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  • Les armes à l'uranium appauvri : un crime contre l'humanité

    Par Vincent Reynouard

    Dans l’ indifférence générale, des armes terribles sont aujourd’hui produites et utilisées par les plus grandes armées du monde : les armes à l’uranium appauvri.

    Il ne s’agit pas de bombes atomiques mais de balles et d’obus capables de traverser aisément les blindages traditionnels. L’ennui est que la radioactivité de l’uranium appauvri que l’on trouve dans les éclats transforment les champs de bataille en zones contaminées. D’où les horribles conséquences pour les populations civiles (cancer, malformations congénitales).

    Dans ce DVD, Vincent Reynouard dévoile cet immense crime contre l’Humanité.

    E&R

  • Le cardinal Barbarin, primat des Gaules, prie à la grande mosquée de Lyon - VIDEO

     

    Le site du diocèse de Lyon n’en parle pas. La presse l’évoque : le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, a prié jeudi à la Grande mosquée de Lyon pour la libération de la famille de sept otages français détenue au Cameroun. Allah exaucera-t-il plus les prières que Notre-Seigneur ?

    Kamel Kabtane, Recteur de la Grande Mosquée de Lyon, communique sur ce sujet :

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    « Le cardinal Barbarin, primat des Gaules, s’est rendu le jeudi 21 février 2013 à la Grande Mosquée de Lyon au moment de la prière de l’après-midi (Asr) afin de prier avec la communauté musulmane pour la libération des 7 otages français, dont 4 enfants, originaires du département du Rhône.

    C’est en présence d’une assistance nombreuse qu’une cérémonie de recueillement et de prière a été organisée. Après la psalmodie du Coran, le Recteur de la Mosquée, Kamel KABTANE, a pris la parole pour appeler la communauté à élever des prières pour une libération rapide de nos compatriotes, et dire son inquiétude face à ces incertitudes qui ont plané toute la journée. Le cardinal s’est dit très ému après cette rencontre fraternelle organisée par la Mosquée de Lyon dans l’enceinte même de la salle de prière et il a prié avec eux.

    La cérémonie a été clôturée par l’imam de la Grande Mosquée de Lyon qui, après des invocations, a invité l’assistance a élevé des prières pour le retour rapide des membres de cette famille auprès des leurs sains et saufs, mais également pour la paix et la fraternité entre les hommes et pour que cesse ces guerres injustes qui touchent des populations innocentes. »

    Sur Saphir news, vous pouvez voir une vidéo de cet événement. (A voir !)

    Ce n’est pas une première : comme l’avait déjà rapporté Perepiscopus, le cardinal Barbarin avait fait lire le Coran à la fin d’une messe et, une autre fois, il avait prononcé la chahâda, soit la profession de foi de l’islam.

    RIPOSTE CATHOLIQUE

     

  • Depardieu a exécuté lezghinka avec le président tchétchène

     

     
    25.02.2013, 20:58, heure de Moscou
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    Photo : RIA Novosti

    Gérard Depardieu, qui a obtenu la citoyenneté russe au début du janvier dernier, est devenu le citoyen d'honneur de la République tchétchène, a déclaré le chef de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov sur sa page d'Instagram.

    L'acteur était heureux de voir les ensembles de chants et de danses, qui se sont produits lors d'un dîner de gala dans la capitale tchétchène, Grozny. Pendant l'exécution de lezghinka, Depardieu ne pouvait pas rester assis et s’est livré à cette danse traditionnelle sous les applaudissements de l'auditoire.

  • Grenoble: Hugo, 11 ans, obligé de fuir son collège après deux violentes agressions

     

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    Hugo, 11 ans, a le sentiment d’être victime d’une double peine. Ce jeune Grenoblois, très violemment frappé dans son collège, a été contraint de quitter l’établissement alors que son agresseur, lui, continue à y être scolarisé. Scandalisés, les parents d’Hugo ont décidé de porter plainte contre le proviseur.

     
     

    En septembre, Hugo, élève de 6e du collège Stendhal de Grenoble (Isère), est agressé par un camarade de classe âgé de 12 ans. « Il m’avait prévenu : Je vais te taper, tu vas voir qui est le plus fort. Je t’attends à la sortie. J’étais allé voir la conseillère principale d’éducation. Elle m’avait dit qu’elle placerait des surveillants devant le collège. Mais il n’y avait personne lorsque j’ai été frappé », raconte Hugo.

    Une exclusion… mais assortie du sursis

    Ses parents signalent les faits à la police. De son côté, la direction du collège affirme qu’elle ne peut rien faire, l’incident s’étant produit à l’extérieur. Le 25 janvier, Hugo est la cible du même agresseur. A l’intérieur du collège cette fois. « Avec ses mains, il m’a serré au niveau de la trachée-artère. Il m’étranglait, je ne pouvais plus respirer. Je me suis évanoui. Il m’a donné des coups de poing et jeté dans les escaliers. J’aurais pu mourir », relate, encore traumatisé, le garçon. Le médecin qui l’a examiné conclut ainsi son rapport : « Traumatisme crânien avec perte de connaissance suite à une tentative de strangulation suivie d’une chute dans les escaliers. »

    L’enfant se voit délivrer une incapacité totale de travail de dix jours, prolongée jusqu’au 22 février. Ses parents portent plainte. Ils attendent une sanction exemplaire de l’Education nationale contre l’agresseur. Or, le 18 février, le conseil de discipline prononce à son encontre « une exclusion définitive » mais « avec sursis ». Cet élève reste dans l’établissement mais change juste de classe. « Il n’a même pas eu une heure de colle pour des faits aussi graves. C’est scandaleux », clame Véronique, la mère d’Hugo.

    Hors de question pour l’enfant de revenir au collège avec le risque de recroiser son agresseur. Ses parents décident donc, contraints et forcés, de le changer d’établissement. Hugo est écœuré : « J’ai dû partir alors que c’est moi qui me suis fait agresser. Je trouve cela injuste.»

    « Si, aujourd’hui, on inculque à nos enfants que l’on peut faire ce que l’on veut, sans être sanctionné, mais dans quelle société vit-on? » s’insurge son père. Les parents d’Hugo ont décidé de porter plainte contre le proviseur pour « manquement à la sécurité » et « mise en danger de la vie d’autrui ».

    Du côté du rectorat, on regrette le départ d’Hugo, mais on justifie l’absence d’exclusion contre son agresseur : « Nous sommes dans le domaine de l’accompagnement de mineurs. Il convient de donner au jeune agresseur une chance pour le futur et qu’ayant pris conscience de ce qui s’était passé il ne renouvelle pas ce genre d’exaction », explique le directeur de cabinet du recteur.

     

    Le Parisien - 25/02/13

    NdB: Maintenant ce sont des "Chances Pour le Futur"!

  • Enfants adoptés: à 14 ans, il viole sa soeur de 10 ans qui tombe enceinte...

    Le parquet d’Avignon doit ouvrir demain une information judiciaire pour un viol entre enfants adoptés commis en Ardèche, dans un village proche de Valence (Drôme).

    L’enfant mis en cause est suspecté d’avoir abusé de sa sœur, autiste et âgée d’environ 10 ans selon nos informations recueillies auprès du parquet d’Avignon. Le garçon en aurait seulement 4 de plus. Tous deux sont originaires de Madagascar, et ont été adoptés par une famille ardéchoise.

    La victime présumée est tombée enceinte : elle a été contrainte à un avortement thérapeutique. Les tests ADN ont identifié le jeune garçon comme étant le père, et il a été placé en garde à vue.

    Le pôle de l’instruction d’Avignon est saisi de l’enquête, compétent pour les affaires criminelles du ressort de l’Ardèche.

     

    par J.G. le 21/02/2013 à 21:04
     
    ledauphine.com
  • Une commission d'enquête sur la mort d'Arafat Jaradat

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    Arafat Shaheen Jaradat, 30 ans, père de deux enfants, est mort samedi dans la prison de Megiddo dans le nord d’Israël, d’un arrêt car­diaque selon les auto­rités israé­liennes. C’est le sixième mort enre­gistré dans cette prison.

    S’agissant d’un homme jeune, en bonne santé et en garde à vue depuis son arres­tation le 18 février, sa mort est plus que sus­pecte. Accusé d’appartenance au Fatah et de par­ti­ci­pation à la résis­tance popu­laire, il avait été arrêté à la suite de heurts avec les colons hyper vio­lents de Kyriat Arba près d’Hébron.

    Transféré en Israël après son arres­tation, en vio­lation de la 4ème convention de Genève, il y était interrogé par le Shin Beth dans les condi­tions qu’on imagine.

    L’AFPS dénonce avec force la vio­lence ins­ti­tu­tion­na­lisée de la poli­tique car­cérale des auto­rités israé­liennes dans le but de briser la résis­tance de toute une société. Elle s’associe à la demande d’une Com­mission d’enquête inter­na­tionale pour faire la lumière sur les condi­tions de cette mort. Le gou­ver­nement français, alerté depuis long­temps sur les condi­tions d’enfermement des pri­son­niers poli­tiques pales­ti­niens, doit fer­mement appuyer cette exigence.

    Il doit sans attendre tirer, comme il l’a fait pour d’autres pays, toutes les consé­quences de ces vio­la­tions sys­té­ma­tiques des droits de l’homme et des Conven­tions inter­na­tio­nales par les auto­rités israéliennes.

    Aujourd’hui est un jour de deuil et de révolte dans les prisons où 3000 pri­son­niers com­mencent une grève de la faim. Nous sommes à leurs côtés. Il faut lever le voile sur les condi­tions d’arrestation et de détention des pri­son­niers. Le mur du silence doit être brisé.

    Nous appelons à ren­forcer la cam­pagne de par­rainage des pri­son­niers palestiniens.

    La résistance ne sera pas brisée par la répression !

    Bureau national AFPS

    Paris le 24 février 2013

    http://www.france-palestine.org/Une-commission-d-enquete-sur-la

    ALTERINFO. NET

  • Sondage: l'Europe, on n'y croit plus !

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    C’est un sondage qui fera certainement mal au cœur à tous ceux qui défendent encore ardemment l’idée européenne. Alors que la économique s’accroît et que les plans d’austérité se succèdent dans les 27 pays de l’UE, les Français n’ont jamais été aussi désenchantés vis-à-vis de l’institution bruxelloise.

     

    Ils sont seulement 38% à considérer la construction européenne comme une source d’espoir, selon une exclusive BVA réalisée pour l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris*). Alors qu’ils étaient 50% fin 2011 et même 61% en 2003!

    Qui connaît son ?

    Une dégringolade qui touche surtout les catégories les plus modestes. Car une fracture nette se dessine entre les « gagnants » de la construction européenne (cadres, seniors, urbains, hauts revenus…) et ceux qui se considèrent comme les « perdants » (ouvriers, employés aux revenus modestes, ruraux). L’Europe, qui se voulait protectrice face aux dangers de la mondialisation, est désormais vécue comme une entité anxiogène. D’ailleurs, les Français s’accordent massivement — ils sont 75%! — pour considérer que l’UE a été inefficace ces dernières années. Un constat qui peut paraître sévère au vu des plans successifs d’aide pour sauver la Grèce de la faillite ou des instruments de régulation mis en place comme le mécanisme d’union bancaire.

    Incapable de se mettre d’accord pour aider la France engagée contre les jihadistes au Mali, l’Europe n’est guère incarnée au niveau politique. Qui connaît son président, le Belge Herman Van Rompuy? Ou celle qui est censée incarner la politique étrangère de l’Union, la Britannique Catherine Ashton? Evidemment, cela n’aide pas…

    Sondage réalisé les 14 et 15 février 2013 auprès de 1069 personnes pour l’Iris, en collaboration avec notre journal.

    Le Parisien  

  • Décès d'un prisonnier palestinien: Israël est accusé de l'avoir torturé à mort

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    Le ministre palestinien des Prisonniers a affirmé, dimanche, que le détenu palestinien mort samedi dans une prison israélienne est décédé à la suite de tortures. Une accusation qu'il fonde sur l'autopsie du prisonnier, à laquelle un médecin palestinien a assisté.

    Le détenu palestinien décédé samedi dans une prison israélienne est mort à la suite de "tortures", a affirmé dimanche le ministre palestinien des Prisonniers, Issa Qaraqaë, après l'autopsie à laquelle a participé un médecin palestinien. Les résultats de l'autopsie d'Arafat Jaradat, 30 ans, "prouve qu'Israël l'a assassiné", a déclaré M. Qaraqaë lors d'une conférence de presse à Ramallah, en Cisjordanie. Au même moment, 3000 détenus palestiniens observaient une journée de grève de la faim pour protester contre la mort d'Arafat Jaradat.

    L'autopsie a montré des fractures sur tout le corps et des contusions au visage de la victime, résultant de tortures, a précisé M. Qaraqaë, en citant le docteur palestinien qui a pris part à l'expertise, ajoutant que la condition cardiaque d'Arafat Jaradat était bonne.

    Les autorités israéliennes ont attribué son décès "probablement" à une crise cardiaque. Selon le Shin Bet, le service de la sécurité intérieure israélien, qui l'interrogeait pendant sa détention, le jeune homme a été "victime d'un malaise" et est décédé samedi après le déjeuner dans la prison de Megiddo (nord d'Israël).

    Arafat Jaradat, originaire d'un village de la région d'Hébron (sud de la Cisjordanie), avait été arrêté le 18 février pour être interrogé par le Shin Bet à la suite de heurts près de la colonie de Kiryat Arba, à proximité d'Hébron, au cours desquels un Israélien avait été blessé le 18 novembre 2012. Il doit être enterré lundi près d'Hébron.