannibalisme n’est pas défini comme un crime, cependant les accusés pourraient être accusés d’avoir enfreint la loi sur les tissus humains de 1983. Cette loi restreint la possession sans permis de tissu humain ou de toute partie du corps.
(Traduction Fdesouche)
© ANNE-CHRISTINE POUJOULAT
Un homme de 35 ans, décrit comme déséquilibré, a attaqué au couteau et blessé légèrement trois personnes qu'il croisait au hasard, dans le centre de Marseille. La piste terroriste est écartée par les autorités.
Trois personnes ont été légèrement blessées après qu'un homme armé d'un couteau les a attaquées en plein centre-ville de Marseille.
L'homme âgé de 35 ans, «dans un état d'excitation importante», n'a tenu aucun propos à caractère islamiste, a expliqué une source policière.
RT
C'est la bonne méthode!
Après l'installation par l'Etat de 440 migrants en plein cœur du XVe arrondissement de Paris, le maire Philippe Goujon a tenu à s'expliquer auprès des riverains et à les rassurer sur la fin prochaine du campement, source de tensions.
Philippe Goujon, maire Les Républicains (LR) du XVe arrondissement de Paris, a tenu à s'expliquer auprès de ses administrés après l'installation d'un camp de migrants dans l'enceinte d'un complexe sportif universitaire ayant suscité la colère des riverains.
Interrogé par RT France, l'édile a révélé avoir eu vent durant l'été de la mise en place de ce campement par des résidents, et non par l'administration.
«Cela dénote un profond mépris de la part des autorités gouvernementales et du ministre de l'Intérieur, aussi bien des élus locaux et du maire que je suis, que des habitants qui ont aujourd'hui 500 migrants sous leurs fenêtres», a-t-il déclaré.
«Je conteste l'absence de politique migratoire du gouvernement, qui est absolument la même, en tous cas je ne vois pas la différence entre celle d'Emmanuel Macron et celle de François Hollande, qui consiste à accueillir tous les migrants quels qu'ils soient [...] Parmi ces 500 migrants il y en a à peine 20% qui sont éligibles au droit d'asile. Que fait-on des 80% restants ? On va les expulser, évidemment, mais pourquoi les avoir accueillis sur notre territoire ?», s'est-il interrogé.
«Tout pays a le droit de protéger ses frontières et d'accueillir sur son sol ceux seulement qu'il veut accueillir. Cela n'est pas le cas en France car il n'y a pas de maîtrise de l'immigration. Cette politique amène à un désastre», a-t-il conclu.
La réunion, qui se tenait dans un restaurant de l'arrondissement, a réuni une trentaine de riverains remontés contre la présence des 440 hommes d'origine soudanaise ou encore afghane qui ont été installés sans que la municipalité ou les habitants ne soient prévenus.
Une femme vivant dans un appartement donnant sur le camp a témoigné des nuisances subies par les riverains en raison du comportement des migrants : bagarres, fêtes tardives, déjections dans la rue... La liste de ses griefs a été exposée au maire de l'arrondissement.
Si cet avis faisait la quasi-unanimité dans la salle, une femme habitant le quartier était néanmoins outrée de l'attitude des riverains et du maire. Elle l'a fait savoir en s'opposant verbalement aux propos du maire, soutenant l'opinion majoritaire de ses administrés.
«Vous ne faites preuve d'aucune empathie ! Vous êtes des nantis !», a-t-elle déclaré avant de quitter la salle.