Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Elections en Allemagne: score historique pour la droite nationaliste AfD

    http://www.fdesouche.com/887375-elections-allemagne-score-historique-de-droite-nationaliste-afd-cdu-de-merkel-tete

    Déroulez!

  • Inde: Premiers de la race

  • Message de la Présidente du Front National

    Nanterre, le 21 septembre 2017

         
                 
                 
    Madame, monsieur,

    Chers amis adhérents,

    Sur un plateau d’une émission du matin, Florian Philippot a fait connaître sa décision de quitter le Front National sans même m’avoir rencontrée pour en parler directement ou s’exprimer devant les instances de direction interne dont il fait partie. Je prends acte de cette décision médiatique.

    En pleine campagne législative, alors que tous les candidats menaient une campagne difficile sur le terrain, il avait pris l’initiative peu opportune de créer une association politique dont la promotion médiatique a lourdement parasité la campagne électorale. Nous avons pu constater qu’au fil des mois, il a fait vivre cette association comme un embryon de parti politique avec une structuration de parti politique, la recherche de financements, le recueil d’adhésions et des moyens autonomes de communication.

    Considérant qu’il ne pouvait se présenter sur les plateaux de télévision ès qualités de « président des patriotes » pour faire la publicité de son association au détriment de celle du Front National, je lui ai demandé, il y a déjà de longues semaines, de clarifier cette situation pour le moins ambiguë et troublante pour de nombreux militants. Non seulement il a persisté, mais a multiplié au fil des semaines les provocations jusqu’à porter, dans une émission du soir de Cnews, des attaques clairement injurieuses et diffamatoires contre le mouvement tout entier.

    Comme Présidente du mouvement, garante de son unité et de sa cohésion, j’ai donc pris la décision de lui retirer ses délégations à la communication et à la stratégie qui m’apparaissaient désormais peu compatibles avec le message qu’il délivrait publiquement.

    L’annonce de Florian Philippot relève d’une décision à l’évidence mûrie et vraisemblablement recherchée, peut-être par peur d’un débat dont il avait de lui-même et de manière peu compréhensible exclu le principe au moins sur la stratégie du mouvement.

    Comme je vous l’ai indiqué, ce grand débat qui préfigure la refondation de notre famille politique va avoir lieu. Rien ne l’empêchera. Ce débat et cette refondation sont nécessaires si nous voulons incarner la force d’alternance dont le pays a impérativement besoin. Nos échanges vont porter sur tous les aspects de la vie de notre mouvement : l’organisation, les idées, la stratégie, les alliances…. Vous allez bientôt recevoir un questionnaire à ce sujet que je vous invite à remplir. Je viendrai à votre rencontre lors d’une tournée qui démarre. Le congrès qui se déroulera en mars 2018 à Lille nous réunira pour trancher de manière démocratique toutes ces questions, car il me semble important que ce soit vous, adhérents du Front National, qui en fin de compte puissiez décider.
    Cette œuvre collective qui nous attend est exaltante, car elle sera le socle de la grande recomposition qui s’annonce. Elle porte donc en elle les germes du salut de notre pays.

    Le salut du pays, c’est ce qui nous réunit et nous appelle chaque jour davantage à l’engagement qui est le nôtre.
  • Londres : attaque à l’acide près d’un centre commercial, six blessés

     

    0h12

    Six personnes ont été intoxiquées samedi près d’un centre commercial de Londres où plusieurs individus les ont semble-t-il aspergées avec une substance toxique, a annoncé la police qui ne pense pas avoir affaire à une attaque terroriste.

     

    L’incident s’est produit à proximité du centre commercial de Westfield, dans l’est de la capitale britannique.

    « Un certain nombre de personnes sont signalées blessées dans différents endroits – on pense qu’il y en a six. Nous attendons d’autres détails », annonce la Metropolitan Police de Londres dans un communiqué.

    Un homme a été arrêté, précise la police londonienne.

     

    Source

    Merci à david Dobsky

  • Londres : pourquoi la jeune fille au pair française a-t-elle été tuée ?

    7280166_1_1000x625 (1).JPG

     

    >Faits divers|De notre correspondant Julien Laurens à Londres (Royaume-Uni)|23 septembre 2017, 7h46|20

    Londres (Royaume-Uni), jeudi. Le corps calciné de Sophie Lionnet (à droite) a été retrouvé dans le jardin de cette maison où elle travaillait comme jeune fille au pair.

    SIPA/MACDIARMID/SHUTTERSTOCK ET DR
     
     
    De notre correspondant Julien Laurens à Londres (Royaume-Uni)
     
    Faits diversLondresSophie LionnetSabrina KouiderJeune fille au pairmeurtre
     

    Deux Franco-Algériens  de Londres ont été mis en examen pour meurtre, soupçonnés d'avoir tué Sophie, la nounou qu'ils employaient.

    Une bâtisse édouardienne comme on en trouve des milliers à Londres, mitoyenne, en briques claires et sur trois étages divisés en appartements. Dans le quartier de Southfields, sud-ouest de Londres, l'un des plus huppés de la capitale, elles se vendent au-dessus du million d'euros. Cette résidence sur Wimbledon Park Road, à quelques encablures seulement des fameux courts de tennis, est désormais synonyme de tragédie. Les policiers de Scotland Yard y ont en effet déterré jeudi les restes calcinés de Sophie Lionnetjeune fille au pair française de 21 ans originaire de Troyes, dans l'Aube, décrite par tous comme gentille et timide. L'identité de la victime n'a pas été pour l'instant officiellement révélée par les enquêteurs, mais il ne fait aucun doute que c'est bien elle qui a été brûlée dans le jardin partagé de cette maison.

     

    Vendredi matin, Sabrina Kouider, une Française de 34 ans — qui employait la victime pour ses deux jeunes enfants — a été inculpée pour meurtre, ainsi que son compagnon Ouissem Medouni, un Franco-Algérien de 40 ans. Le couple a été écroué. Ils seront de nouveau devant la justice mardi, jour où la date de l'ouverture de leur procès sera décidée.

     

     Elle voulait rentrer en France

     

    L'enquête, elle, ne fait que commencer. Des dizaines de policiers continuaient leurs recherches tard vendredi soir dans le jardin et l'appartement des meurtriers présumés. Ce sont les voisins qui ont alerté la police mercredi alors qu'une épaisse fumée et une mauvaise odeur s'échappaient du jardin. « Cela sentait vraiment mauvais. Comme lors d'une fuite de gaz ou comme s'ils avaient mis le feu à des pneus. On voyait un homme ajouter des morceaux de bois sur le feu. C'était vraiment étrange. Quelqu'un a appelé la police car c'était vraiment très louche », raconte une voisine.

     

    Au coeur de l'investigation des policiers se trouve la personnalité de Sabrina Kouider, dont l'ancien compagnon et père d'un des enfants est un milliardaire qui a fait fortune dans la musique, notamment en créant le boys band irlandais Boyzone il y a plus de vingt ans. « Elle aimait la fête et vivait au-dessus de ses moyens, raconte une autre voisine. Elle payait la nounou une bouchée de pain. Elle disait qu'elle était styliste spécialisée dans le maquillage et qu'elle connaissait plein de célébrités. »

     

    Kouider semblait vivre une relation tumultueuse avec Medouni, que le voisinage décrit comme peu aimable et dont personne ne semble connaître la profession. « Ils s'embrouillaient souvent. On pouvait les entendre se disputer depuis la rue, poursuit-elle. Cela ne devait pas être un appartement agréable à vivre pour les enfants et pour la nounou. » Sophie Lionnet a passé quatorze mois dans cette famille. Ces derniers temps, elle avait émis le souhait de rentrer définitivement en France. Elle n'en aura pas eu le temps...

     

    «Elle était timide et gentille»

    Le meurtre de Sophie Lionnet a fortement choqué Wimbledon Park Road, la rue où la jeune fille au pair habitait et travaillait. « Je ne l'avais plus vue depuis la fin du mois d'août. Je pensais qu'elle était rentrée en France. Elle venait souvent avec les deux enfants dont elle s'occupait pour leur acheter des bonbons. Elle avait l'air plus jeune que son âge. Elle était un peu timide mais très aimable et gentille. Elle parlait plutôt bien anglais mais avec un fort accent français. Elle avait beaucoup d'affection pour les deux petits qu'elle gardait et à qui elle parlait français. Elle était douce avec eux. Cela fait plusieurs mois qu'elle travaillait dans cette famille, elle était déjà ici à Noël dernier », confie Sunny Patel, qui tient un dépôt de presse juste en face de la maison où vivaient la victime et ses meurtriers présumés.

      Le Parisien
     
    R.I.P. Sophie
  • «Virez moi ces fils de p*te» : Trump s'en prend aux sportifs refusant de saluer l'hymne américain

    59c61ad4488c7b4b218b4567.png

     

    © Aaron Bernstein Source: Reuters
    Donald Trump lors de son meeting à Huntsville, en Alabama, le 22 septembre 2017
     

    En meeting, Donald Trump a fustigé les joueurs de football afro-américains refusant de se lever pour l'hymne national avant les matches, en signe de protestation. Le président américain a invité ses partisans à quitter le stade, le cas échéant.

    «N'aimeriez vous pas qu'un des propriétaires d'une équipe de football renvoie tout simplement un joueur qui ne respecte pas notre drapeau ? Qu'il lui dise "Virez moi ce fils de p*te du terrain. Il est viré !" N'aimeriez vous pas que cela se passe ainsi ?», a lancé Donald Trump le 22 septembre à Huntsville, en Alabama, dans un meeting politique de soutien au Républicain Luther Strange, en lice pour les élections sénatoriales.

    Le président américain, dont les propos ont été accueillis aux cris de «USA, USA !», s'exprimait sur le comportement de certains joueurs afro-américains de la ligue nationale de football (NFL) qui, en signe de protestation, restent assis ou posent le genou au sol durant le traditionnel hymne national d'avant-match.

    Sous les applaudissements du public, Donald Trump a appelé ses partisans à quitter le stade si cette situation devait se produire : «La meilleure chose que vous pourriez faire, si vous voyez ce genre de comportement de la part d'un joueur est de quitter le stade. Levez vous et partez. Et ils finiront par arrêter. Je vous le garantis [...] C'est un manque de respect total de notre patrimoine et de tout ce que nous défendons.»

    RT

  • Trump à l’ONU : «Le coût de la migration est assumé par des citoyens(…)ignorés par les médias et gouvernements»

     

    J-2

    Donald Trump à l’ONU : «Avec la somme que nous dépensons pour installer un réfugié aux Etats-Unis, nous pouvons aider 10 réfugiés dans leur pays. Nous appuyons l’accord des pays du G20 qui vont essayer d’accueillir les réfugiés aussi près que possible de leur pays d’origine. C’est là une démarche humanitaire responsable (…) A long terme, les migrations non contrôlées sont injustes à la fois pour les pays d’origine que pour les pays d’accueil (…) Le coût de la migration est assumé essentiellement par des citoyens à faibles revenus dont les préoccupations sont souvent ignorées à dessein par les médias et les gouvernements».
    – CNEWS, 19 septembre 2017, 16h29

    Voir aussi : Donald Trump à l’ONU : «Le vrai socialisme ne sème qu’angoisse, dévastation et échec»

    Comme c'est vrai

     

  • Coups et projectiles: des antifas perturbent le discours de Mélenchon

    https://francais.rt.com/france/43650-antifas-tentent-perturber-manifestation-france_insoumise

    Plusieurs vidéos

     

  • Jean-Marie Le Pen sur RTL Soir en direct

    RT

  • «Refondation historique» du FN : à Toulouse, Marine Le Pen rassemble ses cadres malgré la tourmente

    59c651a909fac2a37c8b4567.png

     

     

    © Regis Duvignau Source: Reuters
    Marine Le Pen à Toulouse le 23 septembre 2017
     

    Le 23 septembre, Marine Le Pen a promis une «refondation historique» de l'organisation du parti. Elle a lancé à Toulouse une tournée pour rencontrer militants et cadres du parti avec, en ligne de mire, le congrès de Lille, le 11 mars 2018.

    «La refondation est tout à fait historique puisque l'organisation du FN [Front national] n'a jamais véritablement changé depuis 45 ans et que nous avons par conséquent tout à réinventer», a lancé Marine Le Pen lors d'une conférence de presse, le 23 septembre, à Toulouse. La présidente du parti à annoncé l'entame, dans la ville rose, d'une tournée de douze étapes qui se terminera à Lille le 11 mars, soit un rythme de deux réunions par mois.

    «Nous avions dit que nous allions tout changer du sol au plafond, en tout cas nous allons lancer le débat sur l'intégralité des aspects qui font le fonctionnement de notre mouvement, avec un certain nombre de lignes», a affirmé la présidente du FN. Le parti a été vivement secoué par le départ, le 21 septembre, de son numéro deux, Florian Philippot, et de ses troupes.

    Le FN, plus un parti d'opposition ?

    Marine Le Pen considère que le FN n'est définitivement «plus un mouvement d'opposition» et qu'il doit acquérir «une culture de gouvernement» à tous les échelons où il dispose d'élus.

    Promettant de lancer «le plus rapidement possible» la campagne des municipales, prévues en 2020, Marine Le Pen a rappelé le caractère fondamental que revêtait à ses yeux l'implantation locale.

    Dans un parti à la culture protestataire, Marine Le Pen a aussi souligné que définir un projet, c'était sortir un peu du «c'était mieux avant», plaidant pour «inventer de nouveaux concepts», une «nouvelle stratégie», un «projet global et cohérent», «alternatif» du niveau municipal au niveau européen.

    Le présidente du Front national souhaite aussi discuter des alliances éventuelles, qui «ne doivent pas avoir pour conséquence des compromissions de quelque sorte que ce soit». «Mais cette culture-là, nous devons l'intégrer», ajoute-t-elle.

    Marine Le Pen a dit son «espoir d'acquérir de nouvelles relations avec la presse» tout en soulignant qu'elle continuerait de refuser la présence des journalistes de Médiapart et de l'émission Quotidien (TMC) aux événements du FN. Les représentants de ces deux médias sont restés à l'extérieur de la conférence de presse toulousaine.

    Outre le nom du parti qu'elle souhaite changer, Marine Le Pen entend proposer «un journal des élus», «un quotidien participatif en ligne», «une revue intellectuelle», ainsi qu'une «une revue de presse en ligne».