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  • Fiamma Nirenstein au Conseil de l’Europe : ce que doivent dire et ne pas dire les parlementaires grecs et hongrois

     

    Revue de presse
    Publié le 23 Janvier 2013

     

     
    Lundi 21 janvier 2013, à l’ouverture de la session du Conseil de l’Europe, un groupe dirigé par la députée juive d’Italie Fiamma Nirenstein s’est adressé aux élus grecs, Eleni Zaroulia du parti Aube dorée, et hongrois, Tamas Gaudi Nagy du parti Jobbik, qu’elle a qualifiés de « néo-fascistes, racistes et antisémites ».
     
     

    « Nirenstein a déclaré que les positions exprimées par les deux parlementaires "ne sont pas compatibles" avec le statut du Conseil de l'Europe »

     

    Nirenstein a déclaré que les positions exprimées par les deux parlementaires "ne sont pas compatibles" avec le statut du Conseil de l'Europe, dont tous les membres doivent «accepter les principes de la primauté du droit et de la jouissance par toutes les personnes relevant de sa compétence des droits de l'homme et des libertés fondamentales. "

    Crif

     
  • Otages: un haut responsable japonais à Alger pour demander des explications

     

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    Shunichi Suzuki

    Lire l'article: http://www.algeriedz.info/2013/01/23/algerie-otages-un-emissaire-japonais-a-alger-pour-demander-des-explications/

  • Florence Cassez libérée: "c'est fabuleux!" - Hollande, Trierweiler et Sarkozy se réjouissent

    Lire l'article: http://www.europe1.fr/International/Florence-Cassez-liberee-c-est-fabuleux-1390553/

  • Carlton : DSK soupçonné d'être «l'instigateur» du réseau

     

    Par Marie-Amélie Lombard Mis à jour le 23/01/2013 à 21:20 | publié le 23/01/2013 à 20:00)
    DSK en décembre à Paris.
    DSK en décembre à Paris.Crédits photo : © Gonzalo Fuentes / Reuters/REUTERS
     

     

    INFO LE FIGARO - Le Figaro s'est procuré la décision judiciaire qui a validé l'enquête des juges. Très accusatrice pour l'ex-directeur du FMI, cette analyse est totalement réfutée par la défense.

    L'enquête sur l'affaire du Carlton entre dans sa dernière ligne droite. Les juges avaient mis le dossier en sommeil plusieurs mois, le temps que d'importantes questions de procédure soient tranchées. Désormais, les magistrats de Lille ont relancé leurs investigations. Dodo la Saumure, soupçonné d'avoir fourni des filles au réseau présumé, est interrogé depuis mardi. De nouvelles auditions et des confrontations, notamment entre les prostituées et les participants aux soirées de Lille, Paris ou Washington, doivent être organisées. Selon un calendrier très indicatif, l'instruction pourrait être bouclée avant l'été.

    Le 19 décembre dernier, la cour d'appel de Douai a entièrement validé la procédure. Principalement la mise en examen de Dominique Strauss-Kahn pour «proxénétisme aggravé en bande organisée» que ses avocats, qui ont déposé un pourvoi en cassation, contestent vigoureusement. Le Figaro a eu connaissance de l'arrêt rendu à Douai. Les juges estiment que des indices graves ou concordants rendent «vraisemblable la participation effective et déterminante» de DSK dans des «actes de proxénétisme». Voici leur raisonnement.

    • Des prostituées, pas des libertines

    Le premier objectif des magistrats est de démontrer que DSK savait que les femmes présentes lors de ces rencontres étaient, non des «libertines», mais des prostituées rémunérées, condition sine qua non pour le soupçonner ensuite d'avoir pu «aider, assister ou protéger la prostitution d'autrui ou en tirer profit», tel qu'est défini le proxénétisme dans le Code pénal. Les juges s'appuient donc sur un faisceau d'indices censés prouver que l'ancien directeur du FMI ne pouvait pas se méprendre sur la qualité des jeunes femmes. Certains sont plutôt subjectifs comme «leur accoutrement et comportement, aussi provocants que vulgaires». Ou reposent sur le témoignage d'une jeune femme, «maîtresse un temps de DSK», qui évoque des prostituées «se connaissant toutes, ne participant ni aux conversations ni au repas, se déshabillant dès le début de la soirée et entamant des relations sexuelles sans aucun préliminaire». Sans compter les dépositions crues de professionnelles ayant participé à ces soirées. L'une, «Jade», parle d'«une véritable boucherie», l'autre d'ambiance «bestiale» à Washington et de «pure consommation sexuelle». Les juges ne se privent alors pas de rappeler les déclarations de l'ex-ministre qui assurait, sur procès-verbal, que «le libertinage suppose le consentement et le plaisir commun».

    • Une garçonnière avenue d'Iéna

    C'est un vieil ami de Dominique Strauss-Kahn qui lui aurait laissé l'usage de cet appartement, situé avenue d'Iéna, dans le XVIe arrondissement de Paris. Comme, auparavant, celui de la rue Mayet, rive gauche, où la romancière Tristane Banon affirme avoir subi une tentative de viol en 2003. Cette garçonnière est l'une des cartes de l'accusation - «l'acte matériel de proxénétisme», est-il écrit -, qui estime que DSK «a mis ces lieux à la libre disposition de soirées à caractère sexuel, en présence de prostituées dont il connaissait l'activité» pour des prestations payées de 500 à 1000 euros.

    Lui est encore reproché le fait d'avoir réglé des chambres à L'Hermitage gantois à Lille et à l'Hôtel Amigo à Bruxelles, lieux de diverses rencontres tarifées.

    • Un «instigateur» présumé

    Les magistrats franchissent là un pas supplémentaire, estimant que DSK n'aurait pas été un simple bénéficiaire de ces parties fines mais aurait «initié et largement favorisé en toute connaissance de cause la mise en place d'un système fondé sur la complaisance de son entourage immédiat dans le but de satisfaire ses besoins sexuels». Ils rappellent le témoignage d'une jeune femme affirmant avoir été «sélectionnée» pour répondre aux attentes de l'ex-patron du FMI, les trois voyages à Washington en 2010 et 2011 «à l'invitation» de ce dernier et cette remarque d'un des participants à propos de l'homme politique: «C'est le leader qui nous aime moins sans les filles.»

    L'ambiance dans le petit cercle réunissant souvent deux chefs d'entreprise et un commissaire de police autour de DSK est ainsi décrite: «Il s'est installé autour d'un homme puissant ayant un destin national un petit cercle relationnel jouant sur le secret pour conserver son caractère privilégié et sur la flatterie.» Et les magistrats de conclure: «La programmation de ces soirées ne se faisait qu'en fonction de ses disponibilités d'agenda. Il ne laissait aucun message sans réponse, relançant même son homme de confiance (Fabrice Paszkowski, le chef d'entreprise du Pas-de-Calais avec qui il échangeait de multiples textos, NDLR) (…), exprimant ses désirs (…), lançant des options voire des exigences sur la représentation féminine.»

    La cour d'appel de Douai a donc jugé fondée la mise en examen de Dominique Strauss-Kahn car reposant sur «des indices graves ou concordants». À la fin de l'instruction, si les juges maintiennent cette analyse et renvoient l'ancienne figure socialiste devant un tribunal, cette thèse sera évidemment combattue par la défense. Les avocats de DSK, qui accusent déjà les magistrats de «faire de la morale», s'emploieront à démolir «une aberrante construction intellectuelle».

    Non sans arguments puisque la plupart des protagonistes - quelques prostituées exceptées - ont, jusqu'à présent, validé la thèse d'un homme à l'emploi du temps surchargé croyant participer à des soirées libertines et ne se préoccupant pas de leur organisation. Ce mur solide entourant DSK est d'ailleurs l'un des principaux atouts de la défense. C'est lui que les juges vont tenter de fissurer en organisant des confrontations.

    Outre DSK, huit personnes sont mises en examen dans ce dossier et, encourraient, si l'affaire venait à être jugée en correctionnelle, jusqu'à sept ans de prison.

  • Mexique - La Cour suprême ordonne la libération immédiate de Florence Cassez

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    MEXICO (Reuters) - La Cour suprême du Mexique a ordonné mercredi la libération immédiate de la française Florence Cassez, condamnée en 2008 à une peine de 60 ans de prison pour complicité d'enlèvements.

    Bureau de Mexico; Jean-Loup Fiévet pour le service français

    23/01/13

     

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    23 janvier 2013 : la Cour suprême du Mexique décide la libération immédiate de la Française Florence Cassez en raison de la violation de ses droits fondamentaux.

  • Jean Sarkozy prof de TD à Créteil ? La fac n'est pas au courant

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    La direction des ressources humaines de l'université de Créteil a indiqué mercredi n'avoir pas reçu "à ce jour" de dossier au nom de Jean Sarkozy pressenti, selon une information du Lab/Europe 1, pour occuper un poste de chargé de travaux dirigés à la faculté de droit.

    "Les recrutements des vacataires sont soumis aux conseils de gestion des facultés et instituts puis sont transmis pour vérification des pièces à la direction des ressources humaines", a indiqué l'université Paris-Est Créteil (Upec) dans un communiqué transmis. Et "à ce jour, la direction des ressources humaines de l'Upec n'a pas reçu de dossier au nom de Jean Sarkozy", précise le texte qui souligne que "c'est par voie de presse" que l'Upec a "découvert le possible recrutement de Jean Sarkozy comme chargé d'enseignement vacataire à la faculté de droit".

    Vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine, Jean Sarkozy qui avait été au coeur d'une controverse en 2009 autour de sa nomination avortée à la tête de l'Établissement public pour l'aménagement de la région de la Défense (Epad), doit occuper un poste de vacataire, chargé d'enseignement en Licence 3, en droit spécial des sociétés, selon le Lab/Europe 1, une information relayée par plusieurs sources syndicales au sein de l'Upec.

    "Il correspond aux critères et a tout à fait le droit d'enseigner"

    Titulaire d'une licence de droit et inscrit en M2 à l'université Paris-1, Jean Sarkozy qui peut selon les textes réglementaires, être recruté comme vacataire, est censé dispenser quelques heures de cours lors du second semestre. "Cette nomination est un non événement, un non sujet", a estimé dans lemonde.fr Philippe Dupichot, responsable de la formation où officiera M. Sarkozy. "J'ai eu Jean Sarkozy en cours au premier semestre à Paris 1 où je donne un cours. C'est un étudiant remarquable (...) Chaque professeur constitue son équipe comme il le peut. On est ravi quand on a des étudiants motivés", a-t-il indiqué.

    Interrogée, Catherine Deville-Cavelin représentante du Snesup-FSU, un syndicat d'enseignants du supérieur à l'Upec s'est déclarée surprise" par ce recrutement. "Ca serait un étudiant de l'Upec avec une licence, personne ne l'aurait recruté comme chargé de TD", a-t-elle poursuivi. Moins critique, la présidente de l'Unef à l'Upec, Mélanie Vasselin, a pour sa part estimé que le recrutement du conseiller général âgé de 26 ans, ne posait a priori, pas de "souci". "Ce n'est pas comme l'Epad. Il ne devient pas prof. Il n'y a aucun souci pour être chargé de TD car il est en master 2. Il correspond aux critères et a tout a fait le droit d'enseigner", a souligné la syndicaliste étudiante.

  • Mali : la France met la pression sur les États-Unis

     

     

    Par Laure Mandeville Mis à jourle 23/01/2013 à 15:13 | publiéle 23/01/2013 à 08:09

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    Des avions de l'US Air Force ont commencé à transporter des troupes françaises et du matériel vers le Mali.Crédits photo : ERIC GAILLARD/REUTERS
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    • DÉCRYPTAGE - Dans le contexte du désengagement en cours de l'Amérique de ses longues guerres extérieures, la négociation du soutien logistique américain à l'opération française au Mali suscite des tiraillements.

    Correspondante à Washington

    Des avions américains ont commencé le transport de troupes et de matériel de France vers le Mali, en réponse aux demandes de soutien aérien émises par les Français depuis plusieurs jours. Les avions de ravitaillement en vol de l'Hexagone se comptant sur les doigts d'une main, la France va aussi disposer des avions ravitailleurs de l'US Air Force (l'Amérique dispose d'une flotte de quelque 350 avions ravitailleurs), dont elle a un cruel besoin vu le caractère éloigné du théâtre d'opération malien.

    Mais derrière ces annonces, présentées à Paris et à Washington comme l'exemple de «l'excellente coopération» militaire et politique qui lie les deux pays, se joue une partie diplomatique un brin plus compliquée entre la France et son grand allié d'outre-Atlantique. La réalité est que Paris bute sur la fatigue d'une Amérique qui, après dix ans d'engagement de ses boys dans des pays lointains pour des guerres «antiterroristes» coûteuses en hommes et en dollars, rêve de se replier un temps sur ses frontières, pour se consacrer à ses propres défis.

    Cette hostilité à s'engager à nouveau sur un terrain aussi incertain que le Mali, où les Américains ont subi récemment de lourds déboires, après avoir formé et encadré une armée malienne dont une partie a finalement organisé un putsch tandis que l'autre ralliait la rébellion islamiste du nord, a été tangible ces derniers jours pendant la négociation qui s'est engagée sur les contours de l'aide que l'Amérique apporterait à l'intervention surprise décidée par la France au Mali. Si une consultation permanente prévaut à tous les niveaux - les présidents Obama et Hollande se sont parlé avant l'envoi des troupes françaises et plusieurs fois depuis - il reste difficile de démêler jusqu'à quel point les Américains vont s'engager et ce qu'ils ont en tête. Mais le savent-ils eux-mêmes?

    Une contrepartie financière demandée

    Certes, au Pentagone, comme au département d'État et à la Maison-Blanche, la satisfaction, voire le soulagement que les Français y soient allés et assument, s'exprime. Les Américains restent admiratifs des capacités de l'armée française et fascinés par la rapidité du processus de décision, sans débat public préalable, et concentré à la présidence, qui prévaut à Paris en matière d'intervention. Une situation impensable à Washington où l'exécutif doit passer sous les fourches caudines du Congrès pour décider d'entrer en guerre. «Dans le jeu de cartes de la puissance, notre capacité à intervenir en Afrique est une de nos cartes clé vis-à-vis des Américains», note d'ailleurs une source diplomatique française.

    Mais cela n'empêche pas les Américains de traîner les pieds pour assumer leur rôle de soutien. Ainsi les Français ont-ils été très «surpris», selon une source indépendante qui s'est confiée au Figaro, de la manière dont Washington aurait traité leurs demandes de soutien aérien. S'ils ont donné un accord de principe, les États-Unis restent peu coulants sur les modalités exactes de cette aide. Washington a notamment demandé que la France paie pour les avions alloués par l'Amérique, une exigence qui en dit long sur les préoccupations budgétaires du moment. «Une demande sans précédent» en matière de coopération occidentale, nous confie la même source indépendante.

    Paris conteste l'existence d'un blocage politique, parlant au contraire d'une négociation technique et d'un débat américano-américain bureaucratique. Outre la question des compensations financières, les Américains ont invoqué des arguments légaux pour expliquer leur réserve, se disant gênés par le fait d'avoir à ravitailler des avions qui seraient destinés à frapper des cibles, car cela les mettrait, expliquent-ils, en situation de «cobelligérance». La France cherche de son côté à s'assurer que le soutien aérien américain sera au rendez-vous si ses troupes se retrouvent en difficulté. Le débat est toujours en cours. Mais selon une source indépendante, l'ambassadeur de France a accentué la pression ce week-end, appelant plusieurs contacts à la Maison-Blanche, dont la conseillère du président, Valerie Jarrett, et le sénateur John Kerry, pour rappeler l'importance du soutien américain.

    Un projet de résolution «de m…»

    Dès le début de la crise, les Américains ont apporté une aide immédiate et totale en matière de renseignement à leurs alliés français, notamment grâce à leurs satellites. Mais les observateurs avertis soulignent qu'ils semblent en revanche peu pressés de s'engager plus directement dans un engrenage malien dont ils ne voient pas clairement l'issue. Il y a quelques mois, certains au Pentagone avaient préconisé des frappes de drones sur les intérêts d'al-Qaida au Maghreb islamique. La France, qui connaît bien le terrain et craignait que des frappes spectaculaires n'attirent en terre malienne des hordes de djihadistes (et ne mettent en péril les otages français détenus par Aqmi), les avaient alors freinés, préférant privilégier des missions de contre-terrorisme plus discrètes.

    Quand la situation s'est gâtée à l'automne, le gouvernement de François Hollande a en revanche été en première ligne pour accélérer la mise en place d'un dispositif de forces africaines susceptibles de se déployer en tampon entre le nord et le sud, avec pour objectif ultime de rétablir l'intégrité territoriale du Mali. Mais les États-Unis ont alors ralenti le processus, traînant des pieds et jugeant que le projet était mal ficelé et trop précipité. Ils ont préconisé des élections préalables à Bamako, aujourd'hui tenu par un gouvernement issu d'un putsch. Les désaccords ont été suffisamment forts pour que l'ambassadrice américaine à l'ONU, Susan Rice, qualifie le projet de résolution française de projet de «m…», avant qu'un vote n'ait finalement lieu fin décembre pour confirmer le droit à l'utilisation de la force et le déploiement futur de troupes africaines.

    Une prise de conscience progressive du danger

    Aujourd'hui, après la surprise suscitée par la marche forcée des islamistes vers le sud et la décision d'intervention éclair de Paris, le credo actuel américain consiste à affirmer «son soutien» à la France et à encourager le déploiement des forces africaines aussitôt que possible. Les États-Unis promettent aussi d'être très actifs dans la phase 3 d'africanisation du conflit, notamment en matière d'aide financière et de formation. Mais certains observateurs, notamment américains, soulignent qu'en dehors des Tchadiens, rompus à la guerre dans le désert, les autres forces africaines impliquées ne sont pas vraiment préparées à se battre sur le terrain désertique du nord du Mali et auront du mal à prendre la relève des Français.

    Une réalité qui pose avec d'autant plus d'acuité la question des forces occidentales susceptibles de venir en renfort, si la situation se gâte ou s'éternise. La spectaculaire prise d'otages en Algérie, par les mêmes groupes terroristes islamistes qui agissent au Mali, semble avoir suscité une prise de conscience de certains pays, comme la Grande-Bretagne. La mort de 3 otages américains pourrait potentiellement changer les paramètres de l'équation d'engagement de Washington, supputent certains experts. Mais le sujet est resté pour l'instant relativement absent des télévisions américaines, sans doute en raison des festivités d'investiture.

    L'idée que l'Amérique, sous l'effet de la mort de ses compatriotes et de la propagation de l'instabilité, finisse par s'engager dans des opérations secrètes pour frapper Aqmi et ses alliés est théoriquement envisageable. Mais pour l'instant, cela n'apparaît pas dans les cartes, assurent les experts. «Ils ne prennent que progressivement conscience du danger que représente Aqmi, dit une source diplomatique française. Pour eux, le terrorisme, c'est l'Afghanistan, le Pakistan, le Yémen, la Somalie et un peu le Nigeria. Cela fait des années que nous nous efforçons de les sensibiliser à cette problématique sahélienne. Il faut du temps pour faire bouger le paquebot américain, mais cela progresse», ajoute-t-il, sûr que la présence de John Brennan à la tête de la CIA aidera les intérêts français, car cet expert du contre-terrorisme «connaît très bien le sujet».

    LIRE AUSSI:

    » Clinton pousse Alger sur la voie d'une opération au Mali

    Le Figaro

  • 22 janvier 1973 – 22 janvier 2013 : miserere nobis…

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    22 janvier 1973 : l’arrêt Roe vs Wade de la Cour suprême des États-Unis légalise l’avortement dans tous les États de l’Union.

    22 janvier 2013 : 55 millions d’enfants ont été avortés aux États-Unis.

    On reste sans voix. Pas de paroles donc. Des prières. Et une image de CatholicVote.org

     

    Riposte catholique

  • Caroline Fourest et Fiammetta Venner condamnées pour diffamation

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    21/01/2013 – 22h30
    PARIS (NOVOpresss) – Caroline Fourest et Fiammetta Venner ont été condamnées pour diffamation aujourd’hui. Elles étaient poursuivies par Frédéric Chatillon, dirigeant d’une agence de communication Riwal et prestataire de service notamment pour le Front national.

    Journaliste très engagée, Caroline Fourest avait également été condamnée avec sa compagne Fiammetta Venner, pour avoir asséné un certains nombre d’erreurs et de mensonges sur le Front national et Marine Le Pen dans leur biographie consacrée à la présidente du parti populiste. Sans compter sur la manière avec laquelle Caroline Fourest semblait vouloir manipuler l’opinion avec l’”attaque” du cortège de Civitas, contre le mariage homosexuel, par les membres de Femen.

    Crédit photo : capture d’écran.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Crise du Mali, réalités géopolitiques (1ère partie), par Aymeric Chauprade

    Lire: http://fr.novopress.info/130428/crise-du-mali-realites-geopolitiques-1ere-partie-par-aymeric-chauprade/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

  • Le gaz nauséabond continue de s'échapper de l'usine Lubrizol

    Lire l'article: http://www.francetvinfo.fr/gaz-a-rouen-l-ensemble-de-l-exploitation-de-l-usine-lubrizol-a-ete-arrete_208883.html

     

  • 1984

    21 janvier 1950, décès à Londres, de George Orwell, né en 1903, de son vrai nom Eric Arthur Blair, l’auteur de « 1984″ et le père de la « common decency ».

    Le chemin sous les buis

     

     

  • L'usine à gaz de Rouen: la France qui pue...

    Lire l'article: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/01/22/01016-20130122ARTFIG00330-une-forte-odeur-de-gaz-ressentie-de-rouen-a-paris.php

  • La facture de la guerre au Mali : Français à votre bon cœur !

     

    Laurent Brayard, Rédaction en ligne
    21.01.2013, 19:35, heure de Moscou
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    Photo : EPA

    Selon des estimations à la louche, le coût de l’intervention militaire au Mali tournerait autour des 400 000 euros par jour… pour un budget total en 2013 concernant les opérations militaires extérieures qui a dû être calculé par le gouvernement Ayrault mais que nous ne connaissons pas à cette heure. Mais de toute façon, les généreux donateurs français, les contribuables, vont encore une fois devoir mettre la main à la pâte… ou du moins au portefeuille.

    En termes de budgets militaires des opérations militaires extérieures, la France se trouve depuis au moins 2005 dans le cas de devoir financer lesdites opérations bien au-delà de ce qui avait été budgété lors des votes des parlementaires français. Prévues autour des 100 millions d’euros en 2005, les dépenses avaient atteint 532 millions et l’embolie s’était à nouveau propagée les années suivantes pour cause d’intervention en Côte d’Ivoire, en Afghanistan, en Lybie… et maintenant au Mali. En 2006 et 2007, les budgets calculés avaient encore été largement dépensés, et les sommes atteintes furent entre une fois et demie et quatre fois supérieures à celles affichées dans les prévisions gouvernementales.

    Ces écarts effarants de budget, qui pourraient se monter entre 2005 et 2012, à quelque 3 milliards d’euros au bas mot, participent grandement à creuser un déficit des finances de l’Etat français au point que le pays ait pu perdre ses notations auprès des agences financières anglo-saxonnes. Beaucoup d’experts anglo-saxons affichent même des prévisions pessimistes sur le fait que la France serait bientôt la prochaine sur la liste des déroutes financières, après la Grèce, le Portugal, l’Espagne et l’Italie. C’est donc assurément une guerre à crédit que la France mène depuis de longues années, une guerre qui est financée par les contribuables français moyens, et celle du Mali ne fera pas exception.

    Car la guerre moderne, comme du reste l’ancienne, cela coûte cher, même très cher. Dans le cas des opérations au Mali, les Français peuvent certes compter sur des bases aériennes alliées dans les pays qui entourent la zone rebelle, au Niger, en Algérie, au Sénégal et bien évidemment au Mali. La flotte jouera donc un rôle négligeable, ce sera une guerre continentale. Mais il n’en reste pas moins que le Mali, et la zone du Sahel et du Sahara, c’est loin… très loin. Sans doute pas aussi loin qu’en Afghanistan dont les Français vont se retirer, mais tout de même le coût de transport des troupes, ravitaillements et munitions reste colossal, sans parler du coût intrinsèque des opérations propres. Contrairement à la Lybie, la France va devoir en effet mener une guerre terrestre active qui ajoutera au coût des forces aériennes très onéreuses, celle d’une intervention au sol.

    Dans les airs, à titre d’exemple, il faut compter 27 000 euros par heure de vol d’un Rafale, plusieurs dizaines de milliers d’euros pour les missiles qu’il tire, et nous passerons sous silence le coût prohibitif des munitions des autres avions, hélicoptères, chars ou pièces d’artillerie que la France ne manquera pas d’utiliser. Pour l’économie, l’adage est bien connu, « une bonne guerre, il n’y a rien de tel… » Oui mais ! Rien de tel pour enrichir certaines industries et profiter à certains intérêts, mais rarement pour le profit commun de tous et pour l’intérêt général. Ce seront donc les Français qui payeront cette guerre, ils vont la payer à crédit, de leurs poches, dans les gouffres de la TVA, des taxes indirectes ou directes diverses et de leurs impôts…

    En Libye, le chiffre psychologique d’un milliard fut lâché en 2011 pour l’intervention française, alors que la crise européenne battait son plein. En 2012, les opérations militaires en Afghanistan, en Somalie, les soutiens matériels et financiers aux « rebelles » syriens islamistes ne sont pas connus, pas encore, mais n’apparaissent pas avoir été inférieurs à plusieurs centaines de millions d’euros : 650 ? 800 millions ? Les Français quoi qu’il en soit paieront. Le plus étrange de cette facture est de penser, comme le faisait si brillamment remarqué mon collègue Alexandre Latsa, que la France soutient les djihadistes en Syrie et en Libye, pour les combattre… au Mali et en Somalie. Si les raisons de l’intervention ne sont pas notre propos, force est de constater combien cet argent apparaît bien mal placé également.

    La France n’a pas connu de budget bénéficiaire depuis la présidence de Giscard d’Estaing… soit près de 40 années de budgets déficitaires qui s’accumulent les uns après les autres depuis la fin des années 70… Une situation tout à fait exceptionnelle qui empire chaque année et conduira immanquablement à une banqueroute future, tôt ou tard. Cette banqueroute qui menace la Grèce, est une réalité également de la France. Le Royaume-Uni qui menaçait de quitter le navire avant qu’il coule, juste avant cette guerre opportuniste, ne s’y trompe pas, le mal est trop grand pour être soigné. Il fut la cause de 1783 jusqu’en 1789 d’une agitation montante en France, qui mena une Révolution dont la source principale plongeait ses racines dans les causes financières, dans le déficit… Un ministre de Louis XVI, Calonne porta même le surnom peu envieux de « Monsieur Déficit ». Depuis les Français en ont connu de très nombreux !

    Le déficit engendrera-t-il d’autres événements majeurs à longs termes en France ? Peut-être. Ce qui est certain, c’est que chaque Français paye maintenant plus d’impôt qu’un paysan de l’époque de l’Ancien régime, que les péages rétablis et qui étaient honnis par les Français de l’époque, des ponts et des routes n’ont jamais été aussi chers, que les Français ne font plus les corvées mais les payent… très chers et que l’ensemble de la pression fiscale sur les Français est désormais d’une telle ampleur, qu’elle pèse plus lourd que celle qui déclencha avec d’autres raisons la grande Révolution. Les Français, déclarait méchamment le Général de Gaulle « sont des veaux», il nous semble plutôt que nous ayons affaire à de braves « vaches laitières » !

    La Corne d’abondance toutefois, par le biais des crédits, ne semble pas avoir terminé de déverser son opulence, certes canalisée dans des directions bien choisies. Certains retraités l’auront toutefois remarqué en France, les retraites qui arrivaient avant juin 2012 à dates exactes, se sont décalées dans le mois, un retard inquiétant précurseur de futures difficultés ?

    La Voix de la Russie

  • 36 822 étrangers en situation irrégulière expulsés en 2012

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    Un record ! La a expulsé 36 822 étrangers en situation irrégulière en 2012, a-t-on appris mardi auprès de l'entourage du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, confirmant une information de Libération.fr. Soit une hausse de 11,9% par rapport à 2011, où 32 922 personnes ont été renvoyées.

     
     

    D'après cette source, les deux premiers mois de l'année «furent sans précédent», alors que la droite était encore au pouvoir.

    Ce record historique est toutefois inférieur à l'objectif visé par le précédent ministre de l'Intérieur, , qui avait tablé sur 40 000 expulsions si avait été réélu à l'Elysée. «Nous sommes en route vers 40 000 reconduites d'étrangers en situation irrégulière», avait déclaré l'ancien ministre de l'Intérieur entre les deux tours de la présidentielle.

    L'entourage de l'actuel ministre explique la hausse de 2012 par le fait que les juges ont prononcé davantage de reconduites à la frontière, en anticipant une décision de la Cour de cassation rendue en juillet, qui stipulait que le séjour irrégulier d'un étranger ne peut plus suffire à son placement en garde à vue. Le ministère ne fixe pas d'objectif pour 2013, a-t-on indiqué de même source.

    LeParisien.fr - 22/01/13