Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 12

  • Une étudiante égorgée chez elle

    INFO LE PARISIEN. La brigade criminelle de Paris est chargée d'enquêter sur le décès d'une étudiante de Maisons-Alfort (Val-de-Marne). La jeune femme a été retrouvée morte vendredi soir dans son appartement. Agée de 22 ans, elle a succombé à une série de blessures, notamment à la gorge et à la tête, probablement infligées avec une arme blanche.

    Elle a également reçu des coups au visage. Le corps aurait ensuite été transporté jusqu'à sa baignoire où il a été retrouvé par une amie qui venait rendre visite à la jeune femme. La brigade criminelle de Paris est chargée de l'enquête.

    1er septembre 2008

  • La disparition de Rose en Israël cache quelque chose d'abominable...

    fleuve Yarkon.gif
    Policiers israéliens draguant le fleuve Yarkon

    La valise censée contenir le corps de Rose, la petite Française disparue en Israël, reste désespérément introuvable. Au point que les enquêteurs israéliens se demandent si le meurtrier présumé, Ronny Ron, ne leur a pas livré des aveux fantaisistes en racontant qu’il avait enfermé le corps de l’enfant dans cette valise avant de s’en débarrasser dans le Yarkon, un fleuve débouchant dans la Méditerranée à hauteur de Tel-Aviv.

    Les vaines recherches commencent à les intriguer sérieusement car, depuis une semaine, le Yarkon est sans cesse dragué, les berges et leurs environs passés au peigne fin. Du coup, ils viennent de « tester » la version de Ronny Ron en jetant eux-mêmes une valise dans le fleuve pour examiner son trajet et déterminer la véracité de la théorie du meurtrier présumé. Avant de livrer cette version, Ronny Ron avait dit que Rose avait été donnée à des Bédouins, puis vendue à des Arabes.

    La deuxième interrogation majeure des policiers israéliens concerne le véritable rôle de Marie-Charlotte, la maman de l’enfant disparue, dans cette sordide histoire. Soupçonnée de complicité, Marie-Charlotte est toujours placée en garde à vue.

    Le père de Rose entendu par la police française

    Marie-Charlotte pourrait en savoir plus qu’elle ne le disait au lendemain de son arrestation. Dans l’appartement qu’elle occupait à Netanya avec sa fille et Ronny Ron, le grand-père biologique de Rose devenu le compagnon de Marie-Charlotte, la police n’a retrouvé que quelques affaires appartenant à l’enfant.

    La petite n’y disposait ni de chambre ni de lit. Comme si sa vie dans l’appartement avait été effacée. Et il reste ces troublants courriers découverts par les enquêteurs, dans lesquels Marie-Charlotte évoque le meurtre et confie qu’elle est à la recherche d’une fille de 5 ans. Une enfant qu’il faudrait qu’on lui procure pour éviter des ennuis avec la police.

    En France, les autorités policières ont démarré les premières auditions. Saisie d’une enquête ouverte par le parquet de Versailles depuis mercredi, soit au lendemain de la révélation de cette affaire dans nos colonnes, la direction centrale de la PJ a déjà pris l’affaire en main. Dès jeudi, elle convoquait Benjamin, le père de Rose, établi dans les Yvelines. Après sa séparation d’avec Marie-Charlotte, Benjamin était revenu vivre en France avec la petite fille au début de l’année 2005, tandis que Marie-Charlotte refaisait sa vie en Israël avec Ronny Ron, le père de Benjamin. Le jeune homme, âgé de 23 ans, a été entendu quelques heures par les policiers français jeudi après-midi. Une première étape avant une série d’auditions qui devraient avoir lieu la semaine prochaine. Les enquêteurs entendent interroger l’entourage de Rose et Marie-Charlotte pour tenter de mieux cerner la genèse de ce drame.

     

    Le Parisien- 30 août 2008

    Pourquoi cette petite fille était-elle tellement haïe par ses parents et par son grand-père? On n'ose penser que l'on est en présence d'une sorte de "meurtre rituel".

  • STATS POUR AOÛT 2008

    Visiteurs uniques: 12 062

    Visites: 19 689

    Pages: 62 238 

    Pages par jour (Moy/Max): 2007/4869

    Visites par jour (Moy/Max): 635/1004                

  • L'album de Carla Bruni se vend péniblement

    couverture cd carla Bruni.jpg
    Depuis la sortie de l’album de Carla Bruni, les ventes de CD de la "première dame de France" alimentent des commentaires contradictoires. Vrai succès pour les uns. Bide pour les autres. La vérité se situe entre les deux. Disponible depuis le 11 juillet, « Comme si de rien n’était » s’est vendu précisément à 80 657 exemplaires en sept semaines, selon les chiffres comptabilisés par le Syndicat national de l’édition phonographique (SNEP) que nous nous sommes procurés.
    Ils correspondent à ce que l’on appelle les « sorties caisse », soit le nombre de CD réellement achetés par le public.

    Un chiffre loin de celui claironné par la maison de disques de l’artiste. Le 13 août dernier, Naïve, le label de Carla Bruni parlait de 300 000 exemplaires, dont 160 000 en France. Désinformation ? « C’est la réalité, se défend Patrick Zelnik, PDG de Naïve. Ces éléments récapitulent les mises en place dans les magasins. Les enseignes ont même effectué de nouvelles commandes. Depuis, nous sommes à près de 175 000. »

    Ce n’est pas pour autant que la chanteuse a convaincu 175 000 consommateurs. Nuance. Chez Naïve, on explique que les ventes communiquées par les maisons de disques correspondent toujours à ce que les magasins possèdent en stock. « C’est avec ces données qu’un album est certifié ou pas disque d’or », ajoute son patron. Ainsi avec plus de 150 000 exemplaires, « Comme si de rien n’était » est double disque d’or.
    Dans la réalité, Carla Bruni vient de décrocher péniblement le métal précieux avec un peu plus de 75 000 unités écoulées par les points de vente. Cette semaine, elle pointe en 9ème  place avec 5 757 CD passés en caisse.

    Une différence non négligeable compte tenu des enjeux d’un disque aussi politique que musical. Une chose est sûre : l’artiste était en droit d’en attendre mieux, pour de bonnes ou de mauvaises raisons.

    Jamais enregistrement n’avait autant fait parler, nourri d’aussi nombreuses supputations, d’avis définitifs avant écoute et surtout de couvertures des magazines. « La pression médiatique nous a fait avancer le disque au 11 juillet qui n’est pas du tout une bonne date, justifie Patrick Zelnik. La véritable promotion pour Carla Bruni va démarrer à la rentrée avec des émissions de télé comme « le Grand Journal », « Taratata » ou « Vivement dimanche ». Pour l’instant, on l’a beaucoup vu dans la presse people qui n’est pas connue pour faire vendre des disques. »

    En d’autres termes, être chanteuse et "première dame de France" surexposée médiatiquement, serait plus un inconvénient qu’un avantage. La cote négative du président de la République n’a probablement pas arrangé les affaires de son épouse musicienne. Et les résultats commerciaux de son album pourraient être pris comme un indice de sa popularité, en tant qu’épouse du chef de l’Etat. « On ne peut pas traiter un disque sur les mêmes bases qu’un sondage politique hebdomadaire, rétorque Patrick Zelnik. Pour nous, c’est un succès. Pas un triomphe, mais un succès. On avait prévu d’en vendre 200 000 avant Noël. On ira largement au-delà. »
    (Le Parisien - 31 août 2008)

     

     

  • VIDEO Le Vaisseau fantôme

    http://fr.youtube.com/watch?v=zqMzIBc7Efk

    Il est difficile de dater précisément l'événement qui aurait donné naissance au mythe repris par Wagner dans son opéra Le vaisseau fantôme (dit aussi Le Hollandais volant) : 1641 ? 1680 ? 1780 ? Il existe plusieurs versions. Voici celle qui est le plus souvent évoquée : un navire baptisé Le Hollandais volant s'apprête à passer le cap de Bonne-Espérance. Une terrible tempête se lève. Affolés, les passagers et l'équipage supplient le capitaine Van der Decken de faire demi-tour. Il refuse et défie Dieu en tirant vers le ciel. L'Éternel le prend mal et le condamne à errer sur les mers sans pouvoir jamais accoster. Et ceux qui auront le malheur de voir son vaisseau aux voiles rouges connaîtront un sort funeste...

    Retour aux sources
    La légende du Hollandais volant trouve sa source dans les peurs liées, au XVe siècle, au passage du cap de Bonne-Espérance, et plus tard dans la rivalité entre les Anglais et les Hollandais sur la route des Indes. En 1830, le poète Heinrich Heine couche cette histoire sur le papier. C'est ce texte qui inspirera Wagner pour le livret du Vaisseau fantôme. En 1839, le capitaine anglais Marryat donne sa version de l'histoire dans Phantom ship.
     En 1881, le futur roi Georges V, alors âgé de 16 ans et enseigne à bord d'un bâtiment de la Royal Navy, croit voir avec douze autres membres d'équipage un brick nimbé d'une lueur rougeâtre ; des événements tragiques s'ensuivent... Le thème du navire errant traverse les âges. À travers des extraits de films, d'oeuvres musicales ou théâtrales, des interviews et des scènes reconstituées, ce documentaire opère un retour aux sources et nous plonge au coeur d'un mystère jamais élucidé.