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  • JOURNAL TVL DU 22 NOVEMBRE

  • Leeds (Angleterre) : une mère de famille de 26 ans, convertie à l’islam, sauvagement assassinée par son mari musulman

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    13h56

    Une mère de quatre enfants «interdite» de voir sa famille et ses amis a été massacrée par son mari avant que son corps ne soit jeté dans les bois et brûlé.

    Sinead Wooding, qui s’était convertie à l’Islam, était retournée à l’habillement occidental quand elle a été sauvagement assassinée dans une attaque au couteau et au marteau.

    Le corps de la mère de 26 ans a ensuite été entreposé dans une cave pendant deux jours avant d’être transporté dans un bois où il a été incendié.

    Elle a été assassinée par son mari Akshar Ali après une dispute.

    Le «meilleur ami» du mari, Yasmin Ahmed, a alors aidé à se débarrasser du corps.

    Mlle Wooding avait rencontré Ali, qui travaillait sur un étal de nourriture au marché couvert de Leeds, après s’être convertie à la foi islamique et avoir changé son nom en Zakirah.

    Ils ont vécu un mariage islamique, mais leur relation était décrite comme «volatile» et parfois violente, selon le tribunal.

    Mirror

    NdB: Et les quatre enfants, les quatre pauvres enfants métis qui n'ont plus de mère ni de père, que vont-ils devenir ? 

  • Suède : violée par un Syrien, Angelica se suicide après que le procureur a classé le dossier « faute de preuves »

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    23h38

    Selon le journaliste d’investigation Joakim Magnus Lamotte, Angelica Wiktor, 30 ans, se serait suicidée suite au classement sans suite du viol qu’elle aurait subi par un réfugié syrien en mars dernier. La jeune femme aurait décidé de mettre fin à ses jours en absorbant une dose massive du médicament qu’elle prenait depuis son agression, sachant que son agresseur allait être libéré.

    Le procureur, en charge du dossier, a estimé qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour condamner l’accusé de viol et l’a relâché.

    Joakim Magnus Lamotte affirme que les autorités n’ont pas tenu compte des preuves manifestes. Adnan, le voisin d’Angelica, accompagné de son ami Samir s’étaient rendus chez elle un après-midi. Angelica prenait des somnifères, donc elle ne se souvenait pas de l’heure exacte, mais elle se rappelait que l’un d’eux l’avait poussée à tomber dans son lit et l’avait violée.

    D’après son témoignage l’agression a été encore plus douloureuse, qu’Angelica avait ses règles à ce moment-là et qu’elle utilisait un tampon hygiénique.

    L’enquête de Lamotte montre que la police et le procureur ont ignoré plusieurs éléments de preuve. Par exemple, ils n’ont pas analysé l’ADN retrouvé dans l’appartement de la victime, qui présentait également des « signes de viol et d’agression« .

    Durant son interrogatoire par la police, Samir l’ami du violeur a reconnu qu’il se trouvait dans l’appartement d’Angelica, mais le procureur a tout de même décidé de classer l’affaire pour « manque de preuves ».

    Casoaislado

    Merci à Mariek & à dekkrane

    RIP

     

  • Les députés du groupe Front national ont rejeté en bloc le budget présenté par le gouvernement pour l’année 2018.

     

     
     
    Assemblée NationaleCommuniqués / 21 novembre 2017 / /
     

    Communiqué de presse des députés du groupe Front national

    « Choisir c’est renoncer » dit l’adage. Ainsi pour le budget 2018, le gouvernement a choisi :
    de favoriser les Français les plus riches avec la fin de l’ISF ou l’instauration de la Flat Tax sur les revenus de l’épargne ;
    de ne pas lutter contre l’immigration de masse, y compris illégale, en augmentant le budget de l’Aide Médicale d’Etat ou en augmentant celui dédié à l’accueil des migrants ;
    de se soumettre à l’Union européenne, en augmentant de plus de 2 milliards d’euros la contribution de la France à ces institutions ;
    de supprimer la taxe d’habitation et d’abaisser la dotation globale de fonctionnement des collectivités ;
    de persévérer dans une politique de la ville coûteuse et inefficace.

    Mais il a donc renoncé :
    à aider les Français des classes moyennes à s’enraciner en augmentant le diesel ou en créant l‘IFI ;
    à lutter contre l’immigration clandestine en abaissant le budget qui y est consacré ;
    à présenter un budget équilibré et à préserver la France de la domination des financiers ;
    à aider les communes qui sont pourtant le premier échelon des pouvoirs publics ;
    à augmenter de façon importante le budget de nos armées alors qu’elles sont mises à rude épreuve dans de nombreuses opérations.

    En clair, il a choisi un budget qui ne défend ni le bien commun ni les Français les plus fragiles, un budget qui ne participera en rien au redressement économique et moral de la France, un budget qui finalement s’inscrit dans la droite ligne de ceux du dernier quinquennat.
    Mais il a donc renoncé à ce que l’argent des Français serve avant tout à défendre leurs intérêts et ceux de leur patrie.

    C’est ce budget que les députés du Groupe Front national n’ont cessé de dénoncer durant ce mois de discussions budgétaires et qu’ils ont rejeté en bloc à l’occasion du vote solennel de ce jour.

  • «Il faut retourner dans votre pays» : interpellé sur les réfugiés, Macron prône la fermeté

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    Lors de sa visite aux Restos du cœur, le chef de l'Etat a estimé que la France ne pouvait pas accueillir «toute la misère du monde», soulignant qu'il ne pouvait «pas donner des papiers à tous les gens qui n'en ont pas».

    En visite aux Restos du cœur le 21 novembre, Emmanuel Macron en a profité pour glisser quelques mots sur les personnes en situation irrégulière dans le pays à une jeune femme qui l'interpellait.

    «Si vous n'êtes pas en danger, il faut retourner dans votre pays», lui a expliqué Emmanuel Macron dans une séquence captée par les caméras de CNews. «Je ne peux pas donner des papiers à tous les gens qui n'en ont pas», a justifié le président français, ajoutant qu'il était impossible pour la France d'accueillir «toute la misère du monde», citant l'ancien Premier ministre Michel Rocard.

    «En France on va protéger tous les gens qui relèvent de l'asile, qui ne sont pas en sécurité chez eux, mais on ne peut pas accueillir tous les gens qui viennent avec des visas de commerce ou d'étudiant et qui restent après», a poursuivi le chef de l'Etat, soulignant la difficulté de trouver un travail «à ceux qui sont déjà là».

     
     
     

    Emmanuel Macron : "Je ne peux pas donner des papiers à tous les gens qui n'en n'ont pas"

       
     

    «Si vous n'êtes pas en danger, il faut retourner dans votre pays», a-t-il de nouveau martelé pour faire passer son message.

    Une déclaration qui fait écho à celle du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb le 6 août dernier, qui souhaitait établir une distinction claire entre réfugiés et migrants économiques. Dans les colonnes du JDD, le ministre avait soutenu vouloir un accueil plus rapide pour les premiers, et expliqué que les seconds devaient être reconduits à la frontière pour empêcher que le droit d'asile ne soit «remis en cause».

    Lire aussi : Le ministre de l'Intérieur veut distinguer les réfugiés des migrants économiques

  • Bernard Rio & Bruno Colliot, Tomàs Turner : L’invitation au voyage. Par Jacques Aboucaya

     

    Cette fois, l’automne est bien là. Avec ses frimas. Déjà, au matin, une fine pellicule de gelée blanche habille les prés, leur donne cet aspect irréel qui tranche avec la somptuosité des forêts. Avant leur chute imminente, les feuillages, en effet, offrent au regard une symphonie de couleurs, de l’ocre au rouge sombre en passant par toutes les nuances de marron. Avec, ça et là, une touche de vert profond, celle des arbres qui résistent jusqu’au bout, conservent toute l’année leur vêture. Et la synesthésie que chanta Baudelaire ne s’arrête pas là. L’odorat est délicatement chatouillé par les senteurs capiteuses qu’exhale l’humidité des sous-bois et par celles des premiers feux dans l’âtre. Encore, pour être tout à fait complet, faudrait-il y ajouter le crépitement des brindilles, prélude à une chaleur propice à la torpeur et au rêve.

     
     
     

    « Le chemin de terre, écrit Bernard Rio, est en France la relique d’un paysage maillé de haies et d’une civilisation paysanne qui privilégiait la courbe à la ligne droite. Ces chemins d’un autre âge mériteraient d’être inscrits à l’inventaire des monuments historiques tant ils illustrent une civilisation balisée de calvaires, de fontaines et de lavoirs, de fours et de moulins ».Voilà qui dit bien le propos des auteurs. L’un maniant la plume, l’autre l’objectif, ils ont sillonné la France en tous sens, ressuscitant littéralement un pays dont les charmes désuets acquièrent ici une valeur inestimable.

    Ainsi emprunte-t-on au fil des pages, sur les pas des deux randonneurs, des chemins dont l’aspect et l’utilisation furent divers au fil des âges, du pèlerinage au labeur des paysans, voire à la contrebande ou à l’insurrection. Une caractéristique commune, toutefois, la sinuosité. Elle permet non seulement cette « liaison vagabonde » dont parle joliment Bernard Rio, mais offre le loisir de se plonger dans l’histoire et dans les légendes qui ont fait la personnalité de chacune de nos régions. De faire renaître ce « vieux petit temps » dont parlait Henri Pourrat. Nul doute, du reste, que l’auteur du « Trésor des Contes » eût salué avec une satisfaction légitime un ouvrage qui se situe dans le droit fil de ses propres écrits.

     

    Il est, bien sûr, hors de question de privilégier l’un ou l’autre des itinéraires qui, de Chartres au Mont Dos en passant par Domrémy-la-Pucelle, Aigues-Mortes, L’Ardèche ou l’Aubrac, serpentent à travers la France. Chacun a ses beautés. Son histoire. Ses traditions. Tous portent la trace d’épisodes, plus ou moins connus, oubliés ou ignorés, d’une geste nationale dont le souvenir n’est plus guère perpétué par les manuels scolaires. Ce qui est remarquable, en revanche, c’est la constante qualité aussi bien des images (certaines sont dignes des plus grands peintres paysagistes) que des textes dont la teneur, la profondeur aussi bien que le style tranchent sur la production courante. On aura compris que nous sommes ici à cent coudées au-dessus des guides touristiques habituels, et en présence d’une véritable œuvre d’art.

    Encore un voyage, d’un genre un tantinet différent, puisque celui que narre Tomàs Turner (2) se coule dans une forme romanesque. Encore serait-il loisible de découvrir plus d’un lien de parenté entre l’américain Mortimer, le héros, et les arpenteurs infatigables évoqués plus haut. Lui aussi entame à travers la France un périple. Mais le sien est bien plus mouvementé et son séjour touristique va prendre une dimension inattendue.

    Loin de plonger dans un passé révolu, son voyage se déroule dans une France bien actuelle, à l’identité hypothétique. Peu sûre d’elle. Bigarrée, diverse aussi bien dans sa population, tant rurale qu’urbaine, que dans son architecture, profane et sacrée. Surtout, au cours de ce qui s’apparente très vite à une quête, Mortimer va rencontrer des personnages aussi pittoresques que mystérieux. Délaissant les grands axes, il choisit, lui aussi, les chemins de traverse, mettant ses pas dans ceux des pèlerins d’autrefois et des grands marcheurs, tel Robert Louis Stevenson. Ainsi découvre-t-il un pays insoupçonné et secret.

    Au fil des événements, des rencontres insolites, le voyageur pénètre dans un autre univers. Les notions d’espace et de temps se trouvent balayées. Transcendées, en quelque sorte, car le héros prend conscience que tout est relié, le monde extérieur et le monde intérieur, le passé et le présent, l’au-delà et la réalité concrète, fût-elle rocambolesque. Rien n’est dû au hasard, tout obéit à une cohérence supérieure. Le périple se transforme en voyage initiatique, la quête devient spirituelle. Au bout du compte et au terme de maintes péripéties, c’est la rencontre avec soi-même qui attend Mortimer. Aussi surprenante, aussi révélatrice que toutes les découvertes touristiques. Telle est la leçon qui découle de ce roman original, allègrement conduit de bout en bout.

    Jacques Aboucaya

    1 – Bernard Rio, Bruno Colliot, Chemins de France, Sentiers d’histoire et de légendes, Editions Ouest-France, octobre 2017, 220 p., 250 photos, 35 €

    2 – Tomàs Turner, Le Voyage de Mortimer, Balland, mars 2017, 340 p., 20 €

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