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  • Allemagne: le « migrant mineur » de 33 ans ayant tué Maria Ladenburger condamné à perpétuité

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    11h12
     

     

    Un demandeur d’asile se disant afghan a été condamné ce matin en Allemagne à la perpétuité pour le meurtre d’une étudiante, un crime qui avait révélé les dysfonctionnements de la coopération européenne et nourri le discours anti-réfugiés.Jugé depuis septembre à Fribourg, Hussein Khavari a été accusé du viol et du meurtre en octobre 2016 de Maria Ladenburger, une étudiante en médecine de 19 ans. Il avait reconnu avoir attaquée sa victime « sous le coup d’une impulsion ».

    Le tribunal a considéré que ses crimes étaient « particulièrement graves », une définition pénale qui permet une incarcération effective pendant plus de 15 ans. L’agression, survenue de nuit alors que la victime rentrait d’une soirée, avait été particulièrement violente: après l’avoir mordue à la poitrine et à la joue, Hussein Khavari avait tenté de l’étrangler. Une fois inconsciente, il l’avait violée à plusieurs reprises, avant de l’abandonner au bord d’une rivière où elle s’était finalement noyée.

    Khavari avait en effet été condamné en 2013 à dix ans de prison pour avoir tenté de tuer une étudiante en Grèce. Bénéficiant d’une liberté conditionnelle en octobre 2015 suite à une amnistie décidée en raison de la surpopulation des prisons, il disparaît peu après. Athènes n’avait pas émis d’avis de recherche international, ce qui avait empêché son identification à son entrée en Allemagne, selon les autorités allemandes.

    NdB: la première coupable, c'est MERKEL qui laisse entrer en Allemagne des  "bêtes humaines" dégénérées qui ne cherchent qu'à violer et à tuer des femmes blanches, jeunes et belles. 

     

     

  • Le racisme « anti-blanc » s’affiche à l’Université Paris-8 depuis que l’extrême-gauche y accueille des migrants

    http://www.fdesouche.com/974091-le-racisme-anti-blanc-saffiche-a-luniversite-paris-8

    Dérouler et voir toutes les photos, inscriptions haineuses, etc...

  • Une nouvelle loi contre le racisme : ça nous manquait !, par Francis Bergeron

    "Quiconque veut ravir la liberté d’une nation doit commencer par lui retirer le droit de s’exprimer librement."  Benjamin FRANKLIN

     

    "A la fin, nous rendrons impossible le crime par la pensée, car il n’y aura plus de mots pour l’exprimer." George ORWELL

                                                                                        

    Certains croyaient notre pays déjà doté du plus gigantesque empilement de lois antiracistes qui aient jamais été imaginées : loi du 23 juillet 1881, loi Pleven de 1972, loi Gayssot de 1990, loi de 1992 sur la réforme du Code pénal etc. Le dispositif semblait plus que complet, débordant, même.

    Aujourd’hui la provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale est sanctionnée par un an de prison et 45 000 euros d’amende. Mais même des propos racistes tenus en privé sont passibles de 1 500 euros d’amende. L’injure publique à caractère racial vaut six mois de prison et 22 500 euros d’amende, l’apologie de crime contre l’humanité est punie de cinq ans de prison. Le refus de fournir un bien pour des raisons raciales et autres est puni de trois ans de prison et 45 000 euros d’amende. La discrimination pratiquée par un représentant de l’autorité publique vaut cinq ans de prison. Une violation de sépulture à caractère racial est punie de trois à cinq ans de prison etc.

    Alors que manque-t-il à cet arsenal ? Une aggravation générale ? La peine de mort ?

    Il semble que le gouvernement ait considéré qu’il y avait « un trou dans la raquette ». C’est pourquoi le Premier ministre Edouard Philippe et huit membres de son gouvernement se sont rendus au Musée de l’histoire de l’immigration (on n’ose écrire l’ex-musée des Colonies, sous peine de tomber sous le coup de la loi et d’être à notre tour condamnés !) pour détailler les nouvelles dispositions.

    Un plan 2018-2020 a été présenté pour lutter contre la « flambée d’actes antisémites et antimusulmans » recensés ces dernières années (comme par un fait exprès, les actes antifrançais, antichrétiens, comme l’assassinat du père Hamel, n’ont pas été cités). Ce plan vise plus spécifiquement des propos tenus sur internet. Les grands réseaux sociaux qui laissent passer ce genre de propos pourraient se voir condamnés à une amende pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros. Des réseaux d’enquêteurs et de magistrats vont être recrutés pour traquer « la parole haineuse ». Un budget de 40 millions d’euros a été débloqué à cet effet. Les enquêteurs pourront prendre des pseudonymes, infiltrer des groupes de discussion, avec le risque, d’ailleurs, comme on l’avait vu après l’attentat de la synagogue de la rue Copernic, attribué à tort à des néo-nazis, de se retrouver dans des groupes… ne comportant que des policiers infiltrés !

    Les affaires Ilian Halimi, Sarah Halimi, Merah, hypercacher de Vincennes, les expulsions d’imams prêchant la haine et poussant au meurtre, montrent bien que des crimes racistes, antichrétiens, antisémites, antifrançais, sont parfois commis, mais toujours par les mêmes. Cette loi est-elle faite pour combattre ces crimes ?

    Sandwiches au porc

    Il faut craindre, dans ce domaine, le principe de précaution. Un principe de précaution qui a déjà abouti à la censure de Céline et de Maurras, au retrait des livres de l’historien de l’histoire militaire Jean Mabire de certains musées, à des procès scandaleux, comme ceux qui furent intentés contre Présent il y a une trentaine d’années.

    Les commentateurs de ce projet de loi se sont empressés de l’illustrer non par le prêche d’appel au meurtre de tel imam marseillais, mais par des propos présumés racistes d’un adhérent du FNJ, ou par la présence de sandwiches au porc distribués à des SDF toulousains ! On devine les visées totalitaires qui président en fait à ces multiplications d’interdits, à ce quadrillage de la pensée et de l’expression, sans rapport avec les vrais enjeux.

    Francis Bergeron

    (merci à Dirk)

  • Netanyahu : L’arrivée massive de migrants africains représente une plus grande menace que les attentats islamistes

     

    12h34

    Le Premier ministre israélien a affirmé que la barrière électronique placée à la frontière israélo-égyptienne avait sauvé Israël d’attaques jihadistes et ce qu’il a qualifié de « pire menace », l’arrivée massive de migrants illégaux africains.

    « Sans cette barrière, nous serions confrontés à de graves attaques de terroristes du Sinaï et, pire, à une arrivée massive de migrants africains illégaux », a déclaré M. Netanyahu lors d’une conférence consacrée au développement de la région sud d’Israël.

    Un plan gouvernemental controversé prévoit l’expulsion prochaine de milliers de migrants africains entrés illégalement dans le pays.

    « Nous parlons d’un Etat juif et démocratique mais comment assurer qu’il reste juif avec 50.000 ou 100.000 migrants par an ? », a demandé M. Netanyahu.

    « Un million, un million et demi et on peut fermer la baraque », a ajouté le Premier ministre, se félicitant « qu’au lieu de fermer la baraque, on a installé une barrière ».

    VOA Afrique

  • Complot contre les Brigandes

    A écouter pour en finir avec de graves accusations mensongères colportées par certains médias

  • Affaire Maurras : dégoûtés par Nyssen, 10 des 12 membres du Comité des commémorations nationales démissionnent

     

    La décision de la ministre de la Culture Françoise Nyssen de retirer le nom de Charles Maurras du Livre des commémorations nationales 2018 ne passe pas.

     

    « La décision que vous avez prise de retirer le nom de Charles Maurras de la longue liste de faits mémorables établie par notre Haut-Comité au titre de l’année 2018 – après l’avoir d’abord ratifiée par une préface élogieuse – et d’interrompre la diffusion du Livre des commémorations nationales nous rend impossible, à notre plus vif regret, de continuer de siéger dans cette instance », ont écrit les démissionnaires dans une lettre ouverte à la ministre Nyssen dont l’AFP a obtenu une copie.

    [...]

    La ministre de la Culture Françoise Nyssen avait décidé fin janvier d’effacer Maurras du livre des commémorations nationales après des protestations d’associations antiracistes. « Vous comprendrez que, dans ces conditions, nous ne puissions continuer à siéger avec, en permanence, la menace soit de la censure soit de l’autocensure », ont écrit les membres du Haut-Comité dans leur lettre ouverte à Françoise Nyssen.

    Lire l’intégralité de l’article sur huffingtonpost.fr

  • JT TVL 21 MARS 2018