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  • Alexandre Benalla invité d’un déjeuner d’investisseurs chinois : « Il est venu sans sa matraque et sans son casque »

     

    22h39

    L’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron a été aperçu lundi parmi les convives du très sélect Chinese Business Club. Explications.

    Devine qui vient dîner… Certains convives du très chic déjeuner du Chinese Business Club, qui met en relations entreprises françaises et investisseurs chinois, ont été surpris de découvrir à l’une des tables un invité surprise, lundi 8 octobre : Alexandre Benalla, l’ancien chargé de mission sécurité d’Emmanuel Macron à l’Elysée, sous le coup d’une mise en examen pour des violences commises en marge d’un manifestation le 1er mai à Paris. Pierre-Henri de Menthon, directeur délégué du magazine Challenges, l’a reconnu et a tweeté la photo (…)

    dementhon@dementhon
     
     

    Alexandre Benalla était tout à l'heure au déjeuner du Chinese business club à l’hôtel Intercontinental de Paris. Il a monté sa boite de sécurité et va très bien merci.

     

     

    « Il a un très bon carnet d’adresses »

    L’ex-collaborateur d’Emmanuel Macron n’est toutefois « pas membre du club », assure son fondateur. Selon lui, la présence du très médiatique invité n’a pas fait de remous : « Les membres n’étaient pas étonnés. Les gens savent que le club est assez hétéroclite et qu’on y trouve un peu de tout. Il était déjà venu avant et personne ne l’avait remarqué. » Ce n’est désormais plus le cas. « Il doit être habitué à ce genre de choses », sourit Harold Parisot. Et de glisser, sur le ton de la plaisanterie : « Il est venu sans sa matraque et sans son casque. »

    Le Chinese Business Club a pour vocation de « faire rayonner la France auprès des investisseurs chinois ». « J’essaie de faire en sorte qu’ils viennent chez nous plutôt que chez nos voisins », résume son initiateur. On vient à ses rendez-vous « pour faire du business et réseauter » (…)

    France Info

  • EXCLU EUROPE 1 - Les dérives du communautarisme à l’école pointées par une note des services de renseignement

     

    EXCLU EUROPE 1 - Les dérives du communautarisme à l’école pointées par une note des services de renseignement

    Repas, sorties scolaires, mixité garçon-fille… Dans certains établissements scolaires en France, des élèves reproduisent un comportement jugé communautaire, adopté par leurs parents. Et cela inquiète l'Education nationale.

    L'école est-elle de plus en plus victime de dérives communautaires ? Europe 1 a pu consulter en exclusivité une note ultra-confidentielle des services de renseignement, reçue par le cabinet du président de la République, du Premier ministre et de Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Education nationale, sur les signalements de cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires.

    Des cas parfois extrêmes. Si le nombre des faits rapportés est stable, les motifs sont de plus en plus inquiétants. Certaines choses ne sont tout simplement plus faisables dans toutes les écoles, pour des motifs religieux. L'exemple le plus frappant, le plus nouveau, signalé dans cette note, est celui d'élèves qui refusent d'avoir cours dans des classes comportant du mobilier rouge, jugé "haram", c'est-à-dire interdit par le Coran. Cet exemple remonte d'un établissement du Nord de la France.

    La note mélange différents types de cas, plus ou moins préoccupants. Selon elle, certains enfants refusent de dessiner des représentations humaines (un interdit religieux formel pour de nombreux musulmans). D'autres se bouchent les oreilles quand on passe de la musique en classe, et de jeunes garçons refusent de donner la main à une petite fille. Par ailleurs, les enfants pratiquent le ramadan de plus en plus jeunes, et cela peut poser des problèmes dans l'organisation des cours. À Troyes, des élèves de 6ème ont refusé d'aller à la piscine avec leur classe de peur de "boire la tasse et de casser leur jeûne".

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    Les repas, moment de crispation. De nombreux incidents sont d'ailleurs liés à la question des repas. Dans les Bouches-du-Rhône, certains élèves refusent de déjeuner à côté de ceux qui mangent du porc. Dans un collège de Saint-Denis, lors d'un voyage scolaire où on s'apprêtait à servir du poulet et des frites au repas, un incident est survenu. "Sur une cinquantaine d'élèves, 35 d'entre eux ont refusé de manger la cuisse de poulet qui leur était proposée au dîner, parce que ce n'était pas halal. Nous n'avions pas été prévenus, donc nous avons jeté ces 35 cuisses de poulet et ils n'ont mangé que des frites", raconte Yannis Roeder, leur professeur d'histoire.

    Plus préoccupant, en Seine-et-Marne, des élèves musulmans sont aussi stigmatisés par d'autres élèves parce qu'ils mangent de la nourriture ordinaire (non halal) à la cantine. De même, dans le Nord des élèves musulmans sont insultés par d'autres élèves musulmans quand ils mangent des produits qui ne sont pas halal.

    De nombreux signalements. Pour certaines familles, il est inconcevable que leur enfant ne mange pas halal, même l'espace d'une semaine. De fait, en Haute-Savoie par exemple, certaines écoles n'organisent plus de séjours en classes de neige, parce que c'est devenu "ingérable", selon elles.

    Il y a quelques mois, l'Education nationale a mis en place une plateforme permettant à un enseignant qui se trouve face à une question touchant à la religion de recevoir une réponse, un soutien dans les 24 heures. Elle enregistre environ 30 signalements par jour.

  • JT TVL 08/10/18

  • Présidentielle au Brésil : Jair Bolsonaro, classé à l’extrême-droite, largement en tête au 1er tour (MàJ)

    Par  le 08/10/2018

    0h44
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    Au Brésil, le candidat de l'extrême droite est en tête au premier tour de la présidentielle

     

     

    Le candidat de l’extrême droite est arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle brésilienne, dimanche 7 octobre. Avec plus de 46% des suffrages, Jair Bolsonaro affrontera au second tour le candidat du Parti des travailleurs, Fernando Haddad, qui totalise près de 29%.

    Jair Bolsonaro n’est pas passé loin d’une victoire dès le premier tour, dimanche 7 octobre. Le candidat de l’extrême droite brésilienne arrive largement en tête du premier tour de l’élection présidentielle.

    mathieu gallard@mathieugallard
     

    
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